Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 31 janvier 2016

Au nom du père (Chapitre XXXIX ; Tome II)

Tournée « cuisine-exotique » 

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. 
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite ! 
 
La visite la plus étonnante, ça reste celle de la Juge Trois-Dom qui lui en apprend une bien bonne… 
« Tu te souviens peut-être de du sénateur Lacuistre ? » 
Il a été réélu, demande ingénument Paul ?
« Non ! Il s’est suicidé le jour de son mariage ! »
Ah bon… De son mariage ? « Qu’est-ce qui lui a pris ? Encore hein qui aurait compris l’immensité du piège que représente le mariage, peut-être ? »
Et miss Hélène de lui raconter une bien étrange affaire dans le détail. 
 
Fin mai, lui qui est une « bite-molle » selon son expression, divorcé une fois il y a bien longtemps et jamais remarié depuis sa longue carrière dans la pénitentiaire, barboteur-moraliste impénitent de surcroît, il s’est mis à fréquenter deux filles qui auraient pu être ses gamines pour en avoir l’âge. 
« Tant mieux pour lui. Au moins elles lui auront déridé les fesses. » 
Et dégorgé le poireau : Mais il se retient de le « penser tout haut » par respect pour les fonctions de la juge. 
Ce n’est pas le problème. « Il se trouve qu’elles se sont présentées comme deux sœurs de lait d’une même famille adoptive et il en a mis une enceinte. Celle-ci refusant d’avorter, proposition en contradiction avec les règles éthiques affichées par ledit sénateur, ils ont donc rapidement organisé leur mariage. » 
Bon, bon… 
 
« Et le jour du mariage, s’est présentée une femme qui a fait le déplacement depuis sa Bourgogne pour invoquer devant témoins le fait qu’il épousait sa fille biologique, comme en attesterait une analyse ADN excipée en Mairie ! » 
Tu parles du foin ! Épouser sa propre fille, même putative, après l’avoir mis enceinte, c’est d’un romantisme absolu, surtout quand on est sénateur de la République à la rigueur morale indomptable.
« C’est qui cette femme ? » 
La mère biologique prétendument violée en prison par le sénateur. 
« Ah oui ! Je me souviens que j’avais envoyé mon duo d’associées enquêter auprès de quelques personnages de la fameuse centrale pour femme. Une surveillante. Et dans l’ancienne clinique de Risle. Elle, elle avait confirmé que le dirlo violait et organisait des « parties fines » en soirée avec les détenues ! » 
« Et ton père enquêtait sur des morts-suspectes dans cette même prison à l’époque où Lacuistre en était le directeur… En effet. C’est pour ça que je viens te voir, figure-toi ! » 
Parce que ? 
 
« Parce que je sais additionner 2 et 2. Écoute bien : Un, ton père meurt « d’accident » après avoir cherché à ouvrir une information judiciaire sur le sujet il y a plus de trente ans. Deux, j’apprends par Liamone que la mort de ton père n’est pas un accident, mais « un contrat ». Contrat dans lequel est mêlé Parepoux. Trois ce dernier meurt sous un bulldozer peu après que tu l’aies rencontré dans le val de Cher. Je sais, j’y étais. Et je sais, tu n’y es pour rien. Mais quatre, ce dernier, avant de mourir sort beaucoup d’argent en liquide et l’enquête de police parvient à établir qu’il l’a vraisemblablement remis à un ripoux de boîte de nuit : Un de mes flics marseillais, en marge de l’enquête se souvient avoir reçu un coup de fil de son ami Parepoux qui cherchaient des « gros bras » prêts à tout, pour donner une correction en vue de se faire payer auprès d’un créancier indélicat. Et « mon » flic l’a envoyé au Pradet. Or, c’est une boîte qui flambe peu après ton attentat, les trois ripoux qui en meurent, dont un assassiné au cutter. Je sais, tu n’y es toujours pour rien : Tu étais déjà dans le coma ! » 
Et si on rajoute que « Cinq, Risle et sa fille se font tuer à l’occasion de ton kidnapping, reste, six, Lacuistre qui se suicide le jour de son mariage avec une histoire bidon de test ADN excipé par une ex-détenue prétendument violée par le bonhomme, ça fait beaucoup trop de coïncidences. Là encore, je sais, tu n’y es pour rien, toujours dans ton coma et tu ne la connaissais pas. 
Et pourtant, c’est lui que visait ton père, dont on peut estimer qu’il mettait le doigt sur un trafic d’organes organisé par Risle avec la complicité de Lacuistre et des frères Liamone. Tu me suis ? » 
Bon et alors, des coïncidences, rien de plus. Justice est faite après tout : Tous pourris jusqu’à la moelle. 
 
« Certes, jusque-là, on peut effectivement penser à une succession de faits aléatoires. Mais quand, sept, les deux « sœurs de lait » disparaissent jusqu’aux USA alors qu’on finit par les identifier pour être déjà fichées dans une affaire sordide où tu as été mêlé indirectement par ta gouine et qu’elles font putes à Washington. 
Que, huit, on aperçoit dans les parages de Lacuistre le jour de son mariage une dénommée Stéphanie Roya, multirécidiviste, égarée devant le Palais de justice quelques mois auparavant en compagnie d’une certaine Cécile Wiseppe, dont tu te souviens que tu m’avais demandé un permis de visite… »
Elle s’est évadée ? 
« … et que neuf, ce duo ressemble fort à quelques faux-papiers remis à Hong-Kong par Monsieur Richard Albert de Ildut à ta demande et en ta présence, tu avoueras qu’on peut se poser des questions, non ? » 
Peut-être, peut-être. « À Hong-Kong, j’avais pour mission gouvernementale et couverte par le secret-défense, d’aller piloter le J20 chinois, leur chasseur dernier-cri. Et pour ça, j’étais… comment dire ?... encadrée par deux filles occidentales retournées par les services de Corée du nord qui servaient de prétexte et devaient m’accompagner aux USA pour un autre aspect de ma mission d’alors où je les ai perdues de vue. Elles ressemblaient peut-être à tes évadées, je ne sais pas. » 
Il fait entrer clandestinement et avec des faux papiers suisses des espionnes sur le sol américain, maintenant ?
 
« Non, c’était des papiers belges, si je me souviens bien. T’en fais pas ! Tes potes du FBI ont été mis au courant par mes potes de la CIA qui ont commandé ma mission en Chine. Ne me demande pas comment notre état-major est arrivé à un coup aussi tordu que ça : Je n’en sais rien ! Demande plutôt à l’amiral Morthe de l'Argentière. Gustave, je crois. » 
Elle en reste coite. 
« Et comment tu te fous dans des situations pareilles, toi ? Je te croyais plus malin que ça ! » 
Bé, il cherchait du travail… 
Comme ça ne lui suffit manifestement pas, il est contraint de rajouter : « Tu sais, cette histoire de barge qui coule au large du Canada, la mort de Risle, la liquidation de la fondation du même nom, tout ça a eu des répercussions démentielles sur ma vie. Tu te le feras confirmer par « Monsieur Albert », ton indic-flic, ou par l’Élysée directement. Car ton Président, à l’époque, il n’arrivait pas à encloquer sa gonzesse. Tu me connais, je me serai bien proposer à le remplacer. Mais il a été jusqu’au Mexique pour rencontrer un chirurgien qui lui a proposé de le greffer d’une bite plus longue. Et cette andouille, a payé cash et d’avance l’opération qui n’a jamais pu être réalisée, à cause que, j’ai bousillé par mégarde « l’outil de travail » au Canada. 
Résultat, ils m’ont mis la pression tout l’automne de l’année dernière pour que je fasse tout ça, rembourse pépère et lui trouve une solution de remplacement : Tu peux vérifier ! » 
Des bobards, naturellement, réplique-t-elle instantanément. 
« Vérifie, tu verras ! ». 
Personne ne sait si à ce jour si elle a vérifié ou non pour le reste. 
 
Et comment il explique la présence des deux fugitives à « Château-sur-Cher » ? 
« Ah bon ? Je ne m’en souviens pas : Il y avait beaucoup de monde, tu te rappelles ! » 
Admettons : « Mais Valérie Truyère, comment s’est-elle procurée la fausse attestation ADN de filiation ? » 
Qu’est-ce que Paul pouvait en savoir, au juste : Il était dans le coma. « As-tu une idée de ses motivations, à celle-là ? » 
Faire un scandale pour nuire au sénateur. « Le test ADN était bidon et elle raconte que « quelqu’un » le lui a procuré de façon anonyme. Ce qui lui a donné l’idée de son intervention en mairie le jour du mariage : Elle a vraiment cru que l’épouse pouvait être sa fille et réciproquement d’après le FBI, en nous expliquant que quand Lacuistre ne faisait pas avorter ses pensionnaires, on ne savait jamais ce que les bébés devenaient, pouvant même servir à des expériences médicales ! En revanche, les viols sur détenues, c’étaient courant, semble-t-il. » 
Là où ça « clochait », c’est que « la gamine n’était pas enceinte de Lacuistre, ni de personne d’autre… »
Elle avait pu croire l’inverse : Ce n’est qu’une gamine, d’après son propre dire. Ou seulement le lui faire croire pour le pousser au mariage. 
« C’est ce que je pense aussi : Femme de sénateur, ça en jette ! » 
 
Paul s’est endormi « en paix » ce soir-là : Il comprenait mieux ses récents rêves. 
« Les filles » avaient fait leur boulot jusqu’au bout, mettant en exécution « son plan » échafaudé, peaufiné au fil des jours à Kremlin-Bicêtre. 
Superbe… 
Même un peu trop parce que le « suicide » n’était pas prévu : Lacruiste devait seulement disparaître des écrans-radars du scandale du « sénateur-violeur qui épouse sa fille biologique » un certain temps, sombrer dans l’alcoolisme ou la dépression, avant que de s’éteindre dans un couvent quelconque !
 
Curieux, la mer… Paul a très envie de sa route des « Trois-Caps » pour se remonter le moral. Et puis il faut qu’il donne le change. Bonne espérance, Pedra Branca ou South-cape en Tasmanie, le Horn. 
C’est le printemps austral, bientôt l’été et bien 3 à 4 mois de mer. 
S’il partait fin octobre, il serait de retour en janvier suivant, après la saison des livraisons de « flacons estampillés ». 
S’il partait à Noël, il serait de retour avant Pâques.
D’un côté, il assure ses « rentes », de l’autre, le gars de Dassault semblent assez pressés. 
Et Dassault, c’est un pied dans EADS, SAFRAN et Cie, l’accès au logiciel de conception d’avions qui simplifie la vie de l’ingénieur et peut-être même à des capitaux nationaux pour le « 002 ». 
De l’autre, s’il assure les ventes de ses flacons au lieu de laisser faire Jean-Charles et Barbara, il pourra peut-être en financer une partie sur fonds propres et restera sur place pour remonter et faire fonctionner les machines de McShiant. 
Choix cornélien, mais qui une fois de plus est vite fait par autrui : Ce sera la tournée des universités « exotiques ». 
Pour un passage, mi-octobre, à Abu-Dhabi, aux frais de la princesse et un petit séjour que Paul aurait bien prolongé sur place à New-Dehli, la capitale aux mille saveurs.
 
Un pays assez extraordinaire de couleurs et de senteurs, bourré de sites de « cartes-postales », avec des gens d’une dignité absolue dans leur pauvreté parfois absolue : Un aspect du quotidien assez inattendu dans cet immense pays-continent. 
Au premier abord, quand on est abordé par un « intouchable » qui s’accroche à vos basques pour vous soutirer quelques roupies, on ne peut pas refuser. Le troisième jour, on a envie de lui filer des coups de lattes au train !... 
Ignoble. 
On y parle anglais, heureusement, mais on y compte 1.650 langages pratiqués à travers le pays. Plus un nombre impressionnant de dialectes dont certains ne sont pratiqués que par une seule tribu. On surpasse cette difficulté sur place par l'usage de l'anglais. L'Hindi est la langue nationale et la langue primaire de seulement 30 % du peuple Indien. 
Il y a 14 autres langues officielles : Le Bengali, le telugu, le Marathi, le Tamoul, l'Urdu, le Gujarati, le Malayalam, le Kannada, l'Oriya, le Punjabi, le Assamese, le Cachemirien, le sindhi, et le Sanskrit ; et « l'Hindoustanie » qui est une variante populaire de Hindi/Urdu parlée largement dans l'ensemble de l'Inde nordique mais elle n'est pas une langue officielle. 
Assez curieusement, si le « hindi » est la langue de l'administration centrale, l'anglais est une des langues officielles couramment pratiquées : C’est plus facile. 
Mais bon, pour une oreille occidentale, c’est joli et un peu musical… 
En revanche, la cuisine, c’est extraordinaire : Une vraie balade Gourmande ! 
 
Car il n'existe pas proprement dit d'une cuisine indienne mais plutôt diverses cuisines régionales très originales et d'une très grande variété. Une forte partie de la population est végétarienne par choix, ou parfois par obligation, et on trouve donc une grande variété de recettes végétariennes exploitant en particulier les légumes secs (lentilles, pois-chiches, etc..) pour leur apport en protéines. 
La cuisine indienne est basée sur le « masala », ou mélange d'épices, qui caractérise chaque recette. On a pris l'habitude, en occident en particulier, de nommer ce mélange curry ou « cari à la française », mais ce terme impropre est peu employé en Inde. 
À savoir : Le mot curry découle d'un mot signifiant « ragoût », « plat mijoté » chez eux. 
Les épices couramment employés sont le curcuma ou le safran des Indes, le safran, la cardamome produite dans le Kérala, le gingembre frais ou en poudre, la coriandre en graine, en poudre ou fraîche, la noix de muscade et son enveloppe le macis, les graines de pavot, le fenugrec, le piment, le cumin en graines ou en poudre, la cannelle en poudre ou en bâton, le clou de girofle, le poivre entier ou en poudre, la moutarde en graines, l'anis, la badiane (de l’anis étoilé), la nigelle ou graines d'oignon, les gaines de fenouil, la mangue en poudre, les feuilles de curry ou « cari patta », le laurier, l'assa-foetida, le tamarin ainsi qu'un mélange d'épices nommé « garam masala ». Bref, c’est fort et c’est extrêmement varié. 
Et quelques autres : Les noix de cajou, la noix de coco, le lait de coco, les pistaches, l'ail, l'oignon, les amandes, la grenade en graines séchées, la menthe, l'eau de rose, le sésame en graines. 
Les musulmans mongols, en envahissant le nord de l'Inde, y ont apporté leurs recettes et modes de cuisson, en particulier les kebabs et la cuisson au « tandoor » ou tandoori. De même, les ingrédients venus des Amériques (piments, pommes-de-terre, aubergines, tomates, maïs) ont été intégrés dans les habitudes culinaires. 
Certaines cuisines régionales ont également été influencées par les pays colonisateurs. 
Ainsi, les villes « comptoirs » de pays comme la France et le Portugal ont cuisiné le porc et le bœuf, viandes interdites dans les autres régions. Par exemple, le porc qui arrivait du Portugal à Goa dans des tonneaux de vinaigre a donné le porc « vindaloo ». 
Les recettes y sont donc multiples : le Bétel ou paan, à prendre à la fin du repas ; le Sweetpaan, « paan » avec de la noix de coco, confiture de dattes, etc. 
Les entrées sont souvent des « Samosas », des « Pakoras » ou beignets de légumes. 
 
On y mange des viandes délicieuses où il ne faut pas être trop regardant sur ses conditions d’hygiène et de conservation : L’agneau korma, le porc vindaloo, une recette de Goa très pimentée, le poulet tandoori, le « penjabi lamb » curry. Quant aux poissons, on peut le déguster au curry, ou de toutes autres sortes de poissons, à la mode keralaise. 
Naturellement le riz et les pains sont omniprésents : Naan, le pain cuit au tandoor, chapati, la galette de pain de tous les jours, le Biryani, du riz avec ou sans viande, les galettes de dosaï, alors que les masala dosaï sont fourrées. 
Les repas incluent des desserts parfois somptueux : Le gulabjaman, des petits babas parfumés à l'eau de rose, le kulfi, une glace aux pistaches, ou le barfi. 
On y boit du lassi, une boisson à base de yaourt : nature, sucré ou salé, du nimbu pani et de l’Asha, une liqueur du Rajasthan.
Pas assez forte pour en faire des « Flacons » ! 
Et du thé… Le Tchaïk, qu’on n'infuse pas, surtout dans le Nord. 
 
Petit glossaire pour s’y repérer : Aloo tikki : croquette de pomme-de-terre fourrée. Aloo gobhi : pomme-de-terre et choux fleur au gingembre. Aloo mehti : pommes-de-terre sautées et feuilles de fenugrec. Âm ou Âmra : Mangue. Biryani : Plat à base de riz au safran accompagné de viande, relevé d'amandes et de fruits secs. Butter chicken : Poulet cuit au tandoor avec une sauce à la tomate et au beurre. Chaat : Beignets aux pois chiche et au cumin. Chapattis : Petites galettes plates, dégustée comme du pain. Chutneys : Légumes et fruits macérés ou confits, aigre-doux très épicés. Citron : Il est rond, vert, et porte ici le nom de « limbo ». Curry : Il n'existe aucune épice qui porte le nom de curry, le curry est un terme générique servant à désigner toute une gamme de plats cuisinés à base d'épices. Dahi : du Yaourt. Dhal : Il s'agit des lentilles cuisinées, et dans la plupart des restaurants elles sont offertes. Daal makhani : Lentilles non décortiquées cuites avec de la crème et du beurre. Dum Aloo : Pommes-de-terre cuites à feu doux dans du yaourt épicé. Gatta curry : Boulettes de farine de pois chiche en curry parfumé. Ghee : Beurre de lait de bufflonne, préparé par une longue cuisson. Ghosh : Viande. Gobi : Chou-fleur. Gulab jammun : Beignet de farine et lait imbibé de sirop de sucre. Halva : Une préparation sucrée à base de lait, de fruits, voire de légumes. Idli : Boulette de riz. Souvent servie avec une sauce au yaourt épicé. Jalebi : Beignet en spirale à base de farine de blé, d'amidon de riz et de yaourt. Kebab : Brochettes de viande et de légumes marinés et cuits au tandoor. Kadhi : Boulettes frites de farine de pois chiche dans une sauce au yaourt. Khadhai murg : Curry de poulet sauté au wok. Khir : Desserts très sucrés, à moitié liquide, confectionné à partir de lait réduit par la cuisson. Kofta : Boulette de viande de mouton hachée, mélangée à des herbes fraîches. Korma : Cubes de poulet ou d'agneau cuit à feu doux dans du yaourt épicé. Kulfi : Crème glacée à la pistache. Massala : C'est un mélange d'épices écrasées dans un mortier. Naan : Galette cuite au tandoor : C'est le pain de l'Inde du Nord ! Pakora : Beignet de légumes à base de farine de pois chiches. Paneer : Fromage de lait de bufflonne, blanc, très épais, frais ou sec, découpé en petits cubes. Papadam : Gaufrettes de farine de lentilles frites. Pulao : Riz parfumé accompagné de légumes secs avec ou sans viande. Puri : Beignet, dans la religion Hindou tout ce qui est frit est pur. Raita : Salade de légumes (des tomates et des concombres) au yaourt et aux épices. Rogan josh : Mouton avec une sauce pimentée. 
Rumali roti : Grands chappattis. Samosa : Beignet triangulaire farcis de légumes ou de viande. Tandoori murg : Poulet mariné au yaourt enduit d'une pâte au piment. Tikka : Petits bouts de poulet, de poisson, de mouton ou de fromage passés dans une marinade et grillés… 

Une véritable symphonie qui donne envie de prolonger le séjour, après les RDV à la rencontre des universitaires, chercheurs, « décideurs » et industriels locaux réunis par les VIP-Dassault avec l’aide des « attachés d’ambassade », pour ouïr les mérites du Rafale et les exploits de Paul autour des deux pôles…

samedi 30 janvier 2016

Le droit à la quéquette à l’air !


Y’en a qui en font même une philosophie de vie…

Mais si !
Il suffit de lire cet arrêt de la cour d’Appel administrative que je découvre par hasard, hélas sans les références habituelles…

Texte intégral
Vu la requête, enregistrée le 27 septembre 2010 par télécopie et le 1er octobre 2010 en original, présentée pour M. Alain A, demeurant ..., par Me Mayer ; 

 M. A demande à la Cour :

 1°) d'annuler et à titre subsidiaire de réformer le jugement n° 0700639 du 17 juin 2010 par lequel le Tribunal administratif de Saint-Denis de la Réunion a rejeté sa demande tendant à l'annulation de l'arrêté en date du 30 janvier 1978 par lequel le maire de la commune de Trois Bassins a interdit la pratique du nudisme sur tout le territoire de la commune et de la délibération en date du 14 décembre 2005 du conseil municipal de la commune de Trois Bassins par laquelle ledit conseil municipal a apporté son soutien à l'action du maire visant à faire respecter les dispositions de l'arrêté précité ;

 2°) d'annuler, pour excès de pouvoir, l'arrêté susvisé du 30 janvier 1978 ;

 3°) de mettre à la charge de la commune de Trois Bassins, une somme de 2.500 euros en application de l'article L.761-1 du code de justice administrative, outre celle de 500 euros au titre de la procédure de première instance ; 

Vu les autres pièces du dossier ;
Vu la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen ;
Vu le code des communes et le code général des collectivités territoriales ;
Vu le code pénal ;
Vu la loi du 30 juin 1881 ;
Vu la loi du 20 mars 1907 ;
Vu la loi n° 79-587 du 11 juillet 1979 modifiée ;
Vu le code de justice administrative ; 

Les parties ayant été régulièrement averties du jour de l'audience ;
Après avoir entendu au cours de l'audience publique du 22 novembre 2011 :
- le rapport de M. Lamarche, président-assesseur ;
- les conclusions de M. Vié, rapporteur public ;

Considérant que M. A interjette régulièrement appel du jugement n° 0700639 du 17 juin 2010 par lequel le Tribunal administratif de Saint-Denis a rejeté sa demande tendant à l'annulation de l'arrêté en date du 30 janvier 1978 par lequel le maire de la commune de Trois Bassins a proscrit la pratique du naturisme sur tout le territoire de ladite commune et de la délibération en date du 14 décembre 2005 par laquelle le conseil municipal de cette commune a apporté son soutien à l'action du maire visant à faire respecter les dispositions de l'arrêté précité ;

Sur les conclusions présentées par la commune de Trois Bassins tendant au non-lieu à statuer :

Considérant qu'il est constant que M. Alain A est décédé le 16 février 2011 et qu'aucun héritier n'a repris l'instance ; que ses conclusions en annulation pour excès de pouvoir d'un arrêté pris en matière de police administrative ne peuvent être regardées comme une action présentant un caractère purement personnel ; qu'à la date du décès du requérant, le dossier était en état d'être jugé ; que, par suite, les conclusions présentées par la commune tendant à ce que la cour dise n'y avoir lieu à statuer doivent être rejetées ;

Sur les conclusions tendant à l'annulation de l'arrêté en date du 30 janvier 1978 par lequel le maire de la commune de Trois Bassins a interdit la pratique du nudisme sur tout le territoire de la commune :

Sans qu'il soit besoin de statuer sur la recevabilité de la demande :

Considérant qu'aux termes de l'article L. 131-2 du code des communes en sa rédaction vigueur à la date de l'édiction de l'arrêté attaqué : La police municipale a pour objet d'assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publique ; Tout ce qui intéresse la sûreté et la commodité du passage dans les rues, quais, places et voies publiques (...) ; que le maire de la commune de Trois Bassins tenait de ces dispositions le pouvoir de prévenir les troubles à l'ordre et à la tranquillité publiques sur l'ensemble du territoire communal y compris le domaine public maritime et avait compétence pour réglementer, par une mesure de police administrative, la pratique du naturisme sur les plages de la commune ;

Considérant que M. A, qui n'a pas présenté de moyen tiré de l'illégalité externe de la décision attaquée en première instance n'est pas recevable en appel à invoquer le défaut de motivation de l'arrêté, alors en tout état de cause que la loi du 11 juillet 1979 relative à la motivation des décisions administratives n'était pas applicable à la date de l'édiction de l'arrêté, lequel présente au surplus un caractère réglementaire ;

Considérant qu'aux termes de l'article 10 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen : Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi ; qu'aux termes de l'article 5 de ladite déclaration : La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas. ; qu'aux termes de l'article 330 du code pénal en sa rédaction applicable à la date de l'édiction de l'arrêté attaqué : Toute personne qui aura commis un outrage public à la pudeur sera punie d'un emprisonnement de trois mois à deux ans, et d'une amende de 500 F à 15.000 F. ; qu'aux termes de l'article 222-32 du nouveau code pénal en sa rédaction applicable à la date de la demande présentée le 14 mars 2007 par M. A : L'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende ;
Considérant que par des motifs pertinents que la cour adopte, les premiers juges ont exposé que la pratique du naturisme dans des lieux publics qui ne sont pas spécialement aménagés à cet effet pouvait, en 1978, être qualifiée par les juridictions pénales de délit d'outrage public à la pudeur et peut, depuis la réforme du code pénal, être qualifiée, par les juridictions compétentes, de délit d'exhibition sexuelle ; qu'ainsi, et nonobstant les affirmations de M. A selon lesquelles la pratique du naturisme relève d'une philosophie et partant d'une opinion protégée au sens des dispositions précitées de l'article 10 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, l'arrêté qui interdit la pratique du naturisme sur le territoire de la commune n'a ni pour objet ni pour effet de porter atteinte à une liberté publique, mais se borne à rappeler la réglementation applicable lorsque n'existe sur le territoire de la commune aucune aire aménagée en vue de la pratique du naturisme ; que les moyens tirés de la contrariété avec les dispositions du code pénal et du défaut de constitutionnalité des dispositions dudit arrêté ne sont par conséquent pas fondés ; que, par suite les moyens tirés de la méconnaissance de la liberté d'aller et venir et de la liberté d'opinion doivent être écartés ;

Considérant que l'autorisation de la pratique réglementée du naturisme relevant d'un régime dérogatoire, la mesure de police en cause ne peut être regardée comme présentant un caractère général et absolu ou disproportionné ; qu'enfin, la circonstance que les adeptes du naturisme ne souhaitent pas bénéficier d'un usage exclusif des lieux où ils s'adonnent à ce comportement n'est pas de nature, dès lors que les naturistes ne sont pas dans une situation identique aux autres usagers des lieux, à révéler que le principe de non-discrimination aurait été méconnu ;

Considérant qu'il résulte de ce qui précède que M. A n'est pas fondé à soutenir que c'est à tort que par le jugement attaqué le Tribunal administratif de Saint-Denis de la Réunion a rejeté sa demande tendant à l'annulation de l'arrêté en date du 30 janvier 1978 ;

Sur les conclusions tendant à l'application des dispositions de l'article L. 761-1 du code de justice administrative :
Considérant que les dispositions précitées font obstacle à ce que M. A, partie perdante à l'instance, puisse obtenir le versement d'une quelconque somme au titre des dispositions précitées ; que, dans les circonstances de l'espèce, il n'y a pas lieu de faire droit aux conclusions présentées par la commune de Trois Bassins sur le fondement des dispositions précitées ;

DÉCIDE :
Article 1er : La requête de M. A est rejetée.
Article 2 : Les conclusions de la commune de Trois Bassins tendant au bénéfice des dispositions de l'article L. 761-1 du code de justice administrative sont rejetées.

Le gars est mort, mais la justice suit son cours : C’est-y pas magnifique ?
Et nous laisse en héritage la validité d’un arrêté municipal interdisant de se promener « quéquette et foufounette » à l’air… libre sur les plages paradisiaques de sa commune !
Bon, chez soi, dois-je rappeler, dans un lieu privé en quelle que sorte, c’est encore permis puisque … ce n’est pas interdit, d’après les arguments rapportés.
Et comme dans cette île les plages-privées sont inexistantes…
Mais…

Question : Dans un restaurant ou n’importe quel lieu ouvert au public, peut-on pisser et caguer tranquillement sans être poursuivi par la puissance publique ?
Ou doit-on se soulager dans son froc ou sous sa jupette ou peut-on les ôter en toute impunité ?
En cas de réponse négative et pour rester « propre et civilisé », doit-on désormais s’équiper d’un kilt-écossais ?

Notez bien qu’en ce qui me concerne, je ne me sens pas vraiment visé (à mes risques et périls, dois-je admettre) : Je fais aussi bien le long des arbres qu'à l'ombre des réverbères quand « ça urge ! ».
Même une fois, dois-je avouer, coincé dans un embouteillage monstre à l’approche de Rouen – c’était le jour où un pont avait cramé au-dessus de la Seine – j’ai dû prendre sur ma pudeur naturelle et faire entre deux portes ouvertes de mon « tas de boue à roulette » sur le terre-plein-central : Même pas un poteau à viser !
Et de vous rappeler qu’en pareille occasion « Deux-par-deux » (l’acteur Russe, exilé-fiscal lui aussi), il s’est fait jeter d’un avion sans être équipé d’un parachute – heureusement l’avion n’avait pas encore décollé – pour avoir fait dans une bouteille entre deux rangs de fauteuils…
Bon, il était rond comme une queue de pelle, mais chez lui, même quand il est sobre, on ne fait pas la différence.
Comme quoi, hein !

Dans cette affaire, je regrette deux choses, et ai une réflexion à faire :

– C’est une mesure qui concerne hommes et femmes.
Bon, pour les hommes, je comprends : Question « beauté », aucun ne m’égale, ils sont tous « moches », même à poils, et alors quand ils « pendouillent » librement, ça rajoute un côté écœurant à ma chaste macula.
Alors que les dames peuvent laisser « pendre » leurs appâts, vêtus ou couverts, sous toutes les plages (et parfois les rues de la voie publique) non-islamistes sans encourir les mêmes sanctions. Et c’est drôle, je ne sais pas pourquoi, mais mon « nerf-honteux » apprécie ce spectacle offert sans aucun répit.
Pas toujours, mais très souvent.
Comme quoi, la macula doit être relié au nerf-honteux, quelle que part dans les connexions ou la tringlerie en ai-je déduit.

– Que Monsieur A., dans ses conclusions, n’ait pas affirmé que sa démarche ait pour origine « sa religion », même personnelle : Il ne met en avant qu’une « philosophie de vie », l’imbécile.
Quoique...
Là, au nom de la neutralité de l’État garantie par le principe – bientôt constitutionnel – de la laïcité, la solution aurait pu être différente, même si ce n'est pas sûr.
Pas partout, puisque les signes ostentatoires des « signes religieux » sont quand même interdits dans les lieux publics, mais pas à l’université.
Vous imaginez donc, selon le principe de la réciprocité, que si on peut y circuler « couvert » d’un drap ou autre sur la tête et tout le corps, on ait la liberté de circuler sans aucun apparat ?
Notez qu’à la fac, si mes souvenirs sont bons, « mes-dames » prenaient  plutôt du bon-temps à se dévêtir prestement et parfois nettement plus vite que la musique : Manque de temps, entre deux cours magistraux, pour les « indispensables préliminaires ».
Reste plus qu’à trouver la religion idoine pour s’y convertir rapidement…

– Et justement, même si c’est un peu hors-sujet, j’ai questionné mon « boss-à-moi-même » de retour de Las Vegas et en partance pour Davos, quant à savoir si un malin, au moins un, avait enfin inventé un capteur à relier à un smartphone témoignant du « plaisir » de la dame approchée.
Je ne sais pas moi, au moins une sonde, une puce, à coller sur la capote…
Parce que la nature est ainsi faite, que si un mek, on sait tout de suite s’il a ou non un orgasme même quand on n’est pas dans sa tête, pour les dames, il faut des années d’expérience pour avoir quelques certitudes…
Parfois même elles, dans leur tête à elles, elles ne savent pas : J’en connais, mère de famille et tout et tout, qui ne savaient pas ce que c’était avant que je leur fasse la leçon accompagnée des travaux pratiques indispensables.
Et, dans l’affirmative, je ne dis pas la fortune du mek qui invente le procédé : Même moi je changerai mon téléphone antédiluvien dans l’heure, quand bien même il ne ferait toujours pas la vaisselle !

Alors, les « inventeurs » & « trouveurs » (pas les « chercheurs », ils ne trouvent jamais rien), au boulot, SVP, parce que sa réponse a été négative une fois de plus !
Déçu, déçu, dois-je vous dire…

vendredi 29 janvier 2016

Les gaffes de Robert.


Pas très finaud, le coquin…

Dans sa voiture, Robert ramène sa belle-mère chez elle.
Ils longent un champ dans lequel se trouvent des vaches.
« Je n’aimerais vraiment pas être réincarnée en vache ! » dit soudain la belle-mère.
« Oh, ne vous inquiétez pas, belle-maman », répond-il. « Il paraît que nous ne sommes jamais réincarnés deux fois de suite en la même chose… »

Qu’a dit François Hollande le soir de la grande manifestation des salariés du privé ?
« C’est plutôt une bonne nouvelle, il reste des salariés en France. »

Robert rentre dans un bistrot, tout  égratigné sur la figure, sur les bras, les jambes, bref pas mal amoché.
Alors ses copains lui  demandent ce qui lui est arrivé.
Et Robert de leur raconter :  
«   Je viens d’enterrer ma belle-mère.
  Quel est le rapport avec tes  égratignures ?
  Ben, c’est qu’elle ne voulait pas ! »

« La retraite à 67 ans, pourquoi pas à 69 ?
Quitte à se faire baiser, autant choisir sa position. »

Un patron fait appeler son employé :
«   Dites-moi, Robert, la semaine dernière vous m’avez demandé un jour de congé en disant que vous voudriez aller à l’enterrement de votre belle-mère, et cette semaine, vous me demandez la même chose : Votre belle-mère ne va pas mourir toutes les semaines ?
  Je n’ai pas dit qu’elle était morte, j’ai juste dit que j’aimerais aller à son enterrement ! »

ON SE POSE LA QUESTION !
« Le changement climatique finira-il par avoir des conséquences irréversibles sur les pizzas quatre saisons ? »

Madame est en train de lire son courrier au petit déjeuner.
Tout à coup, elle lance à son mari un regard soupçonneux :
«   Robert ! Je suis en train de lire une lettre de ma mère. Elle dit qu’elle ne peut pas accepter notre invitation à venir passer quelques jours ici à la maison…
Elle dit qu’elle a l’impression qu’on ne veut pas vraiment d’elle.
Peut-être peux-tu m’expliquer ce qu’elle veut dire par là ?
Je t’avais demandé de lui envoyer un petit mot pour lui dire qu’elle pouvait passer à sa convenance : Qu’est-ce que tu lui as écrit ?
  Ben… Heu… C’est-à-dire que… Voilà, en fait, je ne savais pas comment écrire « à votre convenance », alors j’ai remplacé ça par « à vos risques et périls »… »

«   Chérie ! Ça te dirait de passer un week-end de rêve ?
  Oh oui, mon amour.
  OK, on se voit lundi alors ! »

Robert dit à sa femme :
«   C’est marrant ! À chaque fois qu’on va chez ta mère à l’improviste, elle n’est jamais là !
  C’est vrai, tu as raison, » répond sa femme. « Et comment expliques-tu cela ?
  La chance, tout simplement la chance ! »

Robert se réveille dans un lit au milieu de la nuit et s’écrie :
« Oh, merde, il est déjà 3 heures du matin, je dois vraiment rentrer à la maison, sinon ma femme va me tuer !!! »
La femme à côté de lui se réveille en colère et lui dit :
« Tu es à la maison et je suis ta femme ! »

Robert dit à sa belle-mère :
«   Belle-maman, regardez, il y a une jolie biche dans le jardin.
  Mais non ! C’est une truie !
  Belle-maman, je vous ai dit de regarder par la fenêtre, pas dans le miroir ! »

La paix vient d’être signée en Tchétchénie.
Les soldats russes vont enfin pouvoir rentrer chez eux.
Le président Poutine, en personne, est venu leur annoncer la bonne nouvelle, mais il précise devant le front des troupes :
« Nous devons tout de même maintenir sur place une présence symbolique de l’Armée rouge. Je fais appel à votre sens de la patrie. Que les volontaires sortent des rangs ! »
Un seul homme sort du rang et s’avance.
«   Bravo, soldat ! » dit Poutine. « Tu renonces à retourner chez toi, tu es un vrai patriote. D’où es-tu ?
  De Tchernobyl… »

Une femme raccroche le téléphone, Robert, son mari lui demande :
«   C’était qui ?
  C’était ma mère, je crois bien qu’elle est devenue à moitié folle !
  Ah bon ? Ça va mieux alors ? »

Robert discute avec son ami Bernard :
« – Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu as épousé ta femme, vous n’avez absolument rien en commun.
– Je sais, on dit parfois que les opposés s’attirent. Par exemple, moi je n’étais pas enceinte, elle si. »

Madame à son mari qui vient de rentrer du travail :
« Chéri, j'ai une grande nouvelle pour toi : Très bientôt nous serons 3 dans cette maison au lieu de 2 ! »
Robert est fou de joie et embrasse sa femme qui poursuit...
« Je suis bien contente que tu le prennes comme ça. Maman arrive demain matin ! »

Robert qui héberge depuis sa belle-mère la voit soudain se diriger vers la porte d'entrée en tenant un balai.
« Dites-moi belle-maman, le balai, c'est pour nettoyer la maison, ou bien partir dans les airs avec ? »

Robert et Bernard se rencontrent sur le parking du vétérinaire :
« – J'emmène mon chien chez le véto parce qu'il a mordu ma belle-mère.
– Ah bon, tu ne vas quand même pas le faire euthanasier ?
– Non, tu rigoles… Je viens pour lui faire aiguiser les dents. »

Que risque-t-on à traiter François Hollande d’incompétent sans charisme ?
Dix ans de prison pour divulgation de secret d’État !

Au zoo :
« – Monsieur, monsieur ! Votre belle-mère est tombée dans le bassin des crocodiles !
– Ce sont VOS crocodiles, alors vous n'avez qu'à les sauver vous-même ! »

Le président du tribunal :
« Monsieur, c'est une honte !
Sous l'emprise de l’alcool vous avez tiré à deux reprises sur votre belle-mère après l'avoir insultée ! »
Ce à quoi Robert répond : « Je vous jure que je vais arrêter de boire, car c'est aussi à cause de l'alcool que je l'ai ratée ! »

Sur un fleuve africain une femme fait du ski nautique derrière une pirogue propulsée par une vingtaine de rameurs tous masculins, lancée à vive allure.
Robert, médusé, remarque :
« Je pensais la culture africaine plus sexiste et je ne m'attendais pas à voir des hommes faire de tels efforts pour qu'une femme aie le plaisir de faire du ski nautique. »
L'autochtone à qui il s’adressait répond alors :
« Pas ski nautique : Le chef a prêté sa belle-mère pour la pêche au crocodile ! »

Et la blague juive pas pour mon « conseiller » :

C'est Salomon qui téléphone à sa mère :
« – Allô Maman ? Comment ça va ?
– Ça va bien…
– Oh ! Désolé, je me suis trompé de numéro… »

Mais ça aurait pu être moi téléphonant à ma Môman à moi-même !
Pas juive, mais Corsa, et c’est encore pire…

Bonne fin de semaine à toutes et à tous !

I3