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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 5 avril 2015

Joyeuses Pâques !

Une fête « flottante »…
 
Chez les chrétiens, c’est comme nulle part ailleurs : Nous fêtons la résurrection du Christ, le fils de l’Homme, le personnage envoyé par Dieu le Créateur de toute chose pour y délivrer aux hommes un message d’amour, immense, inépuisable, éternel et universel et surtout racheter les fautes et péchés de Sa créature…
Et ainsi réaliser la prophétie invraisemblable qu’elle n’était même pas crédible.
 
De fait, Pâques, c’est la fête la plus importante de toutes pour les Chrétiens, le centre même de la foi chrétienne, quoiqu’on en pense.
En fêtant la résurrection du Christ et en faisant mémoire à cette occasion de l’histoire du Salut, les Chrétiens affirment haut et fort qu’ils croient en la victoire du Christ sur la mort et sur le péché, et rendent grâce à Dieu pour le don du Salut.
C’est pourquoi cette fête ne se prépare pas en un jour, mais est précédée des quarante jours du Carême, dont la semaine sainte, qui commémore la Cène, la Passion et la mort du Christ sur sa Croix. 
 
Quant à la date proprement dite, elle varie entre le 22 mars et le 25 avril. Les modalités pour la déterminer ont été fixées par le concile de Nicée, en 325 : Il s’agit du premier dimanche qui suit la pleine lune de l’équinoxe de printemps.
Tout dans la symbolique du renouveau saisonnier…
Mais le calcul ne se base pas sur la lune astronomique, qui présente des irrégularités, mais sur une lune « fictive ».
Depuis ce choix, l’année liturgique est régie par un calendrier particulier : Ce calendrier est solaire du premier dimanche de l’Avent au neuvième dimanche avant Pâques – période pendant laquelle les dates des fêtes sont fixes, comme Noël – puis lunaire pendant l’autre partie de l’année – période pendant laquelle les dates des fêtes dépendent de la date de Pâques (ascension, Pentecôte).
De plus, les Églises catholique et orthodoxe ne célèbrent pas Pâques à la même date, l’Église orthodoxe ayant conservé l’ancien calendrier julien, alors que l’Église romaine a procédé à une réforme du calendrier : La réforme grégorienne !
C’est comme ça que ette année, la Pâques orthodoxe sera célébrée dimanche prochain…
 
Justement, cette année, signalons aussi que la Pâque juive est célébrée en même temps que chez les « papistes & hugurnots » réunis.
Chez les juifs, la Pâque se fête au soir du quatorze Nissan, le premier mois du calendrier juif, fixé de telle façon que le premier jour de Nissan corresponde à la nouvelle lune de printemps.
 
C’est comme ça qu’il ne s’agit bien sûr pas d’un hasard si les fêtes juives et chrétiennes ont (presque) le même nom et si leur date est proche (plus ou moins selon les années et la concordance des calendriers). C’est en effet à l’occasion de la Pâque (juive, donc) que Jésus était monté à Jérusalem et c’est elle qu’il fêtait avec les apôtres lors de leur dernier repas commun.
Plutôt que d’y voir une coïncidence du calendrier, nous pouvons aussi méditer sur la double histoire de salut qui nous est présentée (salut matériel après l’esclavage en Égypte, salut éternel après l’esclavage du péché) ainsi que sur le moyen de rédemption choisi (sacrifice d’un agneau, sacrifice du Christ).
Je vous l’ai dit : Toute dans le symbole.
 
Pour les Juifs, Pessah’ est une des fêtes les plus importantes du calendrier.
Mentionnée dans la Torah (par exemple en Exode 12) sous le nom de fête des azymes (h’ag ha-matsot, parce que le pain n’a pas eu le temps de lever au moment de l’exode) c’est une des trois fêtes de pèlerinage pendant lesquelles les Juifs du royaume de Judée devaient se rendre au Temple de Jérusalem (du temps où il existait) afin d’y présenter des sacrifices.
 
Si les Chrétiens célèbrent Pâques, et les Juifs la Pâque, c’est parce que ces deux mots dérivent du mot latin, « pascha », qui désigne les deux fêtes à la fois.
Ce dernier est lui-même emprunté au grec, qui tente de retranscrire l’araméen qui emprunte à son tour à l’hébreu « pessah’ ».
Ce nom de Pessah’ provient du verbe signifiant « passer devant », éviter, épargner, en référence à la dixième plaie d’Égypte, lors de laquelle la mort a frappé les premiers-nés égyptiens en épargnant les foyers juifs. 
 
Signalons que la graphie « h’ » retranscrit un son qui existe en hébreu mais que le « francilien-natif » de « Gauloisie-littéraire » ne possède pas.
Ce son guttural ressemble à la « jota » espagnole ou à la manière dont l’allemand prononce « Ach ! ».
 
Dans tous les cas, je vous souhaite d’excellentes fêtes de Pâque(s) à toutes et tous, même si nos « musulmans-nationaux » ne participent pas à cette fête religieuse : Jésus est « mis en réserve », jusqu’à ce que Dieu le renvoie sur terre…
C’est comme ça.
 
Mais « les miens » de musulmans, puisque je repasse à Paris pour le week-end (ainsi que mes potes feujs), ils peuvent venir partager le gigot d’agneau de la coupure méridienne, un peu en avance de la fête de l’Aïd al-Fitr, qui clôt le jeûne de Ramadan (du 18 juin eu 17 juillet cette année) chez eux : L’agneau est offert à Dieu en souvenir du sacrifice d'Abraham.
 
Et n’abusez pas des chocolats, SVP : Vous aurez à perdre les kilos en trop avant de promener votre barbaque sur les plages d’été bientôt…
 
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