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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 16 décembre 2016

Foi d’ivrogne


Ivresse et alcoolisme

Symptôme : Pieds froids et humides.
Cause : Ton verre est incliné sous un angle incorrect.
Solution : Tourner le verre jusqu’à ce que la partie ouverte soit vers le haut.

Symptôme : Pieds chauds et mouillés.
Cause : Ça y est, tu t’es pissé dessus.
Solution : Si un chien est dans les parages, va te placer à côté de lui et plains-toi tout de suite auprès du propriétaire du manque d’éducation de sa bête.
Exige qu’il te paie un coup à boire en compensation.
S’il n’y a pas de chien dans les parages, va te sécher aux toilettes les plus proches.

Symptôme : Le mur d’en face est plein de lumières.
Cause : Tu es tombé sur le dos.
Solution : Positionne ton corps à 90° par rapport au sol.

Symptôme : Ta bouche est pleine de mégots.
Cause : T’a piqué du nez dans le cendrier.
Solution : Retire tout ça et régale toi avec un gin tonic.

Symptôme : Le plancher est flou.
Cause : Tu regardes à travers un verre vide.
Solution : Redemande une tournée pour palier à cette carence.

Symptôme : Le sol se déplace sous tes pieds.
Cause : Deux videurs te sortent du bar.
Solution : Demande-leur au moins où ils t’emmènent.

Symptôme : Reflets multiples de visages te regardant fixement dans l’eau.
Cause : Tu es dans les toilettes, essayant de vomir.
Solution : Mets-toi un doigt dans la gorge.

Symptôme : Les gens autour de toi parlent avec un écho mystérieux.
Cause : Tu as le verre sur l’oreille.
Solution : Arrête de faire le crétin.

Symptôme : La discothèque bouge beaucoup, les gens sont habillés en blanc et la musique est assez monotone.
Cause : Tu es dans une ambulance.
Solution : Ne bouge pas. Possible coma éthylique.

Symptôme : Ta femme à l’air très bizarre et tes gamins te regardent d’un air étonné.
Cause : Tu t’es gouré de maison.
Solution : Demande-leur s’ils peuvent t’indiquer où est la tienne. 

Symptôme : Un énorme spot de la discothèque t’aveugle.
Cause : Tu es allongé dans la rue et il fait déjà jour.
Solution : Il est temps de prendre un café.

Symptôme : Tu n’éprouves aucun goût ni aucun plaisir à boire.
Ta bière est exceptionnellement claire.
Cause : Ton verre est vide.
Solution : Trouve quelqu’un qui te paiera un autre coup à boire.

Symptôme : Tu n’éprouves aucun goût ni aucun plaisir à boire.
Le devant de ta chemise est humide.
Cause : Bouche non ouverte en buvant ou verre appliqué à un mauvais endroit du visage.
Solution : Prends un autre verre et bois devant un miroir.
Améliore ta technique en buvant autant que nécessaire.

Symptôme : Tout est sombre, voire noir.
Cause : Le bar est fermé.
Solution : Panique !

Il est une heure du matin.
Sur une grande place parisienne où se croisent pas mal de lignes d’autobus, Jean-Marc qui a visiblement bien arrosé sa soirée s’approche en titubant d’un employé de la RATP en train de fermer sa guérite.
« – Excusez-moi de m’excuser… » bredouille t-il. « Pourriez-vous me dire s’il y a encore des 84 ?
– Non, monsieur, c’est terminé.
– Et des 92 ?
– Non plus.
– Et des 32 ?
– Non plus.
– Des 174 peut-être ?
– Non plus.
– Alors… Qu’elle est la ligne qui marche encore ?
– Aucune, monsieur. Il n’y a plus d’autobus avant cinq heures du matin. »
Jean-Marc repart en zigzaguant, rejoint son copain Jean-Paul, écroulé sur un banc, dans le même état que lui. Il lui dit :
« Viens ! On peut traverser… »

Au palais de justice.
Le juge :
« – Vous dites que l’accusé vous a frappé avec malice et préméditation…
– Ah non, Monsieur le juge ! Il m’a frappé avec une pelle et un marteau… »

« Jean-Marc boit ton huile de foie de morue…
– Non.
– Tu veux une fessée…
– Non !
– Tu veux gagner 10 francs alors…
– Oh oui !
– Alors bois…
– Gulp… »
Au bout d’un mois, on casse la tirelire…
« Je suis riche », constate Jean-Marc. « Que vais-je m’acheter ? »
Son père prend l’argent et achète avec une autre bouteille de foie de morue.

La jeune fille vient de marier un vieux con bourré aux as, avec des usines un peu partout dans tout le pays.
Ce dernier, sans enfant, lui a promis un héritage confortable.
Mais quand même…
Le soir des noces, elle verse dans le café de son époux, un pot entier de viagra qu’elle a acheté le matin même.
Le lendemain matin, elle file chez son pharmacien.
« E-x-t-r-a-o-r-d-i-n-a-i-r-e ! votre produit. Mon mari m’a fait l’amour sept fois et j’ai connu toutes les extases.
Chose certaine, il est mort heureux ! »

À l’hôpital, une infirmière d’âge mûr rencontre une jeune infirmière :
« Je viens d’installer un marin dans la chambre 211. Je n’ai jamais vu ça ! Il est tatoué partout… même que sur le pénis, c’est écrit bec !! »
La jeune infirmière file vers la chambre 211.
Elle en ressort une bonne demi-heure plus tard.
La première la questionne.
« – Alors ? As-tu vu ça ?
– Oui, ce n’est pas croyable… mais tu t’es trompée.
Sur le pénis ce n’est pas marqué bec, mais « Québec » ! »

Jean-Marc rentre du travail un peu plus tôt que prévu et trouve sa femme en train de tailler une pipe au plombier.
Aussitôt il s’écrie :
« Mais enfin chérie, qu’est-ce que tu fais ? Tu sais bien que c’est à l’électricien que l’on doit de l’argent ! »

Et puis on termine par deux revenues :

Le premier jour Dieu a créé la vache.
Dieu a dit :
« Tu dois aller au champ avec le fermier toute la journée et souffrir sous le soleil, avoir des veaux et donner du lait pour soutenir le fermier. Je te donne une durée de vie de 60 ans. »
La vache répondit :
« C’est une sacrée vie dure que tu veux pour moi pendant 60 ans. C’est ok pour 20 ans et je te rends les 40 autres. »
Et Dieu a été d’accord.
Le deuxième jour, Dieu a créé le chien.
Dieu a dit :
« Reste assis toute la journée sur le seuil de la porte de la maison et aboie sur quiconque entre ou passe devant. Je te donne une durée de vie de 20 ans. »
Le chien a dit :
« C’est trop long pour aboyer. Donne-moi 10 ans et je te rends les 10 autres. »
Alors, Dieu a été à nouveau d’accord.
Le troisième jour Dieu a créé le singe.
Dieu a dit :
« Amuse les gens, fait des tours savants, fait les rire. Je te donne une durée de vie de 20 ans. »
Le singe a dit :
« Faire des singeries pendant 20 ans? Tu veux rire !
Le chien t’a rendu 10 ans, non ? Ben je fais pareil, ok ? »
Encore une fois Dieu a été d’accord.
Le quatrième jour Dieu a créé l’homme.
Dieu a dit :
« Mange, dors, joue, baise, amuse toi. Fais comme moi : Glande. Je te donne 20 ans. »
L’homme répondit :
« Quoi Seulement 20 ans ? Hé ! Ça va pas ? Je prends mes 20, les 40 que la vache a rendus, les 10 du chien et les 10 du singe. Ça fait 80, ok ? »
Dieu répondit :
« Ok ! Marché conclu… »
C’est ainsi que pendant les 20 premières années de notre vie nous mangeons, dormons, jouons, baisons, nous amusons et ne faisons rien.
Pendant les 40 années suivantes nous travaillons comme un forçat au soleil pour entretenir notre famille.
Pendant les 10 années suivantes nous faisons des singeries pour distraire nos petits-enfants.
Et pendant les 10 dernières années nous sommes assis devant la maison à aboyer !
(Bon tout le monde connait l’originale, mais celle-là me fait impitoyablement penser à mon « Conseiller omnipotent » qui n’arrête pas d’aboyer sur tout ce qui passe, même sur ce blog dans ses commentaires !)

« Docteur, je crois que j’ai un problème. Un de mes testicules est devenu tout bleu ! »
Le docteur examine son patient…
« – Il va falloir vous opérer. On doit vous retirer ce testicule rapidement.
– Vous rigolez ? Je ne vais sûrement pas vous laisser faire une chose pareille !
– Vous voulez mourir ? Ce n’est pas une rigolade.
– OK, alors allez-y… »
Une semaine plus tard, l’opéré consulte le médecin.
« Docteur, ce n’est pas de chance, mais je crois bien que le testicule qui me reste est en train de virer au bleu comme l’autre. »
Une fois encore, le médecin conseille la « couillectomie ».
Bien que le patient soit encore plus réticent, il se laisse convaincre une fois encore.
Dès le lendemain, la castration a lieu.
Mais une semaine plus tard, il faut bien se résoudre à l’évidence : Il y a encore un problème.
Chez le docteur, le patient anxieux bredouille :
« Docteur… Ça ne va vraiment pas fort. Cette foi c’est mon sexe qui devient tout bleu ! »
L’examen du médecin aboutit à une mauvaise nouvelle…
Il va falloir procéder à l’amputation du pénis.
« – Mais enfin docteur, c’est impossible. Comment vais-je faire pour faire pipi ?
– Oh vous savez, ce n’est pas si grave que ça en a l’air : On vous greffera un tuyau de plastique dans l’urètre, et hop ! »
Résigné, le patient est émasculé dès le lendemain et pense en avoir définitivement terminé avec les amputations… sauf qu’une semaine après l’opération, il revient chez le médecin pour se plaindre :
« – Docteur, le tuyau de plastique devient bleu !
– Quoi ? Vous plaisantez ?
– Je vous dis qu’il bleuit ! »
L’examen du médecin est un peu plus méticuleux et finalement aboutit à cette conclusion :
« Hmm… Bon, ce n’est rien. Ce sont vos jeans… »
(Dans l’originale qui a fait le tour du monde, il y a bien une dizaine d’années de ça, c’était « Bling-bling », déjà agité comme pas possible, qui se plaignait d’avoir mal au crâne en permanence et qui va de consultations en consultations de spécialistes recommandés par son entourage.
On lui enlève à-peu-près tout ce qui traîne et dépasse, mais son mal de crâne ne passe toujours pas, jusqu’à ce qu’il se décide à devenir Président-à-la-place-du-Président et décide de se payer un costume neuf.
Il indique au fripier tailler du 38 de tour du cou depuis toujours.
Et le gars insiste : Il fait du 40.
« Je peux vous vendre une chemise avec une encolure de taille 38. Mais vous ne viendrez pas vous plaindre d’avoir tout le temps mal à la tête après-coup ! »)

Bon week-end à toutes et tous !

I3

2 commentaires:

  1. Réponses
    1. Notez que vous venez d'en redonner la preuve sur les autres commentaires dont vous êtes l'incontestable auteur !

      CQFD.

      Bien à vous !

      I-Cube

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