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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 12 février 2015

« SwissLeaks » : Une affaire déjà évoquée.

Qui fera « flop » ?… 

La sphère internétique s’est déjà enflammée autour des révélations du Monde (et de quelques autres) quand elles révèlent les dessous d’un vaste système d’évasion fiscale encouragé par l’établissement britannique HSBC, deuxième groupe bancaire mondial, par l’intermédiaire de sa filiale suisse HSBC Private Bank.
Parce que les chiffres avancés donnent le vertige. 
Le quotidien a publié en début de semaine, le premier volet d’une enquête à la fois spectaculaire et inédite. Fruit d’investigations hors norme, menées entre Paris, Washington, Bruxelles ou Genève. 
 
Le Monde, qui enquête sur l’affaire HSBC depuis son origine, est entré début 2014 (l’année dernière seulement) en possession de données bancaires mondiales, portant sur la période 2005-2007.
« Nous avons partagé ces données avec une soixantaine de médias internationaux, coordonnés par l’ICIJ, consortium de journalistes d’investigation ». Leur révélation est susceptible d’embarrasser de nombreuses personnalités, mais surtout d’ébranler les milieux bancaires internationaux… 
 
Selon les enquêteurs, 180,6 milliards d’euros auraient transité, à Genève, par les comptes HSBC de plus de 100.000 clients et de 20.000 sociétés off-shore, très précisément entre le 9 novembre 2006 et le 31 mars 2007.
Une période correspondant aux archives numérisées dérobées chez HSBC PB par Hervé Falciani, ancien employé de la banque.
Le même que j’évoquais le 1er août 2010 dans ce chapitre-là :
http://flibustier20260.blogspot.fr/2010/08/operation-juliette-siera-ii.html 
 
Ce post-là a dû être écrit en mars ou avril 2010 dans une première épure où il s’agissait « de poser » le contexte, le cadre historique dans lequel seront narrés les chapitres suivants dudit roman « Opération Juliette-siéra » qui se déroule jusqu’à fin août de la même année.
Mon premier roman, une « pure création intellectuelle », mais basé et fondé uniquement sur des faits historiques vérifiables par n’importe qui !
C’est que c’est tellement énorme, que de peur de représailles (dont quelques faits tangibles que je rapporte un peu plus tard) m’ont fait redouter le pire, m’obligeant, non pas à faire un reportage, mais à un « roman ».
Et pourtant tout y est !
Y compris l’épisode Falciani (vers la fin du premier lien proposé il y a 5 ans)… 
 
À la fin de l’année 2008, cet informaticien avait fourni aux agents du fisc « Gaulois » les données volées chez son employeur. Saisie de ces faits en janvier 2009, notre justice bien-aimée enquête depuis sur une toute petite partie des « listings Falciani », à savoir les quelque 3.000 ressortissants hexagonaux suspectés d’avoir dissimulé leur argent chez HSBC PB, et ce avec la complicité de la banque – de ce fait mise en examen comme personne morale pour « démarchage bancaire et financier illicite » et « blanchiment de fraude fiscale ». 
Plus de 5,7 milliards d’euros auraient été dissimulés par HSBC PB dans des paradis fiscaux pour le compte de ses seuls clients Gaulois…
Bercy n’a saisi la justice que de soixante-deux cas seulement (dont celui de l’héritière de « Ritchi », dont le procès doit s’ouvrir dans quelques jours à Paris), la plupart des contribuables hexagonaux « démasqués » par les listings Falciani ayant, il est vrai, régularisé entre-temps leur situation fiscale. 
 
Le 28 janvier 2014, sous le titre « Listes HSBC : la saga d’une enquête explosive sur l’évasion fiscale », Le Monde publiait une première série d’articles dévoilant les dessous de l’enquête judiciaire. Mais il manquait l’aspect mondial…
Quelques jours plus tard, une personne se présentait à l’accueil du journal, boulevard Auguste-Blanqui, à Paris (à côté de mes anciens bureaux directoriaux, du temps où je faisais encore « esclave-salarié »), l’ancien siège-informatique « d’Air-Transe ». Maintenant, ils sont logés rue Gay-Lussac, rebaptisée en 1968, « rue du 13 mai ».
« Cette source, dont nous protégeons l’anonymat, nous remit une clé USB contenant la totalité des fichiers établis à partir des « données Falciani », dans le plus grand secret, à compter de 2009, par les services fiscaux français, parfois en dépit des réticences du pouvoir politique ».
Premier foutage de gueule : Une clé, même USB, même en 2014, ne peut pas contenir autant que les dizaines et dizaines de DVD – une grosse mallette – gravés par Falciani en Suisse et remis au « juge en Solex » de la riviera, soyons sérieux !
De plus, le vol des fichiers d'HSBC ne porte pas seulement sur 5 mois, évidemment, de novembre 2006 à mars 2007, mais va au moins depuis bien avant et jusque fin 2008... !
Le mek qui vous indique qu’il a la totalité du bidule, il se fout de vous ou c’est un krétin dont on s’est foutu de sa tronche ! 
 
Des listings qui font alors le tour de l’Europe, de la Grèce au Portugal, en passant par l’Espagne et l’Italie, où sont révélés les noms de trafiquants d’armes ou de stupéfiants, des financiers d’organisations terroristes, des politiciens, des vedettes du showbiz, des icônes du sport ou des capitaines d’industrie, etc. dont vous n’entendrez jamais parler…
Tous désireux de cacher leur argent en Suisse, de se mettre à l’abri du « secret-bancaire » qui est une vraie religion en Suisse.
Ce qui ne préjuge nullement d’ailleurs qu’ils ont « fraudé » ou inversement que ce sont des fonds « clean » fiscalement avec la mère-patrie, soyons sérieux, bien sûr ! 
 
On nous en dit que : « La disparité des profils des détenteurs de comptes est assez frappante. Les chirurgiens (hexagonaux) désireux de blanchir leurs honoraires non déclarés y côtoient des diamantaires belges, des protagonistes de l’affaire Elf ou de nombreuses familles juives dont les avoirs avaient été mis en lieu sûr, en Suisse, au moment de la montée du nazisme en Europe… »
Laissez-moi rire, SVP !
C’est vrai qu’ils y sont aussi, mais pas seulement eux…
 
Et de nous rapporter que « nombre d’entre eux ont été illicitement démarchés en (« Gauloisie-frauduleuse ») par les gestionnaires de comptes de la banque.
Tous ont été encouragés par le comité exécutif d’HSBC PB à mieux camoufler leur argent derrière le paravent de structures off-shore, généralement basées au Panama ou dans les îles Vierges britanniques, et ce afin d’éviter certaines taxes européennes, notamment la taxe ESD, instituée en 2005. »
Et de nous rassurer : « Les enquêteurs disposent désormais d’éléments matériels attestant ces différents délits. »
Ouais, ouais, sauf que s’agissant de fichiers volés, les « journaleux » devraient aussi indiquer que c’est une cause incontournable de nullité des éventuels redressements ou condamnations à venir !
Quoique la loi vient de changer, mais ne s’applique pas aux délits antérieurs…
 
À affaire exceptionnelle, traitement exceptionnel : Destinataire exclusif de ces informations explosives, Le Monde a décidé, au printemps 2014 de les partager avec des médias internationaux grâce à l’ICIJ, basé aux États-Unis, qui avait déjà collaboré avec Le Monde notamment lors des opérations « Off-shore Leaks » (en 2013) et « LuxLeaks » (en 2014).
Au total ont été mobilisés, dans la plus grande discrétion, 154 journalistes de 47 pays travaillant pour 55 médias (Le Guardian en Grande-Bretagne, le Süddeutsche Zeitung en Allemagne, l’émission « 60 minutes » de CBS aux États-Unis…) pour même pas un an de travail, là où les juges et les flics spécialisés de la brigade financière ont en mis presque 8.
 
Notons qu’HSBC Private Bank, comme les autorités politiques et judiciaires suisses, conteste depuis le début de l’affaire aussi bien les chiffres établis par le fisc et la justice gauloise que l’utilisation de ces données, au motif que ces dernières sont justement le produit d’un vol.
D’ailleurs, son auteur, Hervé Falciani, qui aurait tenté de revendre ses fichiers, nous affirme-t-on un peu légèrement puisqu'il s'est senti une mission obligée de dénonciation, avant de les fournir aux autorités de mon pays (celui que j’aime tant…) en direct et un seul trajet, a été mis en accusation par le ministère public de la Confédération helvétique, le 11 décembre 2014, pour « espionnage économique », « soustraction de données » et « violation du secret commercial et bancaire », le fameux article 47 de la loi des années 1930.
 
La Suisse, qui voit d’un très mauvais œil les investigations menées par la justice et le fisc Gaulois, considère surtout que les données initiales ont été trafiquées, ce que dément formellement l’enquête judiciaire de mon pays – de même que les investigations du Monde.
Tu parles : On sait déjà que les « journaleux » n’ont que des fichiers tronqués…
Comme d’ailleurs à la belle époque des fameux fichiers « Clearstream » !
Le 27 février 2014, les deux juges d’instruction chargés de l’affaire concluaient, à propos des listings, que leur « authenticité [avait] été vérifiée par les auditions de nombreux titulaires de comptes qui ont du reste transigé avec l’administration fiscale sur la base de ce fichier ».
Recoupés, ça serait plus juste.
Et puis, sous la menace de votre ruine… vous auriez fait quoi, vous ?
 
De son côté, HSBC PB semble prête à en faire de même avec la justice de « Gauloisie-vérolée » afin d’éviter un procès ruineux et pas seulement en termes d’image…
Et de nous jeter en pâture quelques noms de personnages qui ne risquent plus rien, ou n’ont jamais rien risqué, pour justement s’être mis en règle … sous la menace, et pas n’importe lesquels : « Gad El-Malet », le père du gamin de la nièce du Prince Albert II de Monak, mais aussi le gars qui fait la pub-télé d’une « banque de rêve » : Un gagne-petit, pas plus de 80 K€ à l’entendre !
« D’Jack Des-s’anges », le coiffeur de ces dames des ministères, 1,6 M€.
Et « Arles-ette-Ritchi », 18,7 M€, ayant toujours démenti avoir fraudé, jetée en pâture alors que la justice n’a pas encore tranché son cas, balayant ainsi toute présomption d’innocence : J’admire le procédé !
C’est juste une mise en bouche. 
 
« Carambar-bœuf » était déjà cité. L'ancien footballeur « Du-Garry », champion du monde en 1998, actuel consultant de Canal +, aurait, selon les données de la banque, ouvert un compte en 2005 et y aurait versé la somme de deux millions d'euros : Il bossait  au Qatar (imposable là-bas).
Flavio Briatore, homme d'affaires italien, ancien manager des écuries de Formule 1 Benneton et Renault, était lié à neuf comptes clients, eux-mêmes connectés à 38 comptes en banque qui ont vu défiler 73 millions de dollars entre 2006 et 2007.
Toujours dans le monde de la F1, l'Espagnol Fernando Alonso a envoyé plus de 37 millions d'euros sur ses comptes en Suisse.
Le Finlandais Heikki Kovalainen, passé par Renault et McLaren, a lui été le titulaire d'un compte client lié à trois comptes abritant un peu plus de 100.000 euros, le chéri : Un « gagne-petit », lui aussi, presque minable !
La liste dévoile également le nom de Valentino Rossi, légende du Moto GP. Sept fois champion du monde de la discipline, l'Italien a placé plus de 21 millions d'euros en Suisse : C’est mieux.
Selon son avocat, sa situation aurait été régularisée auprès du fisc italien.
Le coureur automobile Valentino Rossi, le footballeur uruguayen Diego Forlan (1,2 millions d'euros), l'ex-tennisman vainqueur de deux tournois du Grand Chelem et le député russe Marat Safin (4,28 millions), le Thaïlandais Paradorn Srichaphan (1,3 M€), neuvième meilleur joueur mondial au classement ATP en 2003, font également partie de cette liste.
Mohammed VI avec lequel « François III » vient de se réconcilier, (non imposable au Maroc).
Abdallah II, le roi de Jordanie, Rami Makhlouf, cousin du président syrien Bachar Al-Assad (également non imposables en « Gauloisie-fiscale »).
S'y ajoutent le mannequin Elle McPherson, l’acteur américain John Malkovich ou la créatrice Diane von Fürstenberg, l'actrice Joan Collins, etc.… 
 
Pour se dédouaner, HSBC reconnaît des « manquements passés » et explique que sa filiale suisse n'a pas été totalement intégrée au groupe après son rachat, en 1999. Que par conséquent, les niveaux de mise en conformité ont été par la suite et de manière durable « significativement plus bas » que la norme.
Elle ajoute que cette filiale a subi ces dernières années une « transformation radicale » et que ces pratiques de fraude fiscale ne sont plus d'actualité.
Le nombre de comptes clients d’HSBC PB est passé de 30.412 en 2007 à 10.343 à la fin de l'année dernière, précise l'établissement britannique qui assure pleinement coopérer avec les autorités enquêtant sur ce sujet.
Hein ? Allo-quoi ? Il en reste encore, alors ? 
 
Notez que c’est cette même banque qui avait aussi provoqué la crise des « subprime » en valorisant à quasiment zéro ses titres « toxiques » : Une bon élève, finalement…
Propre sur lui, et tout.
 
Notons aussi au passage plusieurs choses : Le secret bancaire en Suisse s'est réduit comme peau de chagrin, notamment depuis l’accord avec la puissante USA sur les « informations financières » transmissibles, à vocation fiscale.
Et leur FACTA… avec interdiction au bout de « trader » du dollar, comme a pu en être condamnée – pour un an – notre BNP nationale (hors la nourriture et le pétrole : Faut pas non plus dékonner, n’est-ce pas !)
Mais aussi la pression des voisins européens dépouillés.
Et rien ne vous étonne ? 
 
Comment se fait-il que, depuis presque 8 ans, on ne vous sort seulement maintenant que les noms de quelques « personnalités » sans difficultés financières, admirées des foules et aucun patron du CAC 40, parfaitement initiés de ses pratiques ?
Eh oh, et « Caca-Zut-Hack », à propos ?
Bon d’accord, c’est le seul à s’être fait chopé, pour un petit-bout oublié dans un coin (600.000 euros alors qu’on a pu parler de 10 à 15 millions planqués dans la filiale asiatique de ladite banque… on ne saura jamais !)
Finalement, pas une seule star financière, ou politique, ou industrielle, ou tout ce que vous voulez d’autres…
 
Même pas « Déesse-Khâ » qu’on essaye vainement d’abattre par la culotte (vous verrez, il sera relaxé pour vice de procédure, les écoutes illégales le rattachant à l’affaire du « Karl-tonne »), qui pourtant est capable de payer rubis sur l’ongle et en urgence jusqu’à plusieurs années de salaire d’un coup pour sortir de « Tsing-tsing »…
En « menue-monnaie », pas en caution, emprunts, titres ou en pâté d’immeubles, ni même en œuvre d’art (qu’on aurait vu réapparaître sur le marché du même nom).
Curieux n’est-ce pas ?
 
Vous me direz qu’ils ont tous été prévenus, ou se sont débrouillés pour transiger afin que jamais les électeurs, vous, hein, ne sachent jamais rien de leurs turpitudes passées : C’est qu’ils sont encore aux affaires, avec votre pognon !
 
Eh oui, 8 ans qu’il leur a fallu pour « se planquer »… Maintenant que c’est fait, ça peut enfin « sortir » des rotatives !
Notez que si les journalistes avaient vraiment fait leur travail et se posaient les bonnes questions au bon moment, ils n’auraient pas non plus à nous prendre pour des billes : Parce que tout cela est connu depuis fort-longtemps.
Alors, nous faire le coup de la vierge effarouchée qui vient de découvrir l’eau-chaude et d’inventer l’eau-tiède dans la même séance, figurez-vous que personnellement, ça me fait bien rigoler !
 
Tiens, pour leur poser une énigme affligeante, demandez-leur d’expliquer ce morceau de bravoure du lundi 14 décembre 2009 en matinée où ils étaient tous présents…
« Le Grand emprunt est annoncé à hauteur de 35 milliards d’euros. C’est en réalité 13 milliards de remboursement attendus des banques au moment de l’effort de refinancement du début d’année.
C’est un peu plus de 10 milliards de rachat de papier arrivé à terme effectué sur les marchés par l’Agence France-Trésor depuis quelques semaines.
C’est donc seulement entre 11 et 12 milliards empruntés directement sur la place. »
Alors pourquoi 35, si ce n’est que 11 à 12 milliards, SVP, mesdames & messieurs les « journaleu(ses)x » ? 
 
En bref, le « SwissLeaks » du Monde, ça me fait bien marrer.
Et ça fera probablement « flop »…

2 commentaires:

  1. "Magie-stral" !!!!
    Qu'est ce que ça fait du bien de vous lire après avoir justement lu "l'immonde" et icij.org...

    Il vous faudrait peut-être une "carte de presse I-Cube" pour que les "journaleux" vous écoutent ?
    Merci pour cet article qui répond à une question "sms" envoyé à un ami !

    Bonne journée !

    25-4

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    1. Eh bien tant mieux si ça eu rendu service à quelqu'un "25-4" !

      J'ai oublié d'ailleurs de dire que c'est quand même curieux : Falciani n'aurait transmis ou fait transmettre que 4 mois - novembre 2006 à mars 2007 - d'opérations !
      Elles sont où les traces de toutes les autres, SVP ?
      Avant et après, au moins jusqu'en 2008 ?

      Une carte de presse ? J'ai eu.
      Pour la fiscalité, quand je faisais pigiste pour payer mes études (enfin, une partie : je tapais dans le frigidaire des parents dès le 5 du mois qui précédait).
      Alors c'est bien parce que tu avais un abattement de 30 %.
      Mais le problème, c'est que tu es fiché, contrôlé, tracé par les RG en permanence.

      Alors, quand il s'agit de "dossiers chauds", il faut être drôlement retors pour protéger tes sources.
      Et moi, je suis un grand naïf, sans deux doigts d'imagination !
      Comme quoi, ça ne me servirait à rien, d'autant que je ne suis même plus imposable en "Gauloisie"...

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