« Brexit » et ultimatum Écossais.
Attentat de Nice : Je digère, je digère, encore et encore.
Et puis j'ai fait un tour à Monaco, pour y respirer l’atmosphère dans cet îlot de
prospérité multiculturel et multicultuel…
Le plus
surveillé de la planète, rappelle-je : ça aide.
Oui, quid d’un
attentat, quel qu’il soit, sur « le Rocher » ?
« Bling-bling »
m’a écrit, « Juppette » également, et j’attends encore d’autres
contributions avant de vous en reparler.
Aujourd’hui, je
préfère vous causer de ce qui me fait rigoler doucement : Le cas de l’Écosse,
coincée entre son refus de quitter l’UE, son précédent référendum raté sur son
indépendance et le jeu de l’article 50.
Ce dernier, c’est
certain, va être mis en œuvre avant la fin de l’année. À condition de démêler
la pelote de nœuds écossaise avant…
En effet, la
première ministre écossaise, Nicola Sturgeon (pas le poisson), propose désormais
que l'Écosse fasse partie de l'UE et du Royaume-Uni après le Brexit décidé par
l’électeur britannique.
Une option
inspirée du statut du Groenland vis-à-vis du Danemark.
Un schéma qui
devrait inspirer également les autorités Gauloises vis-à-vis des aspirations
corses, légitimes ou non, qui fleurent bon les cas particuliers des territoires
ultra-marins, Gaulois certes, mais tout autant britanniques et encore d’ailleurs.
Soyons
sérieux, ça existe déjà, alors pourquoi réinventer l’eau tiède ?
La cheffe du
gouvernement écossais, maintient sa pression sur Londres. Vendredi 15 juillet,
la nouvelle première ministre britannique Miss Theresa May (comme le mois du
même nom), s'est rendue à Édimbourg pour la rencontrer.
Soi-disant un
geste d'apaisement envers l’Écosse qui, le 23 juin, a voté à 62 % pour le
maintien dans l'Union européenne, alors que le Royaume-Uni dans son ensemble a
voté à 52 % pour une sortie de l'UE.
En fait, une
urgence avant de déclencher la procédure de l’article 50.
À l'issue de
cette rencontre, la première ministre londonienne s'est engagée à ne pas
utiliser l'article 50 du traité de l'UE, qui permet d'en sortir, avant d'avoir
défini une position « britannique » sur la stratégie à mener : CQFD !
Autrement dit
avant d'avoir intégré dans la position du gouvernement celle des autorités des
trois nations autres que l'Angleterre (qui ne dispose pas d'autorité propre),
et plus particulièrement de l'Écosse.
Pour l’écossaise,
cet engagement est important : Il donne de fait une forme de droit de veto à l'Écosse
sur l'article 50, ce qu'elle a volontiers reconnu implicitement. Un droit qui,
s'il ne lui permettra pas de stopper le Brexit, lui permettra de dicter ses
conditions à l'UE – pressée d'ouvrir les négociations – et sur le gouvernement
britannique – qui s'est engagé à réaliser le Brexit.
Ainsi, grâce à
l’anglaise, Holyrood, le siège du pouvoir écossais, dispose désormais d'un
nouveau moyen de pression inattendu qui tiendra le temps d’une saison.
Elle a aussi
reconnu ne pas exclure une solution où l'Écosse pourrait demeurer à la fois
dans l'Union européenne et dans le Royaume-Uni, alors que le reste de ce pays
ne serait plus dans l'UE.
C’est LA solution
évoquée depuis le 23 juin et est inspirée de certains précédents, comme celui
du Danemark et du Groenland.
Souvenez-vous,
en 1983, les habitants du Groenland, territoire autonome danois, avait demandé
à sortir de l'UE suite à des querelles sur des zones de pêche.
Qui avait
également perturbé ses relations avec l’Islande voisine et justement les ports
écossais.
En 1985, la
grande île avait ainsi quitté l'UE formellement, alors que le Danemark y
restait et que le Groenland continuait à faire formellement partie du royaume
nordique.
Depuis, les
autorités de Nuuq, la capitale du Groenland, ont gagné de plus en plus
d'autonomie.
Seule la
politique étrangère, particulièrement celle relevant de la défense, reste
l'apanage exclusif de Copenhague.
Pour le reste,
le pouvoir danois n'a plus guère son mot à dire dans la politique groenlandaise,
même s’il persiste « à payer » encore un peu.
Ceci a permis
d'éviter l'indépendance du Groenland, mais cette province est clairement de
plus en plus étrangère au Danemark.
Pour le
royaume nordique, cet abandon de l'idée indépendantiste (qui revient parfois,
cependant, lors des élections) a un prix élevé : Le Danemark finance en effet encore
une partie des dépenses publiques de Nuuq et le Groenland envoie 2 députés sur
les 179 du Folketing, le parlement danois, qui participent en théorie à la
définition de la politique danoise.
Un schéma du
même type pour l'Écosse serait-il pensable ?
Vraisemblablement,
même si dans le cas danois c'est la « métropole » qui est dans l'UE, et ici ce
serait la « province ».
L'Écosse
appartiendra à un ensemble plus grand que le Royaume-Uni, ensemble que ce pays
a clairement rejeté.
Dès lors, on
peut imaginer que la cohabitation s'annonce complexe : L’Écosse sera plus
faible dans le Royaume-Uni, mais pourra s'appuyer sur un ensemble supposé plus
fort. Inévitablement, cela débouchera sur des tensions.
Et cette
solution supposera des changements considérables sur le plan institutionnel au
Royaume-Uni et dépendra largement des modalités de sortie de l'UE du pays :
Tout s’enchevêtre à merveille !
Si le
Royaume-Uni ne dispose pas d'un accès au marché unique et de la
libre-circulation avec l'UE, il faudra établir des contrôles sur les « borders »,
la frontière intérieure entre l'Écosse et le reste du Royaume-Uni.
Il faudra surtout
déterminer, en cas de conflit juridique, quelle législation aura la priorité
entre celle de l'UE et celle du Royaume-Uni, et dans quels domaines.
Ceci risque de
faire grincer bien des dents à Londres.
Tout comme le
même problème en fait grincer à Paris sur la « Corsica-Bella-Tchi-tchi »
et depuis toujours : Ce n’est pas encore réglé depuis « Tonton-Yoyo »
qui avait tenté d’imaginer un accord durable !
D'autant qu'il
faudra continuer de réserver 56 sièges sur 650 à l'Écosse à la Chambre des
Communes (ou moins mais au nom de quoi ?), ce qui représente 8,6 % du
total (le Groenland ne pèse que pour 1,1 % du Folketing).
L'Écosse,
membre de l'UE participera donc à la confection de la politique hors-UE du
Royaume-Uni…
Là encore, on
imagine aussi les grimaces des Conservateurs anglais et de certains partis
comme l’UKIP face à ses paradoxes…
Pas simple.
Le processus
sera donc très complexe et, inévitablement à terme, la question de la nature de
l'appartenance de l'Écosse au Royaume-Uni se posera.
Il y aurait de
fait deux Royaume-Uni : L’un spécifique à l'Écosse, l'autre regroupant Pays de
Galles, Angleterre et Irlande du Nord comme aujourd'hui. Progressivement, la
situation de l'Écosse sera proche des « dépendances
de la couronne », comme l'île de Man ou les îles anglo-normandes qui ne
font ni partie du Royaume-Uni, ni de l'UE.
Leur lien avec
Londres se résument à une série d’accords, notamment monétaires, politiques et
commerciaux, et à la reconnaissance du monarque comme souverain (dans les îles
anglo-normandes au titre de « Duc de Normandie »).
C'est, du
reste, peut-être le but de la première ministre écossaise, aussi cheffe du
parti nationaliste SNP : Séparer de fait l’Écosse avant de la séparer de droit.
Rendre
inévitable progressivement le saut indépendantiste en construisant une solution
intenable, mais qui aura conduit à séparer l'Écosse du reste du Royaume-Uni.
Une hypothèse,
rien de plus…
Face à ce
risque et à celui de faire durer indéfiniment le processus écossais préalable à
l'ouverture de l'article 50, le nouveau « ministre britannique du Brexit »,
David Davis (pas comme les clous) a haussé le ton et indiqué que l'Écosse ne
disposait pas d'un droit de veto. Il a précisé la démarche de sa cheffe de
gouvernement lors d’une interview à Sky TV. « Le but est de prendre en compte les inquiétudes des gens qui ont voté
pour le maintien dans l'UE (…) et
nous ferons ce que nous pourrons pour cela. Mais ils ne peuvent pas avoir de
veto parce que nous avons eu 17,5 millions de personnes qui nous ont donné un
mandat et nous ont dit ce que nous devons faire. Nous ne pouvons pas leur
désobéir ».
D’autant que
les sondages relèvent manifestement d’un refus de « revoter ».
Pour une fois,
le peuple tient à sa décision…
Et elle sera
respectée !
Mais lui a également
rejeté l'option d'une Écosse britannique et membre de l'UE. « Je ne crois pas que cela marche. Un de nos
défis les plus importants est de traiter de la frontière avec l'Irlande et nous
n'allons pas créer d'autres frontières à l'intérieur du Royaume-Uni »,
a-t-il insisté.
Bref, Londres
a ouvert la porte aux discussions non pas sur le Brexit, mais sur la voie à
suivre. Mais David prévient donc : Même sans l'accord de l'Écosse, l'article 50
pourrait être activé en décembre.
Arf : Il
va ravaler ses opinions d’ici sous peu, car…
Face à cette
réponse, l’écossaise a prévenu que c'était « pour cette raison qu'elle préparait un second référendum sur
l'indépendance en 2017 ».
Autrement dit, Holyrood pose un ultimatum : Ou l'Écosse
reste, d'une façon ou d'une autre dans l'UE, ou il y aura un processus de
sécession.
« L’Écosse n'est pas une région du
Royaume-Uni, c'est une nation et elle a fait le choix de rester dans l'UE
», a-t-elle indiqué.
Une menace
prise très au sérieux à Londres : Dans les jours qui ont suivi le vote du 23
juin, les sondages ont donné plus de 55 % de « OUI » à l'indépendance. Londres
risque donc de devoir choisir entre le Brexit et l'indépendance écossaise, là,
dans les semaines qui viennent si son gouvernement joue les « gros-bras »…
Je penche
plutôt pour une partie de « poker-menteur », pour ma part.
Car, notez qu’en
réalité, la situation est encore beaucoup plus complexe que ça.
Le référendum
de 2014 avait été accepté par Londres qui s'était engagée à reconnaître le
résultat à l'issue d'un accord avec le gouvernement écossais. Cette fois, il
n'est pas certain que l’anglaise accepte le même processus.
L'Écosse en
sera réduite à organiser un référendum unilatéral qui ne sera pas reconnu par
le Royaume-Uni. Une grave crise politique et institutionnelle pourrait en
découler et ceci pourrait affaiblir le camp de l'indépendance en rajoutant de
l'incertitude à l'incertitude.
D’autant que
l'économie écossaise, très dépendante du pétrole, n'est pas au mieux.
Que par
ailleurs, entre le dumping-fiscal irlandais et celui promis pour la City, il n’y
a plus beaucoup de place pour un créneau d’attractivité écossaise.
Surtout, rien
ne garantit une « bonne volonté
européenne ».
« J’y-sais-Bunker »,
le président de la Commission européenne, s'est fait taper sur les doigts pour avoir
reçu après le Brexit l’écossaise, ce qu'a refusé de faire « McDonald Truck »,
le président du conseil de l'UE.
Ambiance !
Le plus drôle
c’est que dans la foulée, « l’Ibérie » et la « Gauloisie »
ont annoncé qu'ils refuseraient toute entrée simplifiée de l'Écosse dans l'UE.
En cas de
référendum unilatéral ou de déclaration unilatérale d'indépendance, l'Écosse
risque de rencontrer un refus européen, alimenté et soutenu par Madrid.
Bé oui, c’est
qu’en Catalogne, les Indépendantistes réfléchissent en effet à de tels moyens
pour se séparer de Madrid.
Le royaume de « Juan-Karlos »
ne peut accepter en Écosse, ce qu'il refuse en Catalogne !
Bref, la
stratégie de l’écossaise est pleine d'audace, certes, mais elle a des faiblesses
et nous promet un été et une « rentrée » des plus chaudes.
De ce que j’en
vois, c’est l’occasion de « faire bouger les lignes » : Admettre
« l’exception culturelle » écossaise, certes flatteuse pour l’UE, l’Euro
et tout le reste contre tous ses détracteurs n’est pas pour me déplaire.
Et lui
attacher conjointement un « statut d’exception » au sein même de la Grande-Bretagne,
c’est aussi, me semble-t-il le pendant indispensable qui fait que nos propres
territoires « ultra-marins » (et d’autres, britanniques, danois et j’en
passe) sont à la fois dans l’UE (ou pas) tout n’en étant pas totalement pour
être traités spécifiquement dans le traité de Lisbonne : Il suffit de
lire, c’est déjà marqué.
Serait-ce l’avenir
du continent ?
On va savoir
très rapidement à l’issue de la partie de « poker-menteur » qui s’engage
entre Londres et Édimbourg, afin d’éviter un bras de fer désastreux pour tout
le monde…
Un courrier de « Bling-bling », un autre de « Jupette », et d’autres à venir !...
RépondreSupprimerGénial !...
Enfin lu par des personnalités politiques de premier plan !...
Avec un peu de chance, ils vont retenir vos analyses…
Il n’est pas impossible que la page Fessebook « les anciens de la division DAGUET » ait surpris les fonctionnaires de la Défense et de l’Intérieur qui la surveillent compte-tenu du contenu explosif des thèmes développés sur la guerre du Golfe 1991.
Les informations sur la récupération des indemnités de la division Daguet par « Bling-bling », et la gestion des fonds du « Grand emprunt » par « Jupette », seraient remontées jusqu’aux intéressés !...
Vos talents de romancier enfin reconnus !...
J’attends avec impatience le contenu de ces courriers.
Concernant la partie de « Poker-menteur » entre l’Islande et le « Royaume-désuni », il y a longtemps que je suis persuadé que l’avenir de l’Europe passe par plus de démocratie notamment au niveau régional et que le développement de régions dotées d’un Parlement local ne peut que contribuer à la création de nouveaux échanges entre les régions européennes.
Un exemple. Lorsque je développais le projet Euroclippers, mis en veilleuse en raison de l’inertie des pouvoirs publics, j’envisageais la construction d’un grand voilier-école par région, notamment pour la Normandie.
Ce serait un fantastique moyen de communication, de formation des jeunes, et de développement des échanges entre les régions européennes.
Des navigations seraient possibles entre la Normandie et l’Ecosse, entre la Normandie et l’Irlande, entre la Normandie et la Grande Bretagne, entre la Normandie et St-Pétersbourg, etc…
Un projet développable pour d’autres régions maritimes comme la Bretagne ou la Corse.
On y arrivera, mais dans plusieurs décennies…
Il suffit de voir le succès de l’Hermione.
Bien à vous !...
Haddock
La "Corsica-Bella-Tchi-tchi" n'a pas de tradition maritime : Juste du cabotage.
SupprimerEn revanche, elle a toujours été terre d'accueil et a encore une tradition coloniale très vive...
Elle a même colonisé tout le continent européen jusqu'aux portes de Moscou, mais pas l'Angleterre...
Ceci dit, je pense que dans un avenir proche, votre projet pourrait être relancé : Vous vous rendez-compte qu'on va jusqu'à égorger des curés et des nonnes dans vos églises normandes ?
Ca c'est passé aujourd'hui...
On va enfin découvrir que la christianophobie existe jusque dans nos campagnes, depuis le temps que je constate le phénomène qui n'est jamais répercuté dans les médias.
Ah, en revanche, quand il s'agit de mosquées ou de synagogues, on nous en fait tout un fromage, ça c'est sûr !
Mais les trois ou quatre agressions/semaine sur les lieux de culte du Christ, là, chez nous, ... rien !
Passons : Vos publications sur le groupe "fesse-book" des vétérans soutiennent effectivement le nombre de visiteurs qui fréquentent ce blog-ci.
C'est manifeste.
Pensez, je n'arrive même plus à compter...
Mais les "cadors" se sont soudainement tus : ils fouettent d'autres chats, ceux liés aux radicalismes.
Je mets au pluriel, parce la flambée de violence gratuite et terroriste un peu partout en Europe et dans le monde en ce moment, me semble ne rien à voir avec Daech : Plus ça va, plus ça ressemble à un faux-nez destiné à justifier de mesures liberticides et à attiser nos divisions politiques à la veille d'échéances importantes : On le voit bien jusqu'aux USA !
Je ne sais pas encore qui joue à ce jeu-là, mais ce sont eux les véritables ennemis de MA patrie (et de toutes les autres martyrisées).
Et ils ont intérêts à bien se planquer, parce que le retour de bâton risque de les dépasser.
Et après, après seulement, on reparlera d'isoler et d'apprendre à vivre en milieu nautique, à la fois fermé et en même temps, je l'ai dit, paradoxalement ouvert sur "l'autre" : Une excellente ékole pour les plus obtus, vous verrez.
En attendant, les deux-là ne disent rien de plus que ce qu'ils disent d'habitude.
J'en viens même à douter de "Juppette", figurez-vous : C'est dire !
Passons !
Pour l'heure, je retarde la mise en ligne des posts du mois d'août, débordé de boulot "urgent".
Je vais retardé mon départ, là c'est acquis, pour me laisser le temps de mettre tout ça en ligne avant de lever l'ancre.
J'espère que pour vous, c'est déjà fait, que vous êtes déjà dans vos quartiers d'été sous les pins !
En attendant, bonnes vacances à vous,
Portez-vous bien !
Bien à vous !
I-Cube
L"Ami Râle n'a pas bien compris ... I.Cube a reçu un courrier de Sarko et de Jupette en tant que (ancien?) membre du RPR pur et dur (celui du Corse Tibéri). Il y a des primaires à droite en Novembre 2016!
SupprimerJe vais préparer un courrier à « Hervé Maure-Un », président de la région Normandie, au sujet de ce projet de voilier qui est maintenant développé par l’amiral Pierre François Forrissier, président de l’association du grand voilier-école.
RépondreSupprimerC’est le moment, car la situation empire dans les zones de non-droit où les jeunes un peu paumés tombent dans les pièges tendus par des fanatiques religieux.
Comme vous dites : « l’enfer c’est la haine d’autrui » et ceux qui développent la haine, que ce soit des fanatiques religieux ou des politiciens manipulateurs, risquent de connaître la guerre ou l’anéantissement politiques, ou pire…
Et lorsque tout cela sera fini, on pensera peut-être à développer des projets de formation pour les jeunes, mais on en a pour des années. En attendant, il faut travailler pour que ce projet de voilier arrive progressivement à maturité.
Ces « deux-là », on ne va pas les refaire. Toutes leurs actions sont sous-tendues par la course au pouvoir.
Quant à moi, je récupère et les vacances auront lieu sur un voilier en Grèce en septembre si tout va bien.
Bien à vous !...
Haddock
Mauvaise reprise : "L'enfer c'est de développer la haine d'autrui" si je me souviens bien...
SupprimerMerci pour toutes ces précisions...
SupprimerOù, la course au pouvoir les métamorphose.
Pour "Bling-bling", on savait.
Pour "Juppette", c'est nouveau : Il s'agirait pour lui qu'il se reprenne et ne tombe pas dans le piège tendu par le premier.
Parce que là, il aura perdu sa chance à saisir.
Bien à vous et bon courage !
I-Cube
A la date où vous avez écrit ce billet, vous aviez grandement besoin de vacances!
RépondreSupprimerEn fait, pour la question du Brexit, il suffit de faire comme pour la Nouvelle Calédonie (l'Ancienne Calédonie, c'est - ça ne s'invente pas! - l'Ecosse ...).
Le Royaume Uni est composé de QUATRE nations :
- la NATION écossaise
- la NATION galloise
- la NATION irlandaise
- la NATION anglaise
Trois NATIONS ont voté "REMAIN", une seule a voté "LEAVE" ... Par conséquent, c'est le "REMAIN" qui l'emporte par trois voix contre une seule! Donc, pas de Brexit! Putain, ça m'excite, ce "brexit" ... Il faut que je me libère!
Vous avez raison : Libérez-vous de vos démons !
SupprimerCa nous fera du bien !
Bonne journée à vous !
I-Cube