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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 5 décembre 2014

Histoires de religion et autres.

Et une « anti-antisémite » pour commencer

Enrico Macias visite le Japon et est très surpris d'y découvrir une synagogue.
Il entre.
Un homme en tenue de rabbin, aux yeux bridés et à la peau jaune s'avance vers lui et lui demande :
« – Vous cherchez quoi ?
– Eh bien, je viens assister à l'office.
– Mais… Vous êtes juif au moins ?
– Oui.
– C'est bizarre, vous n'avez pas du tout le type. »

Un futur beau-papa va rendre visite à son futur gendre.
Il le trouve plongé dans la Torah, en train d'étudier.
Il s'assied à côté du jeune garçon et lui demande :
« – Alors, on va parler entre hommes. Il faut bien que je sache quelques petites choses avant de te laisser marier ma fille, hein ? … Comment gagnes-tu ta vie par exemple ?
– Heu… eh bien, j'étudie la Torah et Dieu pourvoira à cela !
– Je vois. Et comment comptes-tu pourvoir aux besoins de ta future femme ?
– Eh bien, j'étudie la Torah et Dieu y pourvoira !
– Et vos enfants? Comment vous en occuperez-vous ?
– Une fois encore, la Torah et Dieu feront que tout ira bien. »
… Le beau-papa en puissance rentre alors chez lui, et sa femme lui demande :
« – Alors? Quelles nouvelles ?
– Oh… Il n'a pas de travail et il n'a même pas l'intention d'en trouver. Mais il y a au moins une bonne nouvelle : Il me prend pour Dieu ! » 

Un Écossais athée est en train de pêcher sur le Loch-Ness quand tout à coup son bateau est attaqué par le monstre.
D'un seul coup d'échine, la bête monstrueuse propulse le bateau et son passager dans les airs, puis elle ouvre grande sa gueule et s'apprête à engloutir le pêcheur et son embarcation…
À ce moment, le pêcheur terrorisé et athée crie très fort :
« DIEU, AIDE-MOI ! »
Et d'un coup, tout se gèle sur place, la barque et le pêcheur dans les airs et le monstre dans l'eau, la gueule ouverte, tout totalement figé.
Alors une voix venant de l'au-delà lui dit :
« JE PENSAIS QUE TU NE CROYAIS PAS EN MOI ! »
Et le pêcheur répond :
« Oh dis, lâche-moi un peu… Il y a deux minutes, je ne croyais pas non plus au monstre du Loch-Ness… » 

Le petit Jean-Marc était élève à l'école catholique de l'Annonciation.
Mais, ce matin-là, il était très en retard et pour éviter une punition, il galope à en perdre haleine tout en priant :
« Mon Dieu, s'il vous plaît, faites que je ne sois pas en retard, la Mère Supérieure me punirait ! » 
Et tout d'un coup, le pauvre Jean-Marc trébuche et tombe dans une flaque d'eau.
Tous ses vêtements sont mouillés et sales.
Le pauvre gamin s'essuie du revers de la main et se remet à courir en reprenant ses prières :
« Mon Dieu, faites que je ne sois pas en retard... Mais évitez de me pousser maintenant, hein ? » 

Prière Alsacienne :
« Notre bière qui est en fût
Que ta mousse soit sanctifiée
Que ton verre vienne
Que ta distribution soit faite
Sur la table comme au bar
Donne-nous aujourd'hui
Notre houblon quotidien
Pardonne-nous nos gueules de bois
Comme nous pardonnons aussi
À ceux qui boivent du coca
Soumets-nous à la tentation
Et délivre-nous de la soif
Car c'est à toi qu'appartiennent
Les bulles, l'arôme et la fraîcheur
Pour les siècles des siècles. » 

Au commencement, Dieu créa la Terre et il se reposa.
Puis Dieu créa l'homme et il se reposa.
Puis Dieu créa la femme.
Et depuis, ni Dieu ni l'homme ne peuvent se reposer. 

Faut-il vraiment faire du sport ? 
– Il est démontré que chaque fois que l'on court 1.500 mètres, on ajoute une minute à sa durée de vie.
Ce qui vous permettrait (à 85 ans) de passer 5 mois de plus dans une maison de retraite à 6.000 euros par mois !
Donc, commencez tout de suite... 

– Le jour de son soixantième anniversaire, sa grand-mère a décidé de marcher 7 kilomètres par jour.
Aujourd'hui, elle a 85 ans, et on se demande bien où elle peut être ? 

– L'année dernière, il s’est inscrit au Gymnase Club du coin, et ça lui a coûté 500 euros.
Il n’a pas perdu un seul kilo.
Il paraît qu'en plus il faut assister aux séances… 

– Si je fais de la gym, c'est tôt le matin, avant que mon cerveau ne comprenne ce que j'entreprends. 

– J'aime les longues promenades, tout particulièrement quand elles conduisent les casse-pieds à me lâcher les baskets. 

– J'ai les cuisses trop potelées, mais par bonheur mon ventre les dissimule. 

– Finalement, faire du sport tous les jours présente un grand avantage : On meurt en meilleure santé ! 

Une bru félicite sa belle-mère :
« C'est délicieux, où avez-vous trouvé cette recette ? Dans un roman d'Agatha Christie ? » 

« Si la laideur était une brique, ton père serait la muraille de chine. » 

C’est un corbeau sur un arbre perché
à ne rien faire de toute la journée.
Le lapin de Pâques voyant ainsi le corbeau,
l'interpelle et lui dit aussitôt :
« Moi aussi, comme toi, puis-je m'asseoir 
et ne rien faire jusqu'au soir ? »
Le corbeau lui répond de sa branche :
« Bien sûr, ami à la queue blanche.
je ne vois pas ce qui pourrait, mon beau,
de la sorte t'empêcher le repos. »
Blanc lapin s'assoit alors par terre…
Et sous l'arbre reste à ne rien faire.
Tant et si bien qu'un renard affamé,
voyant ainsi le lapin de Pâques somnoler,
s'approchant du rongeur en silence,
d'une bouchée en fait sa pitance.
Moralité : Pour rester assis à ne rien branler,
mieux vaut être très haut placé ! 

Au service militaire, un soldat se gratte la tête, sans enlever son casque.
Un de ses copains lui demande :
« – Mais… Qu'est-ce que tu fais ?
– Ben, je me gratte la tête !
– Et tu n'enlèves pas ton casque ?
– Et toi ? Tu n'enlèves pas ton pantalon quand tu te grattes les couilles ! » 

« Peux pas manger de bœuf : Vache folle…
Peux pas manger de poulet : Grippe aviaire…
Peux pas manger d'œufs : Salmonellose…
Peux pas manger de porc… : Peur que la grippe aviaire les affecte…
Peux pas manger de poisson… : Les métaux lourds dans l'eau ont empoisonné leur chair…
Peux pas manger de fruits et de légumes : Insecticides & herbicides.
Je crois bien que ça me laisse seulement le chocolat ! » 

Un touriste américain visite une réserve indienne.
On l'amène au sommet d'une colline, devant un guerrier apache, tout harnaché de plumes, qui a allumé un feu et qui est en train d'envoyer des messages de fumée à une tribu voisine.
Le touriste contemple cette scène d'un autre âge et au bout d'un moment, il demande négligemment :
« – Dites-moi, mon vieux, c'est très folklorique votre boulot, mais à quoi ça sert, cet extincteur par terre ?
– Ben… C'est la gomme pour corriger mes fautes d'orthographe… » 

Pablo Picasso avait la réputation d'être plutôt radin.
Un jour, il invite des amis au restaurant.
Au moment régler, le patron lui propose de faire un dessin sur une nappe en papier en guise de règlement.
Picasso accepte et dessine sur la nappe.
Le patron lui fait remarquer qu'il n'a pas signé son œuvre.
Picasso lui répond :
« Je paye le repas, je n'achète pas le restaurant. » 

Si ton labeur est dur, et si tes résultats sont minces, rappelle-toi qu'un jour le grand chêne a été un gland comme toi… 

« Te promener sous la pluie va et les bras au ciel lève, » ordonne Yoda à son jeune-padawan.
« Révélation tu auras. »
Le lendemain le jeune-padawan revient voir Yoda :
« – J'ai suivi vos instructions, Maître Yoda. La pluie coulait le long de mon cou et je me suis vraiment senti stupide.
– Bravo ! Pour une séance première, en effet, une révélation c'est. » 

« – Dis, papa, moi, je suis né à Paris, hein ?
– Oui.
– Et maman, c'est bien vrai qu'elle est née à Lille ?
– Euh ? Oui.
– Et, toi, tu m'as bien dit que tu étais né à Bordeaux ?
– Mais oui.
– C'est quand même marrant qu'on se soit rencontrés, tous les trois… » 

Comment se reproduisent les hérissons ?
Avec d'infinies précautions… 

Suite à une épidémie qui sévit depuis de longues années sur notre beau territoire (que j'aime tant..), la « Maladie du Boulanger » va certainement être reconnue maladie professionnelle.
Elle n'atteint que des individus de sexe masculin âgés de plus de 40 ans.
Ses symptômes : La brioche augmente et la baguette diminue.

Bon week-end à toutes et à tous !

I3

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