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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 14 décembre 2016

La « Gôche-de-gouvernement »… émiettée (I)


« Mac-Rond », le phénomène.

Avouez que c’est quand même extraordinaire que cette immense réussite de « Tagada-à-fraise-des-bois » : Arrivé là sur le rejet de « Bling-bling » et un peu par hasard, au lieu de s’occuper des « kuls-terreux » et des « prolos » qui ont formé son fonds de commerce, il s’est empressé de mettre en œuvre une entreprise de « détestation-généralisée » !
Que de haines et de rancœurs à travers ses gouvernements successifs !
C’en est parfaitement hilarant, finalement.

Incapable de refaire une « union des gôches », mais là, à « mission-impossible », nul n’est tenu, il aura réussi à constituer une équipe complète de prétendants à lui succéder dans son fauteuil de Calife, tous aussi haineux les uns que les autres envers les uns et les autres et tout le reste.
Il ne manque plus à la curée que « Ségololo », mais comme elle vise un poste rémunérateur à l’international (avec immunité diplomatique et billets d’avion gratos…), d’où son discours pro-castriste à Cuba, très « tiers-mondiste », elle ne fera plus d’ombre à personne…
Notez que les « Républicains-démocrates » étaient partis avec une équipe de volleyeurs pour se retrouver avec une équipe de hand-ball.
Chez les « soces », ils démarrent avec une équipe de foot pour probablement se retrouver avec une équipe de rugby complète, même si on ne sait pas encore si c’est à XIII ou à XV…
Et c’est sans compter les dissidents, genre « MAMa » d’un côté et « Mac-Rond » de l’autre, tous deux ex-ministres… même si ce n’est pas de la même, euh… « sensibilité ».
Fabuleux.

D’autant qu’il y a de sacrés numéros chez les « ceux-ce » se réclamant de « gôche ». Ce qui attire le regard, vu de loin, ce sont les gueulantes de « Menuet-Valse » et de « Menuet-Mac-Rond ».
À voir ces deux spécimens, le constat n’est pas rassurant. Généralement, un bon acteur maîtrise son personnage et son rôle. Force est de constater ni l’un ni l’autres ne maitrise quoi que ce soit : Ils se laissent emporter dans leur délire !
Je ne sais pas s’ils fument la moquette enroulé dans les rideaux, mais ça va vous promettre de chaudes heures de … euh, comment dire pour rester poli… de débats !
J’ai toujours été persuadé que « Mac-Rond » roulait-F1 pour « Tagada-à-la-fraise-des-bois-diesel ». Comme celui-ci ne prend pas le départ, poussé « hors-jeu » par « Menuet-Valse », la mission du premier est devenu de dégommer tout-court le second.
C’est déjà écrit et c’est une nécessité.
Et comme ils sont du même bois-hallucinogène, ils y croient tous les deux et se voient déjà dans les traces de leur auguste prédécesseur, à lui tailler des costards mieux que ne le ferait « Fifi-le-vainqueur ».
Ah les effets des primaires, que c’est désolant pour ceux qui passent la main … et tous les autres !

Aujourd’hui, on va s’attarder un peu sur « Mac-Rond » alors que se pointe « Payons », « l’ex-ministre-philosophe ». Le premier y va avec un programme  quasiment vide, se contentant de reprendre celui de « Fifi-le-vainqueur », mais systématiquement à contre-pied.
Curieux, mais c’est comme ça !
D’autant qu’il est gonflé au cric et à l’hélium par une presse-système et des médias « z’aux-ordres » qui tentent de lui créer un profil de prophète, le tout basé sur une belle montagne d’arrangements et de mensonges plus ou moins importants.

D’abord, il prône la grande marche et veut faire prendre le bus à tout le monde. Marcher ou conduire : Il faut choisir, dans la vie !
Bon, ses bus, c’est un immense flop, avec les pauvres 60 millions d’euros de chiffre d’affaires depuis août 2015 piqués sur le dos de Peppy et de ses cheminots qui en plus se fait accuser de concurrence déloyale par « Air-Transe », et le fait qu’ils ne sont pas rentables, d’autant qu’il ne reste déjà plus que 3 compagnies dans les décombres…
Quant à son dernier speech de dimanche dernier, qui a fait les chaudes-heures des réseaux-sociaux, on a tout de même de quoi se poser de vraies questions sur la santé mentale de ce jeune-garçon, pas sorti de l’adolescence pour avoir épousé sa mère, qui n’a quand même juste pas fait grand-chose d’autre de sa vie et qui se comporte comme un grand gourou de secte bien plus qu’en leader politique au charisme indiscutable.
Même s’il a la tronche du « gendre-parfait », propre sur lui…

Il y a aussi de quoi se poser de grosses questions sur son marketing politique qui est en réalité assez effrayant, car il confine au culte de la personnalité, fait appel à des « formules » magiques, à l’inconscient collectif ou veut répondre au besoin d’action des concitoyens en leur faisant miroiter leur participation à ce « mouvement » !
S’imaginer qu’il y a une once de réalité dans le site Internet du gugusse sur lequel on dépose son idée qui se retrouve dans le programme de la présidentielle, c’est au mieux… de la pub mensongère.
C’est encore une fois vide, totalement vide, c’est une immense illusion.
Cette immense illusion se sert de l’allusion à la grande marche de Mao pour implicitement faire passer le message de l’action mais aussi de la « révolution », et d’ailleurs il parle lui-même de la révolution.
Cette immense illusion fleure bon les révolutions communistes qui ont clos le millénaire dernier et ne sont que des artifices marketing afin de voler une « image » pour, en réalité, faire exactement le contraire.
Fort drôle pour un candidat d’un système néo-ultralibéral.
Pour un candidat de la finance dans ce qu’il y a de pire.
Un candidat du système qui fait semblant de cracher dans la soupe.

Il n’est pas de « gôche », ça saute aux yeux dès le premier regard et d’ailleurs il se fiche du prolo comme d’une guigne en lui expliquant que pour avoir un beau costard, faut aller bosser. Ce n’est évidemment pas faux, mais c’est tout aussi méprisant qu’un « sans-dents » de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » ou le « Cass’-toi pôvr’-kon » de « Bling-bling ».
C’est désolant, mais on n’a jamais que ce qu’on mérite, je vous l’ai toujours dit.
Rêver de révolution avec lui est un énorme mensonge que seules les techniques marketings et la propagande médiatique rendent possible.
Sa prestation dans son premier meeting aura été en réalité effrayante dans tous les sens du terme : Au mieux, il est le « grand gourou manipulateur », le schizophrène qui se prend pour Jésus et invite à porter l’espérance, et le pervers narcissique qui veut faire croire à sa révolution culturelle, au grand bond en avant vers encore plus d’Europe, encore plus de « globalisation », et encore plus de libéralisme tel que revu et corrigé actuellement et qui ne marche pas très fort en faisant croire l’inverse.

Ce qui reste étonnant, c’est le traitement qui lui est réservé par les médias. Police de proximité, chiffon rouge agité du nationalisme, défense des 35 heures… Entre le produit de la « Gôche-de-tonton-Yoyo » et celui qu’il propose, seul l’emballage change. C’est mieux présenté, plus tape-à-l’œil, les slogans plus accrocheurs. Il mise tout sur la forme, peu importe le fond.
Quitte à hurler pour être sûr de se faire entendre !
Tout comme la caste dont il fait partie, il imagine qu’il suffit de rencontrer quelques « Gauloisiens » pour les comprendre, comme on va au zoo pour découvrir une espèce différente de la nôtre.
Lors de son meeting à Lyon, le jargon du parfait publicitaire était là : Pas de vision pour le pays mais un « contrat que nous passerons avec la nation, le contrat pour présider, le contrat pour gouverner ».
Il doit penser qu’on peut consommer son image comme on consomme le dernier paquet de lessive sorti en rayon, et s’adresse à la ménagère quinqua : Après le « plus blanc que blanc », voici le « plus rebelle que rebelle ».
Magnifique !
Je ne sais pas comment il va se relever s’il persiste de la sorte : Il doit bien avoir une porte de sortie cachée, ce n’est pas possible autrement. 

Il est drôle ce peuple du centre auquel il s’adresse, adeptes de la mondialisation heureuse, élèves des écoles de commerce, abonnés au « Monde » (ce journal crapuleux) et à « Femmes-actuelles » qui écoute religieusement leur idole leur parler des délices de la hausse de la CSG (qui frappera les cadres de plein fouet), du maintien des 35 heures (avec d’inextricables négociations par branches), de la suppression des cotisations sur le chômage et la maladie…
Sans oublier un bricolage du CICE pour pérenniser les baisses de charge des entreprises…
Il va lui falloir éclaircir des positions sur l’immigration, la lutte contre l’islamisme et la guerre contre le terrorisme. Surtout, délivrer un message audible, dégager une vision. Pas celle d’un gestionnaire astucieux, mais celle d’un futur chef d’État susceptible d’expédier deux compagnies de parachutistes à Kolwezi ou des avions bombarder l’Irak et la Syrie ou la plaine de la Bekaa.
Par comparaison avec d’autres, il semble totalement « hors-sol » : Le pays n’est pas une société anonyme qui cherche un PDG, mais une nation forgée par 1.000 ans d’histoire et autant de péripéties.

D’autres que moi en disent que c’est une « bête de scène » qui vient de naître avec du poil aux pattes, de la testostérone à revendre et un vrai potentiel à signer pour une pub L’Oréal ou Hugo Boss.
Que ça va dépoter sévère, ça va claquer de la mamie, que ça va envoyer du steak, ça va brutaliser du chaton-mignon, que c’est « Mac-Rond » qui vous le dit !
Tout seul, il serait déjà parvenu à rassembler des milliers de personnes et à lever près de 3 millions d’euros auprès de donateurs (dont on ne sait rien) pour financer sa campagne, qu’il en rencontre encore régulièrement (à 7.500 € le couvert) et qu’il compte emprunter encore plusieurs millions afin d’assurer une campagne tonitruante, alors que d’autres se contentent de 50 K€ pour leurs 6 semaines de campagne de primaires.
Il ne boxe pas dans la même catégorie, manifestement.
Autrement dit, on sait maintenant qu’on n’a plus affaire à un individu lambda, qui se serait mis au trot mais bien à quelqu’un qui a, très probablement, préparé ses arrières et ce, depuis un moment. 

Cependant, toute cette forme sur-vitaminée aux couleurs chatoyantes et au micro qui pulse du décibel fébrile ne doit pas nous faire passer au-dessus du fond, car petit-à-petit se lève le voile sur ce qui se cache derrière ses quatre bouquins où on apprend tout de sa prime-jeunesse et jusqu’à son dépucelage.
Et là, c’est tout de suite moins excitant.
Une fiscalité du travail plus engageante, un droit du travail simplifié, décentralisation, tout cela semble intéressant. Sauf que c’est très flou : Peu ou pas de précisions sur la forme que prendraient concrètement ces réformes, leur ampleur, leurs coûts et la façon dont il envisage de financer tout ça.
Il ne peut quand même pas inviter toute la planète à dîner pour payer tout ça…
En outre, il y a tout de même beaucoup trop de gros morceaux d’étatisme bien gras dans son « programme ».
Entre le camouflage des cotisations salariales dans une CSG bien dodue, une augmentation de la fiscalité du revenu du capital de 1,7 % (alors même que la fiscalité du capital est déjà un handicap catastrophique pour le pays), des bricolages plus ou moins heureux en défaveur des retraités par exemple, il y a déjà largement de quoi prendre autant de recul que nécessaire.

Mais surtout, sur certain sujet, il est clairement « En Marche ! »… arrière : Il était pourtant entendu que notre homme voulait revenir sur les 35 heures, qui sont devenues au fil des ans l’un des dogmes les plus intouchables et imputrescibles du système social à la « Gauloisienne » et surtout, le marqueur typique du « socesme-Gauloisien ».
Manque de bol, il ne touchera finalement pas à la durée légale.
Remballez.
Il fait du « trompe », pas du « Trompe », finalement…
Et lorsqu’on lit l’avalanche de ses propositions sociales, on comprend que l’ex-ministre tente à présent de ramasser les miettes de la gôche du milieu, du centre et de l’à-peu-près auquel son programme chuchote assez bien.
Avec, déjà, des renoncements sur des éléments majeurs.
Un petit parfum d’attrape-gogos qui occulte à présent avec application le bilan franchement médiocre de deux années au ministère de l’Économie.
Il est devenu, me semble-t-il, un peu le « gentil-centre », réformateur mais pas trop, l’opposition rêvée à « Fifi-le-vainqueur », qui ne viole pas trop l’égo des « soces-démocratouilles », coincés sans lui devant un choix pathétique avec « Menuet-Valse » qui porte le bilan, « Monte-et-bourre-la » qui lui crache dessus, « Deux-noix-Âme-mont » ou « Mes-luches » qui ne font guère mieux dans le style, sans se rendre compte que ça ressemble un peu trop à du « Juppette-formule-magique », la jeunesse en plus, qui n’a pas bien pris même à « droâte ».
Et il semblerait que vu son programme et ses déclarations, tout tend à faire penser qu’il n’offre aujourd’hui qu’une révolution de coton, ce coton que les kidnappeurs enduisaient jadis de chloroforme…

Ceci dit, il faut se rappeler qui se trouve derrière. Souvenez-vous, SVP, de « D’Jack-@-talus », l’homme des coups-tordus de « Mythe-errant » et de son passage télévisé en soutenance de son bouquin « Peut-on prévoir l'avenir ? », (Fayard, 2015).
J’ai lu ce bouquin en diagonale parce qu’on me l’avait offert pensant me faire plaisir : Y’a rien dedans, vous pouvez le jeter (où l’offrir à quelqu’un d’autre qui ne vous en voudra pas trop parce qu’il vous aime bien).
Et, par hasard, je suis tombé à l’époque sur une de ces émissions littéraire qui lui consacrait 5 minutes d’antenne (ça ne vaut pas plus) où on lui a posé la question : « Peut-on prévoir qui sera le prochain président ? »
L’impétueux avait répondu affirmativement et quand on lui avait demandé qui c’était, il avait répondu avec un sourire qu’il le connaissait, mais qu’il ne pouvait pas le désigner « pour ne pas lui nuire ».
Tiens donc !

Alors donc, entre « Menuet-Valse », coaché par BHL et « Mac-Rond » coaché par « D’jack@-talus », quelle que soit la férocité des attaques qu’ils se porteront, en toute logique le gagnant resterait… probablement Benjamin Netanyahou.
Trop drôle, n’est-ce pas ?
Généralement, personne ne se préoccupe du perdant, ni même de savoir qui c’est, mais je vous le dis quand même… Si l’un ou l’autre parvient à se hisser au second tour en mai prochain, ce sera le pays tout entier…
Vendu pour un plat de lentilles par quelques 30 % des « Gauloisiens » qui feront « barrage », représenteront un peu plus de 50 % des votants au moment du scrutin, et qui seront les premiers à crier qu’ils ont été trahis par leur nouvel élu !
Et si vraiment il y a quelle que part un petit sursaut d’orgueil au pays, ce n’est sûrement pas « Fifi-le-vainqueur » qui le portera pour avoir été le laquais, pareillement rebelle « à son chef » que les deux « soces-là » en concurrence, et probablement, il faudra une autre candidate pour remettre de l’ordre dans tout ça.

Plus ils avancent, et plus ils font son lit…
En sont-ils bien conscients au juste ?

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