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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 30 juin 2015

On va décrypter les annonces d’hier de WikiLeaks …

… un peu plus tard ! 
 
Car elles promettent d’être saignantes (paraît-il au moment où je mets en ligne) et j’attends de me régaler.
Pour en revenir au « pétard » de la semaine dernière qui n’est déjà pas mal en lui-même : Oui, un « pétard » parce que ça fait quelques années que tout le monde sait que la NSA espionne tout le monde, tous azimuts…
Et pas seulement eux.
Mais tout le monde de par le monde.
Pour des résultats d’ailleurs laissant gravement à désirer : On va y revenir !

Combien ils avaient dit, déjà ? 
70 millions d’interceptions sur un seul mois, rien qu’en « Gauloisie-écoutée » …
Une paille !
Je vous laisse imaginer la quotité démesurée à l’échelle d’un continent…
Quant à la planète entière, n’est-ce pas, passons.
Et dire qu’ils ne sont même pas capables de retrouver une épave d’avion plantée au milieu de l’océan indien.
Passons z’encore.
Et qu’est-ce qu’ils en font des SMS et autres « textos » de « ma nichée » qui me fait savoir qu’elle a mal à la gorge en se levant le matin ?
C’est absolument passionnant et indispensable pour la lutte contre le terrorisme, n’est-ce pas !
 
Le « scoop », c’est que trois Présidents gaulois ont été « ciblés » durant des années.
On savait déjà que les ordinateurs de l’Élysée avait été piratés au moins à deux reprises : En 2004 et plus récemment à la veille des élections de 2012.
Alors les téléphones…
D’autant que vous avez financé, avec vos impôts à vous, quelques 14.000 téléphones sécurisés de Thalès, le «Téléphone cryptographique pour réseau étatique et militaire», plus connu sous son acronyme de « Téorem ».
Développé avec laide des experts de la DGA à Bruz, près de Rennes, ce téléphone protège les communications voix et données numériques jusqu’au niveau «secret défense» quand elles empruntent les réseaux publics mobiles et fixes (GSM, UMTS, 3G, 4G+, RNIS…).
Il permet aussi de se brancher sur les réseaux militaires et gouvernementaux. 
 
Avec « Teorem » pas de risque donc que les SMS et les communications orales soient piratés.
Même s’ils sont moins « ergonomiques » et confortables que d’autres engins existants sur le marché, en raison des temps de cryptages et recryptages de borne en borne, avant le décryptage final dans votre trompe d’eustache.
Non piratable ?
En tous cas pas sans un gros effort.
«La solution de cryptage ne résisterait peut-être pas à la NSA, » estime un spécialiste sous couvert de confidentialité. « Mais il faudrait y mettre les moyens pour décrypter les codes ce qui constituerait un acte encore plus ciblé, autrement dit une attaque délibérée.»
Donc, on en n’est pas encore là, puisque les ambassadeurs n’ont pas été rappelés ni même aucune ambassade fermée, préludes indispensables à toutes les vraies guerres.
C’est naturellement impossible entre alliés réciproques et de si longue date !
 
Tout ce ramdam (en plein début de ramadan dont est issu ce mot-là) ne vous fait-il pas pleurer de rire, vous ?
Moi, si !
 
D’abord parce que, effet du hasard du calendrier, le « scoop » intervient le jour même où la loi « renseignement » est définitivement votée.
Tout juste un peu plus de 18 mois après la première « loi scélérate ».
L’Histoire, la Liberté, la Démocratie, pourront dire un « Grand merci » à celui qui n’aime pas, ni « les riches », ni les « sans-dents ».
Et l'avocat Rubin Sfadj de résumer ainsi la situation par son « twist-again » assassin : « Écouter des gouvernants c'est scandaleux ; écouter une population entière c'est nécessaire. »
On en est arrivé là dans la dictature-ambiante…
Et une information en aura gommé une autre : Effet du seul hasard et circonstance ?
En tout cas, les lois Hadopi ne sont plus désormais qu’un lointain souvenir et paraissent bien niaises aux côtés des nouveaux dispositifs « légaux & légitimes »… 
 
Ensuite parce que les USA n’espionne plus personne directement depuis quelques années : Elle le fait faire par ses alliés, apprend-on par la bande !
Encore plus original et astucieux, n’est-ce pas !
Chaque pays qui souhaite des informations de la NSA sur ses propres ressortissants ou pour défendre ses intérêts « exogènes » doit « collaborer » et fournir des informations sur les cibles que Washington ne peut ou ne veut plus écouter directement.
Un « troc » volontaire et de longue date !
 
En se fondant sur des documents fournis par Edward Snowden, le Spiegel a ainsi prouvé il y a quelques semaines que Berlin et le BND a espionné Paris et les institutions européennes pour le compte de la NSA.
Vous avez entendu les loups hurler, là ?

Notez qu’on savait déjà depuis un an que le téléphone de « Mère-qu’elle » avait été mis sur écoute… que le bâtiment de l’ONU est piégé de micros à New-York, à peu près comme toutes les délégations internationales.
Même les soviétiques s’étaient installés à deux pas du siège de l’OTAN, porte Dauphine (les actuels bâtiments de la fac éponyme parigote-rive-drôate) du temps où Le Général ne les avait pas encore virés de là.
Et les documents récents publiés, là encore par Edward Snowden, suggèrent que Paris fournit des informations sur ses « amis » africains à Washington, qui manque cruellement d'implantations sur le continent.
Contre quels services en retour, SVP ?
Ah oui : Il y a aussi les tirs de drone dans la corne de l’Afrique, contre les auteurs de prises d’otage.
Mais pas seulement, peut-on imaginer.
 
D'autres exemples d'espionnage entre « amis » ?
Dès 2008, les hackers des services secrets britanniques se sont installés pour le compte de la NSA dans les serveurs de l'opérateur de télécoms des institutions européennes, Belgacom.
L'objectif de cette « Operation Socialist » était évidemment de mettre Bruxelles sur écoutes, de … l'intérieur.
Et ainsi de suite.
Vous pensez bien, les grands absents de ce déballage-là, ça reste justement les fonctions de nos propres services d’interception, tant à l’étranger que désormais sur le territoire national et … européen !
Pas un mot, SVP…
 
Pas un mot non plus, dans tout ce délire « anti-américain », ni de nos propres turpitudes, ni même celles de nos « alliés européens », l’Allemagne en premier, les anglais ensuite, etc.
Vous aurez noté, espère-je, depuis plus d’une semaine ?
Alors, vous pensez bien que je peux me permettre d’en rire bien fort, n’est-ce pas.
 
En revanche, on saura tout du 22 mai 2012, soit quelques jours après l'entrée en fonction de « François III » et de réunions « secrètes » destinées à discuter d'une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro.
Car le 15 mai 2012, jour de son investiture, il débarque à Berlin rencontrer « Mère-Qu’elle » dont il rapporte qu’elle « obnubilée par le pacte budgétaire et surtout par la Grèce qu'elle a laissée tomber, » selon lui, « et n'en bougera plus ».
Vous savez quoi ?
J’aurai pu le leur dire directement…
C’est ce qu’on appelle de l’information « ouverte ».
 
Quant à « Bling-bling » on apprend qu’en 2008, il « croit que Washington tient désormais compte de certains de ses conseils ».
Gamin va ! Ou l’immensité incommensurable de sa propre fatuité !
« Selon lui, c'est la première fois que les États-Unis n'ont pas agi en leaders dans la gestion d'une crise mondiale et la France va maintenant prendre la main », écrit encore la NSA.
Il se voit dès lors « comme le seul à pouvoir résoudre la crise financière mondiale » !
Je le savais devenu dément perché sur ses talonnettes, mais pas aussi précocement.
 
Conversations Pierre Vimont/Jean-David Levitte. Objet : Les thèmes que « Bling-bling » veut aborder lors de son entretien prévu le 31 mars 2010 avec « Baraque-au-bas-mât » que ce dernier consent enfin à lui concéder.
Médiapart écrit que « l'échange prouve que Paris est parfaitement conscient de l'espionnage américain ».
Contacté par Mediapart, Jean-David Levitte ne s'est d'ailleurs pas déclaré « surpris ».
« Quand j'ai été ambassadeur à l'ONU, puis à Washington, puis dans mes fonctions à l'Élysée, aussi bien auprès de Jacques Chirac que de Nicolas Sarkozy, je suis toujours parti du principe que j'étais écouté. Cela va avec la fonction… Une fois qu'on a intégré cela, on adapte ses pratiques », affirme le diplomate.
 
Ce que confirme de son côté « MAMa », ex-ministre de la Défense et des Affaires étrangères sous « Bling-bling » et sous « Le Chi » et ses cassettes abracadabrantesques : « Les conversations qu'il pouvait y avoir entre le ministre de la Défense et le président de la République se faisaient hors téléphone », a-t-elle assuré.
Évidemment : On fait pareil jusqu’en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » entre bergers depuis l’affaire des portables autour de l’assassinat du Préfet Érignac…
Pas de bœufs non plus !
Ils paghjellent de vallée en vallée.
Mais les autres, qui se sont réunis mercredi dernier en « cellule de crise » du « conseil de défense » avant le conseil des ministres ?
Les « Menuet-Valse », « Fafa l’empoisonneur », « Le Riant », « Nanar Case-neuve », « Stef le-fol-dingue » et les chefs du renseignement ?
Sont-ils aussi prudents ?
 
Non, enfin si, imagine-je, sauf qu’en fait il s’agissait de « communiquer » pour le « bon peuple », entraîné en cela par la « presse aux ordres » nettement plus anti-américaine (depuis toujours : Ah la « pensée-unique » proto-marxiste ambiante !) pour limiter les dégâts dans l’opinion.
Se comporter en « outragé », violé s’il le faut (enfin pas eux, faut pas non plus dékonner, mais « l’amitié », la « souveraineté », etc.), « meurtri », « trahi » mais « libéré ».
 
Attendez jeunes-gens, le renseignement (« l’intelligence » en disent les anglo-saxon dans leur charabia à eux), c’est rarement, exceptionnellement, « en direct ».
C’est seulement le fait de savoir, ex-post donc, qu’un tel a contacté une telle, tel jour, telle heure depuis leurs postes respectifs.
Et ensuite, on peut alors confirmer, mais seulement sur le terrain, que « Juju-Gallet » a ripoliné avec sensualité le dard du « micheton-sur-son-scooter » ce jour-là, tel qu’il en redemande.
Mais ça, ça sort des rotatives avec clichés à l’appui : Pas besoin d’écoute, même ciblée.
Et c’est là le plus important : Seulement de savoir ce qu’il y a derrière « la com’ », et après coup.
En sachant ce qui est « communiqué » officiellement, on devine facilement ce qui est caché, par simple « transpiration & déduction ».
 
Et l’info cachée derrière ce délire, c’est que les services américains, comme tous les autres d’ailleurs, savent que l’info, supputée ou notoire, doit être confirmée ou infirmée sur le terrain.
Et là, la NSA et autres agences américaines ont gravement péché : Non seulement ils se font piquer la main dans le pot de confiture, mais en plus, ils font preuve d’un grave « déficit-terrain », partout autour du globe et depuis de nombreuses années.
Car ils ont tout misé sur les « moyens modernes » pour faire des économies de personnel.
L’affaire qui nous occupe ne signifie que cela : L’étendue de leurs propres défaillances.
Et personne n’a pu ou su vous le dire…
Dommage.
Alors, j’en rigole-très-fort, finalement.

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