Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 9 juin 2015

Accélération de la croissance…

… du chômage !

Mais si : « François III » à la fraise-des-bois, capitaine d’un pédalo en perdition, aura au moins réussi quelques croissances magnifiques !
L’endettement, le déclassement de pleines populations, rurales et urbaines réunies, et de faire battre ses propres records au chômage : 26.200 demandeurs d'emploi (catégorie A) supplémentaires en avril, une hausse de 0,7 % sur un mois.
Soit juste 3,53 millions de chômeurs à plein-temps…
En incluant les chômeurs ayant eu une petite activité, la hausse est d'une ampleur inédite depuis 2013 (+ 54.100), soit + 1 % par rapport à la fin mars.
C’est un total de 5,34 millions de personnes, 5,64 avec l'outre-mer, qui cherchent désormais du travail, du jamais-vu…
Autant que le nombre de fonctionnaires et assimilés, auxquels il faut rajouter toute la palette « d’emplois aidés », payés par le contribuable : Près de 600.000 personnes !
Et c’est sans compter les « mises en formation », l’apprentissage, et les radiations d’office existantes et celles à venir des mois caniculaires…
Bravo, c’est vraiment formidable ! 
 
Rien que sur un an, le nombre de chômeur « Class A » a augmenté de + 5,1 % ! 
 
Les chômeurs en activité réduite (catégories B et C), quant à eux, ont vu leur nombre grimper de 1,9 % pour les catégories B et 1,4 % pour la catégorie C, s'établissant à 1.808.600 de personnes soit + 7,1 % sur un an.
C’est que du bon !
Les jeunes et les seniors sont particulièrement touchés. Le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A de moins de 25 ans a grimpé de 0,8 %, tandis que celui des 50 ans ou plus a augmenté de 0,9 %.
Et ce sont nos femmes à nous, de plus de 50 ans, qui paient le plus lourd tribut (+ 1 %). 
 
Rien y fait et pour endiguer le tsunami, le ministre du Travail, « François Rase-bœuf-men », a immédiatement annoncé « 100.000 contrats aidés supplémentaires » en 2015 pour faire face à la hausse continue du chômage.
Il va aller loin avec sa force de frappe tellement dissuasive qu’elle ne pèse que… 1,77 % de la déferlante…
Une goutte d’eau dans une pinte de bière !
 
C’est qu’ils y croient toujours, vos autistes : La politique de l'emploi « sera intensifiée d'abord avec un renfort de 100.000 contrats aidés supplémentaires » et « 60.000 demandeurs d'emploi supplémentaires en formation », a-t-il annoncé, glorieux et pontifiant jusqu'à l'écœurement.
Les vieilles recettes, décidément, ils n’ont aucune imagination que celle de faire ce qui a déjà échoué…
« La croissance économique enregistrée au premier trimestre (+ 0,6 %), dynamisée par la montée en charge du pacte de responsabilité et de solidarité, a été plus forte que la moyenne de la zone euro. Il faut toutefois un délai de plusieurs mois avant que la reprise de l'activité ne se traduise par des embauches », a-t-il fait savoir à la Terre entière qui nous envie tant notre modèle social qu’ils en sont encore des milliers à traverser la mer à la nage…
Faut dire qu’en annonçant à la mi-mai que la croissance avait fait un bond inattendu au premier trimestre, « Lyne-sait-tout » avait dopé les espoirs du gouvernement.
Que nenni : S’il y a croissance, va falloir revoir de fond en comble les « modèles » du « Grand Ordinateur de Bercy » (GOB-tout) et ne plus compter sur elle pour créer de l’emploi.
C’est un fait acquis : Il n’y a pas d’effet de levier keynésien à s’endetter (ou alors il est négatif) comme il n’y a plus aucun « effet de relation » entre plein-emploi et activité, perdu dans les 35 heures qui ont accélérer les processus de compétitivité améliorée et d’ailleurs largement … subventionnés !
C’est marqué comme ça dans la loi CICE, il faudra vous y faire.
 
Néanmoins, le ministre des Finances, « Michou Pas-saint », juge pourtant « parfaitement possible » que la « Gauloisie-des-sans-dents » atteigne le fameux seuil de 1,5 % de croissance fin 2015, alors que l'hypothèse du gouvernement sur l'ensemble de l'année est de 1 %.
« Si le bon chiffre du premier trimestre se confirme, on va avoir un retournement sur le front de l'emploi, mais il faudra attendre un à trois trimestres », a estimé de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).
Ils sont dopés au captagon ou quoi ?
 
Et alors, le plus curieux, c'est aussi ce qu’en pensent les organismes internationaux et l'Institut national de la statistique, qui table sur une poursuite de la hausse du chômage au moins jusqu'à cet été : « On est dans un moment un peu charnière (…). Le Cice et le pacte de responsabilité, conjugués à la baisse de l'euro et des prix du pétrole, vont permettre une amélioration, mais on ne connaît pas le timing. »
On parie qu’il ne se passera rien de sublime, hors les effets des radiations estivales ?
 
Après l'échec des politiques de l'emploi classiques à base de contrats aidés, même s’ils en rajoutent une couche, le gouvernement mise sur le pacte de responsabilité, avec ses 40 milliards d'euros d'allègements de cotisations sociales et fiscales à horizon 2017 (pas pour tout de suite, donc…), même si on ne sait toujours pas qui va payer…
Au départ, ils en espéraient jusqu'à 500.000 créations d'emplois, mais le président a lui-même reconnu que le pacte « n'aurait d'effet qu'à moyen terme », n'excluant pas que « le mandat suivant en bénéficie ».
Quelle clairvoyance !
Il était temps…
 
Parce que depuis qu’il a été élu, il faut compter près de 600.000 nouveaux chômeurs !
Et toujours aucune réforme de fond du marché du travail en vue.
Pas plus qu’une réforme « structurelle » d’une vraie politique cohérente des « prélèvements obligatoires » (fiscaux, sociaux et parafiscaux).
Et encore moins une volonté forte et quantifiable d’une réduction drastique du train de vie la « chose publique ».
Ce n’est plus de l’autisme, mais bien plus du suicide collectif.
Parce que chez les « Républicains-démocrates », ils n’ont même pas réfléchi à quoique ce soit sur le sujet…
Il préfère faire des défilés de mode de tee-shirts importés de Malaisie à leur effigie ou discutailler de la place des babouches-musulmanes dans l’horizon national : Voilà une affaire qui va mettre plein de beurre dans les épinards et rassurer tout le monde…
Parce que bien sûr, pour le reste et sur ces piètres perspectives, ils n’ont pas la langue dans leur poche et font très fort dans l’infantilisme (pour rester poli) :
 
Pour « Riton Word », délégué général à l'Économie et aux Finances du parti « Les Républicains-démocrates » et député : « L'échec de la majorité à relancer l'emploi en France est de plus en plus grand, et l'objectif sournois du président de la République d'inverser la courbe du chômage avant la fin du quinquennat ressemble de plus en plus à une vaste supercherie. Personne ne pourra se contenter d'une simple baisse quelques mois avant l'élection présidentielle de 2017 (…) Le chômage augmente bien plus vite depuis mai 2012 que lors du quinquennat précédent, alors même que tous nos voisins européens profitent à la fois de retour de la croissance et des effets bénéfiques des réformes. »
C’est assez drôle, n’est-ce pas : On entendait la même chose en 2007, en 2002, en 1995, en 1988, en 1981 et – mais je n’en suis pas bien sûr – en 1969 !
Avant, je ne sais pas, je suçais mon pouce !
 
« Valy Paic-fesse », députée et candidate aux régionales en Île-de-France du parti « Les Républicains-démocrates »: « C'est une triste journée pour les Français, parce qu'à la progression du chômage s'oppose l'immobilisme du gouvernement (…) 100.000 contrats aidés, ce n'est qu'un pansement sur une blessure qui nécessiterait un vrai traitement. (…) tout cela empêche les chefs d'entreprise d'embaucher et les PME de grandir. »
Fondamentalement elle n’a rien compris au B.A.-BA de l’économie…
Pour embaucher, il faudrait des produits et services qui trouvent leurs clients… solvables.
Comme on n’a plus rien à vendre puisqu’on ne crée plus rien qu'autant que l’inflation réelle, voire moins, et que les autres savent faire mieux et moins coûteux, sauf dans quelques niches, et que d’autre part, sur le territoire, plus personne n’est solvable, ce n’est pas demain la veille qu’on redécollera !
Elle nous prend vraiment pour des crétins analphabètes !
 
Je vous passe les autres, sans intérêt, pour vous garder celui-là :
« Du-Pont-gnagnan », député et président de « À genou la France » : « (…) Notre pays devrait s'inspirer de certains pays comme la Grande-Bretagne, qui a retrouvé le chemin de la croissance grâce à une politique monétaire plus souple et une baisse des charges sur les entreprises. Au contraire, le gouvernement tente d'enrayer cette hausse du chômage à coup d'emplois aidés, qui ne sont que des rustines coûteuses et contre-productives. »
Ah oui, les anglais de la perfide-Albion…
Et en Ibérie, par exemple ?
Parce qu’il n’y a pas que le modèle anglo-saxon…
 
Le nombre de chômeurs a baissé en Espagne en mai pour le quatrième mois consécutif, avec 117.985 inscrits de moins que le mois précédent mais reste élevé à 4,21 millions, selon les chiffres publiés mardi par le ministère de l'Emploi…
Mais si !
Et si l'on décompte les embauches temporaires dans le tourisme liées aux fêtes du mois de mai et d'autres effets saisonniers, la baisse du nombre de chômeurs ne serait que de 34.160 personnes : Mais ça baisse quand même !
Sur un an, le nombre de chômeurs a baissé de 357.354 personnes, « la plus forte baisse annuelle » depuis 1996 se félicite le ministère dans un communiqué.
Ce dernier ne donne pas de taux de chômage, mais selon l'Institut national de la statistique (INE), il restait quand même très élevé au premier trimestre, à 23,78 %.
Et le Portugal, alors ?
 
Au Portugal aussi, le chômage a poursuivi sa baisse en avril, s'établissant à un taux de 13 % contre 13,2 % en mars, selon des données provisoires diffusées mardi dernier par l'Institut national des statistiques (Ine).
Le chômage est en recul, avec interruptions, depuis le premier trimestre 2013, lorsqu'il avait atteint un record historique de 17,5 %.
 
Ces reculs du nombre de chômeurs dans la péninsule ibérique en mai, enregistré dans tous les secteurs, démontre « que la reprise de l'économie n'est pas conjoncturelle mais bien structurelle », a assuré le chef du gouvernement conservateur Mariano Rajoy, mardi à Madrid.
« Nous avons traversé une crise d'une envergure considérable », a-t-il souligné alors que la quatrième économie de la zone euro est sortie en 2014 de cinq années de récession ou de croissance nulle, avec un bond de son PIB de seulement 1,4 %.
Leur gouvernement table sur une baisse de plus de 500.000 chômeurs en 2015.
« Il reste toutefois encore beaucoup à faire. Plus de quatre millions d'Espagnols ne peuvent pas encore travailler », a ajouté Mariano Rajoy.
La secrétaire d'État à l'Emploi « sœur Âne » Engracia Hidalgo a attribué le recul du nombre de chômeurs à la réforme du marché du travail introduite par le gouvernement de Mariano Rajoy en 2012 qui réduit notamment le coût des licenciements.
Nous n’y sommes pas encore chez nous, notez bien, tellement la résistance syndicale est solidement établie sur des « positions préparées à l’avance ».
 
Leurs principaux syndicats dénoncent d’ailleurs, et pour leur part, la précarité des emplois créés. En mai, seuls 8 % de contrats signés étaient à durée indéterminée, selon le ministère, mieux que chez nous où ils tutoient les 7 % !
Et sans contrat « à un euro »…
 
Ce qui me sidère, c’est cette obstination à ne pas vouloir reconnaître les faits chez nos « autistes-trisomiques » : L’échec des « modélisations » des « sachants », qu’ils soient de droâte, du centre-démocratouille ou de gôche est pourtant patent depuis de nombreuses années, et pas un seul ne les remet en question !
La misère gagne, même aux USA où on a appris, par la FED, pas n’importe qui, que 47 % des résidents sont dans l’incapacité de faire face à une dépense imprévue de 400 dollars seulement.
(Bon la plupart sont blacks ou « hispaniques », de la sous-catégorie de … Je ne dirai pas quoi pour ne pas « offenser » leurs bien-pensants qui n’ont pas trop de difficultés).
 
Eh minute : Ils sont combien chez nous à être dans ce cas ?
Combien aux restos du cœur (et à la mie de pain et autres …) ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire