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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 1 juin 2016

Le retour de l’ancien régime ?…


Ses lettres de cachet, ses faits du prince…

Un post qui suit celui d’hier (cliquez sur précédent en bas de page), puisqu’une fois que nous avions causé du « ça va mal », madame (la « bombe atomique ») a commencé à parler « chiffon » : Très au courant des « rumeurs & ragots » les plus odieux et abjectes de la kapitale des gaulois.

Un « mystère » demeure sur votre « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois » : Pourquoi « Gras-Nul-Laid » ne s’est jamais marié ?
Elle ne sait pas que je m’en contre-cogne totalement le coquillard…
Mais poli, je fais « Je ne sais pas… » et m’arrête là.
Peut-être qu’il n’a pas encore trouvé l’âme-sœur, tout simplement.
« Parce qu’il est déjà marié et qu’il ne peut pas divorcer ! »
Allons bon : Je croyais qu’il n’existait pas d’empêchement au divorce !
Et puis il a fait quatre gamins à « Ségololo » : Ce n’est pas la première fois qu’on aura vu une telle circonstance.
« Non, c’est elle qui ne veut pas l’épouser. Parce qu’elle sait qu’il est déjà marié et qu’elle ne voulait pas qu’il divorce… »
Allons bon : Qu’est-ce que c’est que cette histoire-là ?
Et pour toute réponse je reçois un : « Elle a une famille compliquée, 7 frères et sœurs, des cousins et cousines en pagaille et des histoires de famille qui parfois vont jusque devant les tribunaux. Alors, marier un coureur de jupons bigame… » des plus mystérieux…
Billevesée insensée en pense-je.

« Vous savez quand même qu’il a fait un gamin à la maire de Paris ! »
Ah non ! Ça, ça a été vertement démenti… Et je proteste !
C’est tout juste s’ils se connaissent et ont pu se croiser.
Vraiment de sales ragots !
Même si elle, elle s’est fait faire des gamins par deux meks différents, dont on ne sait rien à propos du premier…
L’autre, c’est le porte-dossiers de Miss « Titine-Eau-Brie » devenu député par la folie des hommes depuis…
Mais pour un bail précaire de 5 ans seulement…

Quoiqu’à la réflexion, quand elle se jetait à mon cou pour me faire la bise, moi qui suis le quasi-sosie de « François III », les furoncles en moins, des cheveux et 20 bons centimètres en plus – le tonnage, je ne sais plus, puisque je maigri et qu’il enfle…
Mais hypnotisé par son doux parfum, je ne réfléchissais plus et bien sûr je n’en dis rien à « miss bombe-atomique »…
Mais non, ce n’est pas possible en suis-je sûr !

« Allons, allons ! Comment a-t-elle fait pour équilibrer le budget de la ville ? » me questionne-t-elle.
Là, ça devient plus sérieux.
Car je ne savais pas encore. Tout ce que j’avais retenu, c’est qu’il manquait environ 400 millions d’euros, pour avoir suivi un peu la dernière campagne municipale.
« Ne me dites pas qu’il lui a versé une « indemnité compensatrice » et qu’elle-même l’a versé dans les caisses de la Ville : Je ne vous croirai pas ! »
Non bien sûr : « Il n’a pas un rond et quand il dépense pour repriser ses chaussettes, ce n’est pas lui qui paye ! »
Vraiment méchante, la « bombe atomique ».
Vous comprenez peut-être mieux pourquoi, au-delà du bordel à bord de « my sweet-yacht » de dimanche dernier, je n’avais pas trop envie d’offrir une virée dans la baie de Portoferraio à mon ex-client-perso…

D’autant que j’en ai profité pour faire un tour sur Internet, du moment que ça passait et au moins vérifier cette affaires de 400 millions manquants.
Et là, j’avoue que c’est assez extraordinaire : Heureusement que mon voilier balançait mollement sur son mouillage, parce qu’il y a de quoi en chavirer.
Et là, ça compensait.
Car on se souvient que la Ville laissée par « De-la-Nuée » est archi-endettée comme jamais elle ne l’a été, que les impôts rentrent moins bien (notamment celui sur les transactions immobilières) et que soi-disant il n’était pas question de les augmenter (promesse électorale qui ne durera qu’un temps) mais qu’en plus, elle avait annoncé un plan d’investissement de 10 milliards pendant la mandature (j’ai eu le détail très précis en main), alors même que la baisse des dotations de l'État a fait perdre 590 millions d'euros entre 2015 et 2017 à la Ville et qu’elle a dû faire face à la hausse de sa participation au fonds de péréquation, du haut de sa stature de collectivité « riche » – elle pèse environ 8 milliards d'euros de budget – d'environ 330 millions d'euros en cinq ans.

Soyons sérieux, quand on sait utiliser la calculette Windows (merci infiniment à Bill Gates…), la capacité d'autofinancement de la capitale, indispensable pour financer ses investissements, s'est donc largement érodée : Ça « ne passe pas » !
Et pour y arriver, elle a donc dû procéder à une manipulation budgétaire, que la chambre régionale des comptes d'Île-de-France a pointée du doigt dans un récent rapport passé inaperçu (toujours les effets de la « pensée-unique »).
En effet, pour boucher un trou de près de 400 millions d'euros, qui lui aurait certainement imposé de mettre un frein à sa politique d'investissement, la mairie de Paris a imaginé un subterfuge en deux temps : Capitaliser en 2016 l'intégralité des loyers que lui doivent les bailleurs sociaux de la Ville au titre de l'emphytéose, soit environ 360 millions d'euros (sur les cinquante à soixante ans à venir) et ensuite transférer ce montant enregistré en section d'investissement vers la section de fonctionnement, afin d'équilibrer ce budget !
Euh, là, même moi je tousse…

C’est un peu comme si je « mobilisais » des recettes futures, ce qui n’est « orthodoxe » que dans l’affacturage (ou l’escompte de créances).
Et encore, sur du court-terme, pas sur des « abonnements » à plusieurs décennies : C’est parfaitement contraire à la règle d’annualité des exercices.
Première entorse, suivie d’une seconde qui consiste à basculer de « l’investissement » en mode « fonctionnement » en violation du « principe de spécificité » des budgets.
On m’a assez reproché, dans une autre vie, de rafistoler des locaux sur les budgets « fonctionnement » alors que je ne parvenais pas à obtenir les « budgets-investissement » nécessaires pour éviter que les plâtres et luminaires ne tombent sur le crâne de « mes » personnels pour savoir ça…
On n’emprunte plus mais on obère les recettes futures, ce qui revient au même pour les générations à venir.
Dans 60 ans, je serai mort, mais pas elles !

Et mieux encore dans le suspect, attention au calendrier de la manip’ : Pour ce faire, la Ville a utilisé les possibilités ouvertes par un décret du 27 novembre 2015 qui lui permet désormais de reprendre « en section de fonctionnement des loyers capitalisés qu'elle avait au préalable comptabilisés en recettes d'investissement au titre de ses dettes », indique la chambre régionale des comptes (CRC) d'Île-de-France.
La base « légale ».
Ce sont donc 360 millions d'euros qui ont été comptabilisés en section de fonctionnement par la mairie, au lieu de la seule la quote-part annuelle de la recette de loyers (ici 6,5 millions d’euros) qui, au titre du principe d'annualité budgétaire, « incrémente le résultat de fonctionnement de l'exercice », note la CRC.
Ainsi, « cette nouvelle méthode de comptabilisation demeure dérogatoire au regard des pratiques comptables communément admises », indique la CRC.
Ce serait même « contraire aux doctrines comptables », et consisterait en fait à « habiller les comptes » de la Ville de Paris.
Je veux bien le croire…

Mais ce n’est pas tout : Ce qui pose aussi question, c'est la rapidité avec laquelle la mairie de Paris a pu obtenir aussi facilement des ministères de l'Économie et des Collectivités locales une telle « fleur » budgétaire. À cet égard, on peut penser que la mairie de Paris est à l'origine de ce décret et a pesé de tout son poids pour obtenir l'accord de l'exécutif…
Ou inversement depuis l’Élysée devenue bienveillante…
En effet, le décret est publié le 27 et le 30 novembre 2015, soit seulement trois jours après sa publication, la kapitale a adressé une lettre aux ministères compétents leur demandant de pouvoir profiter de la possibilité offerte par le décret concernant « un excédent prévisionnel de la section d'investissement de 354,4 millions d'euros » lié à la politique de conventionnement menée avec des bailleurs sociaux.
Une réaction pour le moins hyper-rapide qui montre que la mairie de Paris était très au courant, avait fait ses petits-calculs et simulations bien en amont, si ce n'est plus, avant la publication de ce décret.

Encore plus significatif, sans délai, le lendemain 1er décembre, les ministres chargés du Budget et des Collectivités locales « ont répondu favorablement à cette demande après avoir approuvé le nouveau mode de comptabilisation qui était proposé » par la mairie de Paris, note la CRC, comme si ils n’avaient pas eu besoin de décacheter le pli parigot pour dicter leur réponse à leurs secrétaires.
Une réponse éclair qui interroge, quand on sait que la plupart des collectivités locales lorsqu'elles sont en grandes difficultés financières – on l'a vu pendant l'affaire des emprunts toxiques – doivent parfois attendre plusieurs années avant que Bercy daigne répondre favorablement à leur demande.
Voilà qui est effectivement particulièrement étonnant !

Mais de là à imaginer des histoires torrides qui relèvent du domaine de la médisance malveillante éhontée sur la vie privée des uns et des autres, il y a un pas que je ne franchis pas, bien évidemment.
Personnellement, ce que je peux reprocher à « Sœur Âne » c’est plutôt d’organiser ses propres « pré-bandes » en tout quiétude et impunité (un autre « truc » découvert à l’occasion de ces recherches-là). 

Par exemple, pour remédier au blocage de l’indice de rémunération des fonctionnaires de la Ville (qui va finalement être débloqué), elle a discrètement fait passer une mesure au Conseil de Paris, lors du débat d’octobre qui est passée inaperçue à savoir une hausse de 33 % des attributions de logement à ses fonctionnaires !
Un rapide calcul permet d’en mesurer l’impact : Elle avait a annoncé 10.000 logements sociaux nouveaux en 2016. Un quart de ces logements devrait être attribué à des fonctionnaires municipaux, soit 2.500 attributions. Or, c’est précisément le nombre de créations de postes que la Maire a annoncé dans ses services. Autrement dit, tous les nouveaux fonctionnaires parisiens pourront être logés par la Ville aux dépends des parigots si « bobos » !

Rappelons que la Ville compte 55.000 agents pour près de 2 millions d’habitants, soit moins de 3 % de la population. Or, 25 % des attributions de logements sociaux réservées à 3 % de la population bénéficiant de la garantie de l’emploi…
Même le Parti Communiste de l’Union Soviétique n’avait jamais osé !

J’en conclue qu’après deux siècles qui ont vu éclore les idéaux de la Révolution dont nous sommes encore les héritiers où se trouvaient aussi les idéaux de prospérité et la devise originelle « Liberté, égalité » (la « fraternité » est un rajout postérieur), on n’en est décidément plus là…
1789 voulait mettre un terme aux lettres de cachet, à l’arbitraire, au deux poids deux mesures. Souvenez-vous des « valeurs républicaines » : « La loi est la même pour tous », « les hommes sont égaux devant la loi ».
Eh bien il me semble qu’on est vraiment passé à côté, indignes héritiers des Lumières et que l’exemple vient de nos dirigeants élus…
Mais si !

Et c’est bien plus grave qu’on ne l’imagine même sous un régime de « soce-autistes » que de « trisomiques-de-droâte ».
C’est vous dire si je ne regrette pas trop mon exil, finalement.
Merci à la « bombe-atomique » d’avoir réveillé, sans le savoir, mon sens civique et mon profond rejet de ce qu’ils sont devenus…
Nous y reviendrons, parce que la corruption, petite ou grande, me semble se réfugier partout, jusque dans les manipulations des comptes publics.
Et vous le savez bien tous, la corruption ne survit que dans des régimes totalitaires.
Totalitaires et mafieux…

4 commentaires:

  1. Bonjour cher Ignoble Infreequanable,

    Et bien pour être au fait dans les moindres détails de ce qui se passe à Paname Sociality, je vous recommande ce site : http://www.delanopolis.fr/.
    Je vous garantie que pour S.F: Elle ne sent vraiment pas bon malgré son parfum qui vous envoutait, Elle pue...

    ComtesseÔPiedNu

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    1. Arf !
      Jalouse, MA Comtesse ?

      Je connais le site que je fréquentais assidûment à une époque lointaine, avant que "De-là-Nuée" lui ai fait des misères.
      D'autant que son fondateur, je pouvais le croiser au "marché Mouffetard" du temps où j'étais "parigot".

      Ont-ils fait un papier sur ce sujet de l'équilibrisme budgétaire de "Sœur-Âne" ?
      Ca m'intéresse.
      Parce que c'est une sacrée "gamine" la pote à "El-Konnerie".

      Mais bon, celle-là, quand elle aura déménagé de son "plus beaux Bureau de France", je ne serai pas fâché.
      Notez que comme je ne paye plus rien à la Ville, je m'en contre-tamponne totalement le coquillard : Juste une pensée pour ma Môman" qui persiste à se faire racketter...
      Elle a eu juste le bonheur de voir passer les formule "e" sous ses fenêtres. Mais il paraît qu'elle a attrapé froid dans l'exercice...
      A son âge canonique, un déménagement, c'est compliqué à envisager et puis son chat pourrait ne pas s'en remettre !

      Bien à vous Charmante Comtesse !

      I-Cube

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    2. Hey I-Cube! Je ne suis pas jalouse! Ce sentiment m'est totalement étranger puisque je suis viscéralement attachée à la liberté, cela ne va pas ensemble. Et puis je ne vois pas comment on pourrait jalouser un baudet andaloux (pas jalouse mais manifestement méchante, bon à ma décharge la langue de vipère est féminine).

      Bref, la gabégie est largement exposé sur ce site Delanopolis ici par exemple : http://www.delanopolis.fr/Au-secours--Hidalgo-ruine-Paris-a-vitesse-acceleree-_a2824.html
      Sans rancune j'espère.
      ComtesseÔPiedNu

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    3. Pas de rancune de ma part : Je reste seulement soumis à mes "démons de midi" pour n'avoir qu'un seul neurone en marche : Celui du nerf honteux.
      Je suis né comme ça, qu'est-ce que vous voulez !

      Ceci étant, le baudet, il serait dans mon pieu, je n'irai pas coucher dans la baignoire.
      En revanche, dans les réunions de la mairie-centrale, j'avais l'œil qui divergeait quand elle était en présence de "el-Konnerie".
      Celle-là, elle est mal attifée depuis qu'elle est ministre et vraiment pas mise en valeur, mais à part la "voix cassée par le tabac" (qu'elle a perdue), elle avait un "charme" à damner un moine.
      Je trouve que depuis, elle fait "pot à tabac" : ce doit être à cause de la cantine du ministère !
      Dommage : Complètement grillée et pour des années, la minettes !

      Bien à vous (jalouse de votre liberté, que si ce n'est pour rien en faire... bon passons ! lol)

      I-Cube

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