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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 19 décembre 2014

Bestiales & diverses…

Marcel se présente à une animalerie (mais ça aurait pu être Jean-Marc).
Le commerçant l'aborde :
« – Que puis-je pour vous, monsieur ?
– Je désirerais une douzaine de souris, quelques rats, une boîte de blattes et des araignées.
– Excusez ma surprise », dit le commerçant, « mais que comptez-vous en faire ?
– C'est simple », rétorque Marcel, « mon propriétaire m'a demandé de remettre le logement dans le même état qu'il était lorsque je suis arrivé ! » 
 
Une jeune journaliste ambitieuse décide d'aller enquêter sur le sujet de la vache folle.
Elle part au fin fond de la campagne ou, paraît-il, un vieux fermier a trouvé l'origine de cette maladie et lui dit :
« – Bonjour monsieur.
– B'jour ma p'tite dame !
– Il paraît que vous savez pourquoi les vaches attrapent cette terrible maladie ?
– Ben oui ! Vous n’êtes pas sans savoir, ma p’tite dame, que l'on présente une fois dans l’année le taureau aux vaches !
– Oui je sais, mais je ne vois pas en quoi cela a rapport avec la maladie.
– Vous n’êtes pas sans savoir non plus que l'on trait les vaches deux fois par jour.
– Effectivement, mais je ne saisis toujours pas le rapport…
– Ben si on vous pelotait les seins deux fois par jour et qu'on vous sautait qu'une fois par an, vous ne deviendriez pas folle ? » 
 
Le lave-vaisselle de Bernadette tombe en panne…
Elle appelle un dépanneur.
Puisqu'elle devait travailler le lendemain elle lui précise :
« Je laisserai la clé sous le paillasson. Réparez la machine, laissez la facture sur la table, claquez la porte en sortant, remettez la clé sous le paillasson et je vous enverrai un chèque.
Au fait, tant que j’y pense, ne vous inquiétez pas pour mon chien Fido, il ne vous fera aucun mal.
Mais surtout, quoi qu'il arrive, ne parlez pas au perroquet !
J'insiste bien, NE PARLEZ SURTOUT PAS À MON PERROQUET ! »
Lorsque le dépanneur arrive à l'appartement le lendemain, il est accueilli par un énorme chien qui n'a vraiment pas l'air commode du tout.
Mais, comme Bernadette le lui avait dit, le chien est resté couché dans son coin sans se préoccuper du dépanneur.
Le perroquet, par contre, le rend complétement dingue.
Il crie sans arrêt, lance des jurons et le traite de tous les noms.
Au bout d'un certain temps le dépanneur n'en peut plus, lui hurle :
« Mais ta gueule, connard de volaille ! »
Et le perroquet de répondre :
« Vas-y Fido ! Attaque ! » 
 
Ca y est, Marcel (mais ça aurait pu être Jean-Marc) a rebaptisé son chien…
Il a même réussi à obtenir une indemnité de chômage pour son Chien !
D'abord l'ANPE ne voulait rien savoir, mais après une discussion approfondie, les choses se sont arrangées.
La dame derrière son guichet :
« Mais Monsieur, c'est un chien ! »
Sur quoi il lui répliquait :
« Il n'a pas choisi d'être un chien et donc vous ne pouvez pas le discriminer sur la base de sa race ! »
Elle ne s'attendait pas à cette réplique et hésitait quand même.
Alors il a sorti son argument massue :
« Il est noir, tout bouclé, ne parle pas un mot de Français et n'a jamais travaillé de sa vie. En plus, il vole tout ce dont il a envie. »
Suite à ça, son chien a obtenu non seulement le chômage, mais également les allocations familiales, les soins médicaux gratuits et une maison avec jardin pour lui et toute sa famille !
Du coup il a rebaptisé son chien.
Maintenant il s'appelle « MAMADOU ». 
 
Au zoo, des animaux discutent des prochaines vacances :
« – Dis-moi la girafe, où vas-tu en vacances ?
– Eh bien, j'ai un grand cou, ma femme a un grand cou et mes enfants aussi ont des grands cous. Et comme on n'aime pas se faire remarquer, on va en Afrique, là où il y a d'autres girafes.
– Et toi, l'ours polaire, où vas-tu ?
- Eh bien, j'ai une grosse fourrure, ma femme a une grosse fourrure et mes enfants aussi ont de grosses fourrures. Et comme on n'aime pas se faire remarquer, on va au pôle Nord, là où il y a d'autres ours polaires.
– Et toi, le crocodile, ou vas-tu ?
– Eh bien moi, j'ai une grande gueule, ma femme a une grande gueule, mes enfants aussi ont une grande gueule alors, comme on n'aime pas se faire remarquer, on va à Marseille… » 
 
Deux hommes (mais ce ne sont toujours pas ni Jean-Marc ni Jean-Paul) font un safari en Afrique.
Lors de leur expédition, l'un d'eux se fait mordre les parties par un gros serpent.
Affolé, son ami téléphone au centre de secours pour qu'il puisse donner les premiers secours.
Au téléphone, il explique la situation et on lui répond de sucer la plaie.
Son ami derrière lui dit :
« Qu'est-ce qu'il dit ? »
Son ami répond :
« Il dit que tu vas mourir ! » 
 
Une dame commence une partie de golf.
Elle frappe sa balle et voit celle-ci heurter un homme qui fait son parcours pas loin d'elle (et ne peut pas être Jean-Marc car il ne sait pas jouer à ce jeu-là).
Elle le voit mettre immédiatement ses mains serrées entre ses deux jambes et tomber au sol.
Elle se presse d'aller le voir. 
Il est tordu de douleur au sol dans la position fœtale.
Elle lui demande pardon et lui explique ensuite qu'elle est physiothérapeute et qu'elle sait qu'elle pourrait diminuer sa douleur s'il la laissait faire.
« Ooooh non… Ce n'est pas nécessaire, tout va aller pour le mieux » dit-il avec le souffle court.
Mais elle insiste pour lui faire un traitement et finalement il se laisse faire gentiment.
Elle enlève ses mains d'entre ses jambes, ouvre son pantalon, place ses propres mains à l'intérieur en le massant délicatement.
Puis elle commence un doux massage démontrant toutes ses compétences.
Après quelques minutes, elle lui demande :
« Comment vous sentez-vous ? »
Le joueur de golf lui répond :
« Ça fait un bien fou, mais j'ai toujours mal au pouce ! » 
 
(Une « revenue », vieille comme « mes-robes », mais « enrichie ») 
Mohamed accablé de problèmes décide de se suicider.
Il accroche une corde à une branche d’arbre, puis monte sur un tabouret.
Il passe sa tête dans le nœud coulant et s’apprête à sauter, lorsqu’un brave curé qui passait par là lui crie :
« Arrête, arrête ! Ne fais pas ça ! Quels que soient tes soucis et tes peines, tu trouveras force et réconfort dans les Saintes Écritures !
Tiens, prends ma Bible et lis là, elle te sauvera du désespoir ! »
Mohamed lui répond :
« – Laisse-moi avec ta Bible, je n’ai trouvé aucune aide dans notre Coran, ce n’est pas ta Bible qui pourra me sauver !
– Prends-la », dit le Curé en s’éloignant, « ouvre-la à n’importe quelle page et suis les sages conseils qu’elle te donne. »
Le curé s’en va et Mohamed se dit qu’au point où il en est, cela vaut peut-être la peine d’essayer.
Il se libère de la corde et descend du tabouret.
Il prend la Bible, l’ouvre au hasard et lit : « Repends-toi ! »
(Dans l’originale, il s’agissait de Jean-Marc et Jean-Paul)
 
Une femme est au lit avec son amant quand elle entend son mari arriver !
« Allons ! » lui dit-elle, « Vite, sors de là et mets-toi debout, là, dans le coin. »
Elle enduit prestement le corps de son amant d'huile et le saupoudre de talc et elle lui dit :
« Ne bouge surtout pas jusqu'à ce que je te le dise. Tu es une statue ! J'ai vu la même chez les Durand. »
Sur ce, le mari entre et demande à sa femme :
« Qu'est-ce que c'est ça ? », désignant la statue.
La femme répond à son mari :
« Ça, c'est une statue : Les Durand en ont mis une dans leur chambre, et ça m'a tellement plu que j'ai acheté la même. »
Et il ne fut plus question de la statue.
À 2 heures du matin, comme elle dormait, son mari regardait encore la télé.
Soudain, il se lève, va à la cuisine, prépare un sandwich, prend une boîte de bière et retourne dans la chambre.
Là, il se dirige vers la statue et lui dit :
« Tiens, mange et bois quelque chose ! Moi, je suis resté bloqué 2 jours comme un con dans la chambre des Durand, et même pas un verre d'eau ! »  
 
Une femme va voir son gynécologue, celui de la semaine dernière, et lors de l'examen le brave toubib se rend compte qu'elle a à l'intérieur de chaque cuisse un énorme tatouage !
Après renseignement, sa patiente lui avoue être fan de rugby et que l'un représente Basaro et l'autre Rougerie !
Fan de rugby lui aussi, le gynéco demande à sa patiente s'il peut faire un petit bisou sur chacun afin de porter chance aux bleus !
Ce qu’elle accepte avec délectation et ravissement…
Après s'être exécuté, le médecin se relève et la patiente s'écrie :
« Et à Chabal ! On ne lui fait pas un gros bisou ? »
 
Bon week-end à toutes et à tous ! 
 
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