Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 4 août 2016

Notre « Ami-râle » écrit à son Président de région…


La Normandie-réunie…

Et moi je ferme cet après-midi pour rejoindre Portoferraio, pour une « brève » césure estivale d’un peu plus d’un mois, loin de tout : Prendre un bain de mer à mâtine, en principe dans une eau claire et fraîche, je ne vous raconte pas le plaisir qui m’attend !
Si… si durant 4 heures de route, aucun obstacle ne vient percuter mon « tas-de-boue-à-roulettes », bien sûr.

Il n’empêche, notre « ami-râle » m’a encore surpris : Il écrit à « Herr-Vais-Mort-rein » plaidant pour son projet de « Grand-Clipper normand » et, avec son autorisation, je reprends une partie de son courrier pour vous faire comprendre tout l’indispensable intérêt que ça représente pour « mon pays » (celui que j’aime tant…)

Nous avons passé une partie de la semaine à épiloguer sur les attentats qui secouent la planète, où quelques « fêlés » du neurone versent dans l’horreur indicible.
J’ai tenté de vous montrer que n’avons pas les bonnes réponses, parce que nous avons laissé pourrir une situation de « Grand renoncement » dans nos ékoles, collèges et même lycées et universités : Plus aucune des « valeurs » fondamentales de notre civilisation-occidentale (mais bon, même l’Orient y souscrit jusqu’au-delà de l’immensité du Pacifique…) n’est enseigné dans le cadre de l’ékole-obligatoire.

Que dis-je ? Non seulement elles ne sont pas enseignées, mais elles ne sont même pas effleurées ni encore moins présentées à tous ces futurs citoyens que sont nos gosses (les vôtres aussi, notez bien), mais en plus elles sont vertement critiquées par au moins deux générations d’instituteurs et « professeurs des ékoles » : Non seulement ils n’apprennent plus ni à lire, ni à écrire ni à compter, mais ils sont « assignés » par les pouvoirs politiques et les théories fumeuses des « pédagogues » à œuvrer à l’équilibre psychologique et l’ouverture d’esprit des chères « têtes blondes » qu’il ne faut surtout pas traumatiser par une discipline, pourtant nécessaire pour un travail en groupe, un peu présente…

Et au bout du compte, nos prisons sont archipleines de « déjantés » sans foi ni loi, sans compter tous ceux qui sont remis en liberté faute de place d’accueil, ou qui sont pris en charge par des milieux spécialisés assis sur les dogmes-préconçus, même s’ils sont obsolètes.
De plus une faible frange non négligeable verse dans la violence-absolue, aveugle et suicidaire : Tout leur convient mieux que leur sort réservé dans « la norme » !
Faites-le calcul (mieux que moi) : Notre PIB va (peut-être) atteindre 2.490 milliards d’euros en 2016 (d’après le FMI de « Cri-cri-La-Garde-meurt-et-ne-se-rend-pas »).
Nous nous compterons 67 millions de « résidents » en « Gauloisie-splendide » et estivale.
Autrement dit chacun d’entre vous, jeunes, vieux, femmes, enfants, vieillards, mourants et nouveau-nés, compte donc pour 37.164 €/an de PIB, tous les ans.
En admettant que l’espérance de vie ne soit que de 70 ans, chacun de vous a créé, créera quelques 2,601 M€ de « richesses » : Le prix d’une vie, d’une seule !
En moyenne, bien sûr et en valeur 2016…

Alors on se dit qu’on doit pouvoir investir, au moins un peu, dans des solutions qui évitent les massacres inutiles, autant sur les routes que sur la promenade des anglais.
Et que c’est de la responsabilité commune, notamment à l’égard de nos devoirs incontournables envers l’avenir de chacun, donc des pouvoirs publics.
Et à ce prix-là, un seul des grands-clippers de « l’Ami-râle », ça ne vaut même pas 20 vies épargnées…
De quoi vous faire réfléchir pour ce dernier jour « d’active » (en tout cas, en ce qui me concerne).

Oui, mais pourquoi des clippers de haute-mer plutôt que d’autres solutions éprouvées ?
Eh bien, notamment parce que les « autres » solutions ne sont pas aussi efficaces qu’on le prétend : La preuve par les faits !
Mais celle-ci le serait-elle plus ?
Aucune idée tant qu’on n’aura pas essayé, aurai-je tendance à répondre, même si ça reste largement insuffisant comme argutie.
Je préfère reprendre plutôt ce qu’il en dit lui-même en reprenant les travaux du le docteur Pierre Pennec, un spécialiste, ancien médecin-chef de l’Hôpital de la Roche-sur-Yon qu’il cite dans son courrier.
À vous d’en juger : 

« La navigation en haute mer d’adolescents, et de jeunes adultes, est un puissant moyen de restructuration mentale, et beaucoup de jeunes seraient attirés pas cette activité compte-tenu de l’image de liberté, d’évasion, d’aventure, de risques, d’efforts, de dépassement, qu’elle véhicule.

C’est même une thérapie mise au point au Centre de soins en milieux maritime des Sables d’Olonne.
L'expérience de l'Hôpital Mazurelle, de la Roche-Sur-Yon, qui a fait naviguer 1.500 malades en 10 ans à bord d'un voilier de 12 mètres permet de développer un projet psychiatrique ambitieux avec des grands voiliers en navigations transatlantiques, dans un but thérapeutique, de restructuration mentale, en particulier pour des jeunes sans repère.

Je reprends le texte rédigé par le docteur Pierre Pennec, ancien médecin-chef de l’Hôpital de la Roche-sur-Yon, où nous retrouvons les grands thèmes de responsabilité et d’autonomie dans la pratique thérapeutique. »

EXTRAIT du document intitulé "VOILE EN TÊTE VI", présenté lors des régates de La Rochelle le 24 octobre 1997 :
« …la déstructuration du processus pathologique dont il s'agit ici, est une constante fondamentale de presque toutes les thérapies, aussi bien biologiques et organicistes que psychothérapiques, qu'elle qu'en soit la profondeur. On peut donc placer en hypothèse, que plus on élimine de facteurs environnementaux ayant participé à l'élaboration morbide, ou en ayant seulement témoigné, plus importante est la déstructuration.
Sur ces bases, il a été établi depuis 1962 en Vendée, que les régions naturelles les plus élémentaires étaient la haute mer, le désert, la haute montagne. L'expérimentation s'y est faite depuis cette date, en Mer. On trouve en ce milieu avec le maximum de prégnance, de spécificité, et de pureté, l'Air, l'Eau, le Temps et l'Espace. Tout s'y déroule en outre, au sein d'un groupe restreint permanent.
Les exigences, voire les contraintes de la vie à bord, sollicitent obligatoirement toutes les fonctions psychiques et physiques de la Vie de Relation. Elles nécessitent leur réorganisation, harmonieuse, dans toutes les dimensions de l'Être intégré (psychique, corporel, social, cosmique).
Ce sont peut-être ces caractéristiques dynamiques mais plus sûrement encore l'environnement qui font que le marin se distingue assez nettement du terrien. À cet égard, pour ce qui nous concerne, on insiste généralement sur la présence constante de l'autre dans les activités coopératives indispensables, qui stimulent grandement la socialité inhibée ou négativée du patient.
Une différence est à faire entre la simplicité extrême de la structure de l'environnement en haute mer et la proximité persistante des éléments de la vie habituelle dans la navigation côtière, en se souvenant que le maximum de dépouillement environnemental sollicite en réaction un maximum de fonctions physiologiques fondamentales.
La relativité du temps devient aussi très vite dans ce contexte, une évidence pour tous. Le cosmos s'impose comme seul recours pour l'évaluation de la durée. Mais outre cette temporalité sidérale, il faut intégrer aussi celle du bord, rythmée par les impératifs de la navigation (quarts) et de l'inévitable vie du groupe (repas, sommeil).
La durée optimale de l'épreuve thérapeutique interroge inévitablement dès les premières étapes de l'expérience. Plusieurs années de réflexion nous amènent à penser que l'unité utile de temps thérapeutique est le mois. Si l'on dispose de moins de temps tout reste possible cependant, il suffit alors d'adapter, peut-être de répéter les croisières ou de prolonger le "rêve du voyage".
La temporalité maritime, marquée de ses particularités, n'est pas un temps suspendu dans le cours de la vie. La croisière nécessite une préparation avant l'embarquement, dans un sas institutionnel, à terre si possible, où se retrouvent tous les participants, soignants et soignés.
Au retour on ménage symétriquement un temps de restitution pour l'évaluation, les bilans individuels et collectifs, les projets, les suites du programme collectif, et de chaque programme individuel.
Nous avons pu noter, sans équivoque possible, que même après vingt ans, le groupe marin ainsi formé, perdure et se reconstitue spontanément. Chaque patient reste en effet très marqué par l'expérience vécue et parle à son propos de "bout du tunnel", de "temps de normalité", de "ciel bleu dans l'enfer". "Quand repartons-nous ?" devient un leitmotiv.
Il est souhaitable qu'il s'agisse toujours d'un "voyage de rêve", qui remplit spontanément l'imaginaire pendant le temps de préparation (images, sons, lectures, récits) et qui se retrouve à l'identique, ensuite, dans la réalité du concret.
Cette expérience, d'une grande intensité vécue, appelle la critique, voire l'autocritique de l'imaginaire délirant. Il y a là un support psychothérapique utilement exploitable pendant de nombreuses années.
À travers leurs multiples expériences, les équipes soignantes insistent toujours sur l'importance de points particuliers, notablement répétitifs, sinon constants :
- La responsabilisation : l'homme de barre sent peser sur lui la charge de la vie de tous les passagers, et retrouve un niveau de vigilance et d'attention depuis longtemps oublié.
À l'inverse de la situation thérapeutique habituelle, c'est, ici, le patient qui contrôle : le pouvoir change de camp.
On a même pu dire que dans les cas les plus remarquables d'implication du sujet dans la situation de navigation, la folie l'avait déshabité. Sans doute parce qu'elle n'a plus de sens alors, ni plus de place dans cette nouvelle économie existentielle. Le choix est clair dit-on souvent avec insistance : vivre, ou parler son délire…, ou barrer !!
- Le plaisir, en contrepoint de l'angoisse ou de la peur, se décline sous toutes ses formes pendant le voyage et surtout après. Il constitue un des piliers de la thérapeutique de restructuration. Nul ne le conteste dans le milieu maritime des soins qui rejette massivement le dolorisme comme philosophie fondatrice du soin et de la santé.
La mer et le bateau suscitent des déferlements fantasmatiques universels. Leur puissance, que vérifient les investissements démesurés, imaginatifs ou tangibles, ne peut laisser insensible le thérapeute toujours à la recherche d'une plus grande efficacité. En ces lieux sont accumulées les énergies des origines, archaïques, qui fondent le vivant tout entier et l'humain notamment.
Cette puissance, ainsi mobilisée, n'a guère d'équivalent pour se mesurer, s'opposer, se substituer aux monstruosités envahissantes de l'univers intérieur dans les déviations pathologiques de la réalité objectale… »

Et là, on parle de vrais-malades, de réelles souffrances…
Même pas de primo-délinquants ou de « proto-cinglés » en voie de radicalisation.
« L’Ami-râle » reprend la présentation du projet à son Président de région :

« Si l’expérience de l’Hôpital Mazurelle a été destinée à une population spécifique, celle des personnes en souffrance mentale, elle a permis de définir une pratique et une théorie qui permet d’extrapoler ce type d’action restructuratrice à des publics présentant aussi des handicaps, comme les jeunes marginalisés ou les toxicomanes.
Et il y a fort à faire, car les besoins sociaux sont importants.

Le développement du terrorisme dans notre pays nécessite d’aller au fond des choses et d’envisager toutes les hypothèses. Si des solutions radicales sont indispensables comme créer des centres pénitenciers de haute sécurité pour des incarcérations à vie de tous les individus ayant commis des attentats - ils ont fait le choix d’être des ennemis publics, et il faut les traiter comme des ennemis publics - il n’en est pas moins nécessaire d’envisager des solutions humaines pour ceux qui sont en marge de la société et la navigation en haute mer est une solution intéressante.

Ce type de thérapie pourrait aussi être recommandé pour nos soldats qui souffrent du syndrome de stress post-traumatique de guerre.
Car à côté de nos blessés physiques, il y a nos « blessés psychiques ». Vous connaissez bien sûr le sujet de par votre position d’ancien ministre de la défense. Il y a peut-être quelque chose à faire de ce côté-là.

Ce projet de construire un grand voilier-école intéresse TOUS LES JEUNES comme les lycéens, les étudiants des grandes-écoles, des IUT, des facultés, les écoles professionnelles. Il doit être, de plus, accessible aux handicapés comme c’est le cas avec le « Lord Nelson » du Jubilee Sailing Trust.

Peut-on choisir un meilleur exemple éducatif de « vivre ensemble », de fraternité ?…

D’autre part, le fait de naviguer entre des ports français et européens permet aux jeunes de découvrir les régions maritimes européennes, et cela me semble au moins aussi important que l’action de formation humaine, l’apprentissage de la liberté, de la responsabilité.
Ainsi, on peut même envisager la création d’un « Erasmus maritime » qui permettrait d’embarquer pendant plusieurs semaines des étudiants de plusieurs nationalités sur un même navire, tout en incluant cette expérience dans leur formation universitaire. »

Jusque-là, une solution qui n’a jamais été prise en compte pour tous ces jeunes (et moins jeunes) en perdition.
Il faut dire qu’un mois en embarquant 80 personnes seulement, sachant qu’il n’y a que 12 mois dans une année, l’expérience ne concernerait que quelques 960 personnes par an, au mieux 9.500 en 10 ans et par navire…
La route sera longue !

Je vous invite à vous reporter à ce texte :
Pour ma part, j’en fais mon beurre puisque je pars « caboter » un mois durant.
Non pas en « isolement » tel un ermite en méditation, mais justement « en ouverture » sur des « bouts du monde » que je ne connais pas encore.
Car, et c’est là le paradoxe, un navire, c’est un monde clos, comme d’une prison, mais ouvert à toutes les côtes.
Magique en somme !

Demain un petit post pour saluer la planète des terriens (et surtout mon départ) et puis la suite des aventures de « Charlotte » en non-stop jusqu’à mon retour : C’est déjà programmé ! Plus besoin de ma présence devant un clavier : Les robots veillent (ils ne dorment jamais) et prennent le relai.

Bien à toutes et à tous.

I3

7 commentaires:

  1. Merci encore de nous rendre un peu moins bêtes grâce à vos analyses.

    Dans l'intervalle, je vous souhaite de belles pérégrinations en bord de terre...
    Faites quand même attention aux sirènes !
    Et s'il vous fallait une lecture entre 2 mouillages, je vous conseille cette trilogie de Marc DUGAIN qui démarre avec "l'Emprise". Très bien écrit, le rapport à notre réel est avéré. En + y figure le patron de la DGSI, un corse haut en couleur.
    A bientôt...
    ComtesseÔPiedNu

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci aimable comtesse !
      Allez savoir, je vous croiserai peut-être en qualité de sirène...

      Quant à vous rendre "un peu moins bête", désolé : Je ne sais pas si je sais faire.
      En revanche, pour moi le champ de mes incompétences se réduit au fil du temps et des posts (pas tous, mais quand même) : C'est finalement un blog-narcissique, que j'en dis, à usage perso.
      Mais pas seulement.

      Si vous faites allusion "au squale", celui qui s'est fait volé son flingue sur un ferry-corse il y a quelques années à l'occasion d'un "retour aux sources", je vous signale qu'il s'est fait viré.
      C'est un dénommé "Caviar" (non : Calvar !) qui est désormais à la tête du service.

      Quant à mes lectures, (merci de vouloir me "culturer") à part les cartes marines et météos, les éphémérides et l'écran du GPS marin, j'emmène quelques dossiers en souffrance et une fois de plus un traité de droit douanier et un autre de droit financier : J'espère revenir un peu moins kon après ça.
      Si je reviens, naturellement (rapport aux "sirènes").

      Quoique là, je fais aussi escale en Balagne, histoire de retrouver MA méduse annuelle, qui revient me guetter pour un baiser torride et de feu tous les ans depuis des années.

      Bref, à suivre !

      Bien à vous.

      I-Cube

      Supprimer
  2. Merci pour la reprise !...

    On peut aussi ajouter que si la Normandie décide de lancer des études pour la construction et l’armement d’un grand voilier-école, on peut espérer que la Bretagne fera de même !...
    Et deux voiliers à construire c’est 15 % d’économie à la construction et les frais d’armement sont eux aussi réduits : trois équipages pour deux navires au lieu de deux équipages pour un seul navire.

    Pas mal le rapprochement avec le PIB national !...
    Le PIB de la Normandie est de 90,4 milliards d’euros pour 3 328 364 habitants, soit 27.160 euros par habitant.
    Et en 70 ans chacun créera 1.901 M€ de richesse.
    Effectivement, la richesse créée par une vingtaine de citoyens correspond au prix d’un grand voilier-école comme le « Stad Amsterdam », de 60 mètres au pont, qui a été construit pour le Millenium et dont le sistership, le « Cisne Branco », est le voilier-école de la Marine Brésilienne.
    Le « Stad Amsterdam » embarque 60 passagers pour des croisières luxueuses, et le « Cisne Branco » pour le même nombre de cadets de la Marine.

    Notons que la Haute et la Basse-Normandie représentent à elles seules quatre fois les PIB de la Lettonie.

    Il faudrait, bien sûr, beaucoup de voiliers pour arriver à satisfaire les besoins !...
    Mais il faut déjà commencer : voir comment c’est pris par le public, par les jeunes, par les contribuables, les entreprise, etc…

    C’est vraiment un projet de longue haleine.
    Quand on voit que « l’association du Grand voilier-école » a mis trois ans et demi pour faire un « business plan » et contacter un architecte naval...
    Ils se sont fixé 2019 pour le début de l’exploitation du navire.

    Malgré tout, le plus important, c’est de demander aux jeunes concernés ce qu’ils en pensent !...
    Avec un peu de chance la Normandie va s’en charger !...

    Bien à vous !...

    Haddock

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Repris sur « Alerte éthique » et « Euroclippers »
      http://euroclippers.typepad.fr/mon_weblog/2016/08/notre-ami-r%C3%A2le-%C3%A9crit-%C3%A0-son-pr%C3%A9sident-de-r%C3%A9gion.html
      http://euroclippers.typepad.fr/mon_weblog/2016/08/notre-ami-r%C3%A2le-%C3%A9crit-%C3%A0-son-pr%C3%A9sident-de-r%C3%A9gion.html

      Je n’ai plus qu’à vous souhaiter « Bonne route et bon vent !...» pour vos vacances.
      Pour moi ce sera en septembre en Grèce.

      Bien à vous !...

      Haddock

      Supprimer
    2. Merci à vous !

      Et vous, portez-vous bien, SVP.

      Mes hommages matinaux à Madame !

      I-Cube

      Supprimer
  3. Il faut faire attention aux six reines? Pourquoi six? Parce que la septième est réservée au repos dominical, celui du guerrier?

    RépondreSupprimer