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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 22 octobre 2014

Elle est merveilleuse !


Quand « Titine-Eau-Brie » donne des leçons de « bonne gouvernance »… 
 
Je m’amuse …
Car j’ai suivi les déboires de la « belle de Lille », qui a réussi l’exploit d’arriver en tête du premier tour aux élections municipales dernière avec moins d’un tiers des suffrages contre 46 % en 2008 (toujours au premier tour) dans « sa » ville (volée à « Mort-Roy ») et s’est « ramassée-sévère » aux européennes avec 18 %...  
 
Ce n’était pas sa première défaite : Idem aux « primaires soces » contre « François III », même si elle a enfin prit un petit pli de modestie au passage.
À tel point que pour l’élection à la présidence de la communauté de communes du coin, elle ne s’est même pas présentée : C’est dire !
C’est un « sans étiquette », Damien Castelain, maire de Péronne-en-Mélentois voisine (environ 900 habitants) avec 108 voix sur 175 exprimées qui a repris son fauteuil.
Autrement dit, on croyait qu’elle avait tout compris des attentes des populations qu’elle prétendait représenter… 
 
Pas contente du tout des « hoquets » du gouvernement de la « Gauloisie-spécieuse », elle est revenue à la charge le week-end dernier, alors que je farnientais là (ou dans les parages).
Et d’assurer qu'elle ne brigue ni l'Élysée, ni Matignon, mais qu'elle est seulement « candidate au débat d'idées ».
Sur ce terrain-là, ce n’est pas vraiment une joute d’idées, mais bien un travail de sape.
Notamment sur l'absence de contreparties aux aides apportées aux entreprises, le travail le dimanche, l'abandon du projet de grande réforme fiscale… 
La maire de Lille multiplie les reproches. 
 
Parce qu’elle souhaite « réorienter la politique économique ». 
Ah bon ? Alors il y en avait donc une ?
« La gauche n'a pas le droit d'échouer. »
Ça c’est bien vrai, ça !
Mais comme elle n’a jamais réussi dans ce domaine depuis les années 30 et n’a pu maintenir un président élu au suffrage universel qu’entre 1981 et 1995, en concédant deux cohabitations, qu’au prix de multiples « manœuvres » pour ne pas dire autre chose de plus vexant, et détours parfaitement improbables, on ne voit pas bien comment il pourrait jamais en aller autrement. 
 
D’après elle, « il n'est pas trop tard pour réussir, à condition d'emprunter le bon chemin dans les deux ans qui viennent ».
Et c’est quoi donc qu’est-ce que ?
« Il nous faut trouver au plus vite le bon réglage des politiques économiques qui permettra de sortir la France de la crise. (...) 
La politique menée depuis deux ans, en France, comme presque partout ailleurs en Europe, s'est faite au détriment de la croissance. Les efforts fiscaux et les économies réalisées sur les budgets publics ont engendré des pertes de recettes liées à la moindre croissance qu'ils ont provoquée. Les déficits ne se sont pas résorbés, et le chômage augmente. »
Depuis deux ans, non !
Disons plutôt depuis 6 ans, voire bien plus… 
 
« Je demande une inflexion de la politique entre la réduction des déficits et la croissance. » Et de proposer « un plan de soutien à la croissance, qui touche les ménages et les collectivités locales ».
Hein, c’est-y-pas beau ça ?
Qu’est-ce qu’ils essayent de faire, le « François III » et son catalan, depuis leurs fauteuils respectifs ? 
 
« Dépassons cette opposition stérile entre la politique de l'offre et celle de la demande (…) ».
Elle a raison : Entre une offre qui ne trouve pas de demande solvable et des « demandes » (des attentes) qui se financent sur le dos des générations futures, il ne faut pas non plus blaguer.
« Que nos entreprises qui se trouvent exposées à la concurrence internationale soient aidées pour être plus compétitives, c'est nécessaire, à condition bien sûr de comprendre que la compétitivité se joue d'abord sur la recherche et l'innovation, la formation des salariés, l'organisation du travail, l'investissement dans les nouvelles technologies ».
Ce en quoi il faut déjà se poser la question de savoir qu’elles sont ces entreprises qui osent financer l’innovation, la formation, l’investissement, hors les grosses capitalisations ? 
 
Et elle a la réponse : « Celles des clients et des collectivités locales. En France, 50 % des entreprises disent aujourd'hui faire d'abord face à des problèmes de demande. »
Ah oui je vois : Lever des fonds en plus à travers les commandes publiques ?
Comme si le « pue-blique » était l’alpha et l’oméga de toute économie, même administrée.
Les derniers qui faisaient ça à grande échelle, c’était l’URSS… avant son effondrement économique, faut-il rajouter.
Il en reste encore un : La Corée de « Kim-tout-fou », mais au prix de famines à répétition… 
 
« Le Medef n'a pas négocié les contreparties promises », enrage-t-elle.
« Dès lors, plus de la moitié de ces moyens ne vont pas aux entreprises qui en ont besoin, se perdent dans les dividendes et les hautes rémunérations. »
Elle garde un très mauvais souvenir de son large-parcours en entreprise : Le stage obligatoire de 3 mois pour les élèves de l’ENÂ… qu’elle a effectué chez le patron des patrons.
C’est dire si elle connaît bien le monde de l’entreprise privée…
Si. 
 
La solution ? « Mieux cibler les aides aux entreprises sur celles qui sont exposées à la concurrence internationale et sur celles qui investissent et qui embauchent. »
L'objectif, en fusionnant le CICE (crédit d'impôt compétitivité emploi) avec le crédit d'impôt recherche (CIR), et de « libérer » (mais oui : les « soces » deviennent coûte que coûte des « libéraux » veulent-ils nous faire croire) 20 milliards d'euros sur les 41 milliards d'euros, pour relancer la croissance.
Elle oublie les 30 milliards versés à fonds perdu dans la formation professionnelle continue.
Et puis presque autant dans les 596 « comités Théodule » que financent vaille que vaille l’impôt, surtout prélevés chez les entreprises…
Presque 100 milliards à la louche, c’est plus que le déficit budgété pour 2015.
Là, vous avez tout compris ! 
 
Elle va plus loin : « Une grande réforme fiscale est plus que jamais nécessaire pour réconcilier les Français et l'impôt (…) Elle est préférable à des mesures au fil de l'eau, aux allers-retours sur les mesures fiscales, aux baisses des prestations familiales ou au gel des retraites. »
Depuis le temps qu’on le dit…
Si je monte un parti un jour, on se cotise pour lui offrir une carte, vous le voulez bien ? 
 
Car elle répète une nouvelle fois « qu'il faut faire de la CSG et de l'impôt sur le revenu un seul et même impôt citoyen », avec un « prélèvement à la source ».
Vous savez, ce serpent des mers du sud qu’on ressort périodiquement.
Même moi, je l’envisageais à l’occasion de mes cours de fiscalité « +++++ » à la fac, dès les années 2004, comme d’une évidence.
Dix ans déjà ! 
 
Ouverture du dimanche ? « Croire qu'il y a là des gisements d'emplois est un mirage. Le pouvoir d'achat ne va pas s'accroître par miracle parce que l'on consomme un jour de plus. Dans la plupart des cas, les extensions se feraient au détriment du petit commerce ».
Que là, je suis très fier : Elle lit ce blog, puisqu’on en causait encore lundi… 
 
Plus loin : « On ne réforme pas l'assurance-chômage au moment où il y a tant de chômeurs ».
Certes, il fallait le faire avant.
« Un accord vient d'être signé entre les partenaires sociaux, avec une application jusqu'en 2016 : respectons-le. […] Remettre aujourd'hui en cause ce système, c'est vouloir dire que les chômeurs sont responsables du chômage ou qu'ils sont des fraudeurs. »
Les vrais responsables, ce sont les « sans-dents » qui ne becquettent pas assez pour refiler du boulot à tout le monde. Jusque-là, c’est le résultat du dogme « soce » de la « rilance » par la politique keynésienne qui a échoué partout dans le monde.
D’ailleurs, ils aiment tellement les « sans-dents » qu’ils en fabriquent tous les jours un peu plus… 
 
Et le meilleur a été pour la fin de son entretien dans la presse locale (que je ne reçois qu’avec retard et par des canaux divers…).
Je vous livre son miel : « Dans le passé, faute d'avoir débattu, nous avons souvent payé le prix ».
Elle cause des « frondeurs » : « Et puis, ne peut-on arrêter d'appeler « frondeurs », des députés qui connaissent l'économie, souhaitent le succès du gouvernement, et portent une vision de la Vème  République où le Parlement est pleinement respecté dans ses prérogatives ? »
Hein, vous avez bien lu : « Des députés qui connaissent l’économie »… 
 
Un superbe oxymore qu'il faut saluer sans retenue !
Parce évidemment, elle ne parle pas du patron de chez Dassault, ni de quelques autres ou de leurs sbires, non.
Elle cause des fonctionnaires encartés « soces » qui font « Calife à la place du Calife » plutôt que « grand-Vizir », fonction pour laquelle ils ont été chèrement formés par l’impôt de vos parents, ce qui est nettement plus confortable quand il s’agit « d’aller au charbon »… de l’économie de tout un pays !
Qui plus est, de la partie des « soces » qui se trouvent être les plus marqués par les dogmes marxistes de leur enfance (ou de leurs parents).
C’est dire si ceux-là connaissent si bien « l’économie » ! 
 
Heureusement que le délit de bêtise n’existe pas dans notre code pénal : Elle ne risque rien et puis comme ça, elle peut encore amuser la galerie avec ses saillies ubuesques !
Finalement, si elle disparaissait du paysage politique, elle nous manquerait !
Moi, je l’adore…

2 commentaires:

  1. Des députés qui connaissent l'économie! Sans rire! Mais on en revient à ce que je disais: les français reprochent à Hollande de ne pas assez dépenser d'argent public, et sont poersuadés que le père Noël existe, et que la croissance et l'emploi se décrète, sans effort. Benoît Hamon s'y met, accusant l'austérité, imaginaire, de préparer l'élection du FN. Alors que le problème, c'est que les partis dits modérés font dans le populisme, ce qui crédibilise le populisme du FN.
    Vlad

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    1. Oui, "sans rire"...

      Que veux-tu, mon ami VDRM a toujours déploré l'acculture économique des Gaulois...
      Même chez ceux qui sont passés dans les "grandes-ékoles".
      Et il sait de quoi il cause, parce qu'il en a fréquenté tout au long de sa carrière.

      Tu sais, tu ferais mieux de faire ta liste au Père-Noël, comme tout le monde, puisque tout le monde semble y croire et que Noël approche, justement.
      Et tant pis si c'est du populisme !

      Bien à toi, Vlad;

      I-Cube

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