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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 9 novembre 2016

Deuxième débat de la primaire de la « droâte »


Pendant qu’on digère les élections US,

Et les primaires des « écololos », je reviens sur le débat de jeudi soir dernier.
Pour tout vous dire, je ne l’ai pas vu, ou alors seulement des extraits épars, en rewind et sur Internet, durant le week-end dernier.
Très déçu, finalement.

Il faut dire que je suis parti trop tard de Venise : Mon « boss-à-moi » me harcelait au téléphone et à l’autre oreille sur la boîte à « mimile » avec des tombereaux de dossiers à éplucher, à imprimer et à faire passer à la moulinette de mes « scorings » en urgence, afin de préparer au mieux les réunions qui se sont tenues lundi et mardi à Roma.
C’est vous dire si j’étais de mauvaise humeur vendredi « au siège » de la boutique.

Cinglé « mon boss-à-moi » : Il s’est mis en tête de participer à la curée qui entoure la reprise de créances-pourries des banques italiennes « en défaut » (ou en voie de l’être et qui restent nombreuses) et d’identifier dans le tas ce qui peut être récupérable ou non, histoire de gonfler un peu et à terme les résultats de sa « gestion de fonds »…
Pour tout vous dire, il n’y a pas grand-chose, ou alors dans longtemps et en s’obligeant en plus à redevenir « redresseur d’entreprise » opérationnel en infogérance-déléguée, un de « mes métiers », là où les « meilleurs coups » sont déjà réservés !
C’est qu’ils s’y entendent, depuis un an que ça dure, les « requins-ritaux » entre eux en termes de dépeçage, tous prêts pour la curée…
Et puis de toute façon, la décision politique est loin d’être encore prise, suspendue aux résultats du prochain référendum constitutionnel.
Donc y’a finalement pas urgence immédiate.
Du coup, parti en retard, je me suis retrouvé plongé dans les embouteillages autour de Genova et au péage. Deux heures de plus que d’habitude pour poser mon « tas-de-boue-à-roulette » en son parking et je suis arrivé que c’était déjà la fin…

Bon, de ce que j’en retiens, c’est qu’après un premier exercice qui n’avait pas véritablement fait bouger les lignes entre les sept candidats, on pensait que « Bling-bling » aurait été contraint de muscler son discours face au leader des sondages.
Il a fait pire : Il serait le seul à avoir l’expérience de la fonction !
Comme si c’était une grande première…
Et tout le monde de lui rappeler ce qu’il en a fait !
Vlan, dans les dents, même si ça n’a pas été aussi brutal…

À remarquer qu’on lui a manifestement dit de sourire : En fait, il faisait la grimace, un peu moins agité que la première fois, et ne souriait que quand il s’apercevait qu’il était dans le champ de la caméra : Triste sire que voilà…
Et alors, les autres s’en sont donné à cœur-joie, même s’ils se sont faits taclés sur les question internationales (hormis « Juppette » qui a encore pris de l’épaisseur sur le sujet).
« La-Mère » avait trouvé un petit-kamarade qui lui a prêté une cravate (pour une fois…).
« Poison » qui m’avait fait une forte impression au premier round, m’a considérablement déçu à se débattre sur ses saillies réputées « antisionistes-intolérables ».
« Coopé(rétive) » avait l’air d’être là pour se bidonner, s’emmêlant à son tour avec les « Bayroin » et ses mini-pains au chocolat, dont on sait désormais avec certitude qu’il insupporte « Bling-bling » pour l’un (« Bébé-roux ») et sera son premier ministre pour l’autre (« Barre-ointe »).

Je rappelle à l’occasion et en aparté que celui-là est le fils de Michel, haut fonctionnaire, homme d'affaires et grand maître du Grand Orient de France en 1977-1978.
Et comme les chiens ne font pas de chat, si on pousse plus loin la « parentèle », on constatera que ce dernier commence sa carrière comme commissaire de police en Algérie, fonction qu’il occupera ensuite à Lille.
François : Un fils de flic… mais pas seulement.
En 1959, Michel passe aux renseignements généraux. Affecté à partir de 1960 à la direction de la Surveillance du territoire (DST), il devient ensuite sous-préfet à Nogent-sur-la-Seine dans l’Aube (préfecture Troyes, le « fief-politique » du fiston), comme par hasard, puis secrétaire général de ce même département de 1964 à 1971.
François ? Un vrai « fils-de »…

Mais ce n’est pas tout pour le paternel : Par la suite, il occupe la fonction de chef de cabinet de deux présidents de l’Assemblée nationale : le « cousin » Achille Peretti et Edgar Faure.
En 1974, il est nommé à la présidence de la GMF (la mutu des fonctionnaires pour le moins fragile qu’il a plutôt malmenée) puis, en 1985, à celle de la FNAC, après le rachat de celle-ci par la GMF (qui la revendra plus tard : Ce n’est pas son métier…).
La FNAC, c’est l’invention d’un autre « frangin-trois-points », Max Théret, un ancien trotskiste, qui fut aussi un militant de gauche-soce, membre des jeunesses socialistes dès 1931.
La FNAC, conforme à ses idéaux communistes, deviendra un symbole de succès capitaliste coopératif en 1977 pour cadres-sup.
Avant l’arrivée de la gauche au pouvoir, il sera même l’un des financiers du Parti Socialiste de « Mythe-errant ».
En 1988, il apparaît aux côtés de Roger-Patrice Pelat dans le scandale Pechiney comme l’un des initiés ayant acheté des titres de la société Triangle avant l’OPA de la société nationalisée Pechiney sur celle-ci.
À cette occasion, les protagonistes sont surnommés les « golden papys ».
Condamné à 2 ans de prison avec sursis, il est radié de la franc-maçonnerie puis discrètement réintégré plus tard.
Le même persiste et il s’associe à Giancarlo Paretti pour créer MTI et tenter de racheter Pathé. Le Premier ministre « Béret-Go-Voit » l’en empêche en invoquant un « trouble à l’ordre public ».
Un vrai panier de crabes-soces « pas bobo-du-tout »…

Michel, le père de François, c’était aussi un ami personnel de « Jacquou-le-Chi ».
Il meurt le 5 février 1987 dans un accident d'avion à Jakiri, au Cameroun. Son avion s’écrase peu après le décollage de Brazzaville (Congo), où il venait de rencontrer le président congolais Denis Sassou-Nguesso.
Certains en disent que ce crash serait à relier à une campagne d’attentats de l’Iran motivée par le contentieux Eurodif.
Ce n’est pas bien sûr : Il y avait aussi d’autres cadavres dans les placards…
Un type pas « très-clair » en somme.

Avec un pareil génome, « Barre-ointe » n’est même plus ministrable à mes yeux, même s’il l’a déjà été sous « Le Chi » (une autre « frangin-trois-points » mais d’une loge Helvète hard de chez hard en dit-on dans les milieux « bien informés »), puis a remplacé « La-Garde-meurt-et-ne-se-rend-pas » en juin 2011, où il peut attester que les virements du « Grand-emprunt » se sont déroulés conformément aux attentes américaines des « Républicains » du moment, pour solde de tout-compte … qui n’étaient plus aux affaires.
Depuis, il fait les soirées de volupté de « La-Rock », celle qui s’est aimée depuis 20 ans avec le second mari de Véronique (« Sans-son », la voix chevrotante).
En bref, une raison supplémentaire pour écarter définitivement « Bling-bling » de la vie publique de mon pays…

« Juppette » a semblé dominer, de loin et de haut, ces échanges ; « Haine-k’a-Aime » était un peu mieux maquillée, a dû lire mon post sur ce sujet pour s’être interdite de « regarder-par-en-dessous » (enfin, c’est ce que j’ai pu en voir entre deux coups de fil, parce que le marathon de « mon-boss-à-moi » a duré tout le week-end et même sur la route de Roma, nuit et jour) ; « Fifi-le-déchu » m’a semblé dérouler avec sérieux son programme.
Un bon cheval : Dommage qu’il ait été « Premier des sinistres » de « Bling-bling » pendant 5 ans et qu’il en ait fait si peu, ce qui le brûle, le crame définitivement à mes yeux.
Notez au passage qu’il paraît depuis que « Bling-bling » a enfin découvert pourquoi il l’avait nommé et gardé à cette fonction : Il vaut mieux « tare que jamais », n’est-ce pas !

En revanche, j’ai franchement été choqué par tous ses fats s’envoyant des vannes en se tutoyant, s’interpelant par leurs prénoms et se démentant aimablement sans broncher : Attendez, hormis l’intrus-alibi « du Centre » qu’est « Poison », ils sont tous de la même bande politique, se croisent et se recroisent dans les allées du pouvoir depuis des années et des années, puis rue de Vaugirard au siège du parti dans l’opposition et ils arrivent systématiquement à ne pas être d’accord sur la politique qui a été conduite pendant 5 ans, de 2007 à 2012 alors qu’ils y tous  participé activement, et encore moins quant à celle à tenir pour les cinq prochaines années !
Non mais, « Allo, quoi ? Je rêve là ! »
Comme disait mon « commissaire-politique » à moi (dans une autre vie), coco-stalinien-psychiatre-feuj de naissance, « c’est pas un parti politique ; tout juste un club de bridge… » !

Ce qui en passant fait le jeu, consciemment ou inconsciemment, de « Juppette » qui passe au-dessus, puisqu’il a été viré salement par « Bling-bling » du ministère du « Grenelle-de-l’environnement » en 2007, repris pas « Bord-l’eau » à son compte, avant que de revenir « ministre des affaires-étranges-aires » tellement « Couche-nerf » et « Mama » (Michelle-à-l’eau-Marie) avaient mis le boxon au fil du temps…
D’ailleurs, je lui en veux : Il n’aurait pas dû accepter ce strapontin-là, il vaut mieux que ça.
En bref, je ne sais pas si j’ai beaucoup perdu : À vous de me le dire !

Normalement, ce deuxième des quatre débats programmés (un troisième est prévu la semaine prochaine, le 17 novembre, le dernier opposera les deux finalistes avant le second tour) devait débattre autour de l’Europe, l’éducation et la sécurité, avec trois parties (questions d'actualité d’abord et deux parties thématiques).
Les échanges auront été arbitrés par Ruth Elkrief (BFMTV, groupe NextRadioTV d’Alain Weill, celle que j’ai du mal à supporter) et Laurence Ferrari (i>Télé, malgré les grèves des journalistes de sa chaîne appartenant à « Beau-l’orée ») qui n’a rien à voir avec son homonyme « Lolo ».
Et Michael Darmon (i>Télé), pas trop mal avec sa gueule de gendre-idéal ainsi qu’Apolline de Malherbe (BFMTV) qui a été manifestement imbectable : Comment peut-on poser une question et interrompre la réponse dans la même respiration ?
Et à ce jeu-là, de ce que j’en ai vu, « Juppette » a été le meilleur pour aller jusqu’au bout de ses phrases sans s’énerver… 

Une chose à remarquer : Ils ont beaucoup causé, parfois pour ne rien dire sinon des poncifs éculés sur les thèmes à aborder, avec toutefois des points vue finalement très différents (cf. ma remarque ci-dessus sur une famille politique si divergente jusqu’à la décomposition en son propre sein) sans pour autant aborder le troisième thème sur l’éducation…
Là, ils sont tous d’accord pour réformer la réforme, une fois de plus depuis 1968 !
En bref, rien de très remarquable, finalement et il est un peu triste de penser qu’il pourrait en être de même pour le troisième débat, sauf que…

Sauf que l’élection d’hier aux USA éclaircit un peu les horizons et perspectives des uns et des autres.
Même si tout le monde ne verra midi qu’à sa porte.
D’emblée, même sans étude de la société canadienne Filteris dont il a été question lors de mon premier post sur le sujet, il semble que les écarts se resserrent entre les trois premiers (deux ex-premier et un « ex-tout-court »), comme prévu.
Tous les autres ne sont même plus dans la course si tant est qu’ils y étaient vraiment entrés…
« Bling-bling », s’il persiste à faire de la politique-politicienne comme d’une façon de régler ses comptes-personnels, il est cuit et … finira devant les tribunaux rattrapé par toutes ses casseroles.
C’est juste une question de temps et de tempo.
Et un face à face final entre « Juppette » et « Fifi-le-déchu », c’est presque trop facile pour le premier !

Alors que l’idéal pour le pays serait que le premier préside en tuteur du second devenant son premier ministre pour 18 mois, parce que leurs programmes conjoints pourraient vraiment prendre de l’épaisseur.
Et puis « Bébé-roux » pourrait reprendre le flambeau pour la fin de ce quinquennat et prendre une veste pour le suivant.
Mais bon, je prends peut-être mes désirs pour des réalités, puisque ça ne se passera pas comme ça…

À suivre la semaine prochaine.
Puis devant les urnes : J’espère qu’on me laissera faire l’aller et le retour le week-end du 20.
Pas évident en ce moment…

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