Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 4 novembre 2015

Au nom du père (Chapitre VIII ; Tome II)

Les délires d’embauche… 
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. 
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite ! 
 
« Et que recouvre la notion de baronnage ? » C’est la technique qui consiste pour un croupier de casino à faire gagner indûment un « baron » complice. 
« En réalité, comme il s’agit d’argent en cash, le casino sert de lessiveuse. Un type y apporte de l’argent au black. Il le perd. Un autre le gagne en trichant un peu et le casino garde un petit pourcentage : L’argent, de la menue monnaie qui peut aller jusqu’à plusieurs dizaines milliers d’Euro ou de dollar par soirée, permet de blanchir en toute légalité des sommes fastueuses qui nourrissent les filières de crapulerie. 
L’argent change de poche ainsi sur tous les terrains hippiques, sur les tables de casinos, dans les cyber-cafés-casino, avec certificats de gains estampillés. Imparable. » 
Mais il faut tricher. Comment ont fait au casino ?
« On le fait plus facilement sur les terrains de courses en enregistrant des paris après l’arrivée. Au casino, les croupiers savent aussi y faire le « tiers du plateau » à volonté ! » 
Les banques font pareil. Tu fais investir ton « baron » sur un titre peu actif dont tu vas manipuler le cours à travers une Sicav dédiée ou un FCP, voire un autre support. La Sicav, qui ne vaut rien, souscrit les titres de la cible, ses actions, ses dérivés, ses créances… Ça fait monter son cours au fil du temps et d’autres investisseurs vont noter la surperformance et y venir en spéculant. S’il s’agit d’actions, on peut même faire circuler des rumeurs d’OPA, ou balancer une étude sur la société support, si les montants en valent la peine. 
Puis quand les cours sont assez hauts, la Sicav se retire en faisant chuter le cours plus ou moins fort et le baron n’a plus qu’à racheter ses titres en encaissant la plus-value. 
« À l’inverse, tu peux même préparer le terrain, si tu connais le calendrier et les montants. Il suffit d’acheter en avance des options à bas prix et à terme éloigné. Tu fais monter le cours en souscrivant en direct et tu fais jouer les options en plus. Mais il ne faut pas être trop gourmand. Les « plumés » n’aiment pas jouer les pigeons, ils te le feront payer si tu es identifié. C’est la loi de la jungle, les marchés : Tous les coups sont permis. » 
Intéressant, intéressant. 
 
« Je te le dis, les banquiers vendent du temps. Ils ont parfaitement bien assimilé le précepte « Time is money ». C’est leur pain quotidien. 
Mais t’en fais pas, il y aura un moment où ils se mordront les doigts, quand ils auront rendu insolvable tout le monde. La crise des subprimes sur la tête des ménages américains leur a fait très peur. Alors ils ont fait très peur aux autorités monétaires qui ont allongé la planche à billet pour éviter la thrombose. Résultat, tout le monde va payer sous forme d’inflation, ce qui va réduire d’autant la valeur de leurs avoirs, si ça ne provoque pas une récession globale, qui serait l’hypothèse encore la meilleure pour eux ! » 
Ah bon ? 
« Bé oui, en cas de récession brutale et durable, qui va sauver les lourdeurs administratives et payer les plans sociaux ? Les banquiers, naturellement, qui ressortiront leurs pactoles pour prêter aux États. Et qui payent les États ? L’impôt versé par les citoyens, non. Et comment ceux-ci vont-ils pouvoir payer ? Bé en empruntant. Et d’habitude, on emprunte à qui ? Aux banquiers, qui lui, réclame des garanties. Et quand il y a cessation des remboursements pour cause de récession, qui devient propriétaire à vil prix des garanties offertes pour les saisir ? Toujours les banquiers. Et qu’en font-ils ? Ils les remettent à l’exploitation de telle sorte que tu bosses pour eux en ayant à peine de quoi survivre pour persister à faire tourner la machine. Et si tu n’y arrives pas, y’a assez de chômeurs pour prendre ta place ! » 
Un vaste hold-up planétaire : Tout ça rappelle le discours de « Lady Margaret », sur les maîtres du monde d’il y a quelques semaines [1]. 
« Oui ! C’est exactement ça qui va se passer. Et personne n’y peut rien, sauf à tous crouler sous des inflations à deux chiffres. Or, tu auras noté que les banques centrales, la BCE notamment, ont pour unique mission de ne pas « voler les petites gens » avec trop d’inflation. 
Marrant comme tout, non ? » 
Non, pas drôle du tout, même. 
 
À quoi ça sert, tout ça ? 
« Le pouvoir, le pouvoir, sur la vie de tous et de chacun. Le pouvoir pour exploiter encore plus, pour avoir encore plus d’argent pour avoir toujours plus de pouvoir, et ainsi de suite ! » 
Un cercle infernal et suicidaire. 
« Oui mais c’est ça le mythe originel de Kronos ! Roi des titans qui mange ses enfants. De peur d’être détrôné par eux, ce que fera Zeus qui survécu. 
Cronos, comme par hasard, c’est aussi le dieu du temps, fils d’Ouranos le dieu primordial, le ciel, et de Gaïa, la terre. Tu suis la symbolique, là, le polytechnicien ? » 
Paul suivait… 
 
« Maintenant une question. Tu me cites dans ton roman [2], heureusement sous un pseudo, publié sur ton blog, Comment tu as eu ces renseignements-là sur mon compte ? » 
M’enfin, ils m’emmerdent tous avec leur « infreequentable » à la con ! 
« Je suis désolé, mais ce torchon n’est pas de moi et ne je connais pas ce mec. À mon sens, c’est un plagiaire quelconque et sans intérêt qui s’est inspiré de mon rapport final sur la dite opération. Il a dû broder autour ! » 
Parce que ça c’est vraiment passé comme ça ? 
Coincé ! 
« C’est nettement plus compliqué et ce n’est pas tout à fait ça. Il n’a jamais été question de détournements de quiconque ni de sommes aussi astronomiques. Juste une petite escroquerie qui n’a jamais inquiété personne et dont un de mes clients a voulu que je dénoue l’ensemble, c’est tout ! » 
Dommage, ça respirait tellement « le vrai »… 
 
« Maintenant, je peux te proposer une autre version, celles de malfaisants manipulateurs qui ont voulu porter cette « petite affaire » sur un terrain politique. »
Qui ? Pas le Capitaine haddock, il le connaît et l’apprécie ! 
« Je penche plutôt pour des fadas du type WikiLeaks ou des mecs manipulés par un service secret quelconque, soit de notre propre pays, soit d’une puissance étrangère. Je ne sais pas. » 
Mais toi, tu existes. 
« Au moins autant que toi, mais je ne suis pas un trousseur de jupon. Je suis marié, j’ai des mômes qui vont à l’école, je paye mes traites comme je peux et je suis au chômage, alors tu sais, les âneries de l’autre con ! » ment-il. 
Qui t’as donné mon adresse mail. « Tu as fait état d’un ami commun ! Haddock ? » 
Non ! « Un commissaire de police qui m’aime bien et apprécie ta prose, je suppose, mais qui ne te connaît que de nom. Cherche !
Et comme j’ai un peu de temps pour te répondre, j’ai donc pris contact avec toi sur ses conseils… Je crois que lui aussi me prend pour « l’infréquentable ». Et il a pensé que nous avions des choses à nous dire entre romanciers ou un truc de ce genre. 
Mais bon, si tu as un boulot d’ingénieur agronome pour moi, ça m’arrangerait. » 
Non, lui c’est un « voileux », ex-banquier. 
Paul ne saura jamais si son mensonge a pris. 
 
Parce qu’entre-temps, un type d’EADS veut le voir, suite aux différents appels au secours à la recherche d’un boulot. Après tout, il s’était mis en disponibilité. D’autant qu’EADS, c’est bien pour lui, ça. Ce sont des avionneurs, des missiliers, des équipementiers. Un gros conglomérat dirigé par une flopée d’X, de mines, de centraliens et de sup-aéro, dans laquelle il avait fait un séjour après son retour à la vie civile et son équipée depuis Bora-Bora en voilier en 2005 [3]. Il n’y était pas resté longtemps, pour avoir été envoyé en audit à la MAPEA [4] où il était resté un peu plus de 5 ans. 
Un retour au bercail en perspective ? 
 
Le problème avec les « grosses » structures du type d’EADS, c’est qu’il y a des « sièges » un peu partout en Europe, sans compter ceux des filiales. 
Et leurs filiales sont nombreuses, à commencer par Airbus, d’abord un GIE avant que d’avoir été une société commerciale dès 2001. 
C’est d’ailleurs par cette « porte » d’entrée dans le groupe à Toulouse que Paul s’est retrouvé à l’effectif chez EADS-France en 2005. 
Directement au siège du boulevard Montmorency pour aller « auditer » un peu les comptes et projets d’Astrium, partenaire d’Eutelsat, mais aussi co-filiale de Thalès, avant de filer à Aubenas pour remettre un peu d’ordre dans l’activité de la MAPAE, sous-co-filiale et fournisseur de Safran et de SNPE, elle-même également co-filiale d’EADS via la CDC… 
On lui avait fait passer de multiples tests, divers entretiens avec parfois des « nabots du neurone », parfois avec des ingénieurs véritablement passionnés ou carrément géniaux et contagieux. 
Alors, devoir remplir une fiche basique devant une nana méprisante juchée sur haut-talons et nippée pour plus de 2.000 euros de « fringues et d’accessoires » dérisoires, qui vous liste son QCM à devoir répondre par oui ou par non, il y’a rien de tel pour le mettre en rogne ! 
Paul est en « disponibilité », ils le reprenaient tel quel ou ils iraient se faire voir. 
 
Mais alors quand il aurait fallu repasser le test-machine de personnalité avant de se tamponner celui sur le QI, d’une banalité désarmante l’un et l’autre, qu’il avait déjà passés, il craque. 
« Jolie Madame ! Vous savez que vous me faites hautement caguer avec vos âneries de potache boutonneuse ? Votre test, je le connais par-cœur pour lui avoir déjà cassé les compteurs. Regarder votre dossier ! » 
Elle ne veut pas en démordre : C’est la procédure, même pour rempiler. Et de toute façon, il n’est plus à l’effectif : Ses archives en attestent. 
Manquerait plus que ça, tiens ! 
« Vous voyez ce qu’on va faire : Vous allez rechercher dans la poussière de votre cave les dites archives, pour mettre à jour votre dossier et quand il sera complet, nous pourrons papoter utilement ! » 
Mais Monsieur, etc. 
Et pour mettre fin à l’entretien, Paul se lève et lance un : « Je ne cause pas avec des gens qui ne font pas leur travail correctement ! Ils font perdre un temps précieux à tout le monde », pour mieux justifier de s’en aller. 
Pas sûr que ce soit la meilleure façon de se faire réembaucher par le conglomérat. Ils n’allaient quand même pas le remettre en situation face à un « grand-jury » : Il a déjà donné dans le harcèlement-humiliant ! 
Exit une reprise : Décidément des macaques primitifs. Et elle, Barbara, pas mieux qu’une guenon, accorte tout de même, à l’esprit aussi court que sa jupe et que ses talons sont hauts. 
« Guenon » n’est pas tout à fait le terme idéal. En fait, de profil, elle ressemble un peu plus à cette actrice du « Grand Bleu » jouant le rôle de « Johanna », alias Rosanna Arquette, croit se souvenir Paul après s’en être fait la réflexion : Un bas du visage un peu avancé par rapport au front, un nez en trompette, qui lui donne plutôt l’air d’un grand singe. 
De face, ça va : « Acceptable », mais dans d’autres circonstances. 
 
C’est à cette occasion qu’il file à Caen passer à l’improviste faire la fin de journée chez Jean-Luc. Le bonhomme est en plein… « tournage » quand il passe la porte. L’occasion de se rincer l’œil. 
Marrant comme les « hardeurs » sont assez moches et « petits », une fois le maquillage et les « accessoires » ôtés, de ceux qui font illusion parfaite sur les appendices sexuels du titulaire. Surtout les « hardeuses » : On ne se retournerait même pas sur leur passage dans la rue ! 
Et pourtant, la petite planète du « porno » sexe tourne autour de « ses héros » et de quelques volontaires anonymes qui, moyennant quelques picaillons, se butinent le fion sans conviction sous les « sunlights » et quelques caméras numériques : Des images à retoucher pour les rendre plus « performantes ». 
« Et ça se vend toujours, ce genre de choses ? » 
Et oui, et oui… 
Paul apprend qu’avec une séance de prises de vue d’une matinée et une cinquantaine de séquences, il décline ainsi une trentaine de format « 5 minutes », deux ou trois formats de « 20 minutes » et parfois un long métrage de « 52 minutes ». 
« Il suffit de changer l’arrière-plan, de mélanger un peu les scènes, ou de mixer avec d’autres prises de vue antérieures ou à faire. Avec un bon ordinateur, c’est une journée de boulot. Ça ne coûte pas très cher et ça se vend encore moins cher, mais tout de même pour une bonne centaine de boîtes payantes qui diffusent sur internet et se payent en abonnements ! Du bon business, même si la concurrence est rude ! » 
Bref, il en vit depuis la disparition du « Newvox », où il faisait de vrais scénarios avec des images volées de coïts plus délirants les uns que les autres : Faut dire qu’il avait une faune particulièrement bigarrée sous l’objectif, à cette époque-là ! 
En bref, il dépense 500 à 1.000 euros et en récolte 5 à 10 fois plus dans les semaines qui suivent : « Deux séances par semaine, c’est largement suffisant. Je passe mon temps restant à filmer des décors et gérer les chèques et les virements ! 
Et toi, qu’est-ce que tu deviens, le « petit-génie » ? » 
Il cherche du boulot. Jean-Luc lui fait alors une fleur à 100 euros la journée, s’il est capable de bander sans discontinuer, il le prend. 
« Simplement, il me faut un certificat de moins de trois mois de séronégativité ! » 
Comique, ça vaut combien entre l’ordonnance du toubib et l’analyse en labo ? Au moins la moitié. Il ira loin avec deux séances par semaine maximum : 400 euros/mois à tout casser. 
« Et pas de détection des MST ? » 
Pour les filles seulement. « Mes hardeurs sont tous dotés d’orthèses qui rallongent leur pénis. Ça s’enfile comme d’un préservatif, mais un préservatif qui est troué : Il faut que leur jus s’extraie quand même devant l’œil de la caméra, sans ça on utilise du blanc d’œuf cru. C’est en mousse, silicone et latex et l’illusion est parfaite ! » … Après retouches. 
Intéressant, ça. Et on n’en trouve dans le commerce ? 
« Non. Ça vient des USA. » 
Mais, mais… « J’ai un problème avec une femme qui a une « cheminée » démesurée et dont son mec n’arrive pas à l’engrosser parce que sa bite est nettement trop courte. Tu crois que ça peut les aider à avoir un gamin ? » 
Oui, à condition que le monsieur prolonge le coït et que la dame reste les fesses en l’air. 
« Justement, elle n’aime pas ! »
Alors, elle prend la position de la levrette-pointue, « mais très cambrée, tout le temps et même au-delà. Et il faut que lui soit au-dessus et qu’il gicle de haut en bas ! » 
Intéressant, ça aussi ! « Parce que tu en as besoin pour ta moitié. Je ne me souviens pas que tu fusses si mal doté que ça par la nature. » 
« Tu es gentil, mais il ne s’agit pas de moi. Par ailleurs, on ne me paye pas pour coucher ni encore moins pour engrosser ! » 
Très bien, très bien : « Pas de problème si tu me fais ça à l’œil ! Je te ferais une exception à mes principes… » 
Il en a encore ? 
En revanche, il est preneur de bons scénarios : 1.000 à la commande après remise d’un synopsis retenu à valoir sur les 10 % des recettes, après. 
Rapide calcul : Si une journée lui coûte 1.000 pour en gagner 10 fois plus, plus tard, 10 % de 10.000, il n’est jamais perdant du « plus après » ! 
 
Paul lui parle de ses deux histoires vécues par procuration : Celle du violeur en série jamais identifié et celle de la maîtresse qui fait tuer son mari par son amant pour toucher l’assurance-vie et qui lui est toujours actuellement en prison pendant qu’elle en a vraisemblablement mis le grappin sur un détenteur d’usines. On pourrait en rajouter une à inventer, celle du type qui paye les amants de sa femme pour qu’elle tombe enceinte parce qu’il est impuissant. Et comme c’est un personnage public, il les fait assassiner par ses services secrets pour que le secret ne soit jamais éventé. 
La première lui convient bien. Mais ni la seconde : « Bien trop classique et pas assez de cul ! ». Ni la dernière : Trop invraisemblable… 
S’il savait, enfin, passons ! 
Paul y réfléchira, si vraiment il a le temps et a besoin d’argent. Pour le moment, il a autre chose en tête. 
« Voilà ce à quoi je pense : Est-ce que tu as toujours ces mini-caméras à dissimuler dans une chambre d’hôtel ? » 
Il a nettement mieux en plus petit et en pagaille. « Mais je ne les utilise plus, les optiques sont de qualité très moyennes. Tu veux en faire quoi ? » 
Pour le moment, il ne sait pas. 
« Ça vaut combien ? » 
Pour 500 euros, Paul repart avec une dizaine de ces « mini-puces-optiques » et le DVD du logiciel qui gère tout ça sous Mac-OS, avec même une application « iPhone » et deux orthèse en silicone. 
Faudra qu’il essaye avec Miho, quand Mylène aura trouvé un point de chute hors ses murs. 
 
 
[1] Cf. L’épisode des enquêtes de Charlotte : « Au nom du père » ; Chapitre XI, Tome I, publié aux éditions I-Cube. 
 
[2] Cf. L’épisode des enquêtes de Charlotte : Chapitre XVI « Opération Juliette-Siéra », publiée aux éditions I-Cube. 
 
[3] Cf. L’épisode des enquêtes de Charlotte : « Au nom du père », Chapitre XVI Tome I, publié aux éditions I-Cube.
 
[4] Cf. L’épisode des enquêtes de Charlotte : « Ardéchoise, cœur fidèle », à paraître aux éditions I-Cube. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire