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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 30 août 2015

Chapitre XXIX : Bill Gates et sa fondation

Paul Allen

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
« Je savais ton pote Gates, très actif dans l’humanitaire, mais pas dans les technologies nucléaires et encore moins de laisser l’opportunité de faire un lien avec nos ambitions spatiales. C’est curieux, finalement cette convergence-là, tu ne trouves pas ? »
Une opportunité parmi d’autres.
 
Car en effet à la tête, avec son épouse Melinda, d’une fondation caritative très active, le milliardaire américain Bill Gates est persuadé que les pays en développement deviendront bientôt des pays « à revenus intermédiaires ».
Sa prédiction semble pour le moins optimiste : « D'ici 2035, il n'y aura presque plus de pays pauvres dans le monde », avançait Gates à l’occasion de la publication, le 21 janvier dernier, de la lettre annuelle de sa fondation caritative.
Parmi les 36 pays les plus pauvres du monde – ceux dont le PIB par habitant est inférieur à 1.035 dollars/an –, presque tous seront devenus « ce que l'on appelle aujourd'hui des pays à revenus intermédiaires inférieurs, sinon mieux », croit pouvoir affirmer le co-fondateur de Microsoft.
Cette bouffée d’enthousiasme, il l’explique par le fait que les nations les plus pauvres vont, selon lui, poursuivre leur développement en s’appuyant sur les modèles économiques de leurs voisins les plus productifs.
Nouveaux vaccins, semences de meilleure qualité, révolution numérique ou encore main-d'œuvre soutenue par une meilleure éducation...
Autant de leviers qui aideront les populations à sortir de la misère et attireront de nouveaux investissements.
« À ma naissance (en 1955), la plupart des pays du monde étaient pauvres. Au cours des vingt années à venir, les pays désespérément pauvres deviendront l'exception plutôt que la règle. Des milliards de personnes auront été extirpées de la misère. Pour moi, l'idée que je vivrai pour assister à cela est tout simplement incroyable », déclara-t-il.
Le milliardaire – toujours première fortune américaine –, prévoit toutefois que « quelques rares pays » resteront « à la traîne ».
En cause : « la guerre, la politique (comme la Corée du Nord, sauf changement radical) ou leurs conditions géographiques (comme les pays enclavés d'Afrique centrale). »
Représentant 70 % des 36 pays pauvres, l’Afrique est loin d’être tirée d’affaire mais Bill Gates estimait que tous les pays d'Asie, d'Amérique centrale (à l'exception d'Haïti, éventuellement) et du Sud auront rejoint les pays à revenus moyens d'aujourd'hui.
« Près de 90 % des pays auront des revenus plus élevés que ceux de l'Inde d'aujourd'hui. Ce sera là une réalisation remarquable », ajoutait-il.
 
Pour contrecarrer un peu cet optimisme ébouriffant, un chercheur-économiste à l’Institut de recherche pour le développement (IRD), se montrera un peu plus pessimiste sur la question.
« Ce n’est pas la première fois que l’on annonce de telles prédictions. À la fin des années 1940, déjà, les experts américains tablaient sur la fin de la pauvreté grâce à l’avènement des nouvelles technologies. Plus récemment, il y a dix ans, un économiste très renommé, Jeffrey Sachs, tenait un discours similaire dans un livre intitulé « La fin de la pauvreté ». Mais elle existe toujours… », décrit-il.
Il faut dire que les guerres et les dictateurs n’ont pas non plus disparus de la surface du globe !
 
Selon l’expert de l’IRD, la réduction de la pauvreté qu’a pu constater Bill Gates « s’explique par la performance de la Chine » qui vient, en fait, doper les chiffres.
Paradoxalement, ça lui donnerait plutôt raison : dès que la dictature maoïste a changé de cap, l’économie de ce pays s’est développée avec vigueur !
Autre point faible dans le discours du milliardaire américain : « à aucun moment les équipes de Bill Gates ne semblent s’interroger sur la durabilité de la réduction de la pauvreté. Ils partent du principe que la croissance très forte de ces pays va continuer mais, rien que du point de vie environnemental, les ressources naturelles de certains pays sont vouées à s’épuiser. Et aucun d’entre eux n’est à l’abri d’un choc climatique (tsunami, sècheresse, tremblement de terre, etc.) », ajoutait-il.
Ni d’un choc politique ou des intentions belliqueuses de telle ou telle minorité devenant terroriste à l’improviste.
Il faudra noter que c’est un peu le fond de l’encyclique papale qui suivra…
Là encore, une « convergence » évidente !
 
En face, pour l'ex-PDG de Microsoft, une des solutions pour maintenir et encourager la croissance consiste à faire évoluer les mentalités. « Il serait juste d'affirmer que le monde a tellement changé que les termes « pays en développement » et « pays développés » n'ont plus de raison d'être », défend-il.
Ce que réfutent d’autres, pour qui un simple changement de vocabulaire ne conduira pas à faire avancer la situation. « Il faudrait commencer par durcir les critères qui définissent le seuil de pauvreté dans le monde, aujourd’hui de 1,25 dollar par jour. On ne connaît pas un seul pays « riche » qui vivrait avec cette somme », en diront-ils.
Pour les chercheurs, un système où le seuil de pauvreté serait « relatif », c’est-à-dire qu’il s’adapte aux revenus des ménages, serait bien plus juste que la méthode actuelle qui détermine le seuil à partir d’une « valeur absolue » applicable à tous les pays pauvres, sans distinction.
Mais il en faudra plus pour altérer la motivation de Bill et Melinda Gates. Foncièrement convaincus que « les pays pauvres ne sont pas condamnés à rester pauvres », ils font également appel à la générosité des donateurs et des États.
« Pour la Norvège, le pays le plus généreux au monde, le montant des aides est de moins de 3 %. Il est de moins de 1 % dans les cas des États-Unis », calcule-t-il pour encourager les dirigeants à s’investir davantage car « il reste plus d'un milliard de personnes vivant dans des conditions de pauvreté extrême. »
Et ils sont tous de futurs clients laissés en jachère…
 
Eux-mêmes ont décidé, depuis quelques temps déjà, de reverser 95 % de leur fortune personnelle à des œuvres de charité et entendent bien montrer l'exemple.
« Nous avons tous l'occasion de créer un monde où la misère constitue l'exception plutôt que la règle, où les enfants ont tous la même chance de s'épanouir, où qu'ils soient nés.
Pour ceux d'entre nous qui croient en la valeur de chaque vie humaine, aucun travail en cours n'est source d'inspiration plus forte dans le monde d'aujourd'hui », concluaient-ils dans la lettre de leur fondation.
« On ne choisit pas non plus de naître sur les trottoirs de Manille » en disait un chanteur passé de mode…
 
« – Tu sais, je reviens d’un séjour de plus de 6 mois en Chine. La pauvreté existe toujours, même l’extrême, comme partout et jusque à proximité des quartiers huppés de L.A…
Alors, ce type de prédictions, si elles sont motivantes, je n’y crois pas trop tant que les « politiques » se chargeront, en exclusivité, des moindres détails du bonheur de leurs concitoyens.
Par exemple, j’ai fait un tour de 24 heures en Corée du Nord. Bé je peux te dire, que là, tu touches au plus près des dégâts que peut faire subir à son pays et sa population un dictateur. 
Ah oui, à propos, ça s’est bien passé chez « Kim il est tout fou numéro Un » ?
À propos mon cher Paul, notre conversation d’avant mon départ a sans doute été écoutée un peu partout, j’imagine.
Et si je me souviens bien, tu m’avais proposé amicalement et généreusement ton aide.
Exact ! Et tu m’as répondu que tu me la demanderai au moment où tu en aurai besoin !
Je n’ai même pas eu le temps de te passer un coup de fil pour ça, ni pour te la demander, ni pour te remercier !
Comment ça ? Qu'est-ce  que tu veux dire ?
Tu sais forcément : quand je suis revenu un peu à l’arrache de Pyongyang, par la voie des airs, j’ai naturellement été pris en chasse par la chasse du pays.
Un avion de tourisme, à moins de 30 mètres de la surface de la mer, je n’avais en principe pas beaucoup de chance de ne pas être abattu.
Heureusement, ils tirent comme des pieds.
Mais la chasse s’est arrêtée avant l’hallali quand un de leur missile a été abattu par un tir de drone.
C’est à toi que je le dois, ou directement aux services de ton pays ?
Je ne suis pas au courant. Et je ne pense pas, mais je vais demander à Harry qu’il se renseigne. Il te donnera lui-même la bonne réponse !
Merci, en tout cas : c’était bien vu comme improvisation ! Ça les a mis en fuite et j’ai pu rejoindre Tianjin sans problème pour la suite que tu connais ! »
 
Autre chose : « Tu pourrais me rendre service ? »
Bien sûr !
« Connaitrais-tu un bon, je veux dire un excellent chirurgien ostéopathe pour remettre sa jambe à ma Florence ? »
Il a ça aussi : « Mais je demanderai confirmation à Harry. Il vient sur Paris la semaine prochaine. Tu pourrais te joindre à nous. »
Pourquoi pas si on le libère de son plâtre à la cheville… Mais elle fait encore mal.
« – Et toi, tu viens quand aux States ? J’aimerai te faire visiter nos sites.
– C’est toi qui dois d’abord venir à Aubenas visiter nos ateliers à poudre et autres céramiques. Là, en ce moment défilent des tas d’officiels, tous les ministères concernés et d’autres ingénieurs européens. Et je suis cloué ici !
C’est ma boss qui les reçoit et assume les visites ! 
– Celle que j’ai croisée à Washington ? »
Quelle mémoire…
 
Paul Allen est rentré aux USA sans faire cette visite.
« Charlotte » a été libéré de son plâtre la semaine suivante, pour aller faire un tour en urgence au Kremlin-Bicêtre contrôler la fin de saison des ventes d’alcool de ses équipes dédiées.
Le gérant de la SARL « pète les compteurs » comme promis et envisage encore de la croissance pour la fin d’année, avec les séances de bizutage de la rentrée et les « colis de Noël ».
Qu’il envisage désormais sérieusement d’expatrier le siège en banlieue de Dublin pour faire des économies fiscales.
Rencontrer également Anjo le banquier portugais, de passage à Paris pour se rassurer sur les opérations de refinancement du Trésor Public avec les queues récupérées jusqu’à Hong-Kong et sur les « minoritaires fantômes » de Miss Gabrielle (Cf. « Mains Invisibles », publié aux éditions « I-Cube »).
Celui-ci le questionne d’ailleurs sur l’existence du gérant attitré du fond dédié dont il est le mandataire (Cf. « Mains Invisibles », publié aux éditions « I-Cube ») : existe-t-il encore vraiment ou a été-t-il pulvérisé dans le vol MH 17 abattu il y a presqu’un an de ça par les séparatistes-rebelles Ukrainiens ?
Il faut trouver une autre identité, effectivement. Mais plus un belge. Peut-être un anglais.
Et sans homonyme, parce que « René » a vraisemblablement payé de sa vie la résurrection de « Julius ».
S’il pouvait trouver le bon profil, ce serait parfait : un décédé, de préférence approximativement le même âge que Paul sans héritier ni famille connus et qui n’ait pas de casier judiciaire.
 
Et il passe enfin à Aubenas qui tourne…
Finalement, ils n’ont plus besoin de lui là-bas : ils se débrouillent très bien sans lui !
« Ne dis pas ça ! Tu renoncerais à nous faire profiter de la formule « Birgit » et à notre « 003 » ? Tu n’y penses pas sérieusement tout de même ? »
Il n’a jamais dit qu’il ferait le « 003 » dans l’immédiat.
« Et puis je te rappelle qu’à chaque fois qu’on a demandé des subventions pour développer les petits-bouts du « 001 », on n’a eu que des emmerdements. Rappelle-toi : le contrôle fiscal de délire et des fonds que j’ai mis de ma propre poche…
Il n’y a rien à attendre de nos politiques.
Moi, j’aimerai bien que tu penses à former ta fille, pour qu'elle puisse prendre un jour ou l’autre le relai ».
Mais elle bosse à ça… toutes les deux, justement !
D’ailleurs, à la prochaine AG, s’il en ait d’accord, elle envisage de la nommer secrétaire générale adjointe à Paul.
« Adjointe ? Tu veux dire que je vais devoir contrôler toutes ses conneries de débutantes dans son dos ? Tu ne veux pas la nommer conseillère spéciale de la Présidence avant d’en faire une fondée de pouvoir ? »
Pourquoi pas ? « J’aimerai bien que tu évolues en qualité de directeur des recherches et de l’expansion. »
Et pourquoi pas « directeur des trouvailles » !
« Tu as de ces idées, ma pédégère préférée… »
 
Harry Harrison Junior (n° 4) et son accent particulier sont justement de passage en la capitale française, en route pour Rome où il doit rencontrer « ses frères » des loges locales, de celles qui ont pu prendre la succession de la loge « P2 » autour de la cité vaticane.
Ils ont leurs habitudes de vieux garçons sur les Champs-Élysées tous les deux, et là ils se restaureront au Pavillon Élysée, chez « Le Nôtre », en terrasse et sous un parasol, à l’abri des regards et du tohu-bohu de la circulation sur « la plus belle avenue du monde », qui étale ses 1.910 mètres de ligne droite et dégagée entre place de la Concorde et l’Étoile.
Quelle que soit l’heure dans la journée et la météo, c’est toujours exceptionnel !
 
Champagne pour l’un, américano pour l’autre, gourmandise de saumon fumé sur sablé au piment Espelette pour tous les deux, risotto aux asperges vertes et morilles, copeaux de parmesan pour l’un et volaille laquée aux épices douces, sablé à la tomate et aubergine pour l’autre ; pêche Melba infusée aux fruits rouges, parfum glacé à la dragée rose pour l’un et stracciatella à la crème légère, griottine et copeaux de chocolat pour le second, café serré pour tous les deux.
Le tout accompagné d’un rosé Corse, mais si !
Ses gardes de son corps à lui sirotent et grignotent un peu plus loin…
 
« Comment va votre délicieuse épouse ? J’ai entendu dire qu’elle vous avait donné un garçon, cette fois-ci ! »
En effet. Paul lui répond qu’elle va bien et qu’il cherche pour elle un chirurgien de qualité pour lui remettre sa jambe cassée et tordue à la même longueur que l’autre.
Il a ça dans son carnet et lui donne le nom d’un de ses contacts à San Francisco : « Un des meilleurs, chirurgiens des stars et milliardaires de la côte ouest ! Vous pouvez y aller en toute confiance sur ma recommandation. »
Et il lui remet une carte de visite manifestement préparée à l’avance sur l’invitation de Paul Allen : le message est passé.
« À propos, quelle histoire cette affaire d’enlèvement ! Mais vous n’étiez pas sous protection, en Normandie ? »
Si, mais pas comme ils le pensaient tous.
 – C’est la coréenne qui a organisé ce kidnapping, sur ordre imagine-t-on.
– C’est la raison de votre détour ahurissant à Pyongyang ? »
Oui.
« J’ai suivi tout ça de loin. Et les deux autres ? »
L’une est de nouveau à Rome, l’autre est détachée comme nurse anglaise par le SIS en Normandie.
« Vous verrez, on ne quitte jamais le service des services secrets. Même chez les nurses anglaises ! » fait-il avec un ricanement qui se veut drôle.
Ce n’est pas une vie pour Shirley. Même si c’est plus calme et moins risqué.
Mais elle n’a pas peur des risques, comme tous les jeunes un peu inconscients sur les bords.
 
« Paul Allen m’a fait un rapport de votre récent entretien et de vos projets futurs et concurrents. Disons complémentaires.
Pas stupide l’idée d’un réacteur au thorium pour votre prochain prototype. J’imagine que vous n’avez pas besoin urgent de financement…
Tenez, un aparté à propos d’argent. Savez-vous que votre banquier portugais, notre ami Anjo, fait… disons « de la gratte » en douce ? »
Paul est au courant : « Sa mission c’est d’acheter de la dette émise par l’agence France-Trésor. Naturellement, il souscrit et il fait son métier : c’est pour mieux la revendre en faisant quelques bénéfices, du moment que les taux initiaux sont poussés vers le bas. »
Il spécule aussi, pas trop mal pour l’heure, sur les marchés dérivés et les termes.
Ça pourrait ne pas durer.
« La dette française est recherchée avec toutes ces histoires grecques et à défaut d’allemande à se mettre sous la dent, tellement ils réduisent leurs émissions. Mais faites attention, ça ne va pas durer. Dès que la Fed va augmenter ses taux, probablement au premier trimestre 2016, ou un peu plus tard, plus personne n’en voudra ! »
Il se repositionnera sur les nouveaux taux et continuera son petit business, du moment qu’il paye son salaire et ses frais avec ça.
« Mais un jour, il faudra arrêter, c’est évident ! »

2 commentaires:

  1. Très optimiste « Bill » !...

    Mais il suffit de voir le résultat d’une politique faite par des « autistes-mafieux » dans notre pays pour réaliser que des dictatures conduisent les pays à l’effondrement, les citoyens à la misère, même s’il y a des possibilités de développement très importantes.

    D’où la nécessité de bien mieux contrôler nos dirigeants !...

    J’y reviens encore et toujours !...

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    1. Justement, chez les américains, ils considèrent que la puissance publique est à leur service.
      Et que c'est à ceux qui sont fortunés que d'adoucir la vie des plus pôvres, chacun à la mesure de leur fortune.
      La fortune, c'est le signe qu'ils sont "désignés" par Dieu lui-même et ils se doivent d'en faire un bon usage pour l'ensemble de l'humanité.
      Un peu comme il est dit dans le Coran, d'ailleurs : et ce n'est pas qu'un paradoxe ni un hasard.

      Optimiste, certes, mais "ambitieux-raisonnable", finalement.
      Et au final, il ne s'est pas trop trompé.

      Mais c'est important pour la suite et le futur "Nivelle 003"...
      D'où le signalement dans ce roman.

      Bien à vous !

      I-Cube

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