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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 29 décembre 2016

Trois mois de baisse du nombre de chômeurs catégorie A


« Tagada-à-la-fraise-des-bois » est vraiment trop drôle !

Voilà un mek qui arrive un peu surpris dans le fauteuil et les pompes de « Bling-bling » et commence à jurer haut & fort que sa priorité, c’est le chômage !
Bon, ok : Ce n’est pas le premier à le dire…
Et comme personne ne le croit vraiment, il insiste et jure devant l’électeur qu’il ne se représentera que si le chômage baisse.
Ok, jeune-homme.
Sauf que pendant 4,5 ans il augmente, mois après mois, à l’exception d’un ou deux bugs.
Il a beau « trafiquer » les chiffres, casser le thermomètre, basculer tout ce qui passe dans les catégories E & D, voire B et C, rien à faire, ça ne veut pas se stabiliser.
Il change son fusil d’épaule et modère son propos : Il ne se représentera que si la tendance n’est plus à l’augmentation.
On traduit « inversion des courbes », vous savez, l’affaire des négatifs qui s’amenuisent (tels que la dérivée première passe en positif).

Il y parvient une première fois… Prudent, il ne se décide pas à descendre dans l’arène et minimise le résultat. Il faut dire qu’il est bien placé pour savoir qu’avec le traitement de cheval qu’il a imposé à tout le pays d’entrée de jeu, il n’a fait qu’aggraver la situation économique.
Et que je te m’en vais claquer des dizaines de milliards d’euros – qu’il n’a pas – pour « survitaminer » l’économie, mais en vain…
Et puis finalement, les résultats se confirment : Là, ça ne l’amuse plus du tout !
« Bling-bling », son adversaire idéal est éliminé de la compétition, alors que « l’inversion » paraît s’installer, il renonce !
Fabuleux destin : Il restera le président du chômage, y’a pas à tortiller.

Le nombre d’inscrits à Pôle emploi sans aucune activité était en novembre 2016 de 3,45 millions en métropole, en recul pour le troisième mois consécutif, une première depuis la crise de 2008 !
Les personnes en catégorie A (sans aucune activité) ont vu leur nombre diminuer de 31.800 par rapport à octobre (– 0,9 %). Sur trois mois, ce nombre a baissé de 109.800 (– 3,1%).
Depuis le début de l'année, la baisse s’établit à 133.500, « soit une moyenne de 12.000 demandeurs d’emploi en moins chaque mois », se réjouit « El-Konnerie », la ministre du boulot !
En soulignant bien sûr que « l’emploi reste au cœur des priorités pour 2017 ».
Elle peut dire ce qu’elle veut, elle ne terminera pas l’année dans son ministère…
Cette dynamique « est confirmée par les sorties de Pôle emploi pour motif de reprise d'emploi qui ont atteint, ces trois derniers mois, leur plus haut niveau depuis plus de huit ans ».
Même si tout cela cache la misère profonde, on peut dire « bravo ».
Car en prenant en compte les travailleurs exerçant une petite activité (catégories B et C), le nombre de chômeurs était de 5,48 millions en novembre en métropole, soit une hausse de + 0,3 % sur un mois et de + 0,5 % par rapport au même mois un an plus tôt tout de même…
On n’est plus très loin de la vraie « stabilisation », l’étiage le plus fort.
Un chiffre à retenir comme d’une référence pour plus tard. 

À noter que chez les moins de 25 ans n’ayant aucune activité, la baisse reste importante, atteignant 10.900, soit – 2,3 % par rapport à octobre et – 9,2 % sur un an. Le ministère, lui, met en avant le reflux de 49.500 enregistré depuis le début de l’année, « soit le plus important depuis mai 2011 ».
En revanche, pour les seniors (plus de 50 ans), la situation reste tendue en catégorie A, avec une hausse de + 0,2 % par rapport à octobre. Elle atteint même + 1,6 % par rapport à novembre 2015.
Et en comptant l’Outre-mer, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A s'élève à 3,7 millions (– 0,8 % sur un mois et – 3,3 % par rapport à novembre 2015). En intégrant les personnes exerçant une petite activité, ce chiffre grimpe à 5,78 millions (+ 0,3 %, + 0,5 %).
Autre référence à retenir…

Au moins autant qu’on se souvient encore (vous étiez nés, vous n’avez aucune excuse) que fin mai 2012, ils étaient 2.922.100 demandeurs d’emploi à être inscrits en catégorie A en France métropolitaine.
Les catégories B et C en « Gauloisie-métropolitaine » comptaient 1.425.000 personnes.
Les catégories A, B et C totalisent 4.347.100 demandeurs d’emploi 4.621.000 en incluant les DOM.
Dans les catégories D et E, ils se comptaient 612.900…
Entre 4,621 millions (A, B, C,) de mai 2012 et 5,78 millions de novembre 2016, le pays aura perdu plus d’1,16 million d’emploi.
À raison de 35 heures sur 45 semaines ouvrées/an, ça ne fait pas moins de 1,827 milliards d’heures « non-produites », à 9 €/heure, un manque de PIB de 16,4 milliard, soit trois-quarts de point de croissance sur une seule année…
Et encore je ne compte pas le reste, les charges sociales non-encaissées, les taxes et impôts disparus de la case « recette ».
Passons, SVP !  

Le Président commente alors et comme tout le monde qu’il s'agit du troisième mois de baisse consécutif et défend son bilan, tout en assurant ne pas regretter sa décision de ne pas briguer un second mandat.
En fait, les mauvaises langues disent que si : Lui qui a toujours tout temporisé, pour une fois qu’il se précipite, c’est à contre-courant.
D’autres en disent que c’est parce que « son poulain », « Menuet-Valse », il a pris un très mauvais départ dans la campagne des primaires de « Gôche-démocratique », qui n’augure rien de bon pour la suite en avril.
C’est clair : Il va se faire étriller et plus personne ne sera là pour défendre ledit bilan tellement flatteur.
Alors comme on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même, il ne peut s’en empêcher.
À sa façon.

Au lieu de triompher – pour une fois qu’il pouvait – votre « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois-Tagada » s’est au contraire bien gardé de confirmer cette tendance pour l’avenir : « La baisse du chômage se confirme mais rien n’est joué, rien n’est fait », a-t-il affirmé.
« Même s’il faut faire attention parce que, le mois prochain, il y aura peut-être une augmentation, c’est vrai que la tendance des trois derniers mois, c’était inconnu depuis 2008 ».
« C’est la satisfaction du travail engagé. Pas accompli mais engagé ».
Les dispositifs en faveur des créations d’emplois, « ça amplifie et ça stabilise », a-t-il ajouté.
« On dit ‘‘le CICE (crédit d'impôt pour la compétitivité et l’emploi, mesure fiscale de réduction des charges sociales accordée à certaines entreprises pour stimuler l’emploi), il n’y a pas eu de contrepartie’’, mais ajouté au dispositif PME, la contrepartie, c’est le CDI ou le CDD de longue durée » a-t-il encore défendu.
De la tambouille…
« Il y a deux chiffres importants : Le nombre de créations nettes d’emploi, ça veut dire qu’il y a de l’emploi au-delà de tout ce qu’on peut imaginer comme soutien, 240.000 depuis 18 mois… Et deuxièmement, la tendance est quand même à la baisse au-delà même du plan 500.000 formations », qui a « vocation à être pérennisé ».
Les chômeurs en catégorie D, qui sont en partie concernés par ce plan, ont en effet augmenté de + 4,3 % sur le seul mois de novembre…
Ceci expliquant cela. 

Pour les « Républicains-démocrates », lui et son gouvernement mené par « Menuet-Valse » « a dépensé sans compter l’argent public des Français afin de faire baisser le chômage artificiellement ».
Le « bilan de ce quinquennat est clair et irréversible : catastrophique. Plus de 600.000 demandeurs d’emploi en catégorie A de plus depuis 2012, 300.000 pour les plus de 50 ans, plus d’1 million toutes catégories confondues. La timide embellie de façade du moment ne permettra pas de revenir sur ce bilan, que les candidats de gauche doivent assumer », conclut le communiqué.
Ce qui n’est pas faux.

« Tagada-à-la-fraise-des-bois » restera-t-il comme le « loser-définitif », le président le plus mal aimé de la cinquième République et le seul contraint de reculer devant l’obstacle d'une campagne présidentielle post-premier mandat !
Après avoir passé tout le quinquennat à annoncer la reprise et la prochaine inversion de la courbe du chômage, sans convaincre de ses résultats, cette fois, l’incroyable à quelques semaines après l’annonce de son renoncement, ce pourrait être la bonne.
Franchement pas de bol !
Les créations d’emplois reprennent franchement, notamment dans l’intérim, la dette publique se réduit (très légèrement), et, dernier indicateur scruté de près par les conjoncturistes, car riche d’informations sur l'avenir, le climat des affaires se redresse nettement : En décembre, cet indicateur avancé publié par « Lyne-sait » a bondi d’un coup, retrouvant un niveau inconnu depuis… juillet 2011.
C’est plus que prometteur pour la croissance des mois à venir.

Et je ne peux m’empêcher de faire un parallèle avec « le Chi » de 1997 : En décidant une dissolution à froid de l’Assemblée nationale, une autre première sous la cinquième République, le prédécesseur de « Bling-bling » à l’Élysée s’était alors livré à une « expérimentation hasardeuse », pour reprendre l’expression du premier bénéficiaire de l’opération, « Tonton-Yoyo », son premier ministre de troisième cohabitation.
Une expérimentation qui s’apparentait à un quasi-suicide politique.
Pourquoi une telle dissolution ?
Comme « Tagada-à-la-fraise-des-bois » vient de se faire lui aussi harakiri, « Le Chi » était à la peine avec sa majorité divisée entre « bat-la-mou-riens » et « chie-rat-quiens » ; comme « Tagada », en bon autiste, il doutait de l’économie, et se sentait incapable de boucler le budget 1997 avec un déficit public inférieur à 3 % – déjà –, sans lequel la « Gauloisie-européenne » ne pouvait se qualifier pour l’euro.
Ce que n’avait pas vu « le  Chi » au moment de dissoudre la chambre basse, c’était que les premiers indicateurs d’une véritable reprise s’accumulaient, à la suite de la hausse du dollar qui dopait la compétitivité et donc le moral des industriels Gauloisiens.
Et que, loin d’être impossible, le respect des 3 % de déficit pouvait s’appuyer sur cette conjoncture souriante qui se dessinait.
On connaît la suite : Le PS au pouvoir s’est outrageusement vanté et pavané, avec son ministre des Finances « Déesse-Khâ », d’avoir organisé une reprise réellement perçue après leur arrivée, mais en réalité déjà en marche à la fin de l’hiver 1997.
Pas de chance pour « Jacquou-le-Chi »… comme pour l’autre Corrézien trisomique d’adoption, qui renonce à se battre trop tôt.
Vraiment « trop drôle » !…

À moins qu’il ne mette à profit le « bazar » à gôche, l’entrée ratée en campagne de « Menuet-Valse », pour tenter un ultime come-back en forme de revirement.
Il paraît qu’il y songe, d’après les derniers échos entendus jusqu’à Venise.
Ce qui promettrait d’être « sportif », « Manu-Mac-Rond » se désistant alors au profit de son maître ?
Là, on est en pleine politique-fiction…
En revanche, la situation sera meilleure qu’elle ne l’est aujourd’hui et l’était hier.
Ce qu’on peut souhaiter, c’est que le (ou la) prochain(e) élu(e) ne gâche pas les chances – très conjoncturelles il est vrai – du pays.
Mais là aussi, c’est encore de la « politique-fiction »…

6 commentaires:

  1. « Les créations d’emplois reprennent franchement »
    La raison n’est pas à chercher dans les oracles des pythies de Delphes : si ces chiffres hors maquillage sont vrais, cela signifie seulement que le départ imminent de ces bras cassés de cocosos redonne confiance aux entreprises qui embauchent.

    Pour finir sur la politique fiction, pour que Tagada renie son renoncement, il lui faut une communication comprise par les sans dents, un truc justifiant le revirement mais pas trop compliqué ; ce serait quoi alors son joker ? Et bien juste un méga attentat terroriste début avril 2017 par exemple …
    ComtesseÔPiedNu

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    1. Charmante Comtesse...

      Les chiffres sont "truqués" depuis des années et ce sont les "variations-corrigées" qui annoncent la tendance : En fait, on va attendre deux chiffres encore quelques mois pour comprendre.
      1 - Le total des heures travaillées-payées par les entreprises (les recettes URSSAF) ;
      2 - L'évolution des exportations en volume sur 2016.

      Le premier devrait être négatif en terme de progression (déflaté des taux pour les chiffres URSSAF de l'ACOSS), comme depuis les années du "Chi".
      En revanche, il semblerait clair qu'il y a déjà un "rebond" dans l'indicateur avancé de l'intérim...
      Naturellement c'est fragile, d'autant plus en période préélectorale qui n'a jamais été favorable à l'embauche durable...
      Même s'il est clair là encore que les entreprises anticipent, même si elles n'investissent pas assez (dans l'avenir moyen/terme) : Elles y croient sans y croire finalement.

      Le deuxième devrait faire apparaître que "l'embellie" (toute relative) est essentiellement "importée". Le monde entier et l'Europe redémarrent nettement plus fort qu'en "Gauloisie".
      Même en "Ritalie", ça se sent.
      Ceci expliquant peut-être cela...

      Quant à la "politique-fiction", je ne crois pas à un attentat le contraignant à "revenir" sur sa décision : Ce serait plutôt la marque de son échec total (avec son état-d'urgence) pour les "sans-dents".
      Et il est déjà acté dans l'opinion.
      En revanche, après les élections, notamment durant la campagne législative, là oui, pas de problème : Il y en aura, forcément.

      Si c'est "Fifi-le-vainqueur" qui devient le président en mai, le peuple lui donnera une large majorité pour 5 ans.
      Si c'est "Marinella-tchi-tchi" elle pourrait même avoir une majorité, courte, à l'AN lui permettant de gouverner réellement !
      Et il faut se rendre compte du soin qu'elle met à constituer ses équipes de futurs parlementaires...

      Autre raison, c'est que les attentats deviennent de plus en plus difficiles à réaliser par les islamistes (et autres), c'est l'existence d'un réseau de surveillance, maintenant totalement opérationnel, extrêmement dense des réseaux électroniques.
      Un des thèmes repris dans "Laudato si..." (qui est venu se rajouter au fil de l'écriture, au cours des mois).
      Là, il est désormais efficace et réactif : Il suffit de compter le nombre d'interpellations réalisées par les flics dans les semaines récentes !
      Pratiquement une opération par semaine...
      Et ils ont même fait des arrestations "préventives" (administratives) avant les fêtes...

      C'est dire que ça devient tous les jours plus difficile pour des terroristes qui doivent se méfier de tout et surtout ne pas apparaître sur les réseaux Internet ni même de téléphonie-mobile.
      Donc réapprendre à communiquer et se préparer "à l'ancienne".

      L'attentat contre les bijoux de "Kim-machin-chose" la star de la téléréalité est typique de cette façon de faire et les voleurs courent toujours.
      Dans un prochain chapitre de "Laudato si...", vous verrez que "Requin", le tueur à gages lancé contre "Charlotte", aura agi exactement de la même façon...
      Et là, c'est "imparable" même pour l'élite de la lutte antiterroriste du pays.

      Donc à suivre !

      Bien à vous !

      I-Cube

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  2. Pourquoi vous évertuez vous à prendre en considération tous ces chiffres dont l'ancien professionnel que je suis vous a, à de multiples reprises, démontré qu'ils étaient "trafiqués"?
    Un seul indicateur : le nombre de personnes inscrites toutes catégories confondues, non-corrigées des variations saisonnières, non-corrigées des variations jours ouvrés, France entière ... C'est simple!
    Je vous concède qu'ils ont réussi à mettre en place une parade "imparable" : il n'y a plus de telles données "non-corrigées des variations saisonnières"! Faut le faire, non?

    Je vais vous raconter un truc. Comment obtenir la "radiation administrative" de milliers de personnes (c'est à dire la radiation-sanction, généralement pour deux mois)? Il suffit d'émettre des convocations ET DE NE PAS LES EXPEDIER! De la sorte, les personnes ne les reçoivent pas et, donc, ne viennent pas à la convocation. Elles sont alors RADIEES! JE L'AI VU FAIRE!!

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    1. Mon cher "conseiller omnipotent",

      Figurez-vous que j'ai été "chômeur-inscrit" a deux reprises dans ma vie : Au sortir de mon service militaire, non indemnisé, mais on m'obligeait quand même à aller pointer (qu'il fallait "queuter" une bonne demi-journée) et à un moment de rupture (époque où je suis passé du statut de salarié à celui de "patron") : Vous n'étiez pas encore dans "le métier"...

      Pourquoi je suis devenu "patron de moi-même" ? Mais parce qu'à l'époque, l'ANPE nous traitait déjà comme des chiens : J'ai fait jusqu'à 60 RDV/mois d'embauche (premier tour) pour 6 (second tour) et les meks considéraient que je ne recherchais pas assez bien du boulot.
      Faut dire qu'une fois dans la "short-list", par 6 fois, je n'ai pas été embauché... La 7ème si, mais là, j'avais été radié, pas d'aide.
      Et l'année suivante, je me suis tiré pour monter ma boîte (sans aide ni rien).
      Du coup en me démerdant pour ne cotiser à plus rien et surtout pas au chômage...

      Alors évidemment, "les trucs" que vous dites ne m'étonnent pas : Il y a aussi le gars qui se pointe à une convocation et qui n'est pas enregistré.
      Ou carrément comme dans mon cas, d'autorité, sans explication, on considère qu'un type balaise comme moi, s'il n'a pas trouvé de boulot, c'est qu'il en refuse... -> radiation !

      Alors je sais bien que les chiffres sont erronés, totalement faux : Ce qui compte ce sont les "dérives" ou comment font-ils pour cacher la misère sans que ça ne se voit trop ?
      Là c'est clair : ils cassent le thermomètre, ils inventent quantité de "trou-noirs", de puits sans fond.

      Mais ce qui compte à la fin de la fin, c'est combien il y a eu d'heures "payées-cotisées" et combien d'indemnité versée (la santé des entreprises et l'équilibre du régime).
      Pour le savoir, il faudra attendre le mois de juin (ou mai) prochain, une fois qu'il auront tout compté et on va s'apercevoir qu'au fil du temps la situation s'est dégradée comme jamais.
      Et que de toute façon, aucune "politique" économique n'a jamais changé quoique ce soit à l'économie en général...
      Mais ça, on savait déjà !

      La seule qui peut avoir un effet, c'est de mettre au régime sec les dépenses publiques et de redonner leurs sous au peuple et aux entreprises : Eux savent les dépenser intelligemment !

      Bien à vous !

      I-Cube

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    2. Être votre conseiller, je veux bien ... Omnipotent, c'est trop d'honneur!
      Ce qui me fait peur dans vos développements, c'est que vous voulez tout jeter par dessus bord (ou presque ...!). Regardez Fillon : il a du mettre de l'eau dans son vin! Faut pas toucher à la Sécu! C'est SACRE!! Et, s'il veut être élu, il va falloir qu'il en rajoute ... Les gens n'en peuvent plus de toutes ces merdes! Cahuzac n'est toujours pas en prison! Qu'en pensent les gens? C'est très simple : "il n'ira jamais en prison!". Et, ça, ça les énerve au plus haut point! Ils ne supportent plus! Trop, c'est trop!

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    3. On ne va pas engager la polémique sur "Fifi-le-vainqueur".
      Il arrive et il en dit "moi j'en ai une d'enfer"...
      Ils sont assez kons pour le croire et accepter de se la faire mettre.
      Et puis tout d'un coup il devrait devenir un "bande-mou" ?
      Mais où va-t-on SVP ?
      La droâte-la-plus-kon-du-monde, décidément.
      Alors passons : Vous verrez qu'il ne sera probablment pas élu (malgré ses fans russes et américains)... Là, franchement, ça me fera bien marrer.
      Et puis ça vous arrange, alors hein... Que demander de plus ?

      Bien à vous !

      I-Cube

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