Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 8 janvier 2016

Blagues diverses…


Où il est aussi question d’argent !

Deux gars se rencontrent :
« – J'ai du mal à joindre les deux bouts en ce moment. Tu te rends compte que tous les matins, ma femme me demande 100 euros ?
– 100 euros ? La vache ! Comment tu fais ?
– Bin, je ne lui donne pas. »



« Entre un homme qui a un million d'euros sur son compte en banque, et un homme qui est père de six enfants, quel est celui qui est le plus satisfait ?
C'est l'homme qui est père de six enfants.
Celui qui a un million d'euros en veut encore plus. »



« Quand je dis que ma richesse est intérieure je veux dire que mon argent est dans un coffre. »



Parole de femmes : « Les hommes, c'est comme les comptes en banque : S’ils n'ont pas trop d'argent, ils n'ont pas beaucoup d'intérêts. »



Un gars entre dans un bar et demande :
« Quelqu'un aurait-il perdu un gros rouleau d'argent, avec un élastique enroulé autour ? »
Un client s'approche et dit :
« – C'est moi, c'est à moi !
– Tenez, j'ai retrouvé l'élastique… »



Un riche propriétaire terrien ayant besoin d'une tronçonneuse va chez un vendeur en motoculture.
Le vendeur, sûr de lui, garantit à notre homme l'abattage de 6 arbres à l'heure grâce à cette tronçonneuse révolutionnaire, lame en titane, chaîne en acier trempé, double arbre à cames en tête, pot chromé, etc., etc. …
Satisfait ou remboursé !
Dix jours plus tard, notre homme rouge de colère revient voir le vendeur en l'enjoignant de rembourser IMMÉDIATEMENT cette satanée de tronçonneuse.
« – Comment ? », s'exclame le vendeur, « vous n'êtes pas satisfait ? 
– De la camelote je te dis », lui répond le client. « Je me suis ruiné la santé pour abattre UN arbre en une journée ! Rembourse-moi comme promis !
– Un arbre ? En un jour ? Ce n'est pas possible ! », dit le vendeur, « celle-ci doit avoir un défaut ! Laissez-moi voir ça… »
À ces mots le vendeur tire sur le lanceur et la tronçonneuse répond immédiatement par un rugissement tout à fait impressionnant.
Réaction immédiate du client : « Attendez, c'est quoi ce bruit ? »



Un clochard discute avec un autre :
« – Grâce à ma trompette, je suis très riche.
– Les gens te donnent beaucoup d'argent pour que tu joues ?
– Non, ils m'en donnent pour que j'arrête. »  



Un homme immensément riche a convoqué un décorateur pour installer, de façon la plus tape-à-l'œil qui soit, la maison qu'il vient de se faire construire sur la côte d'Azur.
« – Je vous suggère », dit le décorateur, « de tapisser les murs de vos quatre-vingt-douze pièces avec des billets de 500 €.
– Formidable idée ! » Approuve le nabab.
Puis, après une seconde réflexion, il s'inquiète :
« Mais, ça ne risque pas de jurer avec mes parquets en or massif ! »  



La maitresse demande :
« – Paul que veux-tu faire plus tard ? 
– Docteur madame !
– Très bien Paul et toi Rémi ?
– Éboueur madame !
– Ah bon ? Quelle drôle d'idée ! Et toi Mathieu ? Que veux-tu faire plus tard ?
– Être le plus poilu du monde !
– Ah bon et pourquoi ça ?
– Si vous saviez ce que ma sœur se fait comme argent avec un p’tit triangle de poil ! »



Dans un bureau de tabac, une jeune fille achète un paquet de cigarettes et sort un billet de 100 euros.
La caissière, méfiante, l'examine et dit :
« – Ce billet est faux, mademoiselle.
– Le salaud ! » s'écrie la fille. « Mais alors… C'était un viol ! »



D’un de « mes clients » (de mon boss) :
« Plutôt que vos placements abracadabrantesques, je vais faire tatouer un billet de 500 euros sur mon sexe.
– Ainsi je verrai croitre mon investissement ;
– Je prendrai plaisir à toucher mon argent ;
– Je ne verrai plus d'un mauvais œil que ma femme dévore mes économies ;
– Je serai le seul à décider comment le protéger ;
– Je serai le seul à décider où le placer ;
– Et je n’aurai plus peur d'être à découvert ! »
Je me marre et lui rétorque :
« J’imagine votre épouse : Un tatouage. Mais quel con ! Et où t'es-tu fait tatouer ?
– Je me suis fait tatouer un billet de 500 euros sur le sexe !
– Ah ! On peut dire que t'es le roi toi ! Mais quelle idée t'est encore passée par la tête ? Pourquoi as-tu fait une connerie pareille ?
Et vous pourrez lui répondre :
– Parce que vous aimez bien jouer avec votre argent,
– Et parce que comme ça elle pourra venir vous pomper cinq cent boules chaque fois qu’elle le voudra ! »
Puis nous avons bien ri avant de parler de choses sérieuses…



À l’occasion du mariage d’une cousine, le petit Mathieu entre dans une église pour la première fois.
Alors qu’un enfant de chœur passe dans les rangs pour la quête, il se tourne vers son père à côté de lui et lui dit d’une voix forte et sans complexe :
« Ce n’est pas la peine de payer pour moi papa, j’ai moins de cinq ans ! »



Le franc (l'argent) meurt et monte au ciel.
Le billet de 500 francs se présente devant Saint Pierre qui le regarde et lui dit d'un ton sec :
« Toi, le 500 au fond à droite. »
Arrive le 200, pareil toujours aussi sec. Le 100, le 50, etc.
Arrive la pauvre pièce de 5 centimes qui se dit « comment je vais être reçu quand je vois les autres qu'est-ce que je vais prendre ! »
Elle arrive devant Saint Pierre toute tremblante, Saint Pierre la regarde et dit :
« Bonjour petite 5 centimes ! Bienvenue au paradis, vous avez fait bonne route ? »
Le billet de 500 dit au billet de 200 :
« Attend y’a un problème là, Saint Pierre sait qui je suis, moi il me reçoit mal et à cette pièce de 5 centimes il lui fait des courbettes, attends je vais aller le voir et lui demander pour qui il me prend : Dis, Saint Pierre tu ne trouves pas que tu décornes là ? Tu fais des politesses a cette pièce de 5 centimes et moi tu me reçois on ne peut plus mal. »
À ce moment Saint Pierre se retourne regarde le billet de 500 et lui dit :
« Monsieur le billet de 500, sur terre le dimanche matin on ne vous a pas vu beaucoup à l'église. »



Mathieu rentre à la maison pour dîner, après avoir passé tout le mercredi après-midi dehors.
Sa maman lui demande ce qu'il a fait tout l'après-midi.
« J'ai d'abord joué au foot avec les copains. Ensuite les autres sont partis, alors j'ai été voir Sandrine (la fille des voisins). On s'est promis qu'on allait se marier ! »
La maman trouve son petit adorable, et, ne voulant aucunement se moquer de lui, elle continue :
« Et comment allez-vous faire pour les frais du mariage ? »
Le gamin répond :
« Bin, avec les dix euros que Papa et toi me donnez comme argent de poche chaque semaine, et les 10 euros que Sandrine récolte chaque semaine elle aussi, ça devrait aller. »
Alors le père demande :
« Ah oui, c'est bien ! Mais comment ferez-vous pour les dépenses supplémentaires si Sandrine et toi avez un petit bébé ?
Bin… Jusqu'ici, on a eu de la chance… »



« – J'ai des soucis d'argent, rien que tes études, ça me coûte une fortune !
– Et encore, moi, je ne suis pas de celles qui étudient le plus ! »



« – Chérie, » dit le mari à sa femme, « j’ai invité un ami à venir dîner à la maison ce soir.
– Quoi ? Mais tu es fou ma parole ? La maison est un vrai foutoir, je n’ai pas eu le temps d’aller faire les courses, il n’y a plus un seul couvert propre et je ne me sens pas du tout d’humeur à faire la cuisine !
– Je sais tout ça !
– Dans ce cas, peux-tu m’expliquer pourquoi tu l’as invité à souper ?
– Parce que ce pauvre gars est en train de songer à se marier. »



Trois semaines après le jour de ses noces, Brigitte téléphone au prêtre qui l’a mariée :
« – Mon père », gémit-elle, « Bernard et moi nous avons eu une scène de ménage épouvantable !
– Calmez-vous, mon enfant, » lui répond le curé, « ce n’est pas si grave que vous le pensez. Chaque mariage doit avoir sa première dispute !
– Je sais, je sais ! » lui répond la mariée. « Mais qu’est-ce que je dois faire du corps ? »



Une rapportée par un ami de « l’Ami-Râle », notre ex-pilote d’air-Transe préféré, pour être authentique :
Quand on est pilote de « réserve » sur une compagnie aérienne, on doit voler quand la compagnie vous appelle pour voler.
Être injoignable est moins grave que de refuser ou d’éviter un vol pour lequel vous avez été désigné.
Or, ce commandant de bord a mérité un « 10 sur 10 » pour sa créativité en parvenant à éviter une mission.
Lorsque l’équipe de programmation des vols le réveille un jour à trois heures du matin pour lui assigner un vol programmé deux heures plus tard, il passa le téléphone à sa femme et dit d’une voix suffisamment forte pour être entendu à l’autre bout du fil :
« Tiens chérie, je crois que c’est quelqu’un qui veut parler à ton mari ! »
Le gars de la compagnie laissa tomber et raccrocha.



Une dernière pour notre conseiller Jacques préféré :
Comment une mère juive doit-elle se comporter quand elle découvre sa fille en train de se faire peloter dans le salon ?
Attendre que le jeune homme soit rentré chez lui, puis allez retrouver votre fille dans sa chambre et tenez lui les propos suivants :
« – Rachel.
– Oh, c’est toi maman…
– Rachel, je vous ai vu tout à l’heure dans le salon. J’ai vu ce que vous faisiez tous les deux. 
– Oh !
– Rachel, qui t’a appris ça ?
– Oh, maman, je t’en prie ! Je suis une grande fille maintenant.
– Rachel, nous sommes des gens convenables. Nous t’avons toujours appris ce qui était bien. Comment as-tu pu te comporter de la sorte ?
– Maman, arrête un peu de délirer, on ne faisait que s’embrasser…
– Est-ce que tu sais comment va réagir ton père lorsque je lui raconterai ce qui s’est passé ? Est-ce que tu le sais ?
– Non mais…
– Il fera une crise cardiaque, voilà ce qu’il fera. Tu peux en être sûre !
– Écoute maman, tu ne vas quand même pas lui dire…
– Non seulement ton père, mais les voisins, qu’est-ce qu’ils vont penser les voisins quand ils vont apprendre ça ?
– Attends maman…
– Alors c’est pour ça que je t’ai fait redresser les dents ? C’est pour ça que je t’ai acheté des lentilles de contact ? C’est pour ça que je t’ai payée des études dans le lycée le plus cher de la ville pour que tu apprennes les langues étrangères ?
– Maman…
– Oï, oï, je ne sais pas ce que je vais pouvoir faire de toi maintenant. »
(Pause)
« Ma propre fille, une prostituée. »
(Pause)
« – Si tu avais la moindre considération pour tes parents, tu ferais la seule chose convenable dans ta situation.
– Et qu’est-ce que c’est ?
– Tu quitterais cette maison, et tu ne reviendrais que lorsque tu serais à nouveau vierge. »



Bon week-end pour toutes et tous !



I3

7 commentaires:

  1. Là, je trouve que "la mienne" n'est pas la meilleure de la série d'aujourd'hui ...
    La meilleure, c'est celle de l'amiral! Vraiment extra ...

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    1. Il ne l'a pas encore lue...

      Celle du mari qui invite un de ces potes n'est pas mal non-plus, à mon goût !

      Bien à vous !

      I-Cube

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  2. Cela arrive !...
    En réponse de la blague sur les pilotes.

    La "réserve" fait partie des obligations professionnelles des pilotes et je me souviens bien de ma dernière réserve lorsque j’étais captain B 747.
    C’était le 31 décembre 1997, c’est-à-dire le soir du réveillon où je recevais mes parents à mon domicile avec la « Baronne » et les enfants.
    Une date dont personne ne veut car le "déclenchement" est systématique car il y a toujours un pilote qui se faire porter « pâle » pour une raison ou une autre.
    Malgré le fait que la nuit du réveillon se fait aux commandes ce qui peut très sympa si on a prévu de partir accompagné, mais il faut le savoir plusieurs jours avant, ce qui est impossible si on est de « réserve »…

    Lors de la réserve, le planning devient totalement aléatoire et peut être une vraie corvée, pour ne pas dire une punition, car on peut décoller pour n’importe où et revenir dix jours plus tard !...

    Aussi, pour la réserve du 31 décembre j’étais particulièrement "remonté" car j’avais prévu un réveillon avec parents qui étaient âgées.

    Surtout, j’étais d’autant plus remonté que deux semaines auparavant j’avais reçu un redressement fiscal de près de 30.000 euros (en valeur actuelle) sur mes frais professionnelles !...
    J’étais en "frais réels" depuis une dizaine d’années et l’inspectrice des impôts n’avait rien trouvé de mieux que d’exiger les factures de frais sur les 500 jours d’activité des trois dernières années !...
    J’envoyais entre 200 à 300 factures chaque année mais ce n’étais pas suffisant !...

    Je suis devenu tellement agressif, et découragé, que je n’avais pas la paix intérieure nécessaire pour assurer mes fonctions en toute sécurité !...
    J’ai dû aller voir un médecin qui m’arrête deux jours, le 31 décembre et le 1er janvier !...

    Je ne travaille quand même pas pour les beaux yeux d’une inspectrice des impôts !...
    Les gens ne réalisent pas la multitude de contraintes du métier de pilote ligne, l’épuisement du corps et de l’esprit que provoque à haute dose ce métier, et le ras-le-bol qui arrive au fil des années sauf pour les chefs pilotes qui font du bureau !...
    On travaille surtout pour le pognon !...
    Et si cet avantage disparaît, on s’arrête !...

    Aussi, c’est ce que j’ai fait !...
    J’ai provoqué des perturbations de planning chez une dizaine de collègues car il y avait une sérieuse tension équipage !...
    Le chef pilote m’a fait un rapport qui n’avait aucune valeur car il ne pouvait rien me reprocher : j’avais un certificat médical !...

    Malgré tout, j’ai eu ensuite la hiérarchise sur le dos.
    Ils m’ont collé des vols "pourris, épuisant, à privation de sommeil, et deux mois après j’ai perdu le sommeil pour de bon en rentrant d’Asie !...
    Et j’ai fini complètement "cassé" à Los Angeles où j’ai dû m’arrêter pour de bon !...

    Rapatriement sanitaire des USA !...
    Et pas de pilote pour ramener l’avion de Los Angeles !...
    Comme m’a dit un agent de planning : « tu les as bien baisé !...»…
    En attendant, j’étais détruit…

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    1. LA SUITE

      Voilà pour la petite histoire !...
      Alors, vous imaginez le pilote qui rentre chez lui complètement cassé et trouve en plus un mek dans le lit avec sa femme !...
      Il y a de quoi "péter un câble" !...

      Remarquez que le plus amusant est la suite de l’histoire !...
      Lorsque j’ai reçu le redressement fiscal, j’ai été courir, le 19 janvier 1998, à la BCR du Havre, aux services fiscaux, pour dénoncer le détournement des indemnités de la guerre du Golfe !...
      Une affaire de plusieurs milliards d’euros de fonds publics détournés et qui va peut-être devenir le scandale financier le plus monstrueux que l’on ait jamais vu !...

      Un scandale qui va provoquer, je l’espère, une crise politique terrible, et pas que chez nous !...
      Une crise qui obligera vraisemblablement à améliorer les institutions !...

      Et tout cela grâce à qui ?...
      A une modeste contrôleuse de l’administration fiscale qui redresse un captain avec un mauvais caractère !...

      Génial, non ?...

      Bien à vous !...


      Haddock

      PS : vous pouvez reprendre car je n’avais jamais expliqué ces quelques détails !...

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  3. Génial effectivement... Quoique on s'en serait tous bien passé, figurez-vous !

    Mais j'imagine que vos "potes" pilotes, dans l'affaire du réveillon, ils n'ont pas dû apprécier vitre manœuvre et qu'ils ont été quantité à se porter pâle à cette occasion...

    Eh, quelle idée aussi de programmer des avions une nuit de Saint-Sylvestre ? Vous croyez que ça amuse les clients ce genre de konnerie là, tant que vous y êtes chez Air-Transe ?

    Enfin, ce n'est pas moi le boss, mais y'a des claques qui se perdent...
    Et ils sont en train de négocier autour d'une même table pour éviter d'avoir à s'en donner, actuellement...
    Les dernières ont fait mal et deux pilotes vont se retrouver mis-à-pied, sans ailes quoi !

    Ceci dit, je ne comprends pas votre affaire des frais réel : Tout est fait pour que le forfait soit plus avantageux pour les pilotes au long-cours !
    Ils n'ont rien à déclarer des sommes touchées aux caraïbes ou au Sri-Lanka, en exonération de tout, en échange, même s'ils ont "tout-payé", ils n'ont pas de frais de séjour à décaisser.
    Vous deviez vraiment les faire chier, finalement : Pourquoi s'emmerder à avoir des rescrits discriminatoires, quasi-hors-la loi du droit commun, pour un gugusse qui veut passer à côté ?
    Forcément qu'il faut lui apprendre à vivre et le redresser "au plus cher", tiens donc !

    Bien à vous !

    I-Cube

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    1. Sanction minimale pour les pilotes mis à pied : 15 jours sans solde !...
      Vraiment méchante la punition !...
      Manifestement les « camarades du sol » et les PNC » n’ont pas trouvé le mode d’emploi…
      Ce n’est pas faute de les avoir prévenu.

      C’est pas mal les vols de la St-Sylvestre !...
      Vous partez de Paris à 15 heures locales pour San Francisco et vous faites un premier réveillon en l’air en admirant les aurores boréales !...
      Et vous avez ensuite le temps de réveillonner une deuxième fois à l’hôtel à l’arrivée.
      Je sais, j’ai fait et j’étais d’ailleurs déclenché de réserve…
      Un très bon souvenir.

      Les pilotes négocient actuellement avec un « pistolet chargé sur la table » !...
      C’est la meilleure condition pour négocier lorsque l’on est face à des cinglés !...
      Vous avez quand remarqué qu’il n’y a plus d’exigence abusive « d’Alex » du genre : « vous allez faire une augmentation de productivité de 15 % sans augmentation de salaire !».
      Et puis, soudainement, la compagnie fait des bénéfices la première fois depuis 2008 !...
      Même « Sap-Inn » ne dit plus sur les ondes que nous comme des privilégiés égoïstes qui mettent la compagnie en péril !...
      Ils sont soudainement tous devenus raisonnables !...
      Cela s’appelle de la communication !...

      Le forfait journalier a été enfin accepté pour les pilotes en 1999 ou 2000 !...
      Une revendication syndicale qui traînait depuis de longues années.
      Comme quoi, j’avais une longueur d’avance sur ce coup là aussi…

      Il faut dire que la grève de juin 1998 a permis d’améliorer pas mal de choses dont le forfait journalier de frais réel pour les pilotes et les heures fictives (paiement d’un forfait journalier de 4 heures de vol par jour à l’hôtel).
      Comme je vous l’ai dit plus haut : « il faut savoir expliquer !... »

      Comme j’étais un vrai « kasse-kouilles » ils ont entrepris de me détruire !...
      Rotation cargo B 747 à privation de sommeil !...
      Je suis tombé dans le coma en rentrant de courrier et je n’ai jamais récupéré.
      Idem pour le mécanicien navigant qui a perdu sa licence lui aussi !...
      J’ai demandé une imputation au service aérien et le conseil médical « d’Air Transe » et la compagnie s’est prise un avertissement sur les conditions de travail sur long-courrier.
      Vlan dans les gencives !...

      Il est vrai qu’un B747 s’est posé sans roulette de nez à Madras !...
      Avion détruit…
      La commission d’enquête a chargé la compagnie qui avait diminué fortement les temps de repos…

      Quand on est « kon, on est kon !... »
      Et on peut être « tellement kon » que ça peut aller jusqu’à détruire les équipages et des avions…
      Il était temps que j’intervienne.
      En toute modestie…

      Bien à vous !...

      Haddock

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    2. Ca doit quand même faire tout drôle d'atterrir sur le nez.

      J'en ai vu un comme ça, c'était un F1, pendant mon service militaire : Un truc qui les ont tous fait kon-plètement débloquer !
      Les roulettes étaient sortis, mais la piste était gelée : De belles plaques de verglas bien épaisse.
      Pouf, le premier, il se vautre dans la pelouse après une belle glissade, nez cassé avec toute l'électronique du radar et autres en pièces détachées, façon puzzle.
      On - les appelés - est requis pour délayer au balai : On se tenait au manche pour ne pas se casser la gueule.
      Le second arrive à court de pétrole et vlan, même plaque, même trajectoire, même cause même effet : 2 F1 hors d'usage...

      La suite est encore plus drôle : On est cantonné alors en bout de piste par moins 10 avec un réacteur sur roulette qui dégèle la piste, nous derrière pour balayer la flotte rendue...
      Le temps de se retourner, c'était le jour d'après, un troisième mirage se pointe et radada, il fait des pirouettes sur la piste.
      Mais ne casse rien.
      Quant à son équipier, il voit tout d'un coup de la fumée dans son cockpit, alors ni une ni deux, alors qu'il cerclait au-dessus de la base, il s'éjecte.
      Dans leur vie de pilote de chasse, ils n'nt droit qu'à deux éjection tellement la colonne vertébrale souffre : A la troisième, ils peuvent se la casser et finir dans un fauteuil roulant !
      Décision pour le moins importante.

      L'avion a continuer à cercler, tout seul, le pilote est envoyé à l'infirmerie pour une série de prise de sang et être pris en charge par le psy de la base.
      Comme l'avion ne veut pas descendre, l'armée de terre débarque avec un affut quadruple de 20 mm et canonne le zinc à chaque fois qu'il repasse à portée... sans le toucher.
      Le truc dure une bonne demi-heure : Des nuls...
      Et l'avion finit par se planter tout seul dans un champ heureusement désert, faute de carburant...

      Je sais, on a été requis pour ramasser les morceaux, une fois de plus : Il ne restait plus grand chose de pas tordu.

      Attention, deux patrouilles en l'air pour une plaque de verglas, les deux qui défendait le territoire contre "les rouges", on était bien défendu, pour sûr !

      C'est là que j'ai décidé de me tirer : On était quasiment tous au chaud à l'infirmerie à se faire dégeler les doigts. Tellement confortable que j'y suis resté !
      Ils ont fini par me jeter, tellement ils étaient si kons... Pouvaient pas envoyer leurs avions ailleurs sur un piste praticable ?
      Ca ne les avait même pas effleurés !
      Faut dire aussi qu'on était en fin d'année et que les budgets pétrole et pièces détachées n'avaient pas tous été dépensés...
      De bons impôts partis en fumée et poussière.

      Quant on est kon, on est kon, pas à dire.

      Pour "air-transe", ils ont quand même été aidés par les pilotes de Lufthansa et plombés, non par les grèves de vos potes, mais par transavia, la filiale low-cost : Gag !
      La boutique est donc foutue si la direction ne corrige pas la trajectoire : Il faut qu'elle fasse du volume et réduise les coûts au sol, ça devient impératif.
      Et puis moi, j'aimerai qu'on m'explique comment il faut 10 gars au sol pou un seul qui vole, qui "produit" : Il y a un problème que même BT a su régler dans son temps !

      Passons !

      Bien à vous !

      I-Cube

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