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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 12 novembre 2015

Au nom du père (Chapitre XVI ; Tome II)

Monsieur Albert 
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. 
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite ! 
 
« Docteur de Bréveuil, je présume ? Riririri ! » 
Et il trouve ça drôle, le « poète » ? Il se présente. 
« Je vous offre un verre pour vous en remettre ? » 
Riririri ! « On va chez vous. Passez devant. Je vous suis de loin, ririririri ! » 
Là, très curieusement, pendant que Miho est priée de dégager les lieux et que Paul sort les verres, les glaçons et quelques bouteilles, le « petit-gros » sort une sorte de boîtier qui fait « bip-bip » et circule à travers de tout le loft en le pointant dans toutes les directions, y compris vers le plancher et le plafond. 
Verdict : « Il y a des mouchards chez vous. Riririri ! Mais je présume que votre chat en est aussi doté. Riririri ! » 
Le chat des voisines porteur d’un microémetteur ? Riririri, hein ! 
 
Qu’ils s’en vont aussi sec vers le boulevard Saint-Germain jusqu’à remonter la rue Monge sur un bon bout de chemin, l’un suivant l’autre d’une petite dizaine de mètres sur le trottoir d’en face, laissant la place à Miho qui poireautait sur le trottoir à bouquiniers installés en surplomb de la Seine, avant d’entrer tour à tour dans un café situé en face de l’église Saint Nicolas du Chardonnay, haut-lieu de l’intégrisme-conservateur du culte catho parisien selon Pie XII, à deux pas du bâtiment de la mutualité gérée par la MNEF (le syndicat d’étudiant à vocation gauchiste). 
(NDA : Pour la fluidité de la lecture, l’auteur de cette prose, propose unilatéralement d’ôter (presque) tous les « riririri » suivants : C’est assez agaçant comme ça et parfaitement ririri-dicule à écrire… Alors à lire, sans doute bien plus !!!
 
Pourquoi toutes ces précautions. 
« Il faut que vous sachiez deux ou trois choses, Docteur de Bréveuil. » 
Pourquoi docteur ? Il veut lui en mettre plein la vue le « ririririri » ? 
Et voilà le « petit-gros-petit-chauve » qui commence sa première leçon. Il y en aura d’autres à tout bout de champ. 
« Un bon agent-secret, c’est un agent vivant. Mort il ne vaut plus rien que des emmerdements. 
Un bon agent-secret, c’est un agent vivant libre de ses mouvements. Entravé ou découvert, il est quasiment mort et rendu incapable d’opérer utilement. Il ne vaut plus que des emmerdements. 
Donc, un bon agent-secret, c’est un type discret, doté de préférence d’une bonne couverture, pour rester vivant et opérationnel et qui fait faire plutôt que faire lui-même. 
Vous saisissez ? » (riririri).
Paul n’est pas un agent-secret. 
« Ça, je ne vous le fais pas dire. Votre logis-PC est sous écoute, j’imagine que vos téléphones le sont également. Vous abriter un agent nord-coréen jusque dans votre cuisine, vous logez comme par hasard à côté de contacts du Mossad et on vous a vu carrément avec un haut dignitaire de la CIA. » 
Il en oublie les anglais et sans doute les canadiens. 
« Question discrétion vous avez tout faux ! » (riririri) 
Style, qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de vous, docteur ?
 
« Je vais vous expliquer : Notre employeur commun veut que les russes et les chinois viennent à moi. J’ai mission d’aller en Chine me faire offrir une petite démonstration de leur nouveau chasseur de troisième génération plus, le J20. Et ce n’est pas avec du vinaigre qu’on attrape les mouches : Alors il est prévu que je leur en mette plein les yeux pour les faire sortir du bois. 
À vous d’assurer l’identification des réseaux dormants, d’assurer tant faire ce que peu, à la fois ma sécurité et de me fournir les moyens logistiques sans même émarger au budget de la Nation ! 
C’est votre mission et c’est sans poser de question ! » 
L’autre, il en perd son latin et surtout l’usage momentané de ses « riririri ». 
Ce qui fait des vacances… 
Pas longtemps, bien-sûr : Chassez le naturel, il revient au galop ! 
« Maintenant, si vous refusez, et on peut comprendre, je ne vous en tiendrai pas rigueur. Mais puisque vous êtes là, vous allez au moins me rendre un petit service : J’ai à la maison un sex-toy à destination de notre Président de la République. Ne soyez pas surpris et gardez pour vous ce que je vais vous dire, parce qu’ils sont capables de tout pour que ce si grand secret d’État ne s’évente jamais. Il en va de nos deux vies. » 
Là, l’ex-gendarme, il en reste coi. Totalement. Même pas l’ébauche d’un « ririririri ». 
« Monsieur notre locataire Élyséen, vous n’êtes pas sans l’ignorer estime-je, a marié sa troisième épouse. Pas que pour la gaudriole, parce que elle, elle veut un enfant de lui. 
Seulement voilà, Monsieur l’a un peu trop courte pour la cheminée hors norme de Madame et il ne jute plus aussi fort qu’a ses 20 ans. Résultat, il ne l’a pas encore encloquée, ce qui la chagrine sévère. Je me serai bien proposé pour suppléer à la tâche, voire de proposer quelques amis qui en pincent pour la belle. » 
Là, Paul pense au « Capitaine Haddock » dont il sait qu’il n’aurait pas été insensible à la perspective. 
« Alors, sur les bons conseils de quelques bons amis, il s’est décidé à acheter un greffon qu’il a payé 50.000 dollars à des mexicains. 
Ma source, qui confirme la réalité de mon dire, n’est rien d’autre que les services de police Canadiens où se trouvait l’institut qui devait convoyer le greffon venu de Chine, assortie de la confirmation du fameux « haut-dignitaire » de la CIA qui a eu entre les mains le rapport du toubib mexicain. Ne me demandez pas comment, je ne sais pas. 
Mais pour faire plus sérieux et plus couleur locale, j’ai eu droit à deux attentats contre quelques-uns de mes intérêts sis au pays, j’ai été viré de la boîte que je dirigeais et qui a comme principal sous-client le ministère de la défense, d’une fondation gérée pour le compte du même ministère et de mes fonctions officieuses pour les services de Matignon. 
De quoi « faire sérieux », n’est-ce pas ! 
Dois-je vous faire un dessin ? » 
Non : Il digère l’information. 
 
« Je vous précise par ailleurs que pour me laisser le temps de réunir les fonds à un remboursement de l’avance payée un peu légèrement par qui vous savez pour sa bite toute neuve, j’ai demandé des délais et que du coup on m’a refourgué en contrepartie cette mission hallucinante d’aller jusqu’en Chine pour tâter du J20. La preuve : Vous en avez été mobilisé pour me soutenir ! » 
Trop fort, la tête de « l’ex-keuf ». 
« Sans ça, j’aurai déjà renvoyé depuis longtemps la nord-coréenne dans les prisons de Guantanamo, je sauterai autre chose que mes voisines de palier et ailleurs, vraisemblablement sur quelques plages ensoleillées des îles des mers du sud, croyez-moi, au lieu de vous infliger cette « mission contre-nature ». Vous suivez toujours, là ? »
Il a du mal. Manifestement. 
« Et c’est là où vous allez me rendre service. C’est que je suis allé jusque chez un de mes potes-pornocrates patenté lui taxer ladite prothèse qui rallonge le pénis quand on l’enfile comme d’un préservatif troué. 
Avec la consigne d’utiliser le machin en position de « levrette-piquée », sans se tromper d’orifice, madame sur le ventre, cambrant les hanches au maximum et monsieur s’enfonçant dans les grandes Jorasses de madame, à la verticale avec le machin autour du zizi. 
Est-ce assez clair pour que vous portiez le mode d’emploi et son orthèse à un dénommé « Jacques Chirac » ou à un de ses chefs, qui n’a rien à voir avec un quelconque ancien Président, mais fait partie de ce qui me semble être un « service qui n’existe pas », quelle que part comme d’un « cabinet-noir » élyséen, et le tout de la part de « Charlotte ». Est-ce bien compris ? » 
Un fois ce service rendu, il décidera de poursuivre la mission ou de laisser tomber. 
 
Et ils retournent selon le même procédé de la file indienne « à-dix-mètres », sans un mot de plus. 
Une fois le paquet remis, « Monsieur Albert », laisse tomber : « Si vous vous foutez de moi, vous ne me revoyez plus jamais ! » 
Comme ils se reverront, c’est que la remise du paquet et du mode d’utilisation s’est bien passée. 
D’autant mieux, mais on ne le saura que plus tard, que Madame a pu mettre au monde une fille en octobre suivant. 
Paul aura tiré un chèque de 50.000 dollars remis dans la corbeille de naissance de « Juilietta », chèque qui ne sera d’ailleurs jamais encaissé jusqu’à l’extinction du délai de prescription. 
 
Entre-temps et avant son départ pour les States, Paul se fend d’une soirée électorale en province. 
C’est que les élections cantonales sont prévues pour mars prochain (où Lacuistre sera réélu dans son canton) et que déjà le candidat-sénateur Philippe du même nom se prépare à sa réélection aux sénatoriales de septembre 2011. 
Il lui faut donc « chauffer les salles » à ses soutiens du suffrage indirect. 
Un bonhomme âgé au physique assez sec des mal-baisés, desquamant à qui-mieux-mieux, et déclamant sur le ton cassant des gens qui savent tout sur tout et ont des convictions idéologiques fracassantes qui plaisent au « bas-peuple » qui aime qu’on le flatte dans son « bon sens » paysan. 
Autrement dit, ses « bas-instincts »… 
La salle du théâtre municipal est un peu trop grande, même s’il n’est pas facile de se garer dans le « pays », pour vraiment « chauffer », mais l’acoustique est excellente. 
Et les auditeurs ne sont finalement là que pour applaudir aux bons mots du sénateur local qui globalement n’a pourtant aucun charisme, mais se fait filmer sous les hourras ! 
Ce doit être bon pour son image. 
 
Et le voilà qui expose ce qu’il croit bon pour le pays : En vrac, sortir de l'Euro pour un retour au Franc. Mais tout de suite pour dévaluer ce dernier « afin de rendre compétitives les entreprises »… 
Qui achèteraient leurs matières premières importées comment au juste ? 
Majorer les cotisations salariales et patronales pour les étrangers. Favoriser les investissements directs étrangers en France. 
Avec un franc dévalué, pour quelques heures de salaire américain, ils pourront en acheter des entreprises françaises, les retraités ricains ! 
Mise en place de droits de douane différenciés pour favoriser la production nationale. 
Mise en œuvre de la préférence nationale à l'embauche via diverses mesures de taxation du travail des étrangers (applaudissements !). 
Obliger au remboursement, par les entreprises qui délocalisent, des aides ou subventions qu’elles ont reçues (re-applaudissements). 
Instaurer la préférence nationale pour les prestations sociales, les allocations familiales notamment, réservée aux familles nombreuses françaises avec une augmentation des cotisations d'assurance Maladie et de l’assurance Chômage pour les étrangers (applaudissements !). 
Il faut dire que c’est à ce moment-là qu’il vient à Paul une idée lumineuse pour ce type, resté célibataire et sans enfant qui a commencé son discours par affirmer qu’il sera le paterfamilias de tous les français pour leur rendre leur dignité et interdire l’avortement…. 
Le con ! 
 
« Le RMI ainsi que l’AME doivent être supprimés pour les étrangers » 
La réforme du droit de la nationalité avec notamment suppression de la bi-nationalité et déchéance de la nationalité pour les délits graves commis par des personnes naturalisées depuis moins de 10 ans. L’expulsion des délinquants multirécidivistes étrangers. 
Les « nés-locaux », niet ! 
Un rétablissement du contrôle systématique aux frontières consécutif à une sortie de l'Espace Schengen, la mise en œuvre de moyens importants de lutte contre l'immigration clandestine, l’expulsion automatique de tous les étrangers en situation illégale, la suppression du regroupement familial, la réduction de la durée de la carte de séjour de 10 à 3 ans. 
Il veut instaurer une présomption de légitime défense pour les forces de l'ordre faisant usage de la force, mais aussi l’amélioration des moyens de la police et de la gendarmerie et la revalorisation de leurs salaires : « Je veux des forces de l’ordre motivées à faire correctement leur travail sans entrave pour assurer la sécurité de vos personnes, vos femmes, vos enfants, les vieillards et de vos biens ! » (Applaudissements !) 
« Il faut implanter des commissariats dans toutes les zones sensibles, décharger les services de police des tâches administratives, fermer les mosquées sous la coupe d’obédiences intégristes et recruter 20.000 policiers de plus ! » (Applaudissements !). 
 
Sortir de l'OTAN, de l'Eurocorps, refuser la coopération au sein d‘Europol et Eurojust, augmenter le budget de la Défense nationale, rétablir un service militaire volontaire de six mois et recruter 170.000 soldats supplémentaires. « Se retirer des juridictions pénales internationales, défendre la Francophonie partout dans le monde en commençant par nos banlieues et cités ! » (Applaudissements !) 
Recruter 8.000 magistrats, revaloriser les moyens et réhabiliter les locaux des services judiciaires, réformer l’École Nationale de la Magistrature, « interdire le syndicalisme pour bannir la politisation de la magistrature ! » (Applaudissements !) 
Réhabiliter la notion de peine prompte et incompressible « et la peine de mort ! » (Applaudissements !).   
Abaisser la majorité pénale de 18 à 15 ans et construire 125.000 places de prison (Applaudissements !). 
Et le tout à l’avenant : Un discours qui ferait presque passer les frontistes pour d’aimables gauchistes ! 
 
C'est tel que Paul ne peut s’empêcher d’aller vers le Monsieur, armé de son plus « chouette sourire » de faux-cul, de l’approcher et d’avoir un aparté avec le sieur en fin de soirée. 
« Rétablir la peine de mort, Monsieur le Sénateur, notamment pour les crimes odieux, le viol de nos filles et de nos compagnes, j’admets que c’est particulièrement séduisant. » 
Surtout quand c’est du fait de ces voyous d’immigré qui se croient tout permis dans notre pays d’accueil ! 
Faut admirer le procédé. 
« Naturellement Monsieur le Sénateur. Paul de Bréveuil, fils d’un juge d’instruction assassiné, Monsieur le Sénateur. Industriel et capitaine de frégate de réserve. Voyez-vous, je crois que tout criminel mériterait la peine capitale, surtout quand il est en charge de la gestion de prison de femmes de notre belle République. Voyez-vous ce que je veux dire ? » 
L’autre blêmit. Son regard s’affole de droite et de gauche. Puis il se reprend. Et fixe Paul, yeux dans les yeux, en attendant la suite que Paul laisse traîner un peu avant de lâcher : 
« Rassurez-vous Monsieur le Sénateur, je n’en ferai pas plus ni n’en dirai mot à qui que ce soit ! Et je suis un homme de parole, croyez-moi. 
D’ailleurs, vous ne me reverrez plus jamais non plus. 
Mais moi, je vous suis de l’œil de Caïn, à voir jusqu’où irez-vous donc ! 
Mes respects républicains, Monsieur le sénateur. » 
Et il lui tourne le dos, le laissant tétanisé d’effroi. 
 
Le gusse a de la ressource. Il a poursuivi sa séance de salutations viriles, les bises aux dames de l’assistance sous des tonnerres d’applaudissements.
Plus tard, bien plus tard, Paul s’est fait tancé par la juge Trois-Dom en mal de sensations sensuelles. Qu’était-il allé foutre dans ce bled perdu de province à menacer un sénateur en campagne ? 
Poursuit-il toujours « sa » vengeance ? Quelle vengeance ? 
« Mais non, douce Hélène-chérie, mais non ! Quand celui-là tombera, parce que j’ai lu dans ses yeux qu’il tombera, je t’assure que je serai très loin de lui. Est-ce que ça te rassure, au moins ? » 
Il n’empêche, « Monsieur Albert » lui en fera aussi la remarque après son retour des USA. 
« Vous aidez dans vos démarches pour le compte du gouvernement et au nom de l’intérêt supérieur de la raison d’État, pas de problème, riririri. Par contre, je ne peux plus rien pour vous si vous suivez un calendrier personnel qui diverge d’avec ces objectifs, riririri. » 
Il fait allusion à quoi ? 
À ce fameux soir : C’est dire si Lacuistre a pu avoir peur. Pour que ça redescende comme ça par deux canaux aux antipodes de la hiérarchie administrative du pays, il a fallu que ça remonte très haut. 
Et comme il est plus « solide » qu’un mourant alité ou qu’un cinglé qui voit le diable venir lui prendre son âme, il en faudra bien plus pour l’abattre.
C’est comme ça que Paul envisagera le scénario qui perdra le commanditaire de l’assassinat de son père. 

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