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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 20 juillet 2016

Ce monde est fou !


Suppression du chômage : La solution de la CGT.

Vous imaginez bien que je n’ai pas le cœur à plaisanter : On tue à Nice et à Ankara.
À Nice, c’était gratuit.
En Turquie, c’était un coup d’État raté.
Depuis ils embastillent, dans les rangs de l’armée, de la police et du ministère de l’intérieur, mais aussi, vous êtes assis, parmi les juges chargés d’appliquer l’état de droit local et par milliers !
Bref, on purge.
Dans les deux cas, c’était pour des « idées ».
Ok, mourir pour des idées, d’accord en disait le grand Brassens en son temps, mais alors « de mort len-en-ente » !

Dans les deux cas, ça ne sert à rien puisque rien de positif n’en sort. Pire, dans 10 ans, peut-être moins, on aura oublié jusqu’au nom des assassins.
Leur descendance et collatéraux auront changé de ville et de patronyme, de vie pour essayer d’oublier.
Pourtant Dieu sait que le nom de l’assassin de l’auteur de mes jours (celui qui me fait frémir quand j’évoque sa mémoire), que je ne prononce jamais, jamais je ne l’oublierai…
Qui se rappelle des noms des putschistes qui ont abattu El Sadate ?
Celui de Martin Luther-King ?
Pas même moi.
Le terrorisme s’arrêtera tout seul quand leurs chefs et hommes de main auront été rayés de la carte de l’humanité vivante : Les détruire est une urgente nécessité.
Le plus vite possible, même si on ne parviendra sans doute jamais à éradiquer leurs idées, leurs paroles.
En revanche, on prendra des mesures, comme pour la sécurité des vols aériens, qui rendront plus difficiles leurs actions.
Ça, c’est une idée à creuser : Prendre des précautions élémentaires avec bonne humeur, tant faire ce peut. Il en va de l’avenir du monde.
Parce que Nice, c’était évitable, comme on a su éviter des catastrophes dans les fan-zone de la coupe d’Europe de façon très efficace et même dissuasive !
Comme dit mon pote niçois, ce n’était quand même pas si difficile que ça de prévoir de bloquer les accès avec des blocs de béton, ou des herses en travers des chaussées !

Trait commun : Les idées. C’est très drôle finalement les utopies. Parfois, elles font avancer le monde de la science et de la connaissance.
Ce n’est pas que l’univers en soit meilleur après, mais il est un peu moins mystérieux.
Je viens de finir un bouquin (j’ai appris à lire en « rital »…) d’un élève de Stephen Hawking qui m’en a bouché un coin en m’apprenant que la tomographie (une technique d’imagerie médicale en 3D, mais aussi géologique) fonctionnait à coup de « positrons », l’antiparticule de l’électron !
Pas de théorie des quantas, pas de tomographe…
Idem, sans théorie de la relativité générale, pas de GPS !
Le signal radio et l’horloge atomique des satellites GPS accumulent les erreurs au fil du temps dans la mesure où ils sont animés de vitesse de satellisation non-nulle : Du coup 35 microseconde de décalage à chaque tour de la planète, ce qui au bout d’une journée et deux tours de la planète, rend les triangulations possibles seulement précises à … 10 kilomètres près !
5 kilomètres pour un seul tour.
Inexploitable par votre boîtier embarqué…
Perso, mes « triangulations » aux « amers remarquables » côtiers sont précises à quelques dizaines de mètres près dans le meilleur des cas.
Et alors, une méridienne au sextant, c’est 20 minutes de relevés et 10 minutes de calcul avec le bouquin des éphémérides à côté.
Une droite de hauteur, pareil, mais un cercle de quelques centaines de mètres à plusieurs kilomètres selon la précision de la « navigation à l’estime »…
Au GPS, c’est le temps d’y jeter un œil.
Merci à toi, Einstein !

Ceci dit, les idées, il y en a de tellement loufoques que c’est parfois un bonheur de vérifier l’insondable crétinerie populaire, voire populiste : Je reprends, pour l'exemple, la bonne idée de la CGT entendue (et développée) à l’occasion des manifestations de la « loi El Konnerie ».
La CGT ne fait pas qu’organiser des « manifs’ », non, elle calcule et nous a apporté sa splendide contribution : Ils estiment à Montreuil que le passage de 40 à 39 heures de travail en 1983 a permis de créer 70.000 emplois. Un chiffre largement plus élevé que celui habituel compris entre 14.000 et 28.000, mais admettons.

S’agissant du passage de 39 heures à 35 heures en 1998 et 2000, les estimations sont plus resserrées, du moins chez les promoteurs de la réforme. « Titine-Eau-Brie » avait elle-même chiffré les créations d’emplois à 400.000, soit moins que l’Institut de recherches économiques et sociales qui les estiment à 500.000. L’INSEE, comme la DARES (service statistique du ministère du Travail), parlent de leur côté d’environ 350.000 emplois créés, un chiffre confirmé récemment mais secrètement par l'IGAS.
Perso, j’en pense que s’il y a eu création d’emplois, c’est surtout chez nos voisins qu’elle a eu lieu : Il fallait visiter le terrain à ce moment-là.
Passons.

D'ailleurs l’OCDE, reconnaît de son côté que des emplois ont été créés entre 1998 et 2001, mais que le bilan réel des lois « Eau-brie » est plutôt à la destruction d’emplois, à cause du coût du financement des allègements de charges et des effets de l’augmentation du Smic horaire.
Une erreur historique devenue un « totem-dogmatique » indéboulonnable !

Ceci dit, la CGT, dans sa démarche « idéaliste », adopte par commodité le chiffre officiel de l’INSEE de 350.000 emplois créés.
Même si on remarque ainsi que le passage de 39 à 35 heures a permis de créer 87.500 emplois par heure de travail en moins. Un rendement plus important que lorsque le temps de travail a été réduit d’une seule heure en 1983 : On ne voit pas bien pourquoi mais admettons.
La centrale syndicale de Montreuil a donc fait une formidable découverte : Plus on réduit le temps de travail, plus l’heure de travail en moins crée d’emplois !
L'œuf de Christophe Colomb (natif de Calvi : On peut y visiter sa maison natale) ?
Alors allons-y donc à réduire le temps de travail, donc détruire du chômage, non ?

Pour couronner le tout la CGT soutient aussi que les 35 heures sont mal appliquées. Il existe des heures supplémentaires, des salariés qui sont en forfait-jours annuels et qui dépassent allègrement le plafond, etc.
Si les 35 heures étaient vraiment appliquées uniformément partout, sans dérogations d’aucune sorte, on pourrait créer 2 millions d’emplois supplémentaires !
Ainsi le passage réel de 39 à 35 heures permettrait de créer, non plus les 350.000 emplois officiels, mais donc 2.350.000. Cela augmente considérablement le rendement de l’heure de travail en moins qui passerait à 587.500 par heure.

Forte de tous ces travaux « géniaux » qui font faire un bond gigantesque à la science économique, la CGT préconise donc le passage aux 32 heures afin de créer 2 millions d’emplois supplémentaires. Comme vous le remarquerez immédiatement, le rendement de l’heure de travail en moins augmente encore pour atteindre 666.667 emplois.
La formidable découverte de la CGT est donc vérifiée : Un effet multiplicateur inattendu, mais réel à l’en croire, au moins aussi « mathématique » que Jésus en Galilée…
Hein, quand je vous dis que les dogmes farfelus deviennent contre-productifs…

Or, le nombre de demandeurs d’emplois en « Gauloisie-laborieuse » est aujourd’hui officiellement de près de 6,5 millions. Les mesures cégétistes, en créant 4 millions d’emplois, réduisent ce nombre à 2.484.200.
Faisons donc un effort supplémentaire et réduisons encore de temps de travail de 3 heures. Avec un temps de travail de 28 heures par semaine, la question du chômage serait effectivement définitivement réglée !

Bien évidemment, la situation de plein-emploi que connaîtrait alors le pays ne manquera pas d’attirer à nous les demandeurs d’emplois des pays voisins. Il y a même à parier que tout ce que l’Europe compte de chômeurs va rejoindre notre eldorado cégétiste.
Il faut donc continuer de réduire le temps de travail. L’Union européenne compte aujourd’hui près de 22 millions de demandeurs d’emplois. La « Gaulosie-d’accueil » n’en ayant plus après l’instauration des 28 heurs de travail, il reste donc environ 15,5 millions de sans-travail.
Suivez donc le raisonnement : En passant à 5 heures de travail hebdomadaire, nous pourrions ainsi résoudre tout le problème du chômage européen.
Et en le réduisant encore de 5 heures, nous pourrions encore créer près de 3,5 millions d’emplois pour d’éventuels réfugiés ou migrants.
C’est beau le désastre des « idées », non ?

Enfin, c'est aussi une bonne nouvelle pour les « juilletistes » : Ne rentrez surtout pas, restez définitivement en villégiature où vous êtes, on n’a plus besoin de vous et même, on va vous rejoindre très bientôt, nous les aoûtiens : Vous, nous allons contribuer ainsi à supprimer le chômage européen et accueillir tous les migrants de la planète en plus !
Le paradis quoi…

Bon d’accord, personne ne nous dit qui paye quoi ni combien (le futur hélicoptère-monétaire de la BCE, peut-être ?) : En attendant, mangez une main et gardez donc l’autre pour demain, c’est presque aussi enviable que de finir en chair-à-pneu d’un djihadiste (ou non) déjanté, après tout !

Bon, si vous voulez être plus sérieux et éviter de perdre votre temps en défilés piétons sur les pavés pour des délires idéologiques, dès que vous rentrez, essayez donc d’analyser la dernière publication de la « sécu » sur le « travail à domicile » : C’est plus sérieux, même si ça n’a pas reçu tout l’éclairage qui aurait dû être prévisible.
Actualité ensanglantée oblige !

L’ACOSS constate qu’après deux ans et demi de baisse, l'emploi à domicile a rebondi, a annoncé l’organisme qui compte les collectes de cotisations de Sécurité sociale versées à l'Urssaf.
La masse salariale nette versée par les employeurs de salariés à domicile (garde d'enfants, aide-ménagères etc.) a progressé de + 1 % au premier trimestre, après une baisse de – 0,1 % le trimestre précédent, alors que le nombre d'heures déclarées a affiché sa première hausse en quatre ans (+ 0,5 %).
Ils travaillent moins (pour suivre la CGT), donc ils gagnent plus, c’est ça ?

Non, évidemment !
Sur un an (premier trimestre comparé à la même période de 2015), la masse salariale nette est en hausse de + 0,3 %, car l'augmentation de + 1,7 % du taux de salaire horaire a largement compensé une baisse de – 1,4 % du nombre d'heures déclarées, par ailleurs nettement plus modérée que le trimestre précédent (– 3 %) : Quand on bosse moins, on n’a moins de pognon à claquer, donc la croissance et l'activité s’étouffent…

Plus logiquement, la présidente de la Fédération des particuliers employeurs (Fepem), a attribué ce début de reprise, qui selon elle devrait se confirmer, à la baisse du coût de l'emploi, liée aux allègements de charges votés pour les particuliers employeurs.
Car c’est dans le champ de la garde d'enfants que l'emploi à domicile progresse le plus : La masse salariale est en hausse de + 2,2 % en un trimestre, grâce à une augmentation marquée du nombre d'heures déclarées (+ 1,7 %).
Ce secteur avait bénéficié d'un « coup de pouce » fin 2014 avec le vote d'un allègement de charges forfaitaire renforcé (de 0,75 à 1,50 euro par heure travaillée) pour les employeurs faisant garder leurs enfants de 6 à 13 ans.
Afin de soutenir ce secteur et de lutter contre le travail au noir, cette réduction de cotisations a été portée le 1er décembre 2015 à 2 euros par heure pour toutes les activités de services à la personne (garde d'enfants mais aussi aide aux personnes âgées, handicapées, aide-ménagères etc.) cumulables avec les crédits-d’impôts liés au « travail à domicile » d’autrui (même les cours de piano…).
Oh tiens donc !

Dans le détail, la masse salariale nette a augmenté de + 2,7 % pour la garde d'enfants en rythme annuel au premier trimestre et est quasiment stable (– 0,1 %) pour les autres activités.
Le nombre d'employeurs à domicile a en revanche augmenté de + 0,2 % sur le trimestre à 1,933 million de personnes, mais sur un an il reste en baisse de – 0,6 %.
Le nombre total de particuliers employeurs s'élevait à 2,803 millions fin mars 2016 (1,933 employeurs à domicile et 880.000 employeurs d'assistantes maternelles), en hausse de + 0,7 % sur un an.
Autrement dit, plus tu baisses les charges sociales, plus le travail au noir réapparaît en pleine lumière.
Marrant comme effet, ça, messieurs de la CGT !
Notez qu'on avait eu le même effet avec la réduction du taux de TVA pour les travaux des particuliers dans leurs logements.
Je ne sais pas moi, mais ça mériterait qu’ils y cogitent un peu plus pour réduire ce cancer antisocial qu’est devenu le chômage au lieu de tirer des plans sur les comètes…

Mais bon, une fois de plus, je ne dis rien, parce que bon, mourir pour des idées, c’est tellement superfétatoire qu’on se demande si ça reste respectable : On se rappelle qu’on est ainsi toujours dans les célébrations du centenaire de deux immenses boucheries qu’ont été les batailles de Verdun et de la Somme.
Faudrait peut-être envisager de grandir, au moins dans la tête, depuis lors !

11 commentaires:

  1. A l'évidence, la combinaison de la canicule et (surtout!) et de l'attentat de Nice vous fait perdre pied ... Je vous l'ai déjà dit : ON SE CALME! ESPRIT FROID, DETERMINE, LUCIDE, IMPITOYABLE ... Pas de place pour la gesticulation verbeuse, volubile, agitée ni pour les raisonnements compliqués ...

    La CGT est un SYNDICAT! Sa fonction n'est pas de gérer quoi que ce soit mais de défendre des intérêts : ceux de ses membres et, par extension, ceux des personnes qui, par nature, ont vocation à y adhérer, à savoir les salariés, ceux qui l'ont été (retraités) et ceux qui cherchent à le devenir (demandeurs d'emploi).
    Tous vos calculs stupides ne changeront rien à cette réalité ...

    Pour l'avenir, le plus simple, c'est d'envisager que F.O. revienne au bercail de la CGT puisque Bergeron est mort depuis maintenant pas mal d'années et que son poulain Claude Pitous a été éconduit par Blondel et que Mailly (même sensibilité!) lui a succédé... Voilà une vraie perspective! Laurent Berger ira de faire rhabiller! J'ai toujours pensé que la CFDT n'a jamais été un syndicat puisque cette organisation ne conçoit pas son rôle comme un rôle de DEFENSE des intérêts mais comme un rôle de promotion d'une idéologie ...

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    1. C'est vous qui dératez totalement, là !

      Alors sachez que sans avoir jamais été encarté, j'ai "mes entrées" à la fois à Montreuil et dans diverses "fédés" de la CGT.
      J'y ai d'excellents "potes" et ai toujours été traité avec respect et fraternité.
      J'y ai bossé à plusieurs reprises et on me regarde toujours comme "un génie" (ce qui fait toujours plaisir), pour services rendus.

      Ceci dit, la défense des travailleurs (des "prolos") ne passe pas par le mensonge, au contraire : J'ai appris à leurs côtés ce qu'est la dialectique-appliquée.
      Les gars te me faisaient des scénarii d'enfer quand le terme employé n'était pas assez précis pour eux : Ils pouvaient voir mille nuances dans une phrase simple, que vous n'imaginez même pas !
      Des vrais soldats à l'immense culture (parfois farcie de dogmes).
      Moi non plus au début (et puis on s'y fait, et au mieux, on les cueille à froid de temps en temps, mais après apprentissage).
      Des très forts, très doués, très entraînés.
      Respect : ca touche au sacerdoce.

      Mais quand on vient m'expliquer des konneries, depuis, je les détecte toute suite, et les vôtre ne sont pas les dernières.
      - FO a ses "clients" et ses modes de pensée tout aussi remarquables, mais nettement moins orientés "lutte des classes" : Des "pragmatiques-centristes" finalement (qui devraient vous plaire, en principe).
      - CDFT est, contrairement à ce qu'on raconte, une centrale très revendicatrice (et a sa clientèle, surtout en entreprise et province) : Elle a le mérite de "forcer" des accords sur le terrain.
      - Et vous oubliez "Sud", des "radicaux" qui surfent sur les délaissés de la CGT, surtout quand ils sont "bronzés" ou ne parlent pas "la France".
      Basique, mais "chien fou" assez respectables dans certaines entreprises, quand il n'y a plus qu'eux pour avoir viré les autres...
      Là, c'est gestion des RH, dont les DRH sont responsables.

      Perso, dans ce type d'entreprises, je recommande le personnel asiatique : Une fois qu'ils entrent, ils vont partout et on retrouve la paix sociale...
      Mais vous ne pouvez pas savoir !
      Naturellement, ex-fonctionnaire que vous avez pu être à l'ANPE.

      Bien à vous !

      I-Cube

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  2. Ah! Il faut que je vous raconte ... Autrefois, j'ai fait appel à une employée de ménage. Elle m'avait demandé à être payée "au noir" ... (C'était bien avant la mise en place de la réduction d'impôt associée pour le particulier employeur).
    Ok!
    Puis est venue la période des "congés payés". Quand elle a constaté que je ne lui paierai pas de "congés payés" (puisqu'elle n'était pas salariée!), elle a tiré une tronche ... Eh, oui! On ne peut pas avoir le beurre ET l'argent du beurre ...
    Aujourd'hui, je fais appel aux prestations d'une "association intermédiaire" qui met à ma disposition une personne (la même depuis plus de 10 ans, le même dispositif depuis environ 13 ans) à raison de 5 heures par semaine... Pas de congés payés, pas de déclaration URSSAF, pas de statut "employeur" pour moi, etc. 21 euros de l'heure qui, réduction d'impôt sur le revenu comprise, me reviennent, de fait, à 10,5 euros de l'heure. C'est le système idéal... Il n'y a que les socialistes pour trouver à y redire et à vouloir changer un dispositif qui marche par un autre "dispositif" qui ne marche pas ou qui marche mal.

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    1. Attendez, ce n'est pas à moi que vous allez apprendre les "astuces" des activités à domicile !
      Je vous rappelle que j'en suis un des spécialistes fiscaux et que je me suis longtemps investi dans les activités à la petite-enfance associative.
      Les "niches-fiscalo-sociales" y sont encore plus intéressantes.

      Ceci dit, je ne faisais pas que dans l'associatif : J'ai été associé et même fondateur de plusieurs sociétés d'aide à domicile (repas, ménage, repassage, compagnie, toilettage, soins à domicile, courses, sorties du chien) à l'adresse des "vieux" et jusqu'à l'hospitalisation à domicile et de "nounou-à-domicile" pour les plus petits, de 3 mois à 6 ans (soutien scolaire).
      Activité prolongée en mode associatif pour les "soutien scolaire" des plus âgés, mais pas à domicile, et les activités festives styles "colonies de vacances", les arts et sorties culturelles, un truc en concurrence avec les activités des curés de paroisse, du "social" quoi.
      Donc, je connais un peu...

      Mais j'ai tout largué à cause de gens comme vous, qui votaient "Marinella-tchi-tchi", puisqu'au contact avec des élus locaux (et nationaux) je me suis rendu compte que tout ce qu'on construisait dans "l'aide à la personne" allait disparaître avec les élus frontistes, à des années-lumières des besoins de ces populations à intégrer ou "resocialiser" au fil du temps : Ils dé-subventionnaient systématiquement les activités sociales et ne gardaient que les clubs de bridge, d'anciens-combattants, de pelotes de laine, même pas les associations sportives, sauf les leurs...
      De larges konneries et je leur en ai mis plein la gueule en en prenant encore plus en retour jusqu'à tout lâcher.
      Moi, un mek profondément patriote et plutôt de "droâte"...
      Même si comme je le dis par ailleurs, j'ai aussi bossé pour la CGT, justement : On y refaisait le CNR...

      Voilà-voilà !

      Bien à vous tout de même...

      I-Cube

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    2. Ah, bon! Vous êtes plutôt de "droâte"? C'est à peine si je m'en étais aperçu!

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    3. Pas la même que la vôtre !
      Moi, je ne me ballade pas d'un "extrême" à un autre : Je reste constant, même si parfois "ils" me font cocu !

      Bien à vous !

      I-Cube

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    4. depuis le temps, vous auriez du comprendre que cette histoire de "drouâte" et "goche" n'a plus beaucoup de sens! Parle-t-on, aujourd'hui, d'un "parti monarchiste" en France? Non!
      Par contre, on parlera bientôt de la renaissance d'un "parti aristocratique" car il y a des gens, à goche, qui veulent restreindre le droit de vote aux seules personnes "éduquées"! C'est la définition étymologique du mot "aristocratie" (gouvernement des "meilleurs").
      On parle de moins en moins du "Président de la République" et de plus en plus du "chef de l'Etat" ... dont le dernier titulaire officiel était ... un certain Pétain!
      Pour le reste, je suis LIBRE de mes votes et de mes prises de position! En adoptant l'attitude qui est la mienne, je peux conserver ma totale liberté d'appréciation et je participe à l'incertitude générale vis à vis des "politiques" qui, décidément, ne parviennent pas à "saisir" l'opinion publique, ce qui leur rend plus difficile la tâche et permet - peut-être - d'espérer plus de sincérité.

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    5. Ah! J'oubliais ... Moi, je me situe DEPUIS TOUJOURS du côté du progrès social. Je préfère la devise "Bien-être et Liberté" plutôt que la devise "Liberté, Egalité, Fraternité". La liberté du renard dans le poulailler, ça ne m'intéresse pas! Parler de la Liberté à quelqu'un qui a tout juste de quoi vivre chichement est une lubie. Une fois de plus, c'est de Gaulle qui avait raison! La liberté, disait-il, c'est un "problème de riches". De fait, les pauvres préfèrent le "bien-être" à la "liberté"... C'est quand même bien leur droit! Ceux qui ont déjà le "bien-être" veulent aussi la liberté. On les comprend! mais ils ne renonceraient pas au "bien-être" en échange de la "liberté". Le problème vient du fait qu'ils veulent que ceux qui n'ont pas le "bien-être" y renoncent pour lui préférer la "liberté"... Forcément, ça coince!

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  3. la "gôche" "aristocratique" ?
    Mais ce n'est pas nouveau, puisque leurs dogmes sont supérieurs à tout autre et depuis toujours !
    C'est même "scientifique" en disent beaucoup.

    Là dessus, effectivement les "références" à l'ère pétainiste sont de plus en plus curieux et devraient interpeler.
    Et par ailleurs, personne ne conteste, en tout cas pas moâ, votre liberté de choix. J'en dis simplement deux choses :
    - Je n'y adhérerai jamais, parce que ...
    - Il est stupide et contre-productif !
    C'est tout et vous vous en apercevrez bien un jour ou l'autre.

    Votre second commentaire :
    Si vous êtes pour le progrès social, alors vous êtes indiscutablement un homme de droâte !
    Même sans le savoir.

    D'abord parce que la "gôche" au pouvoir n'a jamais fait qu'appauvrir les "prolos" (et quelques autres), depuis toujours : Vous n'étiez pas nés, mais c'était déjà le cas sous le cartel des gôches, jusqu'à aller détruire la Nation un peu plus tard et incapable de maintenir "l'empire" arraché aux colonies au prix du sang de nos valeureux soldats, vous rappelle-je.
    Mais le pouvaient-ils ?
    C'est un autre débat.
    Ensuite parce qu'elle persiste (la supériorité de leur dogme "scientifique") depuis toujours.

    Enfin parce qu'il n'y a pas de liberté réelle sans progrès social : C'est marqué comme ça dans le préambule de notre constitution (celle de la IVème) et quelques textes internationaux adoptés depuis...
    Donc progrès économique de tous et pour tous.
    Et avec les croissances anémiques que nous avons, on ne peut pas dire que ce soit une grande réussite... de "gôche" !

    Et pour finir, poussez donc plus loin le raisonnement : Pour "vivre sans difficulté économique" contraignante, c'est-à-dire vraiment libre, ce n'est évidemment pas vers les modèles collectivistes (qui ont tous fait faillite, même ceux de "gôche"), ni les dictatures d'une façon générale qui engendre la corruption-létale pour les libertés, qu'il faut se tourner, mais vers un libéralisme-mesuré, contrôlé par la puissance publique.
    Mais sans l'étouffer sous les 233 impôts et taxes qui assomment les entreprises, l'activité productive...
    C'est d'ailleurs le rôle premier de l'Europe (même si elle a pu l'oublier).

    En bref, vous êtes de "droâte", qui plus est "libéral" et europhile, le tout sans le savoir : Bravo !

    Bien à vous !

    I-Cube

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  4. Il ne s'agit pas de dogmes mais d'une sorte de hiérarchie des capacités intellectuelles des électeurs ... Selon cette conception (entendue dans mon cercle familial et d'amis!), seuls les gens capables de comprendre devraient avoir le droit de voter! Cela fait un bon moment que j'entends de telles balivernes ... J'ai essayé d'expliquer que s'ils étaient, eux, plus intelligents que les autres (ceux qui votent mal!), ils devraient être capables d'expliquer en quoi consiste de "bien voter" ... et de convaincre!

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    1. Exactement !

      Moi, ça fait 40 ans que j'entends cette hérésie-démocratique là !
      Quand ils insistent, je finis par éviter de les croiser : Ca ne sert à rien, ils sont tout autant dogmatiques que tous les autres.
      On perd son temps.

      Le seul que j'ai gardé dans cet ordre là comme relation suivie, c'est celui qui a décidé depuis 30 ans de ne plus aller voter.
      Non pas "élection piège à kons" mais c'est un génie du sondage d'opinion, un super-matheux : Il vous démontrait (et encore aujourd'hui), que de toute façon, les sondés sont forcément "manipulés" par le sondeur, même inconsciemment (la théorie de l'incertitude des quantas : Tu mesures un truc, le reste de l'information t'échappe) et que la plupart des électeurs ne savent même pas eux-mêmes pourquoi ils votent ainsi et pas autrement.
      Pour conclure, il démontre aussi, mathématiquement s'entend, que de toute façon l'élu, il ne sait même pas pourquoi il est élu et ce qu'il doit en faire.

      Tellement convainquant, que j'en reviens toujours à "l'immense fatuité" de tous ces prétentieux qui n'ont jamais pour raison d'être que de dépenser du fric "pas à eux".
      Une façon comme une autre de se sentir indispensable, puisqu'ils ne sont pas capables d'en dépenser autant qui serait le leur...

      Bien à vous !

      I-Cube

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