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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 23 octobre 2015

Humour feuj (3) …

De Luigi, toujours !

Fin (provisoire ?) de la série due à Luigi…
 
Dans un restaurant juif à Venise, un client s'étonne de constater que le serveur chinois parle yiddish.
Il demande au patron comment il a pu trouver une telle perle.
Le patron lui répond :
« Écoute, cela restera entre nous. Ce Chinois est en stage depuis deux ans chez moi, et il croit qu'il est en train d'apprendre l'italien ! »
 
Trois mamans juives sont assises sur un banc dans un square en tricotant, et pour une fois, elles sont silencieuses.
Au bout d'un moment, la première pousse un soupir…
Après un moment la deuxième pousse un GROS soupir…
« Ah NON ! » s'écrie la troisième. « On avait dit qu'on ne parlerait pas des enfants ! »
 
Monsieur Cohen fait visiter son appartement en vue de la vendre :
« Vous voyez ici le salon ». Et il embrasse la mézouza.
« Ici, vous avez la cuisine ». Il pose la main sur la mézouza.
« Ici, la chambre ». Il touche la mézouza.
Et ainsi de suite pour tout l'appartement.
Chaque fois qu'il entre dans une pièce, il touche ostensiblement la mézouza.
À la fin de la visite, le visiteur est très intéressé :
« Mr Cohen, j'achète votre maison, mais à une condition… je veux garder votre système d'alarme. »
 
Madame Goldstein raconte à tous les amis de la famille :
« Nous venons d'adopter un chien qui est extrêmement intelligent. Pourquoi ne pas venir nous rendre visite après shabbat ? Vous pourrez l'entendre jouer du piano ! »
Après shabbat, dans le salon des Goldstein, les invités sont émerveillés lorsqu'ils peuvent voir et surtout entendre le brave Médor interpréter Chopin sans fausse note.
À tel point que madame Goldberg, un peu jalouse, avoue à son hôte :
« – Dis-donc Rébecca, tu dois être drôlement fière d'avoir un chien si doué !
– Oy ! Pas tant que ça », répond madame Goldstein. « C’est mon mari qui lui a appris le solfège. Moi, je voulais qu'il fasse médecine. »
 
Un juif pratiquant se demande si c'est autorisé de faire son devoir conjugal le shabbat ; est-ce considéré comme un jeu (permis), ou un travail (interdit) ?
Comme son voisin de palier est un prêtre catholique, il va lui demander ce qu'il en pense.
Le prêtre réfléchit quelques instants, consulte plusieurs ouvrages aussi volumineux que poussiéreux et finit par lui répondre :
« Mon fils, tout ce que j'ai trouvé concorde à laisser penser que l'œuvre de chair étant un devoir, il est donc assimilé à un travail. J'ai bien peur que vous ne puissiez donc le pratiquer durant le shabbat. »
Un peu refroidi, l'homme se dit in petto :
« Pufff… Qu'est-ce que je suis bête d'être allé poser cette question à un prêtre catholique. Qu'est-ce qu'il connaît sur le mariage après tout ? »
Il décide donc d'aller demander à un pasteur protestant ce qu'il en pense.
Après tout, le pasteur est marié, et en sait certainement plus qu'un prêtre voué au célibat. Celui-ci lui donne son avis :
« Malgré quelques références contradictoires, je crains que les relations conjugales relèvent du travail, les rendant par la même incompatibles avec le shabbat. »
Contrarié, il décide de faire ce qu'il aurait dû faire depuis le début, interroger un rabbin.
Après tout, c'est lui, le spécialiste du shabbat.
Il prend donc son courage à deux mains, traverse la moitié de la ville, et pose sa question.
Le rabbin lui répond immédiatement :
« Ne t'inquiète pas, il n'y a aucun doute, le devoir conjugal est un jeu et pas un travail. »
Notre homme, soulagé, est tout de même curieux de la raison qui donne une telle certitude au rabbin.
« – Mais Rabbi, pourquoi êtes-vous sûr que c'est un jeu et non un travail, alors que beaucoup d'autres soutiennent le contraire ?
– Si c'était un travail, ma femme demanderait à la bonne de s'en occuper… »
 
Deux juifs se rencontrent :
« Tu as une belle montre.
C'est mon père qui me l'a vendue avant de mourir… »
 
C'est une femme juive qui, ayant dépassé la trentaine, prie :
« Seigneur, je ne t'ai jamais rien demandé pour moi-même. Tu le sais bien et ce n'est pas maintenant que je vais commencer.
Mais je t'en supplie, accorde un gendre à ma mère. »
 
À la plage.
« Moshé ! La mer monte !
Achète … »
 
En Auvergne, une juive s'approche d'un paroissien d'une église, et le salue poliment en lui disant :
« Chalom ! »
Et lui, vexé, il lui répond :
« Chale femme ! »
 
Un touriste américain demande à un israélien de Jérusalem :
« Où est donc cet endroit, vous savez, celui où on va pour pleurer, et où on écrit ses désirs sur un petit bout de papier ? »
L'israélien répond :
« Vous voulez parler du percepteur ? C'est par là ! »
 
« Docteur ! » s'exclame Mme Levy en entrant dans le cabinet de consultations de son médecin, « j'espère que je suis malade, parce que je n'aimerais pas me sentir aussi mal si je suis en bonne santé ! »
 
Mr Goldstein veut absolument être admis dans un club très sélect mais très antisémite. Il va même jusqu'à changer son nom.
Fin prêt, il présente sa candidature.
« Bonjour, je voudrais faire une demande d'admission dans votre grande institution.
Certainement, monsieur, » répond l'employé en s’emparant d'un formulaire.
« Puis-je vous demander votre nom ?
Philippe de la Closerie.
Très bien, monsieur de la Closerie, et puis-je vous demander quelle est votre profession ?
J'ai une affaire d'import-export.
Excellent, monsieur, et puis-je vous demander votre adresse ?
110, rue Saint-Dominique, à Paris 7ème.
Très bien, monsieur. Excusez-moi, mais je suis obligé pour le règlement de vous poser une dernière question, j'espère vous ne le prendrez pas mal : Quelle est votre religion ?
Ma religion ? Oh, je suis goy… »
 
Un prêtre, un pasteur et un rabbin débattent de cette importante question de bioéthique : à quel moment peut-on considérer que la vie commence ?
« La vie commence dès la conception », répond le prêtre.
« La vie commence quand le fœtus est viable », répond le pasteur.
« La vie commence quand l'enfant est parti de chez ses parents, si possible avec ses diplômes, » répond le rabbin.
 
David Bensoussan, agent publicitaire, rentre précipitamment chez lui, dans sa grande maison de Neuilly.
Il fonce vers ses toiles de maitres et efface les signatures.
À la place de Renoir, il écrit Hanna Bensoussan. À la place de Modigliani, il écrit Hanna  Bensoussan…
Son fils qui le regarde stupéfait, lui demande :
« Mais papa, tu es fou. Qu'est-ce que tu fais ?
Je ne suis pas fou, j'ai un contrôle fiscal surprise, je mets tout au nom de ta grand-mère. »
 
Une revenue :
 
Un Juif religieux se rend en Alaska pour affaire.
En se promenant pour visiter le pays, il se rend compte qu’un ours blanc le suit.
Il prend peur, et fuit en courant.
Fatigué, voyant un banc dans une allée, il s'assoit pour se reposer.
Par la même occasion, il sort son livre de prière et implore Dieu de le sauver de cette situation, et d’écarter cet ours de sa vue.
Un instant plus tard, il voit l'ours blanc s'asseoir à côté de lui, mettre une Kippa sur la tête, et commencer aussi à s'adresser à Dieu.
Étonné, le religieux lui demande :
« Mais pourquoi pris tu donc ? »
Et l'ours rétorque :
« Je remercie Dieu de m'avoir envoyé de la viande casher. »
 
(Dans l’originale, y’avait pas de référence à la viande casher et l’ours était brun…)
 
Une autre revenue :
La petite Sarah, dix-sept ans, pleure.
Son père apprend qu'elle est enceinte, et lui demande :
« – Qui est donc celui qui t'as fait ça ?
– C'est Elie Epstein, le milliardaire. »
Le père décide alors de le trouver.
Elie Epstein est en conseil d'administration, au 52ème étage de son propre gratte-ciel.
Voyant arriver le père de Sarah, il suspend le conseil, fait sortir tout le monde et dit au père :
« – Je sais pourquoi vous êtes venu. Écoutez, on va s'arranger. J'offre 10 millions de dollars à la petite, 1 million de dollars à toi et à sa mère, plus une rente viagère de 500.000 dollars par an au petit qui va naître. 
– OK », répond le père. « Mais si elle fait une fausse couche, vous lui donnez une deuxième chance ? »
 
(Dans l’originale, si mes souvenirs sont bons, le gars n’est pas milliardaire mais gérant d’une chaîne de coiffeur : Il offre des magasins à toute la famille…)
 
Sans rancune : Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3

2 commentaires:

  1. Comment ça "fin (provisoire?)"? Il y a intérêt à ce que ne soit que le tout début! Non mais ...

    Encore! Encore! Encore!

    J'ose espérer que vous n'allez tout de même pas rester insensible à une telle exigence populaire exprimée avec une telle force de conviction!

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    Réponses
    1. Je verrais : Ces trois posts, ce sont déjà plusieurs mois de collecte : On me raconte une blague, je la couche sur le papier et je la reprends par la suite...

      Et puis je ne voudrais pas tomber dans l'humour sectaire et antisémite (ni antisioniste et il y a plein de feujs antisionistes...) ce qui, depuis ce konnard de "Dieu-a-donné", est devenu un délit dans votre pays, d'autant que je ne suis ni l'un ni l'autre !
      Luigi étant feuj, je ne prenais pas trop de risque.
      Mais bon, il en a des plus "radicales" que je m'empêche de mettre en ligne, par respect d'autrui.

      Bref, on verra, mais je retiens votre exigence populaire "exprimée avec une telle force de conviction" !

      Bien à vous !
      Et bon week-end : Demain on revient avec un arrêt de cassation rigolo comme tout sur le harcèlement sexuel !
      J'aime bien ces histoires-là aussi !

      I-Cube

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