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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 19 octobre 2015

Et pour quelques délires de plus…

Là, je suis tombé de mon fauteuil…
 
Et à deux reprises !
 
1 – Je vous explique : On en causait encore la semaine dernière.
Vous ne pouvez plus rien payer en liquide de plus de 1.000 euros : La bague de fiançailles de votre « future », c’est en chèque certifié, parce que la carte bleue, vous dépassez forcément le plafond autorisé et que votre chèque à vous, forcément, même avec deux pièces d’identité, c’est de la m… (étron), ça ne vaut pas tripette alors que les billets de banque seraient les bienvenus, mais c’est interdit !
Globalement, c’est pareil en Italie « où que je divague » actuellement.
 
« Mario » avait, en 2011, abaissé de 12.500 euros (le prix d’une petite voiture neuve, ou d’une plus grosse d’occasion) le maximum des paiements en liquide autorisé à 1.000 euros.
Notez que depuis 2012, il avait relevé le seuil à 15.000 euros pour les étrangers (dont je suis chez eux), à comparer aux 10.000 € en « Gauloisie suspicieuse ».
Ce qui génère une « Petite Gratte du Patron » (PGP : Provision de Garantie Précontentieuse sur les factures émises) bienvenue pour les « meilleurs-clients » de mon boss en difficulté devant faire face à des « engagements »… en liquide : Je les fais moi-même à leur place.
 
La mesure, comme en « Gauloisie-fiscale » avait pour objectif de « moraliser » les activités des « petits-commerces », autrement dit donner au fisc italien les moyens de faire rentrer de l’assiette taxable et imposable !
Bref, lutter contre l'évasion fiscale, très présente en Italie où le travail au noir est une chose commune, ce qui avait marché en partie.
 
Mais l'effet indésirable de la mesure a été une chute de la consommation et donc une perte nette en TVA pour l'État italien.
L'association « MonteNapoleone », qui représente des marques de luxe et prend son nom de l'avenue de Milan où elles ont toutes leurs magasins, avait tiré la sonnette d’alarme et chiffrait à 2 milliards d'euros la perte de chiffre d'affaires depuis l'entrée en vigueur du seuil.
Soit, pour l'État, une perte substantielle de TVA.
Et ce uniquement pour le secteur du luxe.
 
Alors, Matteo Renzi, pas si insensé que ça, a donc lancé la mesure inverse ce mardi 13 octobre 2015 : Il relève le seuil de 1.000 à 3.000 euros pour les paiements cash.
Et ce pour que cette limite soit « cohérente avec la moyenne européenne ».
Magnifique, non ?
 
Car au-delà  de la « Gauloisie-tricheuse », seule la Grèce a une limite de 1.500 euros pour le cash.
Mais ils ne peuvent toujours retirer que 300 euros/semaine au DAB du quartier.
En Espagne la limite est de 2.500 euros, en Belgique de 3.000 euros et l'Allemagne, l'Autriche ou encore la Slovénie n'imposent aucune limite de paiement en liquide.
D’ailleurs, ce sont eux qui avaient exigé des coupures de 500 euros au moment de la création de la monnaie unique : Pas du tout des fraudeurs-nés dans l’âme, figurez-vous, et ils aiment bien les « brouettes de billets », c’est bien connu.
 
C’est vous dire si j’ai pu en choir de mon fauteuil en lisant ça l’autre semaine dans la presse locale !
À quand la même décision du gouvernement de « Menuet-Valse » ?
Ou comment faire pour baisser la consommation des ménages de l'Hexagone…
Le principal moteur de la croissance du PIB de mon pays (qui est le mien et que j’aime tant…).
Et encore, ma « secret-taire », la « petite-à-Luigi » s’était précipitée à mon aide, passé l’effroi de voir les tomettes du sol sortir de leurs logements et les lambris en bois vaciller des murs et plafonds (les effets de ma chute).
J’aime bien quand elle se penche sur moi : Je lui vois le nombril qu’elle a charmant.
Le reste aussi, d’ailleurs.
 
2 – Et puis dans le même élan, à peine « ramassé » de « de-par-terre », après avoir hissé mon double quintal avec difficulté sur mon fauteuil, voilà t’y pas que j’ai enfin l’explication technique de mon propre « climato-scepticisme ».
Que là encore, j’en chus !
Qu’elle a cru que je le faisais exprès pour mieux mirer ses rondeurs.
 
Figurez-vous que me tombe sous la macula un résumé de « l’émotion » d’un groupe « d’enseignants-chercheurs » de plusieurs instituts et universités européennes (celles de Bonn, de Rome, de Leeds et la KEDGE Business School) qui disent que les «résumés pour les décideurs politiques» du Groupe dexperts intergouvernemental sur le climat sont de plus en plus inintelligibles !
Du charabia en quelque sorte.
 
L’exercice, qui se répète tous les cinq ans depuis 1990, débouche, selon ces «contre-experts», sur une information de plus en plus inintelligible.
Une imperfection de taille qui n’empêche pas ces résumés, chargés de répandre l’état actuel de la recherche climatique, de bénéficier d’un écho médiatique de plus en plus large et de plus en plus pessimiste, estiment-ils.
« L’action mondiale sur le changement climatique est gravement entravée parce que les conseils du corps scientifique du GIEC qui, s’ils font référence en la matière, sont si difficiles à comprendre qu’il faut un doctorat, minimum, pour en saisir les recommandations », soutient Ralf Barkemeyer, enseignant-chercheur à KEDGE BS, qui a dirigé cette étude.
Et pourtant, je l’ai toujours dit, « ce qui se conçoit bien s’énonce clairement.
Et les mots pour le dire arrivent aisément. »
Ah ? Ce n’est pas de moi ? De « Bois-l’eau-des-préaux » alors ?
Inversement, ce qui est dit de façon incompréhensible cache forcément soit l’incompétence soit le mensonge du propos.
 
Le problème d’incompréhension posé par ces condensés est d’autant plus à prendre au sérieux, selon le « papier », que ces documents font office de boussole auprès des gouvernements qui ont besoin d’estimations scientifiques fiables avant de prendre position dans le débat climatique mondial, essentiellement sous la forme d’engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES).
«Si les gouvernements ne sont pas en mesure de comprendre les faits scientifiques qui leur sont présentés, comment peuvent-ils espérer parvenir à un consensus ou à une décision commune ?», salarme Ralf Barkemeyer.
Plus sévère, Suraje Dessai, professeur à lUniversité de Leeds, et co-auteur de l’étude estime qu«il est clair» que le GIEC «ne remplit pas sa mission» et «a échoué dans sa tâche ».
 
L’étude produit une analyse linguistique des résumés des « Rapports du GIEC » en appliquant des métriques de lisibilité et en les comparant à la couverture médiatique obtenus par ces rapports dans plusieurs magazines («Daily Mail», «The Mirror» et «The Sun»), et journaux quotidiens («New York Times», «Washington Post», «The Independent» et «The Times»).
Les résultats font ressortir une perte de lisibilité dans le temps des informations résumées du GIEC. Celles-ci sont relatées dans des termes de plus en plus pessimistes par la presse, qui n’hésiterait pas à aller un ton au-dessus du contenu, même des rapports du GIEC.
À commencer par la presse tabloïde, comme «The Sun», où la terminologie employée pour caractériser la situation à venir se révèle nettement plus dramatique que dans les journaux de référence («quality newspapers»).
Chez la première, loccurrence de certaines expressions, comme «désastre», «menace» ou encore «danger» a augmenté au fil du temps. Ce qui n’est pas le cas de la presse de référence, plus mesurée dans le choix de ses mots.
Celle-ci s’est mise à employer plus souvent le mot de «problème» pour les qualifier, tandis que du côté du GIEC, c’est surtout la notion de «risque» qui sest faite de plus en plus fréquente.
 
«Les résumés du GIEC sont si difficiles à comprendre quils peuvent donner lieu à de nombreuses interprétations différentes sur un même point», regrette le premier.
Ce qui n’est pas sans conséquences. «Ils peuvent facilement être mal interprétés par les sceptiques du changement climatique, par exemple», estime t-il.
Et j’en suis, figurez-vous.
 
D’ailleurs, le météorologue de « Transe-Télé », qui vient de se faire virer pour avoir sorti un ouvrage sur le climat, alors qu’il se défend d’être climato-sceptique, mais dit seulement vouloir apporter un éclairage nouveau sur la nature, le mode d’organisation et le mode de fonctionnement du GIEC dont on peut supposer que, comme la plupart des institutions supranationales géantes, elle n’est pas optimale et a de nombreux points possibles d’amélioration.
Ce qui ne fait qu’à rajouter à la suspicion générale.
 
D’autant qu’à ses yeux, il serait ridicule de prétendre que toutes ses conséquences du réchauffement climatique seraient forcément négatives.
Mais il dit tout simplement que cela est impossible à énoncer (et son éviction en est une preuve de plus), alors qu’une discussion sur la part du négatif et du positif n’a a priori rien de répréhensible et devrait même s’imposer franchement.
Mais non !
La dictature, c’est bien « ferme ta gueule » !
Coupé d’antenne, figurez-vous…
 
Car notez que aussi que le gaz incriminé par le GIEC, le CO2 lui-même, a bien quelques effets positifs bien connus sur la flore et donc les herbivores, notamment tandis que ses effets négatifs sont loin d’être tous très clairs.
Là aussi, une discussion devrait se justifier pleinement.
 
Des éléments positifs, je n’en vois que deux dans l’immédiat : On se pétera moins les miches en hiver et on va pouvoir cultiver de la vigne jusqu’en altitude (et pas que du picrate) et au moins aux latitudes qu’avaient atteints les romains, c’est-à-dire jusqu’aux limites de l’Écosse.
Peut-être même qu’ailleurs, on pourrait faire deux vendanges dans l’année : Le pied !
Voire deux moissons, comme pour le riz des chinois !
Bon d’accord, il va falloir apprendre à gérer l’eau douce plus finement, au lieu de la laisser filer à la mer bêtement, et à faire des pompes à chaleur en quantité pour faire tourner la clim’.
Notez que je m’en passe déjà, à congeler des bouteilles d’eau (en plastique) la nuit, pour les installer devant mon ventilateur le jour.
Mais ça ne doit pas être insurmontable, finalement…
 
Enfin bref, mon opinion de konnard est bien confirmée, que j’en chus de mon fauteuil : Comme pour l’anglais, c’est la faute aux mauvais professeurs de mon enfance !
Il faut dire que j’en ai eu un, trois années de suite, qui venait de Bamako. J’étais un peu perdu avec l’accent londonien lors de mes séjours sur les bords de Tamise.

6 commentaires:

  1. Moi, je paye désormais quasiment tout en carte bleue! Ca me convient très bien ... Si ça ne tenait qu'à moi, la limite serait de 100 euros dans toute l'Europe au lieu de 1.000 à 3.000. Les coupures seraient, au maximum, de 50 euros voire 20 euros ... Le retrait en liquide au DAB serait limité à 100 euros par jour ...

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    1. Par jour ? Comme vous y allez...
      Vous mettez tout ça sous votre tapis en attendant que vos avoirs soient bouffés par le prochain "Bail-in" ?

      Perso, je n'ai jamais plus de 40 euros en monnaie sur moi, et globalement un passage au dab une fois par semaine.
      Deux cartes bleues sur deux banques différentes, dont une locale, plus la AE gold de la boîte avec laquelle je fais mes retraits "pour le compte de", mais à Monaco seulement, sur la banque de mon boss qui fait face.

      Mais il n'empêche que beaucoup de monde ne supporte pas de tout dématérialiser : Parce qu'il s'agit d'échapper au flicage.
      Notez qu'à Monaco, au casino (interdit aux monégasques), vous avez le choix entre différents moyens de paiement de vos gains.
      Une belle "lessiveuse". tu rentres avec ta CB, tu achètes des jetons. tu fais un tour, bois une picole quelconque et tu revends tes jetons contre des billets...
      Et ils sont nombreux à savoir le faire.
      Mais il vaut mieux ne pas dépasser les 10 K€ pour ne pas avoir de problème, et une fois par semaine seulement...

      Bien à vous !

      I-Cube

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  2. Bonjour Maître ès Ignoble au Cube,

    L’économie grise n’a jamais fait de mal à personne quand même ! Je dirais même mieux, elle est productive...
    Quant aux excuses bidons de ces cocosos comme Mon beau Sapin roi des benêts que c’est pour lutter contre le terrorisme, c’est insulter notre minimum d’intelligence autorisée.

    Grisement vôtre…
    Comme au bon vieux temps (le temps de la droite of course moins pire que ces enfumeurs qui acheminent des valises pleines de cash aux iles Maurice)

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    1. Comtesse Ô Pied Nu

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    2. Et pas qu'aux Îles Maurice...
      Maintenant, en un clic, on sort du pognon des Caraïbes après l'avoir planqué, sans aucune difficultés.
      Bon, ça reste "traçable", mais on se démerde pour avoir des factures pour en justifier : Entre-soi, c'est plus facile.

      Ce qui est très drôle, c'est que les "blanchisseuses" (les casinos, les champs de courses, les bookmaker anglais, voire allemands et autres) fonctionnent à 100 à l'heure et enregistrent des croissances à faire pâlir même l'industrie du luxe, un peu partout dans le monde...
      Et "baronner" ces sommes, acheter un ticket gagnant au loto ou au PMU reste une activité qui a encore de l'avenir...

      Souvenez vous charmante Comtesse aux pieds si délicieusement dénudés de l'économie "administrée" de l'ex-bloc de l'est : près de 40 % de l'activité économique était "blackélisée".
      Evidemment, elle s'est effondrée !
      A quand notre tour, SVP ?

      I-Cube

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  3. Bienvenue sur ce "piti-blog" !
    J'adore votre fidélité que ça m'émeut au plus profond de mon "moi-même" !
    Merci pour ce cadeau-là...

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