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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 13 février 2015

La Saint-Valentin, c’est demain !

L’amour, toujours l’amour… 
 
Le juge à l'accusé :
« – Vous êtes reconnu NON-coupable de l'accusation de bigamie qui pesait contre vous. Vous pouvez retourner avec votre épouse.
– Laquelle votre honneur ? »
 
Une femme et son amant sont au lit, lorsque la femme entend la voiture de son mari qui rentre dans le garage.
La femme adultère s'affole :
« Vite, vite ! Cache-toi dans la salle de bains ! »
Marcel se rue dans la salle de bains, à poil, pendant que la femme glisse ses habits sous le lit en catastrophe.
Juste à temps…
Le mari, n'ayant pas vu sa femme dans le reste de la maison, entre dans la chambre et lui demande :
« – On peut savoir ce que tu fais toute nue sur le lit ?
– Chéri, j'ai entendu ta voiture et je me suis dit que j'allais te faire une surprise.
– Ouais, super ! Je passe à la salle de bains et j'arrive. »
Avant qu'elle ne puisse l'arrêter, le mari est dans la salle de bains, et il voit l'amant tout nu en train de frapper dans ses mains en l'air…
« – Mais qu'est-ce que vous faites ici, vous ?
– Je suis de la compagnie d'extermination des nuisibles. Votre femme nous a appelés pour nettoyer votre maison de toutes les mites qu'elle contient…
– Mais… Vous n'avez pas de vêtement ! »
Alors le gars se regarde, sursaute de surprise et dit :
« Ah, les sales petites bêtes ! » 
 
C'est un couple sans problème qui roupille.
Il est près de 2 h 00 du matin et ils sont plongés dans un profond sommeil.
Ils sont en train de rêver, quand tout à coup la femme qui devait faire un cauchemar hurle :
« Ciel ! Mon mari ! »
Alors Marcel, son époux endormi, pris de panique, saute du lit et s'enferme dans le placard…
 
Deux copines discutent :
« – Oh dis-donc, t'en fais une gueule !
– C'est mon mari ! Il m'fait cocue …
– Plains-toi ! Le mien il m'fait partout ! »
 
C'est Marcel qui rentre chez lui le soir. Sa femme lui ouvre la porte toute nue et lui dit :
« – Dis, tu sais aujourd'hui un truc étrange est arrivé : Un type sonne à la porte ce midi, j'ouvre, lui il entre sans un mot, il va à la cuisine, il vide le frigo, il s'installe sans dire un seul mot. Il n’en dira pas un de tout le repas.
Ensuite il se lève de table, il m'attrape par le bras, m'emmène dans la chambre, me déshabille, me prend par devant, me prend par derrière, … et tout ça sans rien dire !
– Et à la fin il a rien dit ?
– Rien de rien ! Il est reparti sans même dire au revoir en claquant la porte !
– Mais alors, on ne saura jamais pourquoi il est venu ! »
 
Une conversation dans un bar, devant un petit blanc :
« – Oh dis donc, ce matin ma femme m'a lancé un ultimatum : Elle m'a dit « Plus de sexe jusqu'à ce que tu arrêtes de fumer ! »…
– Et tu penses tenir longtemps ?
– Bah, au moins jusqu'à ce que ma maîtresse meure. »
 
Marcel achète un téléphone cellulaire en cachette de sa femme.
Comme il est d'un naturel farceur, il décide d'entrer dans la demeure familiale par la fenêtre de la salle de bains.
Une fois à l'intérieur Marcel compose le numéro de la maison.
« Dring, dring, dring »
Sa femme décroche :
« – OUI, ALLO ?
– Allô, chérie ?
– J'peux pas te parler, mon mari vient de rentrer dans la salle de bains. »
 
Marcel découvre un jour par hasard sa fille en train de se servir d'un godemichet et là, il lui demande :
« – Que fais-tu ?
– Bé, par les temps qui courent et avec toutes ces maladies, c'est plus sûr. »
Marcel se dit qu’après tout, ce n'est pas plus mal.
La nuit passe et le lendemain la fille surprend son père avec le gode dans la main et deux verres de pastis sur la table.
La fille étonnée lui demande :
« – Mais, papa, que fais-tu ?
– Ben, je prends un verre avec mon GENDRE… »
 
Marcel mange ce soir-là chez Roger, car sa femme est partie rendre visite à sa mère.
Roger n'est pas encore rentré.
« – Eh bien ! Quel repas ! Je savais que mon Roger avait une femme ravissante, mais il m'avait caché qu'elle était aussi une excellente cuisinière…
– Marcel, je pense que je ferais mieux de te prévenir… Roger sera là dans une heure », minaude-elle en réponse.
« Mais… je ne fais rien », proteste Marcel.
« Je sais », dit-elle en soupirant, « je voulais juste que tu saches de combien de temps tu disposais. »
 
Ça se passe dans un urinoir public. Marcel et Roger sont en train de vider leur vessie en sifflotant.
Marcel regarde machinalement l'urinoir d'à côté et remarque l'énooorme sexe de son pote.
Il lui fait la remarque :
« – Dis-donc Roger, c'est incroyable ! Comment fais-tu pour avoir une si grosse bite ?
– Facile ! Tous les soirs avant d'aller me coucher, je la frappe violemment sur le pied du lit trois fois de suite. Je t'assure que non seulement ça te maintient les corps caverneux en forme, mais en plus, ça impressionne les filles ! »
Marcel prend bonne note de la recette et décide de l'appliquer le soir même.
Avant de rejoindre sa femme sous les couvertures cette nuit-là, il fouette son appendice trois fois de suite sur le pied de lit…
Il grimpe dans le lit sûr de lui et prêt à en mettre un bon coup, lorsque que sa femme dit, à moitié endormie et se frottant les yeux :
« C'est toi Roger ? »
 
C'est l'histoire de ce couple très dépensier qui n'arrive jamais à économiser pour prendre des vacances en Inde, ce dont ils rêvent tous les deux depuis longtemps.
Un jour, Marcel a une idée : À chaque fois qu'ils feront l'amour, ils mettront un billet de côté dans une tirelire.
Un an plus tard, ils décident de casser la tirelire.
Marcel compte les billets et dit :
« – C'est bizarre, à chaque fois qu'on a fait l'amour, j'ai mis un billet de 20 euros dans la cagnotte … Et ici je trouve des billets de 50 euros et d’autres de 100 euros.
– Parce que tu penses que tout le monde est aussi pingre que toi peut-être ? »
 
C'est un homme très riche qui a les moyens d'entretenir une femme et une maîtresse en même temps.
Cependant, il voudrait être sûr que sa femme et sa maîtresse lui restent fidèles.
Aussi, il leur paie à chacune une croisière sur le même yacht, sans lui, en se disant qu'il les interrogerait chacune à leur retour sur le comportement de l'autre.
Lorsqu'il rencontre sa femme à la fin de la croisière, il lui demande de raconter le voyage et de décrire les gens avec qui elle était, et incidemment, lorsque sa femme décrit sa maîtresse, il lui demande quel a été le comportement de celle-ci.
Elle lui répond :
« Elle a couché avec presque tous les hommes du bateau ! »
Déjà bien refroidi par les révélations de sa femme, notre homme demande à sa maîtresse, et selon le même stratagème, ce qu'elle a pensé de sa femme.
Et la maîtresse répond :
« Oh, cette dame a vraiment eu un comportement exemplaire. Elle est venue avec son mari, et pendant les 15 jours de la croisière, elle est toujours restée à ses côtés. »
 
« – Vous savez », confie une dame à sa bonne, « je suis persuadée que mon mari à une liaison avec sa secrétaire.
– Oh ! » proteste la bonne, « Madame dit cela pour me rendre jalouse. »
 
Un soir, Charles-Hubert quitte son pavillon de Neuilly avec la Rolls pour se rendre dans le petit bar qu'il fréquentait, quand il était militaire, voilà déjà longtemps.
Il cherche son vieux pote Marcel… et le trouve.
« – Salut, Marcel !
– Eh mais, l'aristo ! Ça fait une paie !
– Ben oui, que veux-tu. Dis…
– Ouais. T'as besoin d'un tuyau, hein ?
– Ben oui. Il me faudrait une fille, mais alors, très maigre, tu vois le genre ?
– Mouais. Va deux rues derrière le bistrot et tu demandes la grande Monique, de ma part.
– Merci vieux ! Je te revaudrais ça ! »
Et il suit les indications de Marcel. Ayant trouvé Monique (une grande perche décharnée à faire peur), il lui demande :
«  C'est combien ?
– 200 mon loup.
– OK, montez. » Et il ouvre la portière.
« – Ah non ! (Elle louche sur la bagnole). T'es un richto, toi, et ils sont tous malades, les riches. Moi, je suis une honnête pute, pas de cochonneries, hein !
– Bon, bon. Voilà 200 de plus et taisez-vous ! »
Elle monte dans la Rolls, il démarre et 15 minutes plus tard arrive chez lui.
« Oah non, hein, dans ces grandes maisons, il s'y passe trop de choses. On retourne à mon hôtel, je marche pas ! »
Il lui claque encore 200 €, elle se tait et le suit.
La faisant entrer dans le salon (celui où il y a le piano à queue), il appelle la bonne et lui demande :
« Gertrude, faites venir Marie-Louise, je vous prie ».
Se retournant vers la grande Monique : « Et vous, déshabillez-vous ! »
Monique : « Beeeh ! Vicelard ! Avec une fille ? Pas mon truc. Je me tire. »
Il lui redonne 200 € : Elle se déshabille.
La servante entre alors, avec une petite fille de six ans.
La prenant par la main, Charles-Hubert s'approche de la grande Monique et lui dit :
« Vous voyez, Marie-Louise, comme vous deviendrez si vous ne mangez pas bien votre soupe ? »
 
C’est-y pas mignon, même si c’est hors sujet ?
 
Bon week-end à toutes et à tous  !
N'oubliez pas que demain c'est la Saint-Valentin !
 
I3

2 commentaires:

  1. Une autre mais tu dois connaitre...

    Un pilote oublie de fermer le micro apres son annonce et les passagers l'entendent s'addresser a son ci-pilote:
    "ce que j'aimerais là, ce serait un bon café et une bonne pipe..."
    L'hotesse de l'air, affolée, s'élance du bout du couloir pour l'avertir.
    Au passage elle entends un air gogenard lui lancer:
    "chérie tu oublies le café!"

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    1. Oui et elle a même fait partie des "histoires d'en rire" de "l'autre blog", il y a longtemps.
      Dans la série "le capitaine Haddock ("l'Ami-râle") aux commandes".

      Sans doute dans la série où il traverse une dernière fois l'océan.
      Pour en rire, il annonce à ses passagers qu'exceptionnellement il va faire faire un looping avec son 747.
      Les passagers sont un peu effrayés au départ de la manœuvre, mais finalement, ça amuse tellement les enfants d'avoir la tête à l'envers qu'il propose de recommencer.
      A cette seconde annonce, il y a un gars qui sort des WC du bord tout recouvert de crotte qui hurle que "non ! non ! non !"

      Note que dans "l'originelle", c'est le boss du bord qui dit :
      "Bon, Prends les commandes. Je vais boire un café et je vais sauter la petite hôtesse qui est à l'arrière".
      L'une d'entre elle court alors dans l'allée centrale pour que le commandant coupe le micro, et Jean-Marc l'intercepte en disant " : "Pas si vite ! Il a dit qu'il prenait d'abord un café !"

      Bonne journée !

      I-Cube

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