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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 18 novembre 2015

Lucette : La communication foireuse

« Je vous aime ; moi non plus ! »
 
Je ne sais pas ce que vous avez glandé à l’époque où « Flanby à la fraise des bois » est allé s’en jeter un derrière la cravate, escorté par quelques ministres, chez Lucette, dans son HLM de Vandœuvre-lès-Nancy.
Moi, j’ai suivi de loin, en voie d’être torturé par quelques toubibs assoiffés de sang, et ils savent y faire jusqu’à vous obliger à leur signer une décharge préalable…
« C’est pour votre bien ! » qu’ils en disaient.
Ils m’aiment tant qu’ils veulent mon bien à mon corps défendant…
Et il faudrait que j’aime mes bourreaux, en plus ?
Moi qui voulais sortir de leurs griffes le soir même, j’étais privé de liberté pour plusieurs jours, fulminant de ne pouvoir rigoler de l’immense fatuité du personnage qui veut qu’on l’aime lui aussi et malgré lui.
Et cet épisode nancéen vaut qu’on y revienne.
 
Parce que moi, je garde un souvenir ému de Vandœuvre-lès-Nancy : Il y a quelques années de ça, je me tamponne 4 heures d’autoroute aux aurores pour aller chez un prospect, expert-comptable d’un réseau avec lequel je travaillais à vendre et mettre en place mes petits-montages d’optimisation fiscale et sociale pour leurs meilleurs clients…
J’arrive là sur le coup des 9 heures et me présente à l’accueil … encadré par 4 motards !
« Vous êtes ensemble ? » questionne la blondasse quand je m’annonce pour prévenir le chef de mon arrivée.
Que je me retourne pour comprendre, étonné.
J’aurai pu répondre : « Mes gardes du corps ! », mais je n’en menais pas large. Quelle konnerie avais-je pu faire sur plus de 400 km pour être ainsi poursuivi jusque dans des locaux privés par la maréchaussée ?
Pas du tout, ces messieurs venaient prendre leurs ordres chez le Président de l’ordre local, mon RDV, pour aller saisir le matériel d’un minus qui faisait de la concurrence déloyale aux experts-comptables du bassin…
Une opération de police administrative très classique.
Les nancéens, je vous jure, depuis Stanislas Leszczyński, ils n’en manquent pas une !
 
Bé « François III », amiral de pédalo dans le civil, il s’est fait prendre au même piège.
Pensez donc, il aime tellement le « bon peuple » qui le lui rend si bien, qu’il peut s’inviter impromptu et presque incognito à siroter un café (municipal) chez la première quidam venue, comme d’une vaste surprise impromptue, caméras installées depuis le début de la matinée, pour échanger (sur des questions permises et non-interdites), à bâton rompu avec la retraitée.
Elle, super-sympa, elle en a dit qu’elle votera pour lui en 2017, tellement « il est bien »…
Le pôvre : Aller à la pêche aux voix, une à une, il n’a pas fini !
 
Bon depuis, elle se cache chez sa fille, après avoir fait une mauvaise chute dans son escalier, et « Flanby » s’est refait une virginité grâce aux salopards de Daesh.
Fabuleux…
 
Parce qu’on y songe tout de même, ils sont tous passés, à quelques exceptions près, par « je suis aimé, regardez ! », gonflé à l’hélium de leur propre fatuité.
Surtout quand ils étaient au plus bas dans les sondages d’opinion, figurez-vous.
 
On a ainsi vu « Giskard-A-la-Barre » rentrer dans les poubelleurs de la rue du Faubourg-Saint-Honoré à potron-minet, qui, pour s’excuser de la frayeur causée, les a invités à partager les croissants matinaux élyséens.
Complétement pété, le « D’estin »…
Plus tard, il a eu envie de s’inviter à dîner chez le quidam en ville : « Des œufs brouillés » suffiront pour un tel dîner !
Pour faire, « populaire », il n’hésitait pas à jouer de l’accordéon avec Yvette, ce qui est mieux que le piano qu’il maîtrisait également mais qui fait plus… précieux !
Un président « sympa » lui aussi.
« Mythe-errant », il avait besoin de se faire servir des ortolans (volatile à plume d’une espèce protégée) par le gendarme de service à Latché, ou de se faire photographier avec des résidus de collabos, qu’il a été à sa jeune époque avant de virer « soce »…
« Bat-la-mou », il s’était fait violence pour bouffer de la merguez avec les doigts à l’occasion d’un barbecue, pour faire « populaire ».
Même qu’il en a rajouté à l’occasion d’un déplacement, à se faire prendre en stop par le gendre d’un de ses gardes du corps qui passait par là par hasard, à l’occasion d’une « panne d’hélicoptère » improvisée.
Mais si : Même lui peut faire du stop sur le bord des champs, tellement on l’aimait, alors que Georges Marchais, avec sa saleté de tronche (pas de sa faute, mais quand même), il aurait pu crever sur le bord de la route…
Le « Chi », au moins, il savait flatter le kul des vaches, roter après une mousse bien fraîche sifflée après avoir partagé une tranche de sifflard !
Il ne se faisait pas violence.
Quant à « Bling-bling », on a tout de suite compris qu’il n’aimait personne avec son « Kass-toi-pôv’-kon ».
D’ailleurs, on le lui a rendu : Même un canasson boiteux l’aurait battu en 2012, c’est dire.
 
Bé voilà que son altesse « François III » se vautre dans le même guignolesque et vous n’avez rien fait !
Là, j’enrage.
 
Notez que s’il veut se rendre sympathique auprès des foules, il lui faut aussi applaudir aux exploits des bleus autour d’un ballon.
On se souvient, pitoyable, du « Chi » hurlant les noms des joueurs de la coupe du monde, après avoir lu leur noms sur les écrans géants du stade de France…
Magnifique : De toute façon, il ne concourrait déjà plus pour un troisième mandat.
Il avait déjà fait le tour de la fonction.
 
En revanche, « François III », il compte bien faire barrage à « Marinella-tchi-tchi » pour un deuxième mandat, et les konnards de Daesh lui ont donné l’occasion d’y croire encore, au moins un peu.
Là, j’étais chez moi à Monaco, enfin libéré par mes tortionnaires, devant la télé à regarder le match contre l’Allemagne. Vers la dixième minute, je ne me souviens plus bien, on a nettement entendu un des retardataires se faire exploser.
On ne savait pas, mais ils ont loupé l’entrée à cause des embouteillages…
J’imagine le carnage s’ils avaient attendu la sortie des gradins en se plongeant dans la foule sur les quais du RER…
 
Et là, depuis et après avoir enfilé ses habits de « chef de guerre », « François III » s’est refait une popularité indéniable.
Ce gars-là, il n’est bon que dans le malheur du peuple finalement, c’est dire !
Souvenez-vous du 11 janvier dernier – c’était il n’y a pas si longtemps – il a été capable de rassembler un G80 en 48 heures aux alentours de la place de la République.
Plus d’un million de personnes peuvent en témoigner : Fortiche !
À tel point qu’il en a même partagé les honneurs avec « Bling-bling ». Enfin, ce dernier en troisième ligne quand même, ne sachant trop comment arriver dans le champ des caméras pour la photo de famille…
 
Là, pour le coup, le « Capitaine de pédalo », pris dans la tempête, il se paye enfin un costume taillé impeccablement sur mesure, pour aller faire la leçon au Parlement réuni en Congrès.
Une innovation de son prédécesseur que ce dernier n’a pas eu les moyens d’inaugurer…
Et pour annoncer quoi ?
Une série de mesures opportunes (on en jugera plus tard) dont une énième modification de la Constitution.
Comme si elle ne suffisait pas, puisqu’on fait face avec ce qu’on a déjà !
Il y a des raisons, sur lesquelles on ne va pas épiloguer, si une loi de 1955, sur « l’état d’urgence » n’a pas été intégrée dans la Constitution de 1958.
Il en veut plus et comme pour son prédécesseur, ce ne sera pas lui qui en usera : Dramatique pour le premier des trois mots de la devise nationale, « Liberté » qui aura été reprise à travers toute la planète en soutien face à l’horreur indicible.
 
En bref, il fait le lit de « Marinella-tchi-tchi » qui n’aura plus aucun mal à jouer de l’article 16 et 36 modifiés – si la révision constitutionnelle prévue ne porte que sur ces deux points, ce qui n’est pas si sûr – dès les premières émeutes qui suivront son élection au premier tour des présidentielles de 2017, avec majorité absolue des suffrages exprimés…
Pour cause d’abstention massive … au premier tour seulement.
Avant même les législatives qui devraient suivre en juin, mais qui ne se tiendront pas, compte tenu « des troubles » de la rue dans le moment…
C’est comme ça que c’est prévu.
Et j’espère bien me tromper lourdement.
Quoique je suis en exil depuis juin 2014 : Ce n’est pas pour rien non plus !
 
En bref, il faudrait encore un attentat d’envergure, sans doute d’Al-Qaïda, façon gaz Sarin sur la COP21 par exemple, histoire de couper l’herbe sous les pieds à ses ennemis de Daesh, et ce sera le foutoir total !
Là, on est bon pour une dictature militaire : Même plus besoin de révision constitutionnelle !
Parce qu’attention, « Bling-bling » a aussi perdu les élections de 2012 à cause des attentats de Toulouse, rendant évident l’échec de sa politique sécuritaire.
« François III » pourrait aussi être victime de la même désillusion populaire en cas de « troubles majeurs » à l’ordre public d’ici la fin de l’année prochaine.
Ah oui, si ce n’est pas le Bourget, ce sera l’Euro de foot, vous savez, ces grands garçons en short court qui galopent après un ballon pendant 90 minutes.
Une belle cible, surtout si on baisse un peu la garde…
 
À suivre les amis, mais ça nous promet de belles heures de dégueulasseries diverses et bien senties.
Bonne journée quand même à toutes et à tous !

2 commentaires:

  1. Il est largement prouvé que toutes les lois de circonstances sont intrinsèquement mauvaises. La loi sur l'état d'urgence entrait dans ce cadre. Elle a été profondément remaniée en ... 2011! Ce n'est pas si vieux ... Curieusement, on s'apprête à abroger les dispositions relatives à la presse! Comme ça, lorsque les socialistes seront dans l'opposition, en 2017, ils pourront faire jouer les relais nombreux et puissants qu'ils auront accumulé dans ce milieu pourri! Sans parler que les journalistes savent remercier, au moins au début!

    Pas plus tard que ce matin, on "apprend", sur France Inter, que la prolongation de l'état d'urgence a été adopté ... Ces connards (comment les appeler autrement?) ne savent apparemment pas que pour qu'une loi entre en vigueur, il faut qu'elle ait subi le passage des deux chambres puis le vote solennel puis l'examen éventuel du Conseil Constitutionnel (qui, cette fois-ci, n'aura pas lieu, il est vrai).
    Comment s'étonner que notre pays fonctionne aussi mal avec des lascars de cet acabit?

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    1. Le Sénat ne fera pas de difficulté.
      Ni le "conscons".
      Elle entrera en vigueur rapidement.

      Par ailleurs, je ne le dis pas (samedi, je reprends le texte qui n'a pas besoin de commentaire, juste pour le garder en archive), mais je trouve que c'est une bonne chose que la presse, les spectacles, cinés, et autres ne soient pas concernés par le nouveau périmètre de la loi.
      On n'est plus au milieu de la guerre d'Algérie et sa censure...
      Mais là encore, ce n'est pas dit dans le corps de la loi, juste dans la présentation qu'en fait le ministre au titre de l'exposé des motifs.

      Et puis une loi peut en défaire une autre, en tant que besoin...

      Pour le reste, le kons, ceux des neige d'antan ou ceux de la dernière pluie, ça reste toujours des kons !
      Hélas.
      Tant qu'ils ne se prennent pas pour des bombes humaines armés de kalachnikovs, ça ne me gêne pas trop : Je sais encore distinguer le bon grain de l'ivraie !

      Bien à vous !

      I-Cube

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