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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 7 octobre 2016

Recuites n° 15


Encore quelques-unes

Le fils de Jean-Marc est à table avec ses parents.
« – Papa…
– Tais-toi, on ne parle pas la bouche pleine, » l'interrompt son père.
Il finit son assiette puis demande :
« – Alors, qu'est-ce que tu voulais me dire ?
– Tu avais un asticot dans ta salade. »

Toujours le fils de Jean-Marc qui se fait engueuler :
« – Tu as 7 ans, tu es insupportable », lui dit son père. « Pas une seule fois tu n'as causé le moindre plaisir à tes parents.
– Au moins une fois, papa.
– J'aimerais bien savoir quand ?
– 9 mois avant ma naissance. »

Une dame très myope se promène le soir lorsque, tout à coup, elle se cogne à un réverbère et s'écorche le front.
Avisant une enseigne lumineuse qu'elle croit être celle d'une pharmacie, elle entre dans un sex-shop.
« – Bonsoir monsieur », dit-elle au vendeur derrière son comptoir. « Auriez-vous une petite compresse ?
– Ah non, mais j'en ai une grosse qu'on suce. »

C'est un type qui veut faire du music-hall. Il va voir un imprésario et lui dit :
« – Bonjour, je suis pétomane et je sais chanter la Marseillaise avec mon cul.
– Hmmm… Je demande à voir », fait l'imprésario, sceptique. « Allez-y ! »
Le gars baisse son pantalon, se tourne et… rien ne vient.
Il insiste, insiste…
Et puis, d’un seul coup, PRRRRRT !!!
Il inonde le bureau de l'imprésario d'une chiasse immonde.
Dossiers, contrats, stylos, téléphone, ordinateur, tout y passe : C’est une horreur !
« Espèce de salopard ! » hurle l'imprésario.
« Pfff », soupire le pétomane, « si on ne peut même plus s'éclaircir la voix… »

Dans le couvent des Bénédictines de Sainte-Marie de l'Immaculée Conception, les bonnes sœurs ont une petite basse-cour. Elles y élèvent des lapins, mais le problème, c'est qu'à chaque printemps les femelles se carapatent dans la nature.
Un jour, sœur Marie-Madeleine a une idée :
« – Et si on leur mettait des clochettes autour du cou? Ainsi, on pourrait les repérer plus facilement.
– Excellente idée », lui répond la Mère supérieure. « Allez donc au village à la droguerie et achetez ce qu'il faut. »
Sœur Marie-Madeleine prend son vélo et s’en va chez le droguiste.
Une demi-heure plus tard, elle revient rouge de confusion et sans les clochettes.
« – Ma Mère, si vous saviez ce que m'a dit le droguiste…
– Qu'est-ce qu'il a dit qui puisse vous mettre dans un état pareil ?
– Ben », dit-elle en rougissant de plus belle, « il m'a demandé si j'avais du poil… au cul, sauf votre respect, ma Mère. »
Outrée, la Mère supérieure enfourche son vélo et fonce au village pour tirer les choses au clair.
Elle arrive à la droguerie très remontée :
« Il paraît que vous avez demandé à sœur Marie-Madeleine si elle avait du poil au cul ? » dit-elle, furieuse, au droguiste.
Celui-ci hausse les épaules.
« Et alors ? Elle m'a bien demandé si j'avais des grelots à la pine ! »

« – Tu es coiffeur, Papy ?
– Non, pourquoi ?
– Parce que maman a dit que tu frisais la cinquantaine, et papa que tu allais nous raser tout l'après-midi. »

Jean-Pierre Foucault va se coucher après une journée épuisante.
Sa femme lui dit :
« – Chéri, ce soir je veux que tu me fasses l'amour.
– Non, je suis fatigué.
– Je veux que tu me fasses l'amour », insiste-t-elle.
« – Je t'ai dit non.
– C'est ton dernier mot, Jean-Pierre ?
– Oui, c'est mon dernier mot.
– Très bien, j'appelle un ami. »

Sur le Titanic, un passager demande au capitaine :
« – Quelle est la distance vers la terre la plus proche ?
– Environ deux miles.
– Dans quelle direction ?
– Vers le fond. »

Toujours à bord du Titanic et durant le naufrage, c’est un homme qui repère une chaloupe, la jette à l'eau et s'apprête à sauter dedans.
Alors apparaît le capitaine qui lui crie :
« – Hé ! Qu'est-ce que vous faites ? Il y a encore des femmes à bord !
– Ah ! Ben, si vous croyez que c'est le moment de penser à ça… »

Au cinéma, deux jeunes filles discutent pendant le film.
Jean-Marc, leur voisin proteste :
« – Excusez-moi, mesdemoiselles, mais je n'entends rien du tout.
– Et alors ? » rétorque l'une des deux. « Ce qu'on se dit ne vous regarde pas. »

La femme de Jean-Marc, indignée, annonce à son mari :
« – J'ai dû renvoyer la bonne !
– Et pourquoi donc ?
– Elle nous avait volé cinq belles serviettes de toilette.
– Lesquelles ?
– Celles qui étaient brodées ‘‘Grand Hôtel de Nice’’. »

Un ours et un lapin blanc sont dans la forêt en train de faire caca.
Tandis qu’ils terminent, l’ours dit au lapin :
« – Dis donc, ça ne te gêne pas, toi, d'avoir de la merde qui reste collée aux poils ?
– Ben non », fait le lapin.
Alors l'ours l'attrape et s'essuie avec.

C'est Jean-Marc qui rentre chez lui après le travail.
Sa femme est sortie pour la soirée, il se prépare alors un repas et mange.
Puis il rince la vaisselle et voit un Post-it sur le lave-vaisselle : ‘‘PROPRE MAIS PAS VIDÉ’’.
Alors il vide le lave-vaisselle.
La soirée, se passe, puis il va prendre sa douche, se couche et se colle le Post-it sur le front.

Dans le sous-sol d'une grande brasserie, Jean-Marc entre en trombe dans les toilettes pour dames.
La préposée se précipite derrière lui en criant :
« Oh ! Monsieur, monsieur ! C'est pour les dames ! »
Alors Jean-Marc se retourne, ouvre sa braguette et sort son sexe.
« Et ça, c'est pour qui ? »

À une réunion des alcooliques anonymes, un homme témoigne :
« – Je me souviens de la première fois où j'ai utilisé l'alcool comme produit de substitution aux femmes…
– Et alors, qu'est-ce qui s'est passé ? » demandent les autres.
« Je me suis retrouvé avec la bite coincée dans le goulot de la bouteille. »

Quelques revenues ?
Avec des classiques, déjà repassées dans nos colonnes et d’autres plus originales mais toutes toujours aussi drôles :

Un labrador et un caniche se retrouvent l'un à côté de l'autre dans la salle d'attente d'un vétérinaire. Le labrador demande au caniche :
« – Pourquoi t'es là, toi ?
– Ben … c'est parce que je suis un vrai obsédé sexuel ! Chaque fois que je vois une chienne, je ne peux pas m'empêcher de lui monter dessus, c'est plus fort que moi. Ma maîtresse m'avait prévenu que si je continuais, elle allait me faire castrer. Alors je me suis tenu tranquille pendant une semaine. Mais l'autre jour, j'ai craqué et je me suis tapé la chienne de la voisine… Et toi, qu'est-ce que tu fais là ?
– Moi, c'est pareil. Je suis un obsédé sexuel, tout comme toi. Ce matin, j'arrivais tranquillement dans la cuisine pour manger mon Canigou, quand soudain je vois ma maîtresse à quatre pattes en train de nettoyer le sol en petite tenue. Et je ne sais pas ce qui m'a pris, mon sang n'a fait qu'un tour, je suis arrivé par derrière, je suis monté sur elle et crac ! Je me la suis faite…
– Alors toi aussi, on va te couper les couilles ?
– Non, les griffes ! »
Dans l’originale originelle, si mes souvenirs sont bons, il s’agissait d’un micro-yorkshire-Pocket qui pleurait parce qu’il allait se faire euthanasier et d’un grand molosse danois…

Le curé du village reçoit à dîner l'évêque du diocèse.
La bonne prépare un repas simple mais bon et tout se déroule pour le mieux.
Seulement, après le départ de l'évêque, le curé et la bonne constatent que la louche en argent a disparu… Ils sont très embêtés car seul l'évêque a pu emporter l'objet.
Finalement le curé se décide à lui écrire :
‘‘Monseigneur,
Veuillez m'excuser si vous me trouvez impertinent, mais depuis que vous êtes venu dîner, ma louche en argent a disparu. Je ne dis pas que vous l'avez chipée, mais si par hasard elle est en votre possession, vous seriez bien gentil de me la rendre.’’
Quelques jours plus tard, le curé reçoit la réponse suivante :
‘‘Cher curé,
Je ne dis pas que vous couchez avec votre bonne, mais si vous dormiez dans votre lit, vous y auriez retrouvé la louche’’. »
Dans l’originale, c’est la mère de Jean-Marc, colocataire d’une jeune-fille, qui piège ainsi son fils.

Monsieur le comte soupçonne son fidèle valet de chambre, Firmin, de boire son whisky en douce et d'ajouter de l'eau dans la bouteille.
Pour en avoir le cœur net, il se rend à la ville voisine avec un échantillon de sa bouteille et le confie pour analyse à son ami le pharmacien.
Celui-ci s'exécute et rapidement lui annonce :
« Ton cheval fait de l'albumine. »
Dans l’originale, Le comte, c’était Jean-Marc. Et comme valet, il avait une femme-de-ménage.

Profitant de l'absence de Jean-Marc, son mari, en voyage d'affaires, sa femme a fait venir son amant chez elle.
Et voilà que vers minuit, une clé tourne dans la serrure.
« – Ciel, mon mari ! » s'écrie-t-elle. « Il ne devait rentrer que demain soir… 
– Où est la porte de service ? » demande l’amant en se rhabillant précipitamment.
« – Il n'y en a pas », répond la femme, affolée. « Viens vite dans la chambre du gosse, je vais te cacher dans le placard à jouets… »
Sitôt dit, sitôt fait.
Il était temps, car quelques secondes plus tard, Jean-Marc rejoint son épouse, qui lui dit combien elle est heureuse qu'il ait pu rentrer plus tôt que prévu.
Les lumières s'éteignent, la maison retombe dans le silence.
C'est alors que le petit garçon se lève, va vers son placard à jouets, et frappe à la porte en disant :
« Je voudrais mon nounours. »
Pas de réponse.
« – Je sais qu'il y a quelqu'un. Donne-moi mon nounours.
– Je ne peux pas ouvrir de l'intérieur », murmure une voix étouffée.
– Moi, je ne peux pas dormir sans mon nounours ! Alors donne-moi dix euros.
– Ça va pas ? Petit salaud !
– Bon, je vais chercher papa. Il ouvrira le placard et il me donnera mon nounours…
– Ne fais pas ça, petit salaud ! Attends… »
Et un billet de dix euros glisse sous la porte.
Une demi-heure plus tard, le gosse se relève.
« – Je ne dors toujours pas…
– Je m'en fous !
– Très bien. Je vais chercher papa, et il va me donner mon nounours.
– Fais pas ça, petit salaud !
– Alors, je veux vingt z'euros.
– Tiens, les voilà ! » grommelle l’amant en glissant le billet sous la porte, « mais c'est fini, je n'ai plus rien sur moi. »
Le gamin se recouche et s'endort.
Le lendemain il part à l'école, le mari au bureau, et la femme libère l'amant.
Mais voilà qu'en classe, l'après-midi, le petit garçon a un cours de morale.
Sujet : le chantage. Il en sort livide, en se disant qu'il a fait quelque chose d'épouvantable, et va droit à l'église pour se confesser.
Agenouillé dans le confessionnal, il  commence ainsi :
« Figurez-vous, mon père, que je ne peux pas dormir sans mon nounours… »
Le curé l'interrompt :
« Encore toi, petit salaud ! »
Dans l’originale, c’était nettement plus court et finalement moins drôle…

Bon week-end à toutes et à tous !

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