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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 6 mai 2016

Blagues recuites


Et pourtant, ce ne sont pas toutes des « revenues » !

Pour les « nouveaux » dans cette rubrique hebdomadaire, une « revenue », c’est une « histoire d’en rire » qui a déjà été publiée sur ce site (ou sur le précédant), qui fait parfois plusieurs fois le tour du monde, et me revient telle quelle mais le plus souvent améliorée, modifiée à la marge ou en totalité.
Là, ce n’est pas le cas, même s’il y en a encore trois.
Celles-là sont « recuites », parce qu’elles sont si vieilles que je les avais oubliées dans un coin d’un disque de sauvegarde que j’ai récemment consulté à la recherche d’un texte (pour le prochain roman d’été) que je n’ai hélas pas retrouvé.
C’est comme ça, c’est la vie, et je vous en fais profiter.
Et du coup, j’en ai une palanquée à vous servir pour nos prochains RDV :

Une jeune femme arrive en pleurs chez sa mère.
« – Qu'est-ce qui t'arrive, ma chérie ?
– Oh maman, quelle déception… Jean-Marc m'a battue !
– Ton mari ? Mais je le croyais en voyage d'affaires ?
– Moi aussi ! »

Une petite vieille se présente à la caisse du cinéma :
« – Vous faites quelque chose pour les personnes âgées ?
– Oui madame, nous les réveillons en fin de séance. »

Jean-Marc, complètement saoul, entre dans une église et s'introduit dans le confessionnal.
Le curé, qui a vu arriver le pauvre homme, prend place de l'autre côté de la grille.
« – Puis-je vous aider, mon fils ?
– C'est pas de refus ! Y a du papier de votre côté ? »

Un type va chez le psychiatre :
« – Docteur, je suis amoureux de mon chien. J'ai une envie folle de lui faire l'amour.
– Oui… je vois… Et ce chien, c'est un mâle ou une femelle ?
– Une femelle, docteur ! Vous me prenez pour un pervers ? »

Au bar, Jean-Marc commande pastis sur pastis tout en répétant d'une voix pâteuse :
« Avec ce que j'ai, je ne devrais pas boire autant. »
Un peu agacé, le barman finit par lui demander :
« – Et vous avez quoi ?
– Un euro cinquante. »

Une dame très coquette vient de s'offrir un lifting pour ses 44 ans.
En sortant de la clinique, elle avise un jardinier en train de tailler les rosiers.
« À votre avis, j'ai quel âge ? »
Le jardinier lève le nez et dit :
« – Ben… je dirais 35 ans.
– Eh bien non, j'en ai 44 ! » dit-elle toute contente.
Juste avant de rentrer par le bus, elle décide de prendre un en-cas au McDo.
Là, elle ne résiste pas au plaisir de demander au serveur :
« – À votre avis, j'ai quel âge ?
– Hmmm… 29 ans ?
– Pas du tout ! J'ai 44 ans ! » lance-t-elle en riant, vraiment ravie.
Arrivée à l'arrêt de bus, elle ne peut s'empêcher de poser la même question à un petit vieux qui attend là.
Le papy lève les yeux et dit :
« Excusez-moi, j'ai 85 ans et ma vue n'est plus ce qu'elle était. Par contre, j'ai une méthode infaillible pour connaître l'âge des femmes. Mais pour cela il faut que je leur mette la main dans la culotte. »
La dame, embarrassée, regarde à droite, à gauche, et, ne voyant personne, finit par accepter.
Le petit vieux s'exécute. Cela dure bien 5 minutes, pendant lesquelles il ne fait que marmonner d'un air ravi.
La dame commence à avoir des doutes.
C'est alors que le petit vieux s'écrie :
« Vous avez 44 ans ! »
La dame est sidérée.
« Ça alors ! Mais comment avez-vous fait ?
– J'étais derrière vous au McDonald's. »

Un jeune enseignant se confie à un collègue :
« – Je commence à douter de la fidélité de ma femme.
Ah bon ? Pourquoi ?
– J'ai commencé ma carrière à Paris. L'année suivante, j'ai été muté à Strasbourg. Deux ans plus tard ici, à Bordeaux…
– Et alors ?
– Et alors ? On a toujours le même facteur ! »

Une actrice qui reçoit à dîner des gens très importants donne ses dernières consignes à sa bonne :
« – Vous servirez le veau avec du persil dans les oreilles et une tomate dans la bouche.
– Bien, madame, mais… euh… vous ne craignez pas que j'aie l'air un peu ridicule ? »

Jean-Marc aborde une jolie fille dans la rue :
« Salut chérie. Si on allait à l'hôtel tirer un petit coup ?
– Non, mais ça va pas ! Vous me prenez pour une pute ?
Et qui vous parle d'argent ? »

De Jean-Marc :
« Quelle est la différence entre une échelle et un camion ?
Passer sous un camion ne porte pas malheur. »

Deux clochards discutent sous un pont :
« – Tu sais quoi ? J'aimerais me réincarner en casserole.
– Ben pourquoi ?
– J'ai toujours rêvé d'avoir le ventre plein, le cul au chaud et la queue dans la main d'une femme. »

Jean-Marc décide de laver son maillot de foot lui-même.
Perplexe devant la machine à laver, il crie à sa femme :
« – Chérie, j'utilise quel programme pour laver mon maillot de foot ?
– Ça dépend. Qu'est-ce qui est écrit dessus ?
– PSG ! »

Un culturiste emmène une fille dans sa chambre, l'installe sur le lit et commence un strip-tease. À chaque vêtement enlevé, il montre un de ses muscles qu’il fait rouler en disant :
« Tu vois ça ? C'est de la dynamite ! »
Ça commence par les biceps : De la dynamite.
Puis les pectoraux : De la dynamite.
Il les énumère tous et finit par les cuisses : De la dynamite !
Lorsqu'il enlève son slip, la fille lui demande :
« Mais dis-moi, c'est pas dangereux de trimballer autant de dynamite avec une mèche aussi courte ? »

Jean-Marc rencontre un de ses amis :
« – Tu en fais une tête ! Tu as perdu quelqu'un ?
– Non, c'est même le contraire. Je vais être père.
– Et c'est pour ça que tu tires une tronche pareille ?
– Oui. Je ne sais pas comment l'annoncer à ma femme. »

Un jeune homme sort précipitamment d'un café et interpelle un agent de police :
« C'est incroyable, je viens de me faire aborder par un gars qui m'a fait des avances ! »
L'agent lui lance un regard sévère :
« Ouh ! La vilaine rapporteuse ! »

Un Ricain, un Gaulois, un Rital, un Teuton et un Wallon entrent dans un bar et s'accoudent au comptoir.
Le garçon leur demande :
« C'est pour une blague ? »

Dans la brousse, deux tigres bavardent, couchés devant une trousse médicale :
« – Quel bon vétérinaire !
– Oui, dommage qu’il n’en reste plus. »

Dans un cocktail, une actrice rencontre une romancière qu'elle déteste, et c’est réciproque :
« – J'ai beaucoup aimé votre dernier livre. Qui vous l'a écrit ?
– Je suis ravie qu'il vous ait plu… mais qui vous l'a lu ? »

Deux éléphantes marchent dans la savane par une chaleur accablante.
Soudain, elles aperçoivent un point d'eau, frais et ombragé.
La première se précipite dans l'eau et commence à s'asperger avec délice, lorsqu'elle s'aperçoit que sa copine est restée sur la berge :
« – Tu ne viens pas te baigner ? Elle est super bonne !
– Je peux pas, j'ai mes trucs.
– Et alors ? Fais comme moi, mets un mouton ! »

Dans un embouteillage, Jean-Marc remarque une blonde ravissante.
La fille baisse sa vitre et lui adresse un grand sourire.
Tout content, il baisse sa vitre aussi.
Alors la blonde lui dit :
« Vous aussi, vous avez pété ? »

Un petit garçon dit à une petite fille :
« L'autre jour, mon papa il a oublié un préservatif dans la véranda. »
La petite fille ouvre alors des yeux grands comme des soucoupes :
« C'est quoi, une véranda ? »

Un homme est à l'hôpital depuis plusieurs jours, la tête enveloppée d'un gros pansement.
L'infirmière lui dit :
« – Mon pauvre monsieur, votre femme doit vous manquer ?
– D'habitude oui, mais cette fois elle m'a eu. » 

Jean-Marc arrive chez lui, la démarche incertaine et l'haleine avinée.
Sa femme l'attend sur le pas de la porte :
« – Tu peux m'expliquer à quoi ça rime de rentrer à la maison à moitié bourré ?
– C'est pas de ma faute, j'avais plus d'argent. »

Et on termine cette petite revue par trois « revenues » (parce que je préfère les originales) :

Un type se présente au guichet de « Paul-en-ploie » :
« Quel est votre nom ? » demande le guichetier.
« Jean-Marc, sans P.
– Pardon ?
Jean-Marc, sans P !
– Euh … excusez-moi, je ne comprends pas très bien.
– J-E-A-N, plus loin M-A-R-C, sans P !
– Mais... il n'y a pas de P dans Jean-Marc.
– C'est ce que je me tue à vous dire ! »
(Oui, c’est une revenue, mais récente ou plutôt une ancienne-reprise récemment : Dans l’originale, c’est « Johnny-Walker » [son surnom, compte tenu de sa descente] un « pseudo-journaliste » rencontré par « Charlotte » à Koweït-City fin juillet 1991 prénommé William, « sans P ».
Vous verrez ça cet été… ou peut-être plutôt, je ne sais toujours pas quand, finalement).

Dans le train, Jean-Marc se trouve placé en face d'une très belle jeune femme.
Il a beau la dévorer du regard, elle l'ignore superbement.
Tout en lisant distraitement son journal, il cherche un moyen original de l'aborder.
Il tombe alors sur un article qui lui donne une idée pour engager la conversation :
« C’est quand même terrible, hein ? À chacune de mes respirations, un homme meurt dans le monde. »
La jeune femme lui lance un regard froid :
« Essayez les pastilles à la menthe. »
(Ça, c’est une vraie « revenue ». Dans l’originale, c’était Dumè, sur le port de Calvi attablé en terrasse à l’ombre des palmiers, qui conseillait à son ami Ange de se brosser les dents…)

En « Corsica-Bella-Tchi-tchi », le patron d'un restaurant téléphone aux pompiers :
« Veuillez excuser ma secrétaire, elle s'est trompée en vous appelant.
L'incendie ne commencera que dans une heure. »
(Encore une revenue ! Dans l’originale, c’est Dumè qui rencontre Ange sur le port de Calvi et lui dit :
« – J’ai appris pour l’attentat de ta boutique. Tu étais bien assuré, au moins ?
– Chut ! L’attentat, c’est demain ! »)

Les autres, une prochaine fois !
Bon week-end à toutes et tous !

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