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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 30 juin 2016

Pendant ce temps-là, on vous enfume comme jamais…


Quand la Cour des comptes refait ses comptes.

Bon, il faut reconnaître que le « Brexit » a quelques mérites : On ne parle pas des « choses qui fâchent », ou alors à la marge, l’urgence étant ailleurs.
Passée sous silence la création de plus de 30 taxes nouvelles depuis le début de l’année par le gouvernement.
Moi, je ne tiens plus les comptes : Pas le temps, mais on en serait à plus de 300 depuis l’arrivée au pouvoir du « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois »…
Combien ont disparu dans l’intervalle ?
Une pincée ?

D’autant que s’y mettent aussi les régions, dont « Valy-pète-fesse » en Île-de-France : Entre l’augmentation du pass-Navigo, baptisée « taxe-Valse », dont je rappelle qu’elle est supportée pour moitié par les employeurs renchérissant le coût du travail qu’on veut diminuer officiellement par ailleurs, pour un service dont il paraît qu’il est toujours aussi déplorable, voire pire, et la bonne idée de créer une « taxe régionale d’équipement » assise sur la valeur des fonciers de tout le monde, y’a pas à dire, question « attractivité-fiscale », on n’a rien inventé de mieux : La caisse, c’est par-là, merci pour votre obole forcée !

« De-la-Nuée » avait déjà fait le coup : À côté de la taxe foncière municipale, il avait inventé la taxe foncière départementale !
Maintenant, on passe à l’étape régionale, le tout avec les 7,5 % de frais de recouvrement national et demain, faudra bien payer la « taxe-Brexit » au niveau européen, que j’en pense.
Passons : Dans le brouhaha anglais, on n’a pas vu passer le rapport de la Cour des comptes (ou si peu).

Là, je m’inquiète, de loin, pour vous (en « Ritalie », on cause actuellement du sauvetage des banques locales pour plus de 40 milliards d’euro : Une autre paire de manches…)
Car toute la question est de savoir si le gouvernement de « Menuet-Valse » tiendra ou non la trajectoire de réduction du déficit public qu'il s'est lui-même fixée, « en toute liberté », comme il le clame régulièrement ?
Vous connaissez mon opinion sur le sujet, mais là je laisse la parole aux comptables de la Cour qui préviennent en substance que rien n’est moins sûr ! 

Dans leur communiqué de presse, les magistrats chargés de contrôler les comptes publics n'y vont pas par quatre chemins : « L'objectif de réduction à 2,7 % du déficit en 2017 a, sur la base des décisions connues aujourd'hui, un risque élevé de ne pas être atteint. »
Le Pays est pourtant attendue au tournant par ses partenaires européens, elle qui a bénéficié de deux délais pour revenir sous la barre fatidique des 3 % depuis l'arrivée de « Flanby » à l'Élysée en 2012.
« Cadeaux » des « soce-démocratouilles » eurocrates à un « soce-dogmatique » tout court.

Pour 2016, le risque serait gérable en disent-ils. Il faut dire que la marche à franchir s'avère plutôt modeste. Après avoir ramené le déficit à 3,6 % en 2015, un chiffre meilleur que le 3,8 % attendu, le ministre des Finances vise désormais 3,3 % à la fin de l'année dans un contexte de reprise économique.
Là, c’est présomptueux : Le chômage a recommencé son inflation mensuelle qu’on ne peut même plus maquiller, après deux mois « d’inversion » déguisée et les soubresauts de l’économie européenne qui est en train de diriger le vote britannique, risquent de malmener toutes prévisions, même raisonnables.

Mais… l'objectif est donc « atteignable », reconnaît la Cour des comptes, malgré des risques de dérapage des dépenses de l'État par rapport aux objectifs. Elle les évalue entre 3,2 milliards et 6,4 milliards par rapport aux objectifs votés en loi de finances : Au moins, voilà une fourchette pour le moins précise !
On n’est plus à 3,2 milliards près dans ce foutu pays : À 10 € l’heure de Smic, ça en fait du taff !
Qu’ils en concluent que l’exécution des dépenses est donc de plus en plus tendue : L’année dernière, à la même époque, les magistrats avaient identifié un risque plus limité, de 1,8 à 4,3 milliards…

Rien que les nouvelles dépenses annoncées par le gouvernement (plan d'urgence pour l'emploi et mesures pour les éleveurs et agriculteurs) pourraient mener à quelque 2,5 milliards de dépassement.
Et ils n’ont pas eu le temps d’intégrer les autres mesures évaluées à la louche entre 4 et 5 milliards…
Pire encore, la masse salariale de l'État devrait augmenter de plus de 1 %, une première depuis 2009, sous l'effet à la fois de l'augmentation des effectifs et du point d'indice des fonctionnaires, plus quelques mesures catégorielles en faveur des policiers et des professeurs ânonnant leur « transfert de savoirs » à des « apprenants ».
On y reviendra, puisque par ailleurs, ils sont tellement performants que l’immense majorité des « scolaires » sort de « les-Ducs-à-Sion » sans la moindre culture économique.
Et en plus, ça vote, mais si : On me l’a affirmé !

Le reste des dépassements identifiés semble provenir d'une sous-budgétisation chronique de certaines missions dans la loi de finances, comme les opérations extérieures de l'armée gauloise.
Mais peut-être vit-elle sur la bête, à l’ancienne, comme à Kolwezi, dans le Golfe et encore ailleurs, ce qu’on appelle pudiquement les « REX », les Recettes EXceptionnelles. 

La Sécurité sociale n'est pas non plus épargnée. L'échec des discussions sur la réforme de l'indemnisation du chômage entre syndicats et patronat devrait lui laisser une ardoise de 800 millions d'euros par rapport aux économies prévues…

Merci le MEDEF, la loi « El-Konnerie », les fondeurs et autres « tourneurs en rond » des manifs’.
Moi, j’adore les effets de l’autisme irresponsable…

Notez que le gouvernement de « Menuet-Valse » répond invariablement qu'il est parfaitement capable de tenir les dépenses grâce à ce qu'il appelle la « réserve de précaution », des crédits alloués aux ministères, mais qui peuvent être annulés en cours d'année pour faire face aux aléas de gestion.
Pour la Cour des comptes, cet outil, qui consiste à raboter les crédits en cours d'année pour faire face aux nouvelles dépenses, a ses limites : L'année dernière, seuls 4 milliards sur une enveloppe totale de 11 milliards ont effectivement été supprimés, apprend-on.
De la cuisine indigeste, finalement…
Car en juin, l'annulation de crédits consacrés à la recherche a déjà donné lieu à une fronde et « François III » est revenu sur les arbitrages de Bercy…
Dans ce contexte, le respect de l'objectif de déficit ne tient manifestement qu’à un fil.
D’autant qu’il « exigera une gestion très stricte des dépenses et ne laisse aucune place pour des décisions nouvelles conduisant à des hausses de dépenses », peut-on lire dans la synthèse de ce rapport.

En bref, ce qui était prévisible s’est réalisé : Le « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois » pris dans la tourmente a commencé son quinquennat par redresser les comptes en augmentant les impôts, en 2012-2013.
Un vrai massacre pour plus de 50 milliards.
À partir de 2014, l'accent a enfin été mis sur les réductions de dépenses, avec un plan d'économies de 50 milliards sur trois ans, de 2015 à 2017.
Du flan ?
Car le président de la République a été bien aidé par la baisse des taux d'intérêt réclamés par les investisseurs à la « Gauloisie-prospère » pour financer sa dette publique (celle que vos gosses ne pourront même pas rembourser).
Ainsi, depuis 2012, près de la moitié de la réduction du déficit enregistrée, de 5,1 % du PIB à 3,8 %, soit 1,3 point, est due à la baisse de la charge d'intérêt, ont calculé les magistrats de la Cour des comptes.
Même « Bling-bling » n’avait pas bénéficié d’un tel soutien de la finance internationale !

Mais c'est surtout pour la suite, de 2017 à 2019, que la Cour des comptes s'inquiète…
À moins de se succéder à lui-même (on ne voit pas bien comment, mais admettons), « Flanby » est en train de tirer des chèques en bois sur le compte de son successeur !
Non seulement la trajectoire budgétaire présentée en avril ne détaille pas les économies nécessaires l'année prochaine – le gouvernement renvoie à la loi de finances de l'automne moment du grand « chabadabada-budgétaire » –, mais, en plus, les vannes de la dépense publique sont à nouveau grandes ouvertes.
La hausse programmée des dépenses militaires, les mesures annoncées en début d'année en faveur de l'emploi et des jeunes, l'atténuation de l'effort demandé aux communes et surtout l'augmentation de la masse salariale de l'État devraient à elles seules générer 0,3 point de PIB de dépenses en plus en 2017, et encore davantage ensuite !
Magnifique, non ?
Et dire qu’ils ont tous fait « l’Êna »… Entrés sur concours : La crème de la crème !

Alors qu'elles représentent près du quart de la dépense publique, les dépenses de rémunération des fonctionnaires devraient augmenter l'année prochaine « à un rythme supérieur à celui enregistré sur l'ensemble de la période 2009-2015 », s'alarment particulièrement les magistrats dans la synthèse de leur travail.
Eh oui, à force de ne pas vouloir tailler dans les effectifs, mais à multiplier les postes redondants entre fonctionnaires territoriaux et entre nationaux et « agences », la logique des chiffres reste implacable … dans tous les cas !
Il faut dire qu'aucun des leviers qui avaient permis de contenir son évolution jusqu'à présent ne sera plus actionné : Fini, la stabilité des effectifs ; oublié, le gel du point d'indice ; terminé, la limitation des mesures catégorielles en cette année électorale.

Autant de largesses qui fragilisent la trajectoire de redressement des comptes présentée par le gouvernement en avril. Celle-ci prévoit un déficit de 1,2 % de PIB en 2019, ce qui revient à prévoir une réduction pure et simple de la dépense publique. Ce n'est pas gagné : de 2010 à 2015, celle-ci a progressé en moyenne de 1,1 % par an…
Et encore !

Piqué au vif, « François III » a réagi depuis le sommet de l'Union européenne en assurant que le pays devrait atteindre sa cible de déficit de 2,7 % en 2017, « si la croissance était ce que l'on pense pouvoir estimer aujourd'hui à 1,7 % l'année prochaine, et si nous continuons nos efforts en matière de maîtrise de la dépense, et si nous étions extrêmement vigilants sur l'exécution de notre budget ».
Beaucoup de « si » !
D'autant que le gouvernement parie toujours officiellement sur 1,5 % de croissance en 2017 et non pas 1,7 %. Une prévision qui pourrait être fragilisée par le « Brexit ».
Autrement dit, c’est déjà loupé avant même la prochaine saint-Sylvestre…

Conclusion : Vous vous souvenez des « 50 milliards d'économies » promis par le gouvernement de 2015 à 2017 ?
Je ne sais plus où, mais je me suis foutu de la gueule des fats qui l’avaient énoncé.
Du pur marketing !
Voilà ce que conclut la Cour des comptes, dans un langage beaucoup plus diplomatique que le mien…

Je rappelle ainsi qu’en 2014, « Menuet-Valse » avait promis 21 milliards d'économies en 2015, puis 14,5 par an en 2016 et en 2017.
Il jure aujourd'hui en avoir trouvé 18,1 l'année dernière (2015) et 13,2 cette année (2016), ce qui signifie que l'effort le plus important est, soit du vent, soit sera porté sur 18,7 milliards d'économies, en 2017, quand il ne sera plus là pour assumer ses mensonges !
D’autant qu’en année électorale, tous les « cadeaux » sont les bienvenus, du moment que c’est payé par votre propre pognon, pas le leur.

Plus intéressant, c’est aussi de rappeler, comme ne manquent pas de le faire les magistrats de la Cour des comptes, que ce calcul des économies se fait par rapport à la « hausse tendancielle » des dépenses publiques que l'on observerait « à politique inchangée », c'est-à-dire si aucune mesure de rigueur n'était décidée, ni encore moins tout « relâchement » budgétaire….
Se pose donc le problème de la mesure de cette « croissance tendancielle » d'une année sur l'autre.
C’est de la statistique : Déjà qu’on sait faire dire n’importe quoi au résultat d’une simple addition, quand on entre dans le domaine de la « stat’ », même pour un calcul de point-mort ex-ante, ou une simple régression linéaire (qui sont encore dans le domaine de la géométrie), c’est la cour des miracles !
Et c'est d’ailleurs là que le bât blesse.
Selon les spécialistes de la Rue Cambon, l'estimation du gouvernement, forcément arbitraire, est « plutôt élevée ».
Cela a pour effet de « majorer d'autant les économies affichées », écrivent les auteurs de la synthèse du rapport.
Ce que démontre d’ailleurs le passé immédiat, ex-post.

De toute façon, même en retenant les hypothèses du gouvernement sur cette fameuse « croissance tendancielle », la Cour des comptes ne retrouve pas les 50 milliards promis par Bercy !
Alors que le ministre des Finances évalue les économies réalisées en 2015 à 18,1  milliards d'euros (cf. ci-dessus), les magistrats, eux, n'en ont trouvé que 12…

Vous savez quoi ?
Qu’est-ce qu’ils drolatique tous ces incompétents-là !
En revanche et quoi qu'il en soit, il suffit de comparer et de constater que le pays est en retard sur la maîtrise de ses dépenses par rapport à ses principaux voisins et ce depuis 2010.
Exit « Bling-bling » et le « Capitaine-de-pédalo » avec un zéro pointé dans la gestion des finances du pays !
Et ce qu’il y a de terrible c’est que non seulement ils croient encore tous les deux à leurs chances pour 2017, mais qu’ils réussissent aussi à convaincre assez de citoyens atteints d’innumérisme pour passer pour des « cadors »…
Et ils sont encore assez nombreux pour s’en convaincre eux-mêmes.

Là encore, c’est assez fabuleux, finalement : Exactement le même problème qu’avec nos amis britanniques, en tout cas certains qui ne se pensaient pas « assez nombreux » pour voter le « Brexit » proposé.
Y’a de quoi en rire, n’est-ce pas !

6 commentaires:

  1. Le problème n'est pas une affaire de compétence ou d'incompétence! C'est une affaire de CHOIX politiques. Il en va des équilibres budgétaires comme du "Brexit" ... C'est au PEUPLE de décider! Comme, de toutes les façons, c'est le PEUPLE qui subit les effets, y compris quand ce n'est pas lui qui décide, autant le laisser décider... Là, au moins, il sera aisé de lui répondre : "Rappelez-vous! Vous l'avez voulu!". C'est ce qui se passerait si on procédait plus fréquemment, comme en Suisse, à des référendums ... Exemples :
    1. Voulez vous que l'on augmente les impôts, étant entendu que, dans cette hypothèse, on augmentera en priorité les VÔTRES?
    2. Voulez vous que l'on diminue les dépenses, étant entendu que, dans cette hypothèse, on diminuera en priorité celles dont VOUS bénéficiez?
    3. Etc.

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    1. Oh oui, ça, ça serait magnifique...
      Moi je paye tout de suite pour les fonctions régaliennes (sécurité, intérieure et extérieure, justice, institutions, et infrastructure) plus la dette accumulée, j'y ai pris ma part.
      Le reste, rien, nada, je n'utilise pas !

      Assurance-maladie, retraite, je paye mais je choisis ma compagnie d'assurance et les prestations que j'achète. Plus question de m'imposer des délires.

      Notez que si j'avais pu imposer ce que vous dites à tout le monde, on n'en serait peut-être pas là où vous en êtes restés et je n'aurai pas eu à exiler.
      Mais bon, ce n'est pas comme ça que ça s'est passé : La preuve !
      Alors on s'en remet tous à des incompétents-graves, de ceux qui ouvrent leur gueule le plus fort...
      Je l'ai toujours dit : On n'a jamais que ce qu'on mérite, pas plus, pas mieux, pas moins.

      Bien à vous !

      I-Cube
      On n

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    2. Donc, si on vous comprend bien, vous utilisez les policiers, les militaires, les juges (?) et même les routes ... Pourquoi ne voulez-vous payer les péages sur les autoroutes puisque vous les utilisez?
      Bien entendu, je suppose que tous les frais engagés pour recouvrer la santé ont été financés EXCLUSIVEMENT par vous seul?

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    3. Globalement, très certainement (et même au-delà), par la part de création de valeur ajoutée que mes activités ont pu générer.

      Je suis comme vous, j'utilise sans le savoir tous les équipements de sécurité (police armée diplomatie justice pompier, etc.) même si je n'en ai besoin : Ils sont là si j'ai besoin de les solliciter...

      Quant aux autoroutes, c'est justement un choix : Je paye quand j'y passe.
      Rien quand je ne les emprunte pas, tout comme vous !

      Bien à vous et bonne journée !

      I-Cube

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  2. Ces baisses des dépenses... par rapport à la hausse tendancielle! Et pourtant,tous les journaux titrent "baisse des depenses". Ou va la démocratie, sans bonne information?

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    1. Ils manquent juste de sens critique, sinon de simple "bon sens".
      Le "monstre" continue d'enflée, comme le chômage (démontrant au passage qu'il y a bien une corrélation puisque le phénomène existe depuis des décennies...) mais moins ...vite !
      Et ça leur suffit !

      Ceci dit, on constate quoi, sinon que plus personne ne sait faire une simple addition, ni au gouvernement, ni à la Cour des comptes !
      Invraisemblable et pourtant... Il suffit de les lire.

      Je pensais qu'ils faisaient "semblant" pour ne nous parler - et mesurer - que les "tendances" (une série de règles de trois, plus complexe qu'une simple addition) auxquelles les innuméristes que sont les gaulois ne comprennent encore moins que rien.
      Donc c'était fait exprès pour publier des bulletins de victoire...

      En fait, pas du tout me semble-t-il : Ils ne sont pas capables de faire une addition complète tout simplement, parce qu'elle est toujours fausse.
      C'est tellement complexe qu'il faut bien trois mois pour en faire le tour, donc attendre la loi de finances d'exécution du mois de mars qui suit la fin de l'exercice comptable.
      Note que c'est pareil en entreprise, quoique là on sache dès le mois de janvier en faisant les rapprochements bancaires et la liquidation de la TVA : Une vraie course à l'échalote annuelle.
      Mais en plus, dans les cotées, ont fait ça tous les mois et on publie tous les trimestres...

      En bref, la Cour des comptes et gouvernement ne peut pas se contenter d'additions et sont obligés de faire des "tendances", surtout quand il s'agit d'une exercice "pas encore ouvert" (le budget de l'année suivante).
      Alors que justement, moi je te faisais ça en une journée de travail dans les boutiques où j'œuvrais, à condition que je ne sois pas dérangé.
      Et en général, ça tombait juste.
      En tout cas c'était ma réputation auprès des banquiers...

      Bien à toi, Vlad !

      I-Cube

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