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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 5 décembre 2016

Magnifique : Les « sortants » dégagent !




Défaite sans appel de « François III » !

Ce jeudi-là, j’ai eu du bol. Normalement, je démarre en début d’après-midi depuis Venise pour affronter les embouteillages autour de Genova qui m’emmènent pour le dîner sur le Rocher, chez moi.
Sauf que la veille, mon « boss-à-moi » m’avait fait savoir qu’il aimerait bien m’avoir à ses côtés dans l’après-midi de jeudi pour préparer en duo, et non pas au téléphone ou par Skype, notre déplacement prévu à Budapest en fin de semaine suivante. Donc, discipliné, je me débrouille pour démarrer plus tôt, en milieu de matinée, pour une arrivée sur le coup des 14/15 heures au bureau monégasque.

Il doit avoir une boule de cristal secrète, pas possible autrement, parce que la raffinerie de Sannazzaro, posée au sud de Milan, explose vers 16 heures et toute la région immédiatement proche est en alerte de « nuage-toxique », coupant quelques heures mon autoroute habituelle qui passe entre Pavie et Voghera, vers Genova.
Du coup, là où j’aurai pu être bloqué à rentrer tard, je suis passé comme une fleur et nous avons discuté, entre-autre, des gars de l’OPEP qui ressortaient avec un accord surprise de réduction de la production d’or-noir, ce que personne ne croyait possible dans les « milieux autorisés » jusqu’à la veille, mais voulue absolument par l’Arabie-saoudite en manque de ressources financières (comme tous les autres) : La rente pétrolière, ce n’est plus ce que ça a été.
Je vous avais annoncé, il y a bien 6 mois de ça, la fourchette du prix du baril : entre 40 et 50 dollars US jusqu’à la fin de l’année. Le cap a été maintenu durant toute la période… contre vents-et-marées et malgré les augures l’annonçant régulièrement à la hausse plus ou moins brutale.
Là, sachant que les russes, peut-être, mais plus sûrement les iraniens, les vénézuéliens et les irakiens vont tricher, la fourchette remontera donc entre 50 à 60 dollars US pour les mois qui vont suivre, insuffisant pour stopper la montée en puissance des productions US, surtout avec un « Trompe » arrivé entre-temps à la Maison-Blanche qui veut relancer ses productions « pro domo » mises en sommeil…

Mais ce n’est pas tout : Je fais mes « petites-courses » du soir et je rentre dîner devant ma télé pour tomber en direct sur l’exercice pathétique de votre « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois-Tagada ».
Ce n’était pas prévu pour être « programmé » vers le 10 et dès les premiers mots, on comprend tout de suite qu’il va annoncer qu’il se casse.
Un instant, on peut même penser que la décision est à effet immédiat, mais non hélas, il assumera son mandat et ses responsabilités jusqu’au bout !
Tant-pis pour « J’ai-rare-L’Art-chié » et un petit intermède rédempteur pour le pays avant d’affronter les catastrophes suivantes et prévisibles…

Et aussi sec, le web bruisse d’un bal des faux-culs qui se disent « chamboulés », « émus », « malheureux », et saluent le « courage », la « lucidité », voire la « noblesse » de l’inéluctable décision, sacrifiant le destin personnel à l’intérêt général en vue d’une « pacification » et d’une dynamique de rassemblement « soce », etc.
Fuck ! Ils se frottent tous les mains, la compétition est enfin ouverte à gôche et il n’y aura qu’un seul avocat « de la défense » du bilan du quinquennat, à savoir « Menuet-Valse », le futur « ex-premier-sinistre » désigné « volontaire d’office » pour s’y coller dès le lendemain : Pas un cadeau, mais depuis le temps qu’il enfonçait ses clous dans le cercueil-ambulant…
Le pôvre ! S’il savait dans quel merdier il s’est foutu.
Passons…

Moi, je le plains puisque s’il se voit déjà mis en orbite pour succéder à « Tagada-à-la-fraise-des-bois », alors qu’il aura fort à faire avec tous les procureurs « soces » de l’accusation, plus tous ceux du centre-démocratouille, plus tous ceux de toutes les « droâtes », plus tous ceux des « gôches-extrêmes-radicales », plus tous ceux des « écololos-bobos », déjà unanimes à tous dénoncer tous les échecs des « sortants » !
J’adore les effets destructeurs des primaires, finalement…

Pensez donc, elles ont sorti les « sortants », « Sicile-du-flot-vert » chez les écololos-bobos », « Bling-bling » chez les « républicains-démocrates » et de quelle façon, mais également « Juppette » sans parvenir à virer « Fifi-le-vainqueur » (c’est en cours seulement, parce qu’il est mal parti en reprenant tout ou presque des héritiers de « Bling-bling »), « L’or-Rend », pas vraiment un « sortant », mais pas non plus un « entrant » au PCF au profit de « Mes-Luches », lui-même un « sortant » venu d’ailleurs et exempte de « pré-compétition ».
Restera les dinosaures de chez les LCR et LO et de chez … le « F-haine », sans primaires…
Quelle dégelée pour tous les autres !

Autre effet déformant du mécanisme des primaires, si elles font buzz dans l’opinion, elles mobilisent les troupes qui ne représentent qu’elles-mêmes (on constate à peine l’énorme, le gigantesque décalage hors-sol du « peuple de droâte » par rapport au peuple tout-court chez les « Républicains-démocrates » et il en sera de même chez les « soces » comme il en a été chez les « écololos-bobos », mais c’est normal chez eux depuis qu’ils sont devenus « une secte de sectaires »), mais en plus, elles étrillent, laminent, morcellent, éparpillent brutalement, à l’acide et à la chaux-vive les candidats à la candidature avant même de passer le premier tour de l’élection finale…
Il ne va plus leur rester que la peau et les os, vers la fin du parcours.
Alors que ceux qui évitent cet exercice d’autoflagellation-sur-place-publique vont aborder le dernier virage, non seulement avec des cibles bien délimitées, positionnées et identifiées des mois à l’avance, mais au moins en un seul morceau.
Ils auront bien plus … d’épaisseur aux yeux du chaland-électeur !

Et je vous passe les réactions de la « presse-aux-ordres » de tous les bords qui va tenter d’expliquer, de décortiquer, le pourquoi, le comment, le pour qui de cette démission anticipée !
Vous n’avez qu’à lire ce qu’ils vous sortent sur le sujet : Une vraie curée !
Qui va durer encore quelques jours avant de se tourner vers la suite.
Tout va y passer, de Leonarda à Fessenheim, de la déchéance de nationalité à la loi « El-Konnerie », du matraquage fiscal déjanté à la courbe du chômage accrochée à ses sommets, de la dette abyssale aux Opex onéreuses, des histoires de kul aux confidences éhontées, du virage libéral aux lois liberticides, de l’échec de l’état d’urgence aux attentats de l’été dernier, de l’idéologie du genre aux échecs scolaires et de la laïcité dévoyée, du nouveau niveau d’alerte-attentat au méga-fichier digitalisé TES, du Burkini aux zones-de-non-droit et aux jungles de migrants en passant par le « roms » et le retour du traitement au faciès.
Et encore, je vous en passe des dizaines comme ça…
Vous n’allez rien manquer des inventaires divers et… à charge !
Franchement, l’avocat du bilan que va être « Menuet-Valse », s’il réussit à passer le premier tour des primaires-soces, c’est qu’il aura eu du talent.
Va même falloir qu’ils s’y mettent à plusieurs, pas possible autrement.
Là encore, il n’est pas déraisonnable de prévoir la sortie de route du « sortant ».

Autre question : Qui va gouverner le pays dans les mois qui viennent ?
« Menuet-Valse » va forcément démissionner pour s’atteler à la tâche qu’il s’est imposée à lui-même de défendre le quinquennat, en poussant dehors « Tagada-à-la-fraise-des-bois », tel Brutus chez César.
Qui va bien vouloir de cet intérim pourri ?
« Camp-bas-des-lys » ou « Pas-Sain », les ex-trotskistes après le « lambertiste » que fut « Tonton-Yoyo » à la tête du pays ? Laissez-moi en rire !
Un autre comme « Le-Riant » ou « Casa-flambante-neuve » ?
À moins qu’on apprenne le retour du « Combi-Air-eau »…
Ou encore la récompense finale de « Le-Folle ».
Ou une « Ségololo-soi-même », touchant ainsi son bâton de maréchal dans l’ombre de l’ombre… de son « ex-hombré », par reconnaissance du ventre ?
Une tradition familiale, comme chez tous les dictateurs et tyrans de la planète…
Et celui-là ou celle-là, il faudra bien le/la remplacer…
Ça n’aime pas le vide, ces gens-là, et on va savoir très vite, vraisemblablement même avant le prochain conseil des sinistres, mais de toute façon après le retour du démissionnaire, hier soir.

Qui se portera volontaire pour affronter le risque terroriste ? La guerre contre Daech ? Qui va alerter sur les avancées sournoises de la Russie et de « Trompe » ?
Qui va faire avancer, au moins un peu, l’Europe à l’heure du « Brexit » et des menaces « d’Italexit » ?
Qui va distribuer les « petits-cadeaux-de-Noël » aux « sans-dents » jusqu’à Pâques ?
Qui va signer les décrets de la loi « El konnerie » (à peine 30 % actuellement) pour mener les derniers arbitrages, déjà que c’est kafkaïen à souhait ?
En prendre la responsabilité et détricoter ce qu’il y a d’aberrant ici et là ?
Qui va défendre le budget 2017 dont tout le monde sait qu’il ne sera jamais appliqué tel quel ?
Qui, on va savoir et la vraie question politique va être avec quelle autorité politique dans ce désastre … politique annoncé ?

Nada, rien, l’ensemble vide de l’espace quantique : On entre dans une période de flou total, incertain, surtout après les scrutins « ritalien » et « Autruchien »…
Et « pépère », égal à lui-même, il se casse sous le soleil de la péninsule arabique, laissant tout son beau monde gérer les embrouilles : Un véritable ectoplasme, ce qui ne le change pas beaucoup, finalement…
J’adore, j’adore.

Ceci dit, la situation va s’éclaircir, au moins un peu : Il ne va pas aller affronter l’ultime humiliation de devoir compéter contre son propre camp, je ne dis même pas de « perdre » les primaires-soces.
Encore moins de s’en remettre à l’arbitrage de ses électeurs, ces abrutis qui n’ont rien compris, en avril prochain.
Il laisse les requins s’entre-déchirer, l’homme de « la synthèse » impossible et mortifère.
Et là, ça va être un magnifique spectacle d’autodafés, quasi-suicidaire.
Vous imaginez un peu la claque à prendre en avril si c’est un « Monte-et-bourre-la » qui est désigné ?
Ou un « Deux-noix-Âme-mont » ?
Voire une « T’oubliera » et même un « Menuet-Valse » ?
Les autres, je n’arrive même pas à les nommer, tellement ils brillent d’un soleil insoutenable, tellement éblouissant…
Le seul capable de déjouer les pronostics, mais je n’y crois absolument pas, c’est « La-Roue-tout-roux » : Il est le « master-chief » des déclinistes qui ont finalement mené leur entreprise de destruction du pays en douce (avec « Pique-et-t’y ») depuis avant 2012 et regardez donc où ils ont su mener le pays,  son économie vers la ruine, sa cohésion sociale déchirée, en lambeaux, son niveau d’endettement mortifère (d’autant que l’hypothèse d’une réelle remontée des taux s’installe tous les jours un peu plus fort : 2,50 % la semaine dernière là où ils étaient encore nuls ou négatifs il y a seulement un mois et ça va encore grimper)…
Que du malheur à venir : Passons, ils ne passeront pas !

Et alors quoi ?
Alors … j’ai toujours cru que « Mac-Rond » roulait pour « Tagada-à-la-fraise-des-bois », son « boss-à-lui », celui qu’il s’est choisi depuis 2012.
Pas pour rien qu’il est resté (presque) jusqu’au bout au « Château » puis à « Bercy » jusqu’aux ultimes limites de la décence et des convenances, ce qui avait le don d’énerver tout le monde.
Et éventuellement qui roulerait pour lui-même en 2022…
Eh bien la suite n’est pas celle à laquelle je pensais, mais par « un soudain effet du sort », le calendrier s’est en quelle que sorte… inversé, retourné à son profit !
Son heure, c’est peut-être l’étape 2017, un passage devenu obligé et qu’il avait choisi d’emblée d’assumer en solo dès le milieu de l’année, peut-être même avant (pour les adeptes des « théories du complot »).
On verra ça en avril : D’ici-là, vous aurez noté qu’il est le chouchou la « presse-aux-ordres » (à qui on ne demande rien…), qui, certes s’est toujours trompée, mais peu importe.
La « clique à François III » part en quenouilles sous vos yeux, se désagrège totalement et ça va s’accélérer dans les semaines qui vont suivre, pour déboucher, peut-être, sur un second tour de tous les dangers…

Et là, je tremble pour vous, figurez-vous !
Sera-t-il capable de se démarquer au premier tour pour faire barrage à « Marinella-tchi-tchi » au second dans la foulée ?
Si celle-ci n’emporte pas la mise dès la fin avril…
Elle, elle a déjà armé ses scuds : Une « compétition de doublures », de marionnettes, qu’elle avait parfaitement anticipée, en dit-elle.
Et de rajouter : « Bien souvent elles ont les défauts des premiers rôles sans en avoir les maigres qualités »…
Assez significatif, finalement, puisqu’elle se présente comme un « original », dans les sous-titrages.
Résultats à suivre, bien sûr et une fois de plus…

15 commentaires:

  1. Il n'y aura aucun flou! Même si Valls démissionne, il est TENU de rester à son poste aussi longtemps qu'un autre clown n'a pas été désigné pour lui succéder ET que le document de transfert de responsabilité n'a pas été enregistré ...

    Si j'étais Hollande, je REFUSERAIS la démission de Valls et je ne nommerais pas de successeur!

    Je laisserais pourrir la situation et, au final, devant le capharnaüm, je ferais acte de candidature sans passer par la "primaire" de "goche"... Mais, pour faire un truc pareil, il faut s'appeler Mitterrand! La taille des couilles de chacun dépend de la personnalité du propriétaire des dites couilles!

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    1. On voit bien que vous n'avez jamais exercé une quelconque responsabilité d'importance, au moins pour autrui.

      La Liberté impose, je dis bien impose parce qu'on ne peut pas faire autrement, de prendre acte d'une démission : Quand quelqu'un en a marre, ou n'en peut plus (là il s'agit en plus de ne pas compromettre la campagne des "soces" à travers leur primaire, alors même que "Tagada", d'une part ne démissionne pas et d'autre part dit vouloir préserver une "cohésion" et même, pourrait-on rajouter, un avenir au PS), on ne peut pas faire autrement que donner acte de la démission, quitte à la retarder pour des raisons "techniques", il est vrai !

      De Gaulle ou "Mat-&-eau-Rhin-zy", ou encore "Camé-Rhône" démissionnent, ils ne peuvent que sortir : Je vous l'accorde, aucun flou possible !
      Ils ne sont pas tenus de rester : Les institutions sont assez solides pour avoir un intérim de quelques jours.
      Le temps pour un "Le-Folle" de passer de "porte-la-parole-là" à devenir vizir à la place du vizir...

      Quant à ne pas nommer de successeur, ce serait anticonstitutionnel, vous le savez bien : Le gouvernement gouverne et a un chef de gouvernement en qualité de premier des sinistres, l'Elysée préside et a un Président.
      En revanche, il n'est pas impossible qu'un "Rhin-zy" se succède à lui-même, puisqu'il est responsable de la situation dans laquelle il a plongé la "Ritalie". Ceci étant, ce n'est que reculer pour mieux sauter en attendant des jours meilleurs.

      Quant à imaginer que "Tagada-à-la-fraise-des-bois" ait les kouilles d'un "Mythe-errant", là, vous faites injure.
      A dire vrai, je ne sais pas auquel des deux d'ailleurs.
      Au "pseudo-pédophile" qui en plein mai 68 comptait fleurette à une qui aurait pu être sa fille, ou à celui qui préfère les starlettes ?

      Peu importe, le dernier aurait dû démissionner : Il n'a plus aucune autorité pour parler au nom du pays et il aurait pu provoquer "un choc" salvateur pour les "soces".
      Perso, je l'aurai fait avec la loi "Mac-Rond" et la première utilisation du "49-3" : Tu ne votes pas, je dissous ou je démissionne et démerde-toi !
      Mais la paye et la cantine doivent être trop bonnes et inespérées...

      Bien à vous !

      I-Cube

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  2. Vous racontez n'importe quoi! Pas plus loin qu'en Belgique, le Président du Conseil a "démissionné" ... BIEN ENTENDU, il est resté à son poste aussi longtemps qu'un successeur n'a pas été nommé et mis en situation de faire face à ses responsabilité. Le GOUVERNEMENT belge fonctionnait VRAIMENT! Des textes par centaines ont été votés, signés, ratifiés, validés, etc pendant les 19 mois de crise... Une fois de plus c'est MOI qui ai raison!

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    1. Révisez donc vos livres d'histoire : Le plus dramatique pour eux, ça a été l'impossibilité de procéder aux nominations à des postes de l'administration, telle qu'il a fallu que des hauts fonctionnaires reportent leur départ en retraite...
      Tout le monde sait ça.
      En revanche, l'Etat fonctionnait, et plutôt bien, puisque le corpus de décret était bloqué, hors l'intervention du roi.

      Bien à vous !

      I-Cube

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  3. Je pourrai ajouter que croire que "rester à son poste pour bénéficier de la cantine" relève d'un POPULISME de très bas étage!

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    1. Et pourtant...

      Vous n'imaginez donc pas le bouleversement que cela aurait pu provoquer s'il avait démissionné d'emblée ?
      Précipitant ainsi les échéances, faisant démarrer tout le monde bien plus tôt que prévu...
      Là, il aurait vraiment contribué à faire barrage à "Marinella-tchi-tchi", pas encore prête comme elle le souhaite.
      Elle en a tremblé d'ailleurs en dit-on...

      Donc, c'est qu'il y a une autre raison et je ne vois que la cantine et la paye, plus la voiture de fonction avec chauffeur et garde-de-son-corps.
      Maintenant vous avez le droit d'avoir une opinion différente, mais attention de ne pas dépasser la "ligne-rouge" : Elle conduit directement à "la ligne-verte" !

      Bien à vous !

      I-Cube

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  4. Je rajouterai encore que les seuls personnages politiques pour lesquels cette règle de droit ne s'applique pas, ce sont, précisément, le Président de la République, le Président de l'Assemblée Nationale, le Président du Sénat et le Président du Conseil Constitutionnel. Dès que les autorités habilitées ont reçu la démission, le processus irréversible de désignation d'un successeur s'enclenche automatiquement ... Le Président du Sénat devient, ainsi, AUTOMATIQUEMENT, Président de la République et le processus d'élection du successeur s'enclenche ... Le démissionnaire ne peut plus revenir en arrière. C'est à cause de cette règle que Bartolone n'a pas démissionné de son poste de Président de l'Assemblée Nationale à l'issue de son échec aux élections régionales en Ile de France.

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    1. Que les institutions règlent la procédure à suivre, il n'y a aucun doute.
      Que le contrat de travail prévoit un délai-congé, qui d'ailleurs permet à l'employeur de recruter le remplaçant, il n'y a pas de doute non plus...
      Et vous le savez.

      Maintenant, quand il s'agit d'un mandat, quel qu'il soit, politique, social ou n'importe quoi d'autre, c'est "ad nutum", point-barre.
      A volonté, n'importe quand, pour n'importe quel motif de fond, de fait ou de convenance personne : C'est la règle générale qui s'applique.
      Et vous l'ignorez, semble-t-il.
      Mais on attend vos "propositions-audacieuses" sur le sujet, naturellement.

      Ceci dit, voyez donc ce qui se passe en "Ritalie" : "Rhin-z'y" démissionne, comme promis (et c'est tout à son honneur) mais le Président lui demande de prolonger son mandat (ce qui était prévu parmi les hypothèses examinées ici même lundi en 8).
      Il va sans doute l'accepter, dans la mesure où le sauvetage du système bancaire a encore besoin de temps pour mûrir, se dénouer, et un gouvernement de pleins pouvoirs "aux manettes".
      Et que provoquer des élections anticipées permettra au "M5S" de devenir majoritaire (puisque c'est ce qui va se passer), et qu'il convient donc de retarder cette échéance après la mise en place dudit sauvetage des banques...

      Mais il peut très bien refuser et demander l'asile politique à Raul Castro (comme au bon vieux temps...lol !) : C'est ça la liberté d'opinion figurez-vous (celle dont je viens de causer en réponse à votre précédent commentaire).

      A suivre et bien à vous !

      I-Cube

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  5. @ Jacques : De toute façon, on va très vite savoir et la déshérence, la vacance à Matignon sera de très courte durée, juste le temps, aujourd'hui, de désigner le successeur de "Menuet-Valse".
    Les enjeux du dernier semestre du quinquennat sont importants d'autant que tout doit être fait pour assurer de bonnes conditions aux élections d'avril/mai, le tout dans une atmosphère de menaces terroristes (qui vont se réveiller avant de perdre pied en Syrie/Irak et après demain en Lybie).

    Bien à vous !

    I-Cube

    PS : Pour ce qui est de "Rhin-z'y", une précision : Le président l'a officiellement chargé de voter la loi de finances, ce qui va demander du temps, mais reste un gage important sinon incontournable vis-à-vis de la BCE et donc... le sauvetage des banques "Ritales"...
    Faut suivre, cher "conseiller spécial & omnipotent".

    I- Cube

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    1. Mais figurez vous que je suis très bien la situation! je suis même difficilement "collable" sur le sujet ...
      1. Je ne connais pas à la lettre la procédure en vigueur en Italie.
      2. En France, le Président de la République n'a pas le pouvoir de mettre fin aux fonctions du Premier Ministre si celui-ci ne présente pas d'abord sa démission.
      3. En 1997, Chirac a nommé Jospin et ne lui a jamais demandé de démissionné. Il a même été rappelé à l'ordre par Jospin en personne quant à la réalité de ses pouvoirs : très peu, en définitive, quand on connait par coeur la Constitution ... comme la connaissait Mitterrand! C'est cette connaissance qui lui a permis de ne pas promulguer les "ordonnances" car la Constitution ne parlait que de la promulgation des Lois ...

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    2. Exact !

      La dèm' se concrétise par un simple courrier daté signé. Deux paragraphes suffisent avec une formule de politesse, remis en mains propres ou envoyé en LRAR.
      Idem en Italie.

      Bon, quand j'étais l'ultime décisionnaire pour présider à mon tour, j'écrivais à tous les membres de mon conseil d'administration (ou au directoire).
      Et quand il n'y en avait déjà plus, j'écrivais au juge afin qu'il nomme un administrateur provisoire pour me remplacer.
      Une fois j'ai fait la bêtise de dire que je différai la date effective de ma cessation de mandat jusqu'à la nomination dudit administrateur (pour faire les payes), que ça a trainé un mois avant que je ne trouve enfin un repreneur.

      Ceci dit, il paraît que "Casa-Nova" a remplacé "Menuet-Valse" le temps de 10 minutes, juste de quoi traverser la rue du Faubourg Saint-Honoré.
      Vous voyiez, vos inquiétudes n'étaient donc pas justifiées comme on pouvait s'y attendre.

      Ceci dit, effectivement, le Président nomme, décrète et "ordonne", mais là seulement quand il en a reçu l'autorisation du Parlement.
      Il ne révoque pas et c'est seulement l'AN qui peut destituer un premier-ministre (hors la haute cour de justice, mais à condition d'en avoir reçu le mandat du Parlement).

      Quant aux "pouvoirs", les domaines sont effectivement retracés dans les articles 34 et autres de la constitution, mais en grand-spécialiste du droit constitutionnel que vous prétendez être, vous savez que la frontière n'est pas si rigide que ça, puisque le Président est aussi chef des armées, et lui seul, patron des institutions, et lui seul, de quelques nominations, et lui seul, qu'il peut dissoudre l'AN, même "à froid", et lui seul, etc.
      Il peut aussi user des pouvoirs absolus prévus à l'article 16, et lui seul, et alors gouverner par voie d'ordonnances sans demander l'avis de personne, alors que ce n'est pas le cas dans le cadre de l'état d'urgence...

      Mais vous savez tout ça, n'est-ce pas, pas la peine d'y revenir !

      Bien à vous !

      I-Cube

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    3. En effet, je sais ... presque tout!

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  6. Parfait, mais vous auriez pu rajouter qu'il reçoit les "lettres d'accréditation" des ambassadeurs étrangers et qu'il nomme aussi les nôtres... y compris auprès des instances européennes, comme le Parlement de Strasbourg !
    Il a donc la haute-main sur toutes les affaires étrangères, domaine partagé avec le gouvernement.

    Bien à vous!

    I-Cube

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    1. Je sais tout cela! Vous oubliez une chose : quand la majorité PARLEMENTAIRE ne lui est pas favorable, c'est le Premier Ministre, chef naturel de cette majorité, qui reprend la main! Toute la main ... Le Président S'ECRASE, un point, c'est tout! Le régime politique de la France est PARLEMENTAIRE, pas présidentiel! Et c'est très bien ainsi ...
      Il n'est par contre pas douteux que les "puissances d'argent" voudraient bien qu'il en aille différemment car, si tel était le cas, attendu qu'il est plus facile de tenir UNE personne par les couilles que toute une MAJORITE de plusieurs centaines de personnes, le vrai pouvoir serait plus facilement vraiment détenu par lesdites puissances d'argent et le PEUPLE serait plus facilement tenu vraiment à l'écart de tout ce qui le concerne.

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  7. @ Jacques : Tout cela me paraît une peu confus de votre part !
    N'étiez-vous pas, il y a encore peu, pour une VIème république, réellement parlementaire (sans doute ne réaction par l'hyper-présidence de "Bling-bling") ?
    Maintenant, tout ça est terminé : on est en régime parlementaire : Etonnant de votre part, mais passons.

    Et puis je n'ai pas eu le souvenir d'un "Mythe-errant" "s'écrasant", comme vous le dites à l'occasion des deux premières cohabitations.
    Pas plus qu'un "Chi" "s'écrasant" face à "Tonton-Yoyo"...
    Passons : Ils avaient déjà tous leurs "domaines réservés".

    ET puis on peut encore aller plus loin avec le quinquennat de "Tagada-à-l-fraise-des-bois" où vous l'avez bien vu, c'est plus récent, faute de majorité (les frondeurs, tout ça, le sénat) le gouvernement a persisté à gouverner même contre ses députés et la "synthèse" présidentielle...
    Bref, jusque-là, c'est vous qui perdez la mémoire, me semble-t-il.

    Enfin sur les "puissances d'argent", faudrait quand même évoluer un peu : Elles n'ont pas besoin "d'acheter" un homme.
    Il y a en fait 5 pouvoirs institutionnels : L'exécutif, le législatif, le judiciaire, les trois classiques sur lesquels nos démocraties sont fondées et puis deux autres.
    Le quatrième pouvoir, et il n'est pas le moindre, c'est la presse.
    Ce n'est seulement qu'au cinquième niveau qu'on retrouve "l'argent".
    Et ouvrez les yeux, quand le cinquième achète le quatrième, ce qui est le cas en "Gauloisie-des-lumières", mais aussi dans toute la sphère "occidentale", disons du pacifique à l'atlantique et au pacifique, bref le tour du monde, alors à ce moment-là, le troisième commence à s'écraser sous la pression du premier et le second également...

    Une inversion de la pyramide en quelle que sorte.
    Et on y est ...

    Bien à vous !

    I-Cube

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