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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 8 août 2016

Laudato si… (XVI)


Seizième chapitre : Le « au jour le jour »

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !

Dimanche 5 août : Paul rentre à San Francisco, par le premier vol Doha-Londres, Londres-New-York en Concorde et New-York-San Francisco en DC 8 plein, comme un œuf à deux jaunes !
Maintenant, il sait ce qu’il n’aurait jamais appris autrement qu’en se rendant sur place, à l’époque des évènements grâce à son MIB, George.
En revanche, il ne sait plus du tout ce qu’il doit en conclure ni ce qui l’attend…

Des évènements qui se poursuivent, car pendant ce temps-là, les télévisions du Golfe diffusent un appel du cheikh Jaber, en exil en Arabie Saoudite, dans lequel il demande à son peuple de « résister à l'occupation irakienne » affirmant que « le Koweït n’est pas seul dans sa lutte ». 4 membres de la famille royale koweïtienne sont déjà arrivés en exil à Londres, à bord d'un avion en provenance de Dhahran.
Des avions militaires koweitiens ont bombardé au matin le siège du commandement des forces militaires irakiennes à Koweït, situé à Jahra dans la capitale koweitienne.
À Koweït-City, où le calme semble revenu, on vit dans l’inquiétude, ce qui contraste avec l’activité de toutes les chancelleries.
La rue commerçante Fahd As-Salam est rouverte à la circulation automobile. Des soldats irakiens gardent les entrées des ministères, des banques et de l’ancien parlement, mais le couvre-feu a été partiellement levé dimanche.
Les grands magasins, eux, gardent leurs rideaux baissés.
Quelques épiciers proposent des aliments de base à des prix prohibitifs.
Dans la proche banlieue, les forces irakiennes interdisent l’entrée d’un quartier résidentiel.
Il semble bien que l’armée irakienne s’apprête à rester longtemps au Koweït, en changeant de nom pour sauver les apparences. Impression confirmée par l’annonce, dès la formation du « gouvernement provisoire », de la mise sur pied immédiate d’une « armée populaire » forte de 140.000 volontaires.
À Bagdad, Saddam Hussein annonçait le rappel de 850.000 réservistes et la création de 11 nouvelles divisions.

35 conseillers militaires britanniques arrêtés au Koweït sont emmenés à Bagdad où ils sont détenus dans un hôtel en otage en attendant les résultats des négociations entre Saddam Hussein et Margaret Thatcher.
Le gouvernement « provisoire » koweïti envisage aussi « la rupture des relations diplomatiques avec les États qui adopteraient des positions hostiles, dont certains régimes arabes corrompus qui soutiennent le régime déchu ». Il a enfin sommé les diplomates koweitiens à l’étranger de collaborer avec lui, faute de quoi, ils « pourraient être révoqués et leurs biens saisis ». 

La Chine annonce qu'elle se joint à l'embargo militaire international.
Le Ministère de la Défense française envoie un message à la frégate Dupleix, croisant en Méditerranée orientale, lui ordonnant de changer de cap. Destination : le Golfe. L'équipage, en état d'alerte, doit se préparer à sa première mission en temps de crise depuis 1985...
La Grande-Bretagne annonce l’envoi immédiat de 2 frégates dans le Golfe et a déclaré qu'elle participerait à tout blocus contre l'Irak.
Un émissaire de Saddam Hussein, Taha Yassin Ramadan, se rend à Ankara pour mettre en garde le président turc, Turgut Ozal, contre la fermeture de l'oléoduc irakien qui passe par son pays.
Le Japon suspend de son côté ses relations commerciales et financières avec l'Irak.

Lundi 6 août : l’Irak menace l'Occident et le sort des Occidentaux retenus dans le Golfe inquiète. « Les États qui auraient recours à des mesures de représailles contre le gouvernement du Koweït libre et contre l'Irak frère devront se rappeler qu'ils ont des intérêts et des ressortissants au Koweït ». Les forces irakiennes se sont d'ailleurs emparées de 28 ressortissants américains dans divers hôtels et les ont fait monter dans des bus, avec des Britanniques, vers une destination inconnue. Parmi eux se trouvaient des passagers du vol de la British Airways faisant escale à Koweït-City le 2 août. Le 4 août déjà, 35 conseillers militaires britanniques au Koweït avaient été arrêtés et emmenés à Bagdad. Certains Occidentaux (américains, britanniques et ouest-allemands pour la plupart) sont rassemblés dans des endroits stratégiques, alors que 4 Suédois et un Finlandais ont été autorisés à quitter le Koweït.
Selon l’ambassade des Philippines à Bagdad, des ouvriers philippins ont également été arrêtés (ils sont 45.000 au Koweït, 700 d’entre eux se sont réfugiés à leur ambassade).

La France fait part de sa « vive préoccupation » en ce qui concerne ses ressortissants, dont 72 d'entre eux étaient des passagers du Boeing de British Airways...
Joseph Wilson, chargé d'affaires américain à Bagdad, rencontre Saddam Hussein pour aborder ce point. Le Raïs charge le diplomate de transmettre un message à son président : l’Irak est en mesure d'assurer sa souveraineté et « sa disposition au sacrifice est à son plus haut niveau, en dépit de toutes les pressions et menaces ». Cependant, le Raïs souhaite garder des « relations normales » avec les USA « sur la base d'un respect mutuel », tout en assurant qu'il ne souhaite pas envahir l'Arabie Saoudite. Le Koweït lui suffirait... 

Réuni de toute urgence, le Conseil de sécurité de l'ONU vote par 13 voix pour et 2 abstentions (Cuba et le Yémen) un embargo contre l'Irak. La résolution est contraignante pour les 170 membres de l'ONU. Ils devront empêcher tout contact économique avec l'Irak et le Koweït jusqu'au retrait total des troupes irakiennes. À l'origine de cette résolution, un projet américain dont ont discuté pendant tout le week-end, dans les bureaux de la mission française à New York, les membres permanents du Conseil (USA, Chine, URSS, Grande-Bretagne et France). C'est la 3ème fois depuis sa création en 1945 que le Conseil de sécurité décide une telle résolution. La 1ère fois, c'était en 1965 contre la Rhodésie. La 2ème en 1977, contre l'Afrique du Sud.

L’agence de presse turque Anatolie affirme que Bagdad a décidé de fermer dès hier, à partir de 17 heures locales, un des 2 pipe-lines traversant la Turquie vers le terminal pétrolier de Yumurtalik, près d’Adana, sur la Méditerranée. 

Accompagné d'une nuée d'experts du Pentagone, Dick Cheney, secrétaire américain à la Défense, arrive à Riyad pour y rencontrer le roi Fahd. L'armée américaine souhaite obtenir l'entière collaboration du royaume saoudien, mais surtout un accès aux pistes d'aviation et aux installations navales du royaume wahhabite. Pour cela, Cheney informe le roi d'Arabie de l'étendue des préparatifs militaires irakiens. Les dirigeants saoudiens prennent conscience de la fragilité de leur pays face à la puissance militaire irakienne et donnent leur accord. Mais à une seule condition : les Américains ne doivent pas installer de bases militaires permanentes sur le territoire saoudien. En attendant, les Américains restent vagues sur leurs intentions. « Quand la nécessité se fera sentir, nous voulons avoir toutes les options disponibles », explique un haut responsable.

La crise du Golfe déclenche l'effondrement de la plupart des places boursières internationales. La bourse de Tokyo chute de 3,1 %. Elle est suivie quelques heures plus tard par les places financières asiatiques et notamment celle de Hong-Kong qui affichait une baisse de 7 % à l'ouverture. La bourse de Paris, à l'image de New York, Londres ou Francfort, chutait de plus de 7 % quelques heures avant la clôture des cotations. Elle a finalement perdu 5.1 % en une seule journée. Quant au dollar, il est à son cours le plus bas depuis 7 ans : 5,28 F (0,80 €) !

Le repli irakien annoncé devient d’autant plus douteux que l’on signale, dans la nuit de dimanche à lundi, une intense activité aérienne sur les aéroports militaires entourant Riyad (où le secrétaire d’État américain à la Défense, Dick Cheney, est arrivé hier), les milieux pétroliers soulignant que celle-ci renforce ses positions près de la frontière koweitienne. À Khafji, ville du nord-est du pays dont le port accueille des petits pétroliers et des cargos, des techniciens du pétrole signale que « de nouvelles troupes saoudiennes, mais pas de véhicules lourds » arrivent dans la région afin de consolider la protection de champs pétrolifères exploités par la compagnie Arabian Oil. Selon les mêmes sources, une partie des forces irakiennes d’invasion se sont redéployées à environ 15 km de là.

Une frégate soviétique de type Oudaloï est signalée au large de Dubaï faisant route vers le Golfe. Elle est accompagnée de 2 navires ravitailleurs.
Les stages de la dizaine de pilotes irakiens travaillant sur les bases aériennes françaises, sont suspendus par le Quai d'Orsay. De son côté, l'armée française envoie un 3ème navire de guerre dans le Golfe.
Des  bombardiers américains F-111, habituellement basés en Grande-Bretagne, arrivent en Turquie sur la base aérienne d'Incirlik.
L'armée israélienne annonce la distribution de masques à gaz à la population. En fait, cette mesure était prévue de longue date.

Mardi 7 août : Non content de n'avoir fait qu'une bouchée du Koweït et de l'avoir officiellement annexé, Saddam Hussein, désormais, menace directement l'Arabie Saoudite.
L'alerte est donnée par les satellites espions du Pentagone qui, survolant le Golfe, ont photographié 4 divisions irakiennes, soit environ 70.000 hommes, appuyées par des blindés, en train de foncer vers la frontière entre le Koweït et l'Arabie Saoudite.
Informé dans la nuit de ces mouvements de troupes irakiens, George Bush, arguant d’une « menace irakienne imminente » contre les « intérêts vitaux de l'Occident », vient d'ordonner l'envoi dans la région de forces navales, terrestres et aériennes, dont la célèbre 82ème division aéroportée qui se distingua en 1944 en Normandie.
« Nous ne sommes pas en guerre », annonce-t-il ce matin-là à ses concitoyens, « mais nous avons tracé une ligne dans le sable. Cette ligne, Saddam Hussein la franchira à ses risques et périls. »
Ce sera l’opération « Bouclier du désert » !

Un avion en provenance de Bagdad atterrit à Amman avec à son bord les premiers otages libérés : 73 touristes japonais et d'autres étrangers. Selon le département d'État américain, 39 Américains sont toujours retenus dans un hôtel de Bagdad. 12 d'entre eux ont été arrêtés la veille au Koweït. Pourtant, les autorités irakiennes se veulent rassurantes. Elles expliquent en effet au chargé d'Affaires français à Bagdad, André Janier, que tous les étrangers bloqués au Koweït pourraient partir dès la réouverture de l'espace aérien, « dans quelques jours »...
Le porte-avions Saratoga, le croiseur Wisconsin et le porte-hélicoptères Inchon quittent les USA pour le Golfe. Le porte-avions Eisenhower basé en Méditerranée fait route vers la Mer d'Arabie via le canal de Suez, avec l'autorisation de l'Égypte. Pendant ce temps, le porte-avions américain Independence, accompagné de 8 navires escorteurs et de 4 bâtiments auxiliaires, stationne à l'entrée du Golfe.
Pour faire face à la hausse inquiétante du prix de l'essence, le ministre français des Finances, annonce qu'il va plafonner par décret « les prix de l'ensemble des produits pétroliers, en particulier l'essence vendue à la pompe ». Son objectif est d'éviter d'éventuels « dérapages » et de protéger les consommateurs contre des prix abusifs.
Cette mesure est exceptionnelle et c’est la 2ème depuis 1986 où l'État fixe ainsi des prix plafonds.
Le gouvernement belge décide le rapatriement immédiat de 50 de ses ressortissants en poste en Irak et au Koweït et renforce ses dispositions à l'encontre de l'Irak, comme le demandent la CEE et l'ONU.
Moscou appelle Washington à la prudence, estimant que les pays arabes pourraient se retourner contre eux en cas d'intervention militaire.
La frégate française Dupleix franchit le Canal de Suez et fait route vers le Golfe où elle doit rejoindre 2 avisos de la Marine française déjà sur place.
L'Arabie Saoudite ferme l'oléoduc passant par son territoire, qui amène le pétrole irakien jusqu'à la mer Rouge. Le roi Fahd cède ainsi aux exigences américaines, quand Dick Cheney lui a demandé de choisir son camp.
La Turquie décide à son tour de fermer le 2ème oléoduc irakien passant sur son territoire. Elle a décidé d'appliquer à la lettre toutes les décisions de l'ONU concernant les sanctions de l'Irak.

Les premiers soldats américains du « Bouclier du Désert » arrivent en Arabie Saoudite, essentiellement autour de Dhahran, la zone pétrolière de la côte Est. Le contingent américain est surtout composé de parachutistes de la 82ème Airborne. Près de 5.000 soldats ont déjà été amenés d'Amérique par des avions de transport C-5A Galaxy, et 140 F-15 et F-16 ont décollé des USA à destination de l'Arabie.
Pour la première fois de son histoire, la Suisse décide, malgré sa légendaire neutralité, d'appliquer toutes les sanctions de l'ONU contre l'Irak.
L'URSS annonce que tous ses ressortissants devraient être prochainement évacués par mer sur Dubaï.

Mercredi 8 août : les USA lancent l'opération « Desert Shield » pour protéger l'Arabie Saoudite, vulnérable face à l'armée irakienne. George Bush informe la presse que des troupes seront envoyées rapidement dans le Golfe pour « prendre des positions défensives » et « assister les Saoudiens dans la défense de leur patrie ». Et il définit par la même occasion 4 principes qui guident cette décision : le retrait total et sans conditions des troupes irakiennes du Koweït ; la restauration du gouvernement légitime de l'émirat ; la sécurité et la stabilité dans le Golfe, essentiellement pour l'approvisionnement pétrolier ; et la protection de la vie des ressortissants américains à l'étranger.
Le plus grand déploiement de forces depuis la guerre du Viêt-Nam débute...

Alors qu'à Bagdad des milliers d'Irakiens célèbrent la « fusion totale et irréversible » de leur pays avec le Koweït, Londres, accepte de se joindre à la force multinationale souhaitée par le président américain. Le croiseur York, qui patrouille déjà dans les eaux du Golfe, sera bientôt rejoint par 2 frégates de la Royal Navy, le Jupiter et le Battle axe. Margaret Thatcher annonce également la constitution d'une force aérienne, composée entre autres d'intercepteurs Tornado F-3 qu’elle enverra en Arabie Saoudite et d'un escadron de chasseurs Jaguar qui stationnera dans un autre pays du Golfe.
Les bataillons d'élite SAS (Special Air Service) pourraient également être sollicités.
Plusieurs pays européens, parmi lesquels la RFA, l'Espagne et l'Italie, accordent au gouvernement américain des facilités pour l'utilisation de bases militaires sur leur territoire.
Des soldats irakiens tirent sur un groupe d'environ 35 femmes qui manifestaient à Koweït-City contre l'annexion irakienne de leur pays. 2 femmes de 25 ans sont tuées ainsi que 2 adolescents de 13 et 16 ans, qui ont reçu respectivement une balle dans la tête et dans le cœur.

Jeudi 9 août : le président égyptien Hosni Moubarak propose l'envoi d'une force d'interposition arabe qui se déploierait entre le Koweït et l'Arabie Saoudite. Il se dit également prêt à envoyer des troupes en Arabie si celle-ci le demande, ce qui ne signifie pas la participation à une force multinationale.
Lors de sa conférence de presse, le Président français annonce le départ du Clemenceau pour le Golfe dans les 72 heures. Il emportera dans ses cales, pour cette mission baptisée « Salamandre », des hélicoptères de combat armés de missiles antichars ainsi que 1.920 hommes d'équipage, dont 112 officiers et 782 officiers mariniers, rattachés au 5ème RHC et à une compagnie du 1er RI.

Les autorités irakiennes ordonnent le transfert à Bagdad, avant le 24 août prochain, de toutes les ambassades étrangères au Koweït et ferme ses frontières aux étrangers.
La RFA estime possible l'envoi en Méditerranée de navires de guerre pour y remplacer les bâtiments de l'OTAN partis pour le Golfe.
L'URSS affirme de son côté ne pas exclure l'envoi d'un contingent soviétique dans le Golfe dans le cadre d'une force de l'ONU.
La Turquie reconnaît le renforcement des troupes américaines sur son territoire.
L'exode des Britanniques vivant en Arabie Saoudite s'accélère. Sur les 25.000 résidents britanniques, près de 700, surtout des femmes et des enfants, ont quitté le pays en l'espace de 24 heures.
Des chars saoudiens, canon pointé vers la mer, sont postés tous les 500 mètres sur les 100 km de rivages précédant Khafji.
Le président George Bush téléphone personnellement à plus de 60 chefs d'État et de gouvernement en quelques jours, avec comme but de leur faire prendre une position commune, afin qu'en cas de confrontation, Saddam Hussein, ait en face de lui le monde entier et non pas seulement les USA.
À Genève, des Koweïtiens qui ont pu s'enfuir de l'émirat et rejoindre la Suisse ont déclaré que les forces d'occupation irakiennes se livrent à des viols, des pillages et des arrestations massives.
Les Émirats Arabes Unis demandent l'aide militaire de la France en prévision d'une éventuelle nouvelle invasion irakienne.
Yasser Arafat rencontre Saddam Hussein. Mais en prenant le parti de l'Irak contre un bon nombre de pays arabes, l'OLP fait un pari risqué...

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