Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 15 janvier 2016

Les blagues de Robert…


Récente fournée

Robert retrouve son copain Bernard affalé sur le zinc de leur bar habituel, dans un état d’ébriété avancé et les yeux rougis par les larmes.
« Qu’est-ce qui se passe mon pote ? » lui demande-t-il en lui donnant une tape amicale dans le dos.
« C’est à cause d’une femme, » répond Bernard.
« Une femme ? Il ne faut pas se mettre dans des états pareils pour une femme. Et puis d’abord, quelle femme ? » s’enquiert Robert.
« – C’est TA femme.
– Ma femme ? Qu’est-ce qu’elle t’a fait ?
– Eh bien, je crois bien qu’elle nous fait cocus… » 

Rentré chez lui Robert a une explication houleuse avec son épouse.
Qui se termine en violente dispute.
Robert y met un terme avec ce jugement sans appel :
« Et puis ta mère elle est tellement conne que même le perroquet ne répète pas ce qu’elle dit ! »

Le garde-champêtre à Robert :
« – Je suis désolé, mais il vous faut un permis pour pécher ici.
– Non, merci, ça va très bien avec un ver. »

Pendant un cours d’archéologie à l’université, l’éminent professeur Robert présente à ses élèves une très vieille lampe à huile découverte en Asie Mineure.
Au moment où il saisit la lampe, un génie en sort et d’une voix grave et assurée il dit :
« Professeur Robert ! Je t’apparais ici et maintenant pour te récompenser de ton comportement désintéressé et exemplaire. Je vais t’accorder un vœu parmi trois propositions. Tu choisiras sans pouvoir revenir en arrière, et ensuite je disparaîtrais à jamais. Les trois souhaits que je te propose sont une richesse infinie, une sagesse infinie, ou une beauté infinie. »
Le génie laisse au professeur quelques secondes pour réfléchir puis il lui demande :
« Voilà, je t’écoute, quel est ton choix ? »
Sûr de lui et sans l’ombre d’une hésitation, Robert répond :
« – Je choisis l’infinie sagesse !
– Eh bien c’est fait ! » répond le génie en s’évanouissant dans un nuage de fumée et de lumière.
Maintenant, toutes les têtes des étudiants de l’amphi se tournent vers le professeur.
Les élèves sont médusés.
Ils attendent que leur prof dont le visage apparaît auréolé d’un halo de lumière leur parle.
« Professeur, dites quelque chose » lance quelqu’un.
Et le professeur Robert répond :
« J’aurais dû choisir l’argent. »

C’est une jeune fille qui vient prendre place dans le confessionnal.
Elle se penche à la grille du parloir et commence :
« – Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai pêché.
– Allez-y mon enfant, parlez, quel pêché avez-vous commis ?
– Mon père, j’ai commis le pêché de vanité. Deux fois par jour, je me contemple devant le miroir en me disant que je suis magnifique. »
À ce moment-là, le curé se penche à la grille et observe longuement la jeune fille, puis il lui dit :
« Mon enfant, j’ai une bonne nouvelle pour vous : Ce n’est pas un pêché, c’est simplement une erreur. »

C’est dimanche, il fait beau, et c’est aussi le jour du Prix d’Amérique.
Monsieur Robert, pour faire plaisir à sa femme avec qui il s’est réconcilié, lui propose de l’emmener à l’hippodrome.
Une fois sur place, les deux époux Robert rencontrent Bernard.
« – Hé, mais c’est Bernard ! Alors qu’est-ce que tu fais là ?
– Ben, comme tu vois, je suis venu pour jouer…
– Alors tu vas m’expliquer, » répond Robert, « parce que je n’y connais rien du tout !
– Mais moi non plus, je n’y connais rien ! Je joue simplement des combinaisons au hasard, et ça marche quasiment à tous les coups. Tiens, je vais t’aider à remplir ton quarté, tu es marié depuis combien d’années ?
– 15 ans.
– Et vous faites l’amour combien de fois par semaine ?
– 7 fois.
– Vous avez des enfants ? Quel âge a votre aîné ?
– 12 ans.
– Et pour terminer, vous habitez à quel étage ?
– Au quatrième.
– Parfait ! » termine Bernard. « Je vais cocher pour toi dans l’ordre le 15, le 7, le 12 et le 4. »
La course a lieu, mais à l’arrivée, la combinaison gagnante est : 15-1-12-4.
Alors Madame Robert attrape son mari par le col, elle le secoue comme un prunier et lui dit :
« Quel idiot tu fais ! Mais quel idiot ! Si tu avais dit la vérité, nous serions riches maintenant ! »

Le docteur vient de procéder à toute une batterie de tests et examens.
C’est le moment où il va rendre son diagnostic à Robert.
« – J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. Je vous dis la mauvaise nouvelle d’abord : Vous avez une maladie extrêmement grave. En moyenne, seule une personne sur dix peut y survivre !
– Oh c’est terrible docteur. Mais dites-moi, quelle est la bonne nouvelle alors ?
– Mes neuf derniers patients sont morts. »

Robert, de nouveau chez son toubib :
« – Docteur, il faut que vous m’aidiez… Ma femme n’aime plus faire l’amour.
Vous n’auriez pas quelque chose, un médicament, des comprimés que je pourrais lui donner ?
– Écoutez non, je ne peux vraiment pas…
– Docteur, on se connaît depuis quoi, 15 ans maintenant ? Est-ce que vous m’avez déjà vu dans cet état-là ? Non bien sûr ! Je suis désespéré. Je n’arrive plus à me concentrer, ma vie est devenue un enfer. »
Alors le Docteur se lève, va jusqu’à une étagère et prend une boite de comprimés. Puis il donne la boite à Robert en disant :
« – Normalement, je ne fais jamais ça. Ces pilules n’ont pas d’AMM et tout cela est expérimental.
Les premiers tests effectués montrent déjà qu’elles sont très, très puissantes…
Alors vous allez en donner UNE à votre femme. C’est bien compris, hein : UNE SEULE.
– Docteur, elle est vraiment devenue TRES, TRES froide vous savez. Vous pensez qu’une seule pilule suffira ?
– Une seule. Vous n’aurez qu’à la mettre dans son café par exemple : Elle ne sentira pas le goût.
– D’accord docteur. »
Robert paie la consultation et rentre chez lui plein d’allégresse.
Lorsque le dîner est terminé, il profite de ce que sa femme est repartie à la cuisine pour mettre une pilule dans le café de sa femme…
Puis, après avoir hésité, il met une deuxième pilule dans le café…
Et à ce moment, il commence à être pris de remords en repensant à ce que lui a dit le médecin : Les pilules sont très, très puissantes…
Alors il trouve la solution à son dilemme : Il se verse lui aussi une pilule dans son café.
Sa femme revient alors prendre le café à la table.
Puis ils passent dans le salon, et là, après quelques minutes, sa femme commence à se caresser doucement en soupirant, et puis d’une voix langoureuse elle murmure :
« Je veux un homme… »
Et Robert répond les yeux brillants :
« Moi aussi ! »

Robert et Bernard sont deux des plus grands fans de base-ball Américain.
Pendant toute leur vie d’adulte, Robert et Bernard ont discuté de base-ball en hiver.
Ils regardaient jusqu’à 60 parties par an à la télé.
Ils ont même consenti que quiconque mourrait en premier essaierait de revenir et pour dire à l’autre s’il y avait du base-ball au ciel.
Une nuit d’été, Bernard décède dans son sommeil après avoir regardé la victoire des Yankees plus tôt en soirée.
Il est mort heureux.
Quelques nuits plus tard, son copain Robert se réveille au son de la voix de Bernard tombant de l’au-delà.
« Bernard, est-ce que c’est toi ? » dit Robert.
« Bien sûr que c’est moi, » répond Bernard.
«  C’est incroyable ! Alors dis-moi, est-ce qu’il y a du base-ball au ciel ?
– Bien, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour toi. Laquelle est-ce que tu désires entendre en premier ?
– Dis-moi la bonne nouvelle en premier.
– Bien, la bonne nouvelle est que « oui » il y a du base-ball au ciel, Robert.
– Oh, que c’est formidable ! Alors que pourrait être la mauvaise nouvelle ?
– Tu lances demain soir. »

Robert dirige les laboratoires d’archéologie de l’université.
Germaine est une de ses employées depuis plus de vingt ans.
Un beau jour, elle entre très énervée dans le bureau du patron :
« – Monsieur le directeur ! Il faut que je vous parle. Ça fait trop longtemps que je garde ça pour moi, et aujourd’hui, il faut que je vous le dise en face : Depuis vingt ans que je travaille pour vous, je n’ai jamais eu d’augmentation de salaire, alors que toutes les copines ont vu leur salaire progresser. Alors, est-ce que vous allez enfin m’augmenter ?
– Mais bien sûr Germaine » lui répond le professeur Robert avec calme. « Vous serez augmenté dès que vous ferez un travail de qualité…
– Oh zut alors… » se dit Germaine. « Je me doutais bien qu’il y avait un piège ! »

Paroles de sage :
« Notre jeunesse (…) est mal élevée, elle se moque de l’autorité et n’a aucune espèce de respect pour les anciens.
Nos enfants d’aujourd’hui ne se lèvent pas quand un vieillard entre dans une pièce, ils répondent à leurs parents et bavardent au lieu de travailler.
Ils sont tout simplement mauvais. »

« Je n’ai plus aucun espoir pour l’avenir de notre pays si la jeunesse d’aujourd’hui prend le commandement demain, parce que cette jeunesse est insupportable, sans retenue, simplement terrible. »

« Notre monde a atteint un stade critique. Les enfants n’écoutent plus leurs parents.
La fin du monde ne peut pas être très loin. »

« Cette jeunesse est pourrie depuis le fond du cœur. Les jeunes gens sont malfaisants et paresseux.
Ils ne seront jamais comme la jeunesse d’autrefois.
Ceux d’aujourd’hui ne seront pas capables de maintenir notre culture. »

De « Nagea-Belle-qu’a-sème », l’actuelle ministre de « les-Ducs-à-Sion » ?
Ne rêvez pas, tout de même…
- La première citation est de Socrate (470-399 av. JC),
- La deuxième est d’Hésiode (720 av. JC),
- La troisième est d’un prêtre de l’antique Égypte,
- La quatrième a été découverte sur une poterie d’argile dans les ruines de Babylone.

Une dernière spécialement pour mon conseiller Jacques :
Un touriste américain visite l'Irlande du Nord. Alors qu'il se balade dans Belfast au plus fort de la guerre civile, quelqu'un s'approche de lui par derrière, lui colle le canon d'un pistolet dans le dos et lui demande :
« Qu'est-ce que tu es, Catholique ou Protestant ? »
L'américain réfléchit et se dit que si jamais il lui dit qu'il est catholique, et que lui est protestant, il va se faire tuer… et s'il dit qu'il est protestant, et que lui est catholique, il se fera tuer aussi…
Alors le touriste répond :
« En fait, je ne suis ni l'un ni l'autre, je suis juif. »
Alors l'agresseur fait :
« Waow ! J'ai une sacrée chance, en ce moment ! Je dois être le palestinien le plus heureux d'Irlande. »

Bon week-end à toutes et à tous !

I3

2 commentaires:

  1. Bonjour,
    On pourrait croire que c'est une blague...mais non ! je vous recommande d'aller jeter un oeil à ça : http://www.les-crises.fr/le-ps-veut-sanctionner-le-buzz-mensonger-par-135-000-e/
    le passage "de nature à ébranler la discipline ou le moral des armées ou à entraver l’effort de guerre de la Nation." me fait penser à votre Ami l'Ami-râle...
    Bien cdlt

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. J'ai vu ça en direct depuis un site d'actualité publique...

      A me tâter pour un faire un post la semaine prochaine.

      Merci à vous, même si c'est confirmé, il n'y a vraiment plus de quoi en rire...

      Sacré époque !

      Bien à vous !

      I-Cube

      Supprimer