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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 2 juin 2016

Totalitaire et mafieux…


« Gâte-aze » s’emporte !

Il est drôle le « patron des patrons ». L’autre fois, il n’a pas eu son canard-matinal sur son bureau, blocage « CGT-Livre » obligeait, il n’y avait de disponible que « l’Huma », le quotidien archi-subventionné stalinien, gavé à vos impôts !
Je ne sais pas si le « routage 205 » – encore un « truc » énârchique qui fait que La Poste est subventionnée pour acheminer vos abonnements : J’en ai plein, mais que pour mes revues juridiques de « spécialiste » – fonctionnait : Il me semble que c’étaient les rotatives qui étaient en panne.
Quoique justement celles-ci sont pour la plupart « robotisées » et « délocalisées » jusqu’en Belgique où il y a juste un type qui les regarde travailler de loin en loin durant la nuit avec son « jambon-beurre » à la main et sa citerne de café pas loin…

Bref, peu importe, ce jour-là le pluralisme d’opinion par l’écrit, ce fameux « droit à l’information » défendu en janvier 2015 était battu en brèche par une poignée de « bloqueurs » encartés CGT-stalinienne !
Bé oui, il y a encore des archéo-staliniens, depuis bien après Staline soi-même et l’effondrement du mur de Berlin, du pacte de Varsovie et même de l’URSS.
Et c’est sous votre nez que ça se passe.
Alors, passons aussi, parce que c’est comme ça !

Mais ça n’empêche pas de réfléchir deux secondes et de se rappeler John Locke : « Là où la loi s’arrête commence la tyrannie ».
Vous aimez les tyrans, vous ?
Pourtant vous vivez avec et tous les jours. 

On peut noter que quatre facteurs se conjuguent pour brader cette méritocratie républicaine qui reste « la Loi » : Immigration massive de « déracinés », fonctionnarisme débridé et omnipotent, obsessions européistes fédératives et utopies-gôchistes.
Je n’ai rien contre les « migrants » : J’en suis devenu un malgré moi-même ;
Pas plus contre le fonctionnariat, sauf quand il se mêle de ce qui ne le regarde pas ;
Je suis un européen convaincu (au moins depuis Jules César et en tout cas Napoléon qui a porté « les Lumières » jusqu’aux portes de Moscou), mais plutôt confédéraliste : La liberté partout, de l’Europe seulement là où ça peut aider comme d’une nécessité…
Quant au « soce-gôchisme-bobo », c’est une série de dogmes tellement utopiques qu’il suffit de constater que ça mène à la ruine des peuples depuis Lénine que je ne peux pas l’accepter, ni pour moi-même ni pour « ma nichée » !

Parce que qu’il faut bien constater qu’il s’ensuit, presque mécaniquement, une régression néo-féodale caractérisée par :
– Une inflation normative conjuguée au renoncement à faire appliquer la loi dans certains cas ;
– Donc une série de dérogations, exemptions, clientélisme et favoritisme pour promouvoir des catégories de citoyens surprotégés ;
– Du coup, la tolérance d’une économie parallèle, comme d’une soupape nécessaire qui participe à ruiner les peuples ;
– Et des « paradis artificiels » mollement combattus (pour oublier et supporter) ;
– Le retour de la pratique intensive des bakchichs ;
– La perte de confiance en la pérennité des solidarités intergénérationnelles et des garanties sociales ;
– Le retour du « système D » destiné à pallier les carences d’un État impotent, tatillon à mauvais escient mais veule dès qu’il s’agit de défendre son autorité.
Vous rigolez ?
Mais enfin, regardez donc autour de vous, SVP ! 

Les exemples d’anomalies abondent : La très médiatisée « Nuit debout » ?
Après une dure journée de travail, le commun des mortels préfère la nuit couchée !
Autre exemple, l’un des terroristes impliqué dans les attentats de Paris et Bruxelles était apparu dans un documentaire suédois sur l’intégration réussie…
Un autre, indic de flicaille a vendu ses armes à Coulibaly.
Quand ce ne sont pas les patrons de police qui se forment au trafic de stupéfiants pour le compte de leurs « tontons ».
La presse de droâte n’ose pas toujours investiguer, de peur de passer pour fasciste.
Je ne vous dis pas non plus les affaires beaucoup plus graves de « l’Ami-râle » et consorts, où seulement après plus d’un quart de siècle, des députés commencent à poser des questions auxquelles il est systématiquement répondu par un déni mensonger.
Le logement « pas cher » de Taubira ? C’est Marianne qui enquête et se fait traiter de populiste.
Les contrats miraculeux qui boosteraient la carrière de la femme de « Menuet-Valse » ? C’est le Nouvel Obs qui creuse la question et personne n’en entend parler.
On songe aussi au scandale récent des permis de conduire frauduleusement délivrés par des agents de préfecture à des « people ».
Mais je vous en passe tellement, qu’on a finalement l’impression d’être revenu à « l’ancien-régime », où le fait du prince primait plus que tout, le signe indubitable d’une société « totalitaire ».

En fait, la corruption, un truc de « mafieux », touche toutes les strates de la société : Il y a quelques années déjà, un reportage en caméra cachée montrait des pompiers impliqués dans un trafic de triche sur l’examen du précieux viatique, rose à l’époque.
Pendant ce temps, les grands de ce monde ne se montrent guère exemplaires : « Flanby-le-gras-nul-laid » recase « Air-Eau », à la place de « Fafa-l’empoisonneur », lui-même recasé pour ses vieux jours.
Et même, par ailleurs, « Deal-ma-Rousse-elfe » redonne un poste à « Lola » et « Il-a-rit-Pine-Tonne » déclare que si elle était élue présidente, elle octroierait un poste à « Bill-la-quéquette-sucée ».
C’est quoi sinon des élites qui s’exonèrent de sens commun, qui se placent au-dessus des lois communes, sinon des « mafieux » qui usent de l’autorité, publique en l’occurrence, pour aménager leur « petit-bonheur » à eux au détriment du plus grand nombre qui accepte en courbant l’échine ?

Prenez donc au hasard l’exemple des « agents des administrations » qui travaillent 7 journées de moins par an que les salariés du privé… C'est ce que révélait une étude qui devait être remise jeudi dernier au Premier ministre. Avant d'être ajournée in extremis… compte tenu du « calendrier » chargé en « manif’ ».
Les gros bras de la CGT-stalinienne, en appelant à la grève générale ont provoqué l’ajournement de ce rapport sur « le temps de travail dans la fonction publique », qui promettait de faire grand bruit.
Matignon, fort de son autorité « institutionnelle » a préféré ne pas ajouter une provocation au programme, très chargé, des affrontements sociaux : Le pouvoir renonce, une fois de plus, devant les menaces !

Pourtant les observations et les pistes de réformes formulées par le rapporteur « Phi-phi-L’or-rend », maire UDI de Sceaux et ami de « Menuet-Valse », pour faire respecter la durée légale de 35 heures hebdomadaires dans les administrations, sont soudain apparues inopportunes.
La ministre de la Fonction publique se fend même d’un communiqué : « Le Premier ministre devait faire un discours. Mais une question de temps s'est posé à nous en raison des déplacements (du PM) à l'international et de la situation sociale dans le pays. Je le regrette mais je partage son avis. »
Tiens : « Le tapis est posé là, tache de te coucher dessous que ça ne se voit pas » !

Sauf que « la bosse » sous le tapis, c’est 34 recommandations pour « mettre fin au maintien de régimes dérogatoires à la base légale de 1.607 heures et à l'attribution de jours d'absence dépourvus de base légale ». Il s’agit rien moins que de mettre enfin les 5 millions de fonctionnaires gaulois au même régime horaire de travail que n’importe qui.
Une petite révolution, car en un an, ils bossent en moyenne 110 heures de moins – 7 journées de moins – que les salariés du privé. À la clé, des millions d’heures de travail qui pourrait faire progresser la productivité des services publics en épargnant le budget de l’État.

Trop d’agents confondent allègrement congés payés et jours de RTT (réduction du temps de travail). Ici, les jours fériés ont aussi tendance à se multiplier : Les agents des départements d’Outre-Mer bénéficient du jour de la célébration de l’abolition de l’esclavage, complété en Guadeloupe et en Martinique d'un jour supplémentaire de repos en l'honneur de l’abolitionniste Victor Schœlcher.
S’y ajoutent six jours chômés en Guadeloupe (lundi gras, mardi gras, mercredi des cendres, mi-carême, Vendredi Saint, jour des défunts), et quatre en Guyane (lundi gras, mardi gras, mercredi des cendres, festival de Cayenne)…
Elle n’est pas belle la vie sous les tropiques ?
Dites donc, et si on « élargissait » ces dérogations à la métropole, ce serait rigolo, n’est-ce pas ?

Dans certains services, des événements familiaux peuvent donner lieu à des autorisations spéciales d'absence. « Chaque collectivité a développé sa propre doctrine en la matière », est-il noté. Ici c'est trois jours de congés, hors congés-payés, qui sont accordés pour un mariage, ailleurs dix jours.
Tout ceci à la discrétion de l'employeur-local, le « petit-chef » sur place.

Autre pratique douteuse : Les jours de fractionnement. Un agent qui divise ses congés annuels en trois périodes d’au moins cinq jours ouvrés bénéficie d’un jour ou deux de congés supplémentaires. L’auteur du rapport écrit : « Initialement prévue pour engager les agents à mieux étaler leurs congés quand ils en avaient moins, dans un souci de bonne marche des services, cette incitation a perdu sa justification à partir du moment où les agents disposent d’un volume de jours RTT et de jours de congés tel qu’il est devenu aisé d’étaler ceux-ci tout au long de l’année. »
Et de souligner le risque financier que fait peser le mécanisme du « compte épargne temps », qui permet aux agents de stocker leurs jours de repos non consommés afin de les utiliser plus tard ou de se les faire rembourser par l’État-employeur. Rien que dans les hôpitaux et la police, cette thésaurisation provoque l’immobilisation de 3 à 4 milliards d’euros qui s’apparentent à une dette.

Là-dessus, une étude que la presse anglo-saxonne, toujours prompte à se moquer de mon pays (celui que j’aime tant…), prend un malin plaisir à relayer. Selon la banque suisse UBS, ce sont les Parisiens qui auraient la semaine de travail la plus courte parmi les employés des grandes villes du monde !
Normal, s’ils ne sont que 2 millions à y habiter, ils sont presque 10 millions à y travailler, dont beaucoup dans les administrations centrales (voire « déconcentrées »).
Les salariés de la capitale travailleraient en moyenne 1.604 heures par an, soit 30 heures et 50 minutes par semaine.
Il s'agit évidemment d'une étude quantitative qui ne tient pas compte de la productivité horaire, un point sur lequel les travailleurs hexagonaux se distinguent au niveau mondial, paraît-il.
Ce qui reste vrai en termes de PIB rapporté aux heures payées. Mais comme sur 26 millions d’actif, il faut retirer 5 millions de « chômistes » et autant de « fonctionnaires & assimilés » et que ceux-là sont payés par des cotisations, impôts et déficits publics obligatoires assumés par les autres, ça pose question quant à cette « performance », puisque 57 % du PIB reste de la « dépense publique »…

Pour arriver à un tel résultat, UBS a pris en compte la durée de travail annuelle moyenne ainsi que les congés payés, les jours fériés de 14 professions dans 71 grandes villes du monde. Et le constat est sans appel pour la « Gauloisie-laborieuse ».
D'autant que, explique le Dailymail qui reprend l'étude, mon pays « va prochainement voter une loi qui interdira aux employés de consulter leurs mails professionnels les soirs et week-ends. »
Je rigole, là : La CGT-Stalinienne ne veut justement pas de cette loi-là.
Quoique désormais, il serait question de l’amender en un sens encore plus favorable aux seulement 3 % de syndiqués prêts à « partager » avec tous les autres pour en bénéficier.
Une affirmation qui fait référence à une disposition de la loi « El Konnerie » dite « droit à la déconnexion » obligera les salariés et les entreprises à se mettre d'accord sur « l’utilisation des outils numériques en vue d’assurer le respect des temps de repos et de congés ».
Encore faut-il qu’un accord soit signé et que l’une des centrales « historiques », de celles qui ont fait de la résistance dans un autre millénaire ou qui ont réuni plus de 30 % des votes en entreprises à l’occasion des élections de délégués du personnel, n’y mette pas son veto, comme pour l’ouverture du dimanche des « Galeries-farfouilles » pourtant plébiscitée par le « menu-fretin ».

Alors oui, la loi est la même pour tous, mais comme disait Coluche, « y’en a qui sont plus égaux que d’autres ! »
Entre-temps la « méritocratie » dont usait et abusait mon « cousin Napoléon », celui qui dort dans son septuple cercueil des Invalides et doit faire des loopings insensés dedans en contemplant ce que le pays est devenu, gangréné par la corruption-active de quelques minorités successives portées au pinacle du pouvoir « démocratique » par les urnes, aura été dénaturée jusqu’à la trame.
Que reste-t-il des « valeurs républicaines » au nom desquelles tout est finalement permis, je vous demande un peu ?
Eh bien « Gâte-aze » a tort en comparant encore dans la semaine la CGT à une entreprise de voyous et de terroristes : Elle est fasciste, anti-démocratique et dogmatique !
Totalitariste en somme…

Et de mon côté, de vous prévenir que sans un « sursaut » collectif, ça ira de mal-en-pis.
Parce qu’un totalitarisme entraîne un système mafieux qui nourrit lui-même le totalitarisme.
Ce n’est pas pour rien que Mussolini a pu prospérer en Italie, ni, touche d’espoir, que le régime de Salazar, totalement corrompu, s’est effondré au Portugal sous une pluie d’œillets…

4 commentaires:

  1. Cette corruption institutionnalisée est le fait de cette 5ème République devenue aujourd'hui obsolète. Dans votre forilège, vous oubliez la Super élite. Depuis que j'ai lu "Les cinq mille" de Simplicius Aiguillon (un collectif d'auteurs anonymes même si j'ai cru reconnaître la plume d'Agnès Verdier dans un passage), je suis dégoutée. Ils ne m'intéressent plus. Je ne voterai plus. Du coup, je ne regarde plus les infos, j'écoute uniquement BFM Business chaque matin et c'est tout.
    Aujourd'hui, je m'en fous de leurs tambouiles infâmes. Et en même temps j'ai de la peine pour mon pays d'arriver dans les bas fonds de l'histoire.

    Courtoisement vôtre
    ComtessÔPiedNu

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    1. Moi, c'est RCC : Toujours les mêmes tubes ce qui permet de savoir l'heure sans regarder sa montre :
      http://www.radiocalvi.fr/
      Et puis j'ai les pubs locales et nouvelles pas trop assommantes sur es meurtres et accidents locaux...
      Le dernier, c'est un dealer marseillais qui s'est fait allumé au fusil de chasse.
      Le 14ème cette année.

      Je suis dégoûté tout autant, mais je réagis et j'écris des "billets", au moins un par jour (en fait 4 par semaine) : Ca soulage !
      Mais je voterai. Même à la primaire LR !
      Pas question de refaire 2012, surtout pas !!!
      Parce que je ne me fais pas à l'idée de léguer un pareil pays, je veux dire dans cet état-là, à "ma nichée" (qui décidément n'y comprends rien et s'en fout !).
      Que c'est assez lamentable, même si elle (et vous) ont peut-être raison.

      Bien à vous (avant que je ne calme avec l'âge aidant).

      I-Cube

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  2. @ I-Cube

    J’ai réalisé que notre pays était devenu un « totalitarisme mafieux » lorsque j’ai découvert en décembre 1997 que « Mythe-Errant » avait détourné les indemnités de la guerre du Golfe de 1991.

    Depuis ce jour-là je n’ai pu que constater que les « réflexes totalitaires », les combines et arrangements des uns et des autres, la corruption gangrénaient le pays et que le système était extrêmement résistant : aucune opposition digne de ce nom n’est apparue pour divulguer l’affaire malgré le fait qu’elle est largement connue sur le web :
    http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/questions-au-gouvernement/

    Le système s’est pourri « à la tête » et le pourrissement s’est étendu à l’ensemble de la classe politique et à une bonne partie du réseau social.

    Pour ma part, je n’ai pas encore baissé les bras et je dois faire prochainement une interview sur WRS, une chaîne radio de militaire.

    D’où viendra le sursaut, s’il vient ?...

    Bien à vous !...

    Haddock

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    1. Yes !
      Good morning Francia !

      C'est plus facile de comprendre ce qui se passe quand on suit le fil rouge, effectivement.
      J'ai pu ainsi "éclairer" mon pote le trotskiste ce week-end.
      Il n'en fera rien, comme mes potes cocos, mais le relai passe petit-à-petit dans des sphères inattendues.

      Ceci dit, dans un autre domaine, il me semble au contraire que "les oppositions" venues de toutes parts se réveillent de plus en plus fort.
      Mais c'est pour d'autres raisons, naturellement.

      Bien à vous !

      I-Cube

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