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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 26 février 2016

Des vertes et des mignonnes


Blagues de la semaine :

Bernard entre dans un bistrot et commande un double whisky.
« – Ça me remontera le moral : Je viens de trouver ma femme au lit avec mon meilleur ami.
– Ho, le salaud ! Mais il fallait lui casser la gueule !
– C'est fait. Je lui mis un coup de laisse et je l'ai privé de Canigou pendant 3 jours… » 

Bernard déprimait dans un bistrot.
Son pote le prend par l'épaule :
« – Qu’est-ce qui se passe, nanar ? Ça n’a pas l'air d'aller ?
– Putain, Robert, j'avais tout : Du fric, une belle baraque, une voiture du tonnerre, une nana d'enfer… et d'un coup pffft, plus rien !
– Bin, qu’est-ce qui s’est passé ?
– Ma femme a tout découvert ! » 

Avis d’expert à « Pleur-Pèle-rein » : « Il vaut mieux être cocu que ministre !
Au moins on n'est pas obligé d'assister aux séances ! »

Conversation dans un bar, devant le petit-blanc matinal :
« – Oh dis donc, ce matin ma femme m'a lancé un ultimatum : Elle m'a dit « Plus de sexe jusqu'à ce que tu arrêtes de fumer ! »
– Et tu penses tenir longtemps ?
– Bah, au moins jusqu'à ce que ma maîtresse meure. »

Robert et Bernard :
« – Dis donc, tu as su pour ma femme ?
– Non, quoi ?
– Elle est partie avec mon meilleur ami !
– Hééé attend ! Je croyais que c'était MOI ton meilleur ami !
– Ha ? Plus maintenant ! »

Robert entre dans un bar et commande une bière.
« – Voilà », dit le garçon, « ça fera 10 centimes.
– 10 CENTIMES ? C'est pas cher chez vous !
– Eh oui ! »
Robert regarde la carte :
« – Et pour une côte de bœuf frites, ça ferait combien ?
– 20 centimes.
– 20 centimes ? Mais à qui est ce resto, pour faire des prix aussi bas ?
– Il est au type qui est en haut avec ma femme. » 

Deux copains qui ne ce sont plus vus depuis plus de deux ans.
« – Alors Bernard, quoi de neuf ?
– Oh dis donc, quel malheur, si tu savais… Je suis cocu !
– Je t'ai demandé quoi de neuf… » 

C’était les « vertes ». Voilà les « mignonnes » :

Un gamin regarde sa mère enceinte se dévêtir…
« – Dis Maman, pourquoi tu as un gros ventre ?
– Ça », lui répond sa maman, « c'est parce que papa m'a donné un petit bébé. »
Le gamin sort de la chambre et s'en va retrouver son père pour lui demander :
« – Papa, c'est vrai que tu as donné un petit bébé à maman ?
– Oui », lui répond tendrement son jeune papa…
« Hé bien ! Elle l'a mangé ! »

Ce sont les parents qui expliquent à la petite fille qu'elle va avoir un petit frère :
« – Comment tu veux l'appeler, ton frère ?
– Autorail !
– Mais ce n'est pas un prénom ça !
– Et alors, vous m'avez bien appelée Micheline ! » 

Une petite fille et sa maman sont sur la plage… et un monsieur arrive en maillot de bain.
La petite demande à sa maman :
« Qu'est-ce qu'il a le monsieur dans son maillot ? »
La maman embêtée lui répond :
« Son portefeuille ».
Alors la petite fille ajoute :
« Eh bin, depuis qu'il te regarde qu'est-ce qu'il fait comme économies… » 

Un petit garçon et une petite fille sont dans le même lit.
Le petit garçon : « Dis, tu sais quel est la différence entre un petit garçon et une petite fille, toi ? »
La petite fille : « Non, c'est quoi dis ? »
Le petit garçon soulève alors les couvertures et dit :
« Bin regarde, c'est simple toi, tu as un pyjama rose et moi un bleu. » 

Dans le même genre :
Deux bébés viennent de naître à l’hôpital. L'un dit à l'autre :
« – T'es une fille ou un garçon ?
– Je suis une petite fille… et toi ?
– Moi, je ne sais pas !
– Baisse ton drap, je vais te dire ce que tu es. »
Le bébé baisse son drap mais :
« Baisse plus bas, je ne vois pas ! »
Il baisse encore plus bas et la petite fille dit :
« – Oh, bin t'es un petit garçon : T'as des chaussons bleus ! » 

Les aventures de mon « boss-à-moi » :

Il était invité à une réception avec son épouse au palais princier.
Dans le courant de la soirée, il a une conversation à bâtons rompus avec une très jolie jeune fille, portant beaucoup (trop) de maquillage et très peu (vraiment peu) de vêtements.
Au cours de la conversation, il se rend compte que sa femme l'observe et que ses yeux lui lancent des éclairs.
S'éclaircissant la gorge, il lui dit :
« Ah, ma chérie, cette jeune femme et moi avions une conversation purement professionnelle. »
Et sa femme lui répond d’un ton glacial : « J'imagine, oui. »
Et d’ajouter :
« Mais c'était de ta profession ou de la sienne dont vous parliez ? » 

Deux amis sortent ensemble d'une séance de sauna.
Ils se rhabillent tranquillement…
Mais il y en a un qui se fout un porte-jarretelles autour de la taille.
Mon « boss-à-moi », assez surpris, lui demande :
« Hé ! Mais qu'est ce qui te prend ? Tu mets des trucs de gonzesse, toi maintenant ! Ça ne va pas ?
– Attends, j't'explique. C'est ma femme qui a trouvé ce machin entre deux coussins du canapé ! Mais elle, elle n'en porte pas. Alors elle m'a dit : « Et naturellement, tu vas me faire croire que c'est à toi, ça ? » » 

Mon « boss-à-moi » a remarqué, un soir qu’il dînait en ville avec son épouse, que son voisin de tablée et une très belle femme dînaient ensemble.
Le maître d'hôtel a soudain le regard attiré vers eux car l'homme est en train de se laisser glisser très doucement sous la table, alors que la femme fait comme si de rien n'était.
Intrigué, le maître d'hôtel s'avance jusqu'à elle et dit à la dame :
« Je vous prie de m'excuser, mâdame, mais votre mari vient de glisser sous la table. Est-ce que tout va bien ? »
La femme lui répond : « Non, mon mari ne vient pas de glisser sous la table… Mon mari vient simplement d'entrer dans le restaurant. » 

Un jeune marié rencontre à mon « boss-à-moi » le lendemain de sa nuit de noces.
« – Bin, voilà : Ce matin-là, j'ai été repris par mes habitudes de célibataire et, avant de partir, je laisse 200 € à ma femme !
– Et c'est tout ? » fait mon boss-à-moi. « Mais ce n'est pas grave, ça !
– Oui, mais ce qui m'inquiète, c'est qu'après, elle m'a rendu 50 € ! » 

Un quasi-milliardaire, patron d'un empire de la presse, et client de mon « boss-à-moi », reçoit un coup de fil de son avocat :
« – J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. Vous voulez la bonne ou la mauvaise d'abord ?
– Dites toujours la bonne…
– Votre femme détient une photo qui vaut bien 50 millions de dollars.
– Waow super ! Et quelle est la mauvaise ?
– La mauvaise, c'est qu'il s'agit de vous avec votre secrétaire. »

Et pour finir, le carré de notre « ami-Jacques » :

Un curé et un rabbin se trouvent assis face à face dans un train.
De quoi parlent-ils ? De religion, de Dieu et de Jésus !
« – Je n'arrive pas à comprendre », commence le curé, « la bêtise de Judas.
– Pourquoi donc ?
– Il a vendu Jésus pour trente deniers, ce n'étais pas très judicieux.
– Croyez-moi monsieur le curé, s'il l'a vendu à ce prix-là, c'est qu'il ne devait pas valoir plus. »

Ça se passe en plein hiver, alors qu'il fait – 20° C dehors et que la neige recouvre tout le pays.
Le vieux Simon Rosenblumstein est à l'article de la mort.
Dans un souffle, il demande à sa femme Rachel qui reste près de son lit de lui appeler un prêtre.
Rachel s'étonne :
« Mais enfin Simon, pourquoi un prêtre ? Tu n'as plus toute ta tête… »
Alors le vieux Simon lui répond :
« On va quand même pas déranger le rabbin avec un temps pareil ? »

Bon week-end à toutes et à tous !

I3

2 commentaires:

  1. J'aime bien celle de la conversation professionnelle. Très subtile. Mais néanmoins sous la ceinture!

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    Réponses
    1. Elle est réputée "être authentique".
      Et quad tu connais la taulière, tu n'as plus beaucoup de doute...

      Bien à toi !

      I-Cube

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