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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 14 décembre 2015

Ce qui nous manque pour mener à bien les réformes indispensables.

Encore une chose que j’ai apprise de mon passage chez les britishs…



… et avant de commenter les résultats du second et dernier tour des régionales.
Pour ça, vous attendrez que je me réveille aujourd’hui après la mise en ligne de ce post-là, que j’épluche un peu la presse qui arrive avec retard jusque chez mon-moi-même rital, que je « butine » aussi un peu la toile et que j’essaye, à mes moments perdus de la journée, d’en faire une synthèse cohérente.

Des réformes à faire, en « Gauloisie-magnifique », nous en avons plein les étagères. Des tonnes de rapports divers et (a)variés qui se recouvrent de poussière insolente au fil des mois, dans lesquels on retrouve globalement toujours les mêmes diagnostics, toujours les mêmes pronostics et à-peu-près les mêmes préconisations.
Et pourtant, rien n’avance, ou alors par si petites touches qu’elles touchent à l’homéopathie telles qu’elles restent insensibles et de tout façon n’améliorent pas la situation, alors que le monde dans lequel nous vivons accélèrent et pas toujours de façon intelligemment anticipée.
En bref, plus « ça va » et plus les choses s’aggravent, moins « ça va », quoi !

Quelles leçons retenir des réformes mises en place partout dans le monde pour régler les problèmes et défis que nous oppose le monde ?
Jouer les autistes, fermer les frontières à tout et tout le monde, s’enterrer la tête dans le sable comme nous le proposent quelques trisomiques-historiques, n’est manifestement pas la méthode triomphale qu’on attend de nos élus, technocrates, « sachants » et autres dirigeants.

En revanche, on peut regarder comment d’autres pays ont mené les réformes que mon pays, celui que j’aime tant, a bien du mal à mettre en œuvre, et parfois même à simplement imaginer, est ainsi riche d’enseignements.
Et mes « nouveaux potes » britishs, avec beaucoup d’humilité et sans vouloir donner de leçons m’ont éclairé avec les exemples venus d’Espagne, d’Irlande, d’Italie, du Royaume-Uni, et aussi de Nouvelle-Zélande.
Pour en faire une synthèse de ce que nous avons sous les yeux et que je vais essayer de résumer promptement (je veux dire de façon courte, ramassée, concise pour que mon « conseiller-omnipotent » puisse lire jusqu’au bout sans se décourager).

Première série d’enseignements, il semble qu’il y ait avant tout besoin d’une prise de conscience, par tous les acteurs, de la situation réelle de l’économie du pays.
C’est parce qu’il était sur le point d’être pris en charge par le FMI que le Royaume-Uni s’est confié à « Maggie Tâte-chair ».
C’est parce qu’ils avaient réalisé être au bord de l’abîme que les Canadiens ou les Néo-Zélandais ont voté pour les réformes.
Au départ, mais aussi tout au long du processus, l’information des citoyens est donc un facteur-clé de réussite.
Curieusement, chez nous, tout le monde est d’accord sur ces constats, mais dès qu’il s’agit de passer aux actes, plus personne n’est « assez d’accord » pour partager le fardeau des réformes à faire.

Un seul exemple, mais il est emblématique, celui de nos taxis depuis le rapport « @Talys », finalement rattrapés par UberPop et les VTC, mais qui mènent encore un combat d’arrière-garde devant les tribunaux, appuyé en cela par le pouvoir politique en place qui parvient à se renier lui-même sur une question qui le dépasse et à se noyer dans un verre d’eau.
Et encore, si je me souviens bien, le « diag » avait été posé dès les années 90, au moment où New-York commençait à libéraliser l’activité.
Depuis, les « yellow-cab » cohabitent sans difficulté avec les autres services offerts par d’autres sur le même créneau…
Pas chez nous !

Deuxième élément : Une « fenêtre d’opportunité politique » est donc capitale pour engager le changement, mais l’on se rend compte aussi que les politiques, pour avancer, se sont appuyés sur leur électorat et ont d’abord porté les réformes dans le camp de leurs non-électeurs ; agriculteurs pour les travaillistes néo-zélandais, syndicats pour les conservateurs britanniques, par exemple.
C’est le « résistant » au changement qui doit être convaincu des bienfaits des changements à proposer, pas celui qui l’est déjà.
Évidement et on l’oublie trop souvent !

Pour autant, le manichéisme ne doit pas être de mise. En effet, les citoyens doivent, autant que faire se peut, participer, par exemple à la production même des services publics comme dans le cas des « free schools » britanniques, elles-mêmes inspirées du modèle suédois, et être rassurés, en faisant en sorte que les réformes se traduisent par des « avantages », comme un meilleur service, plus rapide.
Et ici, l’inscription des actions dans un projet politique (sens, valeurs…) peut s’avérer déterminant.
C’est le troisième point : Il faut se montrer intelligent.
Ce qui n’est pas toujours gagné d’avance, j’en conviens.

Enfin, partout les réformes ont le plus souvent été drastiques et surtout menées rapidement une fois les décisions prises.
C’est la condition nécessaire pour que leurs effets soient visibles et acceptés.
Pour cela, il convient de résister aux pressions, et surtout ne pas changer de cap et ne pas se disperser en courant trop de lièvres à la fois.

Par ailleurs, il convient d’associer les fonctionnaires au processus de changement, et le plus en amont possible du processus.
En effet, ils connaissent mieux que quiconque les réformes à mener.
Mais pour les mettre en action et s’en faire des alliés, il convient aussi de les intéresser à la réforme.
Cela peut passer par le rachat d’avantages, la distribution d’actions lors de privatisations comme chez « Transe-télécom » ou « Air-Transe » en 1998, la mise en place d’incitations par la redistribution d’une partie des économies réalisées comme y a renoncé « François III » et son équipe de branques après le « un sur deux » de « Bling-bling » qui devait être redistribué, la prise d’engagements valorisants vis-à-vis des citoyens, etc.

Signalons aussi que, généralement la fiscalité n’a été que modérément mobilisée pour réduire les déficits.
Au contraire, c’est par des baisses d’impôts que l’on mobilise et motive, en particulier les entrepreneurs, mais aussi tout le corps des « acteurs-citoyens ».
Depuis plus de trois ans, on fait exactement l’inverse en « Gauloisie-fiscale », augmentant les taux, inventant quantité de nouvelles taxes.
Autrement dit, notre pays, comme souvent, est cité comme le contre-exemple à ne surtout pas suivre, parce que ce type de politique (au sens de l’administration de la chose publique) assomme plus que ne réveille, enferme le citoyen dans une nasse mortifère où il ne sait plus comment faire face…

Corollaire de la précédente observation, l’essentiel de l’effort doit porter sur la réduction des dépenses publiques.
Et celle-ci est, dans de nombreux pays, d’une ampleur inégalée avec d’importantes réductions d’effectifs, et le gel ou la baisse des rémunérations.
On le constate partout, aussi bien en Suède qu’en Allemagne, et ailleurs encore, alors que tout le monde se moque des gaulois dont les gouvernements « soces » successifs présentent « les économies » comme un ralentissement, une réduction des augmentations de la part léonine de la dépense publique.
Ailleurs, on réduit les budgets, pas seulement les augmentations de budgets…

Et cette baisse des dépenses publiques ne doit pas se limiter à la sphère étatique.
Elle concerne les dépenses sociales, mais également les dépenses locales.
Si l’on n’y prend garde, les échelons locaux, en effet, ont tendance à s’endetter ou à augmenter les impôts pour « compenser » la réduction des dépenses du niveau national.
Et c’est bien ce à quoi on assiste en « Gauloisie-pue-blique » depuis 1995.
Souvenez-vous de « l’effort » de « Jupette », du temps où il « premier-ministrait », avalé dans la même semaine par l’annonce de l’augmentation de la fiscalité locale d’un même montant …
Il faut dire qu’il avait aussi assommé le citoyen par une série de ponctions historiques pour tenter de réduire « la fracture sociale ».

Sur ce point, on soulignera que la méthode du rabot, pratiquée en « Gauloisie-trisomique », n’est manifestement pas efficace.
Les pays réformateurs préfèrent celle de la revue stratégique des dépenses, qui consiste à faire le tri entre celles que l’on veut maintenir et après avoir débattu du pourquoi, et celles auxquelles on peut renoncer, au moins provisoirement.
Il s’agit d’opérer de vrais choix politiques comme indiqué précédemment, pas de se contenter de « bricolages budgétaires ».
Et on l’a vu pour une première fois depuis des décennies avec la décision de « François III » de donner priorité au « pacte de sécurité » sur le « pacte de stabilité ».
Comme quoi, quand on veut, ça devient possible, même si ce n’est que pour 850 M€.

Conséquence, les réformes ne peuvent se limiter à des ajustements de dépenses et d’impôts. Elles doivent être avant tout structurelles.
Emportant une remise à plat des retraites, du marché du travail, des secteurs réglementés, du niveau de la protection sociale, actions de l’État et de ses démembrements dans le périmètre de ses compétences régaliennes.
L’avant-dernière leçon que m’ont livrée les analystes rosbifs,  est qu’il n’y a pas de recettes miracles, qu’il faut agir au cas par cas.
C’est à mon pays de trouver sa propre voie, en s’inspirant de ce qui a été fait ailleurs mais sans forcément le copier ou le plaquer sans prise en compte du réel.
Or, ce qu’il faut faire dans notre pays est à peu près connu. Beaucoup de rapports, d’ouvrages ont été publiés.
Les idées sont là.
Ce qu’il manque pour l’instant, en dehors d’une volonté politique, c’est un projet qui donne du sens à l’action et surtout la méthode pour y parvenir.

Pour cela, il faut peut-être, s’appuyer sur de vrais experts, sur des « techniciens » avertis, formé par le terrain, parce qu’ils en ont tâté les mains dans le cambouis.
Pas à des « penseurs » (du bonheur d’autrui), bien évidemment, qui vendent leur soupe pour exister encore mais n’ont jamais rien généré que des catastrophe.
C’est à ce titre que les méthodes des spécialistes du retournement d’entreprises pourraient être mobilisées, m’ont-ils assuré : Là, je bichais…
Notez que pour ma part, je leur ai avancé l’hypothèse d’un basculement radical : « On vit dans un « État-totalitaire », parce qu’il est tenu par une série de mafias corrompues qui s’épaulent mutuellement derrière un marketing-politique désuet et s’épuise à maintenir ses avantages indus. Ça n’aura jamais qu’un temps : Nous avons déjà eu une abolition des « privilèges » un certain 4 août. On peut et on doit le refaire ».

Je les ai un peu inquiétés, crois-je : Après tout, la Perfide-Albion a fait déchirer à plusieurs reprises les traités de paix napoléoniens (mon « cousin ») parce que celui-ci portait les valeurs de la Révolution au-delà des monts et des vaux…

(@ Jacques : Là, ça va ? 1.800 mots…)

I3

12 commentaires:

  1. Bonjour,

    Bien que je sois d'accord sur le fait qu'il faille agir/réformer (échelle nationale), je suis toujours stupéfait par quelques points :
    - pourquoi la principale variable d'ajustement est le salaire ? (échelle mondiale)
    - pour le salaire est considéré comme un coût ? et pas les dividendes/bonus ? (échelle mondiale)
    - pourquoi les dettes publiques ont considérablement augmenter depuis 2008 (et donc le remboursement qui va avec) ? (échelle mondiale)
    - pourquoi la finance/spéculation n'est pas taxée ? (échelle mondiale)
    - pourquoi les paradis fiscaux existent-ils (toujours)? (échelle mondiale)
    - pourquoi la création monétaire est contrôlée par du privée ?
    ...

    La cible est-elle la bonne ?

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    1. Oui elle est bonne.
      Mais les réponses sont complexes : Ca prendrait tout traité fiscalo-économique !
      Et en 1.800 mots, ce n'est pas facile.

      Pour ma part, le raisonnement qu'un salaire (versé) est une variable d'ajustement et un coût est une ineptie comptable : Certes on "achète", mais ce sont des compétences, des talents, des savoir-faire qui sont acquis !
      Il faut pouvoir les revendre.
      Penser l'inverse, c'est aussi sortir des grandes ékoles de "sachants", qui forment souvent des trisomiques : Ils survolent le sujet à en rester "basique", sans se rendre compte qu'ils tombent dans le désordre intellectuel.

      Le dividende est un coût comme un autre pour un DAF qui se respecte : C'est soit emprunter pour investir (ou faire les fins de mois) et donc payer un intérêt (quand on veut bien vous prêter) alors qu'un dividende est contrôlé en interne via les AGO annuelles.
      Penser l'inverse, c'est aussi sortir des grandes ékoles de "sachants", qui forment souvent des trisomiques : Ils survolent le sujet à en rester "basique", sans se rendre compte qu'ils tombent dans le désordre intellectuel.

      .../


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    2. /...

      Pour les dettes publiques, depuis Keynes, personne n'a trouvé une théorie convenable.
      Penser l'inverse, c'est aussi sortir des grandes ékoles de "sachants", qui forment souvent des trisomiques : Ils survolent le sujet à en rester "basique", sans se rendre compte qu'ils tombent dans le désordre intellectuel.

      La spéculation est taxée, mais pas partout de la même façon : C'est l'objet de l'optimisation fiscale.
      Normal : Plus on en a, plus on est "légitime" à en conserver le plus possible.
      Ce qui renvoie à la question suivante :

      Les paradis fiscaux pourraient très bien disparaître demain en les interdisant de Forex (comme on l'a fait pour l'Iran et un peu les Russes).
      Resterait alors plus que les "valises de billets".
      Mais là encore, disposer de fortunes off-shore, sans rien pouvoir en faire, c'est contre-productif : Il faut pouvoir blanchir le pognon noirci dès le premier usage (sauf pour bouffer, se vêtir, se soigner : Déjà, pour se loger, c'est plus difficile tellement on vit dans un monde hyper-contrôlé !
      En matière d'argent, tout, absolument tout est tracé par le fichier PROMIS qui tourne aux USA depuis plusieurs décennies.
      Mais il y a trop de donner pour être exploitées utilement...
      Ert puis il y aura toujours des malins pour utiliser le bitcoin ou tout simplement le troc en nature...
      En bref, ça ne sert pas à grand-chose, finalement : Regardez donc "Clearstream" qui "compense" seulement en Europe, on sait tout, ou on peut tout savoir, mais dès qu'on cherche, on est perdu dans des milliards d'opérations/heure...

      Quant à la création monétaire, elle est hyper-contrôlée, hyper-surveillée. Je n'ai jamais vu un métier aussi méticuleusement suivi que le métier de banquier, créateur de monnaie.
      Quoique là encore, chaque minutes qui se suivent, les débits égalent toujours les crédits et on en revient à un contrôle direct sur la planche à billets des QE et autres "opérations non-conventionnelles" des banques centrales.
      Finalement, il n'y a qu'elles qui crée de la monnaie.

      Elles et le travail de production du "pôve-sans-dents" qui perd sa vie à la gagner derrière sa machine.
      Et c'est là bien le plus triste : On a des bras en pagaille qui ne servent à rien, qu'on entretient quand même, alors qu'ils pourraient être utiles à créer de la valeur en... pagaille !
      En tout cas rendre la demande "solvable". Ce qui n'est pas le cas actuellement, résultat, la croissance est poussive, parfois inférieure à l'inflation, le chômage gonfle, on perd du temps et le temps c'est de l'argent !

      Un monde à l'envers et pour l'expliquer, il faudrait un traité complet de plusieurs volumes.
      Ce qui n'apporterait pas non plus de solutions pérennes.
      Alors à quoi bon ?

      Bien à vous !

      I-Cube

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  2. Mouais ... 1.800 mots. Ca peut aller ... Ce serait encore mieux si c'était clair.

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    1. Clair ?

      Attendez, c'était en anglais en plus, et je ne maîtrise pas tout non plus.

      Alors, en anglais, clair et concis, faut pas non plus demander la lune, hé !

      Bien à vous !

      I-Cube

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  3. @ Cube

    La cause ?...

    Une pensée bloquée.
    Et une société bloquée !...

    Voilà le principal handicap de notre société et qui empêche toute remise en cause, toute réforme, des paradigmes économiques dans les lesquels vivent nos « kons-citoyens ».

    Une société bloquée car la réalité de la vie économique, dans ce qu’elle a de plus pervers, est soigneusement cachée.
    Une société bloquée où d’authentiques mafieux sont au pouvoir et ne souhaitent qu’une chose : y rester, garder leurs avantages et surtout que ne soient jamais dévoilée leur niveau de crapulerie.
    Une société bloquée où ceux qui veulent la changer, l’améliorer, sont éliminés, comme Pierre Bérégovoy et François de Grossouvre.
    Une société bloquée où la vraie information, celle qui met en cause des dirigeants du plus haut niveau, est tue.
    Une société bloquée où les citoyens ne comprennent plus rien et sont prêts à se jeter dans les bras de la « peste brune », ou blonde, pour que cela aille mieux.
    Une société bloquée où la réalité est déformée, où il est impossible de voir correctement le réel.
    Une société bloquée qui est, en fait, assez semblable à un état psychotique où l’individu a perdu le contact avec le réel.

    En fait, une société gravement malade.
    Et que seul un grand bouleversement psychique pourra sortir de sa torpeur, de son repli sur elle-même.

    Cela se fera par l’information, vraisemblablement, au départ, par la contrainte, et nous assisterons à un psychodrame national qui mettra à plat les certitudes des uns et des autres et ouvrira la voie à une reconstruction.
    Tout deviendra alors possible.

    Mais que d’efforts, de débats, de remises en cause, de souffrances, de règlements de comptes en perspective…

    Bien à vous !...


    Dr Haddock

    PS En fait, vous l’aviez compris, j’en reviens encore, et toujours, aux affaires du Golfe

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    1. Oui on avait compris et vous ne répondez pas à la question de bon sens qui demanderait, pourquoi autant de temps (24 ans) pour aboutir à cette remise en cause générale, et jeter-bas les institutions de la Vème République (puisque c'était le "plan" de "Mythe-errant" dès le démarrage ?
      Pourquoi tout le monde s'est enfermé dans le déni de réalité avec délectation ?

      Plus j'y réfléchis, plus je pense que l'Omerta est mondiale parce que le hold-up est mondial, en tout cas "transatlantique".
      Je ne vois pas d'autre explication rationnelle.
      Et encore, elle n'est pas entièrement satisfaisante...
      Qu'il y aurait le jeux de "mains invisibles", nuisibles celles-là, que ça ne serait pas tout-à-fait impossible.

      Mais bon, on y reviendra tôt ou tard et le cœur reste curieusement la "Gauloisie-perfectible".
      On y vient doucement, lentement, mais sûrement : "Qui va piano, va sana è qui va sana, va lantana ! (en disait ma "grand-mère").

      A suivre.

      I-Cube !

      PS : Ca y est, vous avez réussi votre diplôme de toubib pour signer "Docteur" ?
      Félicitations !!!

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    2. On peut trouver plusieurs réponses sur les raisons d’une telle Omerta : la tendance à la soumission des individus, la peur de perdre son emploi, d’être révoqué, d’avoir une carrière brisée, d’idolâtrer tellement « l’arsouille » qu’il en est intouchable, la crainte pour l’image de la France, pour sa peau, une presse aux ordres, la peur pour les institutions, un scandale mondial, etc…

      En fait, c’est vraisemblablement un peu de tout cela !...
      C’est tellement énorme et monstrueux que personne n’a traité le dossier.

      Et, en fait, je me suis dit un jour que, pour réussir à divulguer une telle affaire, pour trancher cet impensable nœud gordien, il fallait "faire le poids" avec l’Arsouille.
      Faire un truc de fou, en fait…
      D’où l’expression « Dr Haddock » !...

      Et puis cela avance doucement…

      Bien à vous !...

      Haddock

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    3. Et oui.
      Mais même "Haddock" ne fait pas le poids, faute de relai.

      Même si peu-à-peu, le "sida" progresse et fait son œuvre, j'en conviens.

      Faut persister, vous le savez bien : Alors bon courage à vous !

      Bien à vous !

      I-Cube

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    4. Ni « Haddock », ni « I-Cube » ne font le poids !...
      Mais c’est juste une question de temps !...
      Il faut laisser le temps au temps comme disait « l’Arsouille » !...

      On eut toujours espérer un sursaut à un moment ou l’autre.
      En fait, le dossier sortira lors d’une crise très grave.
      On y arrive tout doucement…

      Le sida "socialiste"...
      La formule pour les soins est connue : il faut de la liberté, du libéralisme.

      Bien à vous !...

      Haddock

      Supprimer
    5. En fait, vous "faites le poids", et vous le savez très bien…
      Et c’est la même chose pour moi-même…

      En fait, le problème est « comment divulguer un tel bordel et que cela soit positif, que cela se fasse « naturellement » ?...

      Pas évident, et la décomposition du pouvoir en cours, les blocages mentaux de nos « autistes », nous amènent doucement à une crise et une rupture qui permettra de remettre le système en cause et de repartir sur des bases saines…
      Par contre, ce sera douloureux…

      Bonne journée à vous !...

      Haddock

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  4. Certes oui, oui en tous points !

    Notez que d'être "ignoble & infreequentable" n'aur pas servi à grand-chose non plus...

    Notez aussi que normalement, "l'affaire" sort toute seule en 2016, premier trimestre, selon le "plan-originel" de "Mythe-errant" soi-même.
    Ou alors au moment de son centenaire, en octobre prochain, à la veille, mais c'est hasard, des primaires LR : Là, "Bling-bling" va s'en prendre plein la tronche !
    Comment n'a-t-il pas été, ou a-t-il été au courant sans rien n'en dire ?
    Vous imaginez son image ensuite...

    J'en rigole, notez bien !

    Bien à vous !

    I-Cube

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