Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 25 janvier 2016

Champagne le 20 novembre prochain au soir !


Promis : Je trinquerai à la défaite de « Fifi-le-déchu »

Et au Dom Pérignon frappé, s'il vous plait : Tant pis pour ma glycémie !

Car celui-là, pendant 5 ans, à force de jouer au « toutou » à son pépère, tout en faisant caguer son maître « Bling-bling » plus qu’à son tour, j’en aurai soupé.
Attend, il n’y a jamais eu qu’une seule chose qui comptait pour lui, dès son mentor « Joël-la-taule » décédé, puis son second en la personne de « Phi-phi-Sait-gain » passé « l’arme à gôche », c’est de progresser dans sa carrière personnelle.

Minute-man : Aujourd’hui il nous raconte sur tous les airs qu’il a un programme pour le pays.
Tiens donc ?
Il n’en avait donc pas auparavant ? Que nenni !
Non seulement il a participé à fabriquer celui de « Bling-bling » pendant trois ans, mais il a eu cinq, cinq années complètes, pour le mener à bien !
Et qu’en a-t-il rien fait durant cette époque-là, sinon d’ouvrir les portes de l’Élysée à « François III » que déjà (et demain à « Marinella-tchi-tchi »), tellement ça devenait évident, lui s’était réservé un parachute doré dans la seconde circonscription parigote au grand drame de « Rachi-dada-Mimi » qui s’y voyait déjà, la pauvrette !

Et pour affirmer mon propos, il suffit de jeter un coup d’œil sur son CV :
– Du 30 mars 1993 au 11 mai 1995, il est ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dans le gouvernement « Bat-la-mou » sous « Mythe-errant ».
Mais oui, il léchait déjà les pompes de du « grand-faiseur » qui lui aussi s’y croyait déjà…, dans la clique des « socio-traites » amis de trente ans…
J’en rigole encore, figurez-vous !
– Deux ans après, il s’était refait une virginité plus vite que la lumière et que bien d’autres : Du 18 mai 1995 au 2 juin 1997, il est ministre des Technologies de l'information et de la Poste, puis ministre délégué chargé de la Poste, des Télécommunications et de l'Espace dans les premier et deuxième gouvernements « Al-Un-Jupette » sous le « Chi ».
Je te dis, un retourneur de veste comme on en fait plus beaucoup.
Mais il aurait encore des convictions que pour le pays, n’est-ce pas…

Bref gros passage à vide en 97 : Il ne plaît plus à la chiraquie, alors il prépare son retour à l’occasion de la troisième cohabitation : Il n’a pas pu être appelé à un gouvernement d’ouverture : Tant pis, hein ! Lui, on lui en imposera une, d’ouverture.
Et il se recase à l’AN puis au Sénat en 2004.

Entre deux, rebelote :
– Du 7 mai 2002 au 30 mars 2004 il est ministre des Affaires sociales, du Travail et de la Solidarité, dans les premier et deuxième gouvernements « Raf-la-main-sur-le-cœur » (où il est numéro 3 du gouvernement) et nous laisse quantité de réformes sans suite ou retoquées par la Conseil Constitutionnel, mais subsiste sa fameuse réduction de charges sociales sur les bas-salaires…
– Du 31 mars 2004 au 31 mai 2005 il passe ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
Et nous met les lycéens et l’université dans la rue…
Des réformes encore et toujours, qui ne passent pas.

Le 1er juin 2005, le nouveau Premier ministre consulte pour constituer son équipe gouvernementale. Mais pas lui : L’affront ! C’est par un coup de téléphone du « Chi » qu'il apprend qu'« il n'y a pas de place » pour lui au gouvernement. La formule employée est ressentie comme une humiliation pour « le déchu » et un désaveu explicite.
C'est alors, que peu de temps après, il déclare à un journaliste du Monde qu'il est le seul à avoir mené neuf réformes législatives (dont les réformes portant sur le RMI, les retraites ou les 35 heures) et que lorsque le bilan du mandat du « Chi » sera fait, « on ne se souviendra de rien, sauf de (ses) réformes », propos qu'il nuancera plus tard comme celui d'« un accès de colère et de vanité » … fastueuse.
Il avait auparavant déclaré : « Il y a ceux qui se font mousser devant les caméras tous les soirs, et puis il y a ceux qui font les réformes dont on parlera encore dans vingt ans. »

Il prévient dès lors qu'il va « s'investir à fond dans l'UMP, préparer les échéances futures pour Nicolas Sarkozy en 2007 » et qu'en le refusant dans le nouveau gouvernement, on a fait de lui « un directeur de campagne avant l'heure ».
Les propos de « Fifi-le-déchu » font mouche dans la classe politique peu habituée à ces emportements de quelqu'un perçu comme « gentil », pondéré, voire en retrait.
Non, juste un arriviste de plus. Et sans la carrure.
C'est le discours de la rupture définitive avec le « Chi » : Il se choisit un nouveau maître en la personne de « Bling-bling ». Car, malaimé comme lui dans le temps, il se sent injustement puni, bouc émissaire des manifestations massives contre ses réformes des retraites et de l’école mais aussi pour son rapprochement politique avec « Bling-bling » alors, il se venge.

Et c’est payant !
Bien qu’il n'apparaisse pas dans l’organigramme officiel de campagne de « Bling-bling » il devient l’un de ses collaborateurs principaux aux côtés de « Cloclo-gué-an » et de « Bas-vide Mare-Tinon ».
D’ailleurs, du 17 mai 2007 au 10 mai 2012 il est Premier ministre de la République, un long quinquennat où il ne décramponne pas des accoudoirs de son fauteuil, le doigt sur le bouton nucléaire-bis, pour tenir le record de la fonction en avalant couleuvre sur couleuvre.
À la bonne place pour mettre en œuvre les réformes qu’on attend de lui et de son nouveau mentor.
Il déclare d’ailleurs : « Ce sera un gouvernement libre, mais qui mettra en œuvre scrupuleusement le projet. »
Tiens donc !

Dès l'été 2007, les premières mesures du gouvernement semblent indiquer une diminution du rôle même de Premier ministre, le nouveau président semblant vouloir prendre en main directement les dossiers avec ses ministres, y compris médiatiquement.
Les observateurs de gauche et de droite parlent alors et assez rapidement d'« hyperprésidence ».
En bref, pendant 5 ans, il s’écrase, sa seule légitimité durable.
D’autant qu’il accumule les gaffes. Ses déplacements à Bruxelles au sommet du Parti populaire européen passent inaperçus dans les médias tout comme ses rencontres avec le président de la Commission européenne, le président du Parlement européen et enfin le président de l'Eurogroupe, alors que « Bling-bling » monte en première ligne sur tous les dossiers brûlants comme celui de la restructuration d’Airbus ou la relance de la réforme constitutionnelle européenne.
« Fifi-le-déchu », souvenez-vous doit aussi supporter les déclarations des conseillers de l’Élysée, les seconds couteaux de « l’hyperprésidence ». Ainsi, la veille de son discours de politique générale à l'Assemblée nationale, le 2 juillet 2007, le secrétaire général de l'Élysée dévoile dans La Tribune une partie de sa déclaration, comme si on lui avait dicté son texte.
Plusieurs différends surgissent aussi durant l'été 2007 : Il est ainsi désavoué quand il envisage l'extension du service minimum à tous les services publics, y compris à « les-ducs-à-Sion » nationale.
Il contrarie le président en annonçant que la réforme des régimes spéciaux est prête et n'attend plus que le feu vert de l’Élysée qui ne débouchera jamais.
Le 21 septembre 2007, il déclare même que le pays est en « état de faillite » et se fait taper sur les doigts avec la règle en fer.
Au printemps 2008, il essuie la constitution par l'Élysée d'un groupe des sept ministres chargés de relayer la parole présidentielle, sans sa participation.
Le 16 juillet 2010, alors qu’il est question de réduire de cinq points son déficit public en trois ans, il évoque pour la première fois une politique de « rigueur », à laquelle échappent « le budget de l'enseignement supérieur et de la recherche ». Et il se prend une volée de bois vert l’obligeant à préciser quelques jours plus tard qu'il s'agit d'une « politique de rigueur s'agissant de la dépense » et non pas « une politique économique de rigueur ». 

Il n'échappe pas à son tour à une polémique, en indiquant avoir été invité à Noël 2010 par le président égyptien Moubarak pour passer une semaine de vacances en famille aux frais de l'État égyptien.
À la suite du premier tour des élections cantonales de mars 2011, qui ont vu une poussée du Front national, il défend l'instauration d'un « Front républicain » contre le FN en se démarquant de tous : « En cas de duels PS-FN, il faut voter contre le FN ». Bien.
Mais début septembre 2013, il nuancera cette position en considérant qu'il faut voter pour « le moins sectaire », en reconnaissant « qu'il peut arriver » qu'un candidat PS le soit plus qu'un candidat FN !
Voilà le bonhomme : Un retourneur de veste pire que Jacques Dutronc, qui lui bien avant « merdait-in-France »…

Et pas seulement : Le 24 août 2011, lors d'une conférence de presse tenue à l'hôtel Matignon, il présente un plan d'économies de 12 milliards d'euros pour 2011 et 2012, afin de compenser le ralentissement de la croissance économique.
Il annonce alors l'instauration d'une taxe exceptionnelle sur les revenus fiscaux supérieurs à 500.000 euros par an, une modification de la taxation des plus-values immobilières, une hausse des prélèvements sociaux sur les revenus du capital, l'augmentation des prix du tabac, de l'alcool, des boissons avec des sucres ajoutés.
Un demi-tour spectaculaire d’avec la TEPA.
Merci beaucoup…

Pour lui, la primaire à droite en novembre 2016, c’est désormais quitte ou double.
Il a annoncé la semaine dépassée que s’il échoue à gagner cette élection désignant le champion de la droite à la présidentielle de 2017, il quitte la politique.
Toujours aussi fat et sûr de lui, il en dit : « Si je ne suis pas suivi sur cette question, je quitte la politique ».
« Ce n’est pas pour bouder dans mon coin parce que je n’ai pas obtenu la majorité que je voulais », a-t-il précisé. « Je l'ai toujours dit… J'ai occupé des fonctions gouvernementales, j'ai occupé des fonctions de responsable de collectivité locale, j'ai été Premier ministre. Je considère aujourd'hui que j'ai quelque chose à apporter avec un projet de rupture. Si je ne suis pas suivi sur cette question, qu'est-ce que j'ai d'autre à apporter à la vie politique française ? Rien. Donc je quitte la politique. Pour l'instant, je suis plutôt dans l'idée d'être élu ».
« Ma conviction personnelle, c'est que la situation de la France est tellement difficile, les réformes sont tellement difficiles à faire, qu'il faut tout jeter dans la bataille, et il ne faut pas espérer se faire réélire, sinon on est sûr de rater les réformes ».
Attend, c’est qui qui l’a mis dans cet état-là, le pays, après avoir passé la patate-chaude à « l’amiral-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois », au juste ?
Bon, d’accord : Il avait des complices…

Même qu’on gagnerait du temps à ce qu’il n’attende pas la fin novembre pour un retrait, du pareil au même, main sur le cœur, que celui de « Bling-bling » en 2012…
Car on a pu mesurer la profondeur de fatuité de l’engagement de son maître, désormais en compétition dans la même primaire, mais avec un handicap de popularité tel que 80 % des Gaulois n’en veulent plus (jamais) comme futur président !
Lui, idem : Il fait à peine 11 % des intentions de vote.
Pareil pour « Coupé-pig-maillon » qui, après s’en être mis plein les fouilles, lui aussi tente de son côté un coming-back désespérant d’outrecuidance.

Décidément, l’exercice du pouvoir les a tous rendus fous.
Fous sans limite !
La place est tellement bonne en suggérait déjà ma grand-mère dans un autre millénaire dépassé…
Et ils veulent encore et encore tous notre « blanc-seing » après ce qu’ils ont réussi à faire et nous faire avaler ?
Ce n’est plus de la trisomie, c’est de la démence du rachis et du bulbe…

4 commentaires:

  1. Nom d'un chien! Quelle hargne! Je n'ai pas souvenir de vous avoir lu avec une telle animosité ...

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    1. Si, si, rassurez-vous : j'en ai autant pour "Bling-bling" et encore mieux sur "François III" quand il sera candidat à sa succession.
      Pour l'heure, ce n'est pas d'actualité !

      J'avoue que je n'en reviens pas qu'un type qui était au bon endroit, au bon moment, durant plus de 5 ans, ne parvienne pas à se rendre compte de l'ineptie de ses ambitions après avoir mis le pays en échec !
      Ca, c'est complétement dingue !
      Ahurissant, même !

      Et il avait le doigt au-dessus du bouton nucléaire-bis pendant 5 ans ?
      Vous vous rendez compte de notre responsabilité collective d'avoir élu le mek qui l'avait nommé là ?
      J'en tremble encore...

      Comme dit la "science" à l'occasion d'un théorème éternel (et vérifié) : Si l'erreur est humaine, persévérer est diabolique !"
      Non bis repetita, SVP !!!

      Bien à vous !

      I-Cube

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    2. « Le pouvoir rend fou et le pouvoir total rend totalement fou » !...
      C’était déjà vu par Platon, il y a 2500 ans…
      Rien de nouveau !...

      Le plus grave est que nos institutions sont adaptées à un pouvoir totalitaire qui donne un pouvoir presque sans limite à ceux qui l’obtiennent, comme « Mythe-Errant » qui a réussi à détourner des milliards en toute impunité !...
      Monstrueux, et cela ne gêne pas grand monde puisque nos « leaders » se bousculent pour exercer ce pouvoir, comme « Fifi-le déchu » et tant d’autres.

      On est bien loin de la Suisse où le président est surtout chargé de la représentation des institutions.
      A tel point que le président de la confédération suisse change tous les ans !...
      Un autre monde.

      De notre côté, nous trainons des siècles de « culture du chef ».
      Cela a sérieusement commencé avec Louis XIV et le culte du « Roi soleil ».
      On en est toujours là dans la Vème République où le président est « tout puissant !...
      Jusqu’à quand ?...

      Et là, je vous rejoins !...
      Vous avez très bien résumé :

      « Décidément, l’exercice du pouvoir les a tous rendus fous.
      Fous sans limite !
      La place est tellement bonne en suggérait déjà ma grand-mère dans un autre millénaire dépassé…
      Et ils veulent encore et encore tous notre « blanc-seing » après ce qu’ils ont réussi à faire et nous faire avaler ?
      Ce n’est plus de la trisomie, c’est de la démence du rachis et du bulbe… »

      J’urgence absolue est l’amélioration, et même la refonte de notre système électif et de gouvernance!...
      Vaste travail !...
      On va peut-être y arriver avec une « mégacrise institutionnelle » !...

      Bien à vous !...

      « L’Ami-râle »

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  2. @ "l'Ami-râle" : Peut-être, peut-être seulement !

    Personnellement, je préférerai "un sage", qui n'attend rien de l'exercice des responsabilité ultimes à la tête du pays, qui n'ai pas l'ambition personnelle de s'en mettre plein les fouilles et distribuer des pré-bandes aux copains-coquins du haut de son olympe élyséen.
    Je rêve peut-être, mais en tout cas, il est sûr que ce n'est pas "Fifi-le-déchu" et encore moins ni "le capitaine de pédalo" ou "Bling-bling".

    Finalement, ces trois-là ont déjà démontré qu'ils ne savent rien de ce que j'attends - et j'espère ne pas être tout seul dans ce cas - de ce dont le pays a besoin - et que les Suisses réalisent si bien (mais ils sont si peu nombreux...) - car il s'agit de l'avenir de nos gosses, rappelle-je.
    Et je ne me vois pas leur léguer un pareil foutoir qui plombe justement l'avenir de leurs propres gosses : Ce serait criminel !

    Bien à vous !

    I-Cube

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