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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 6 juin 2014

Ma petite-contribution…


Indéniablement, il ne faut pas oublier !

 

Jamais.

Deux générations ont passé.

Je n’étais pas né ce jour-là, et pourtant je me souviens encore de ce 6 juin 1944 où la liberté débarquait sur les plages de Normandie.

 

Quatrième front, après celui de l’Est et les troupes soviétiques ;

Après celui d’Italie et celui de Provence.

Celui de Normandie sera décisif : Il faudra moins d’un an de combats acharnés pour mettre à genoux l’horreur nazi, « Nationale & Socialiste »…

 

N’oublions pas, d’autant que 70 ans plus tard, l’Histoire voudrait bien bégayer une fois de plus, que ce soit en Ukraine ou dans le reste de l’Europe.

Pour l’heure, ce n’est qu’un murmure qui fait beaucoup de bruit, mais ça ressemble bien aux prémices d’un raz-de-marée avant, peut-être, de devenir un tsunami.

Nous y reviendrons, parce que les perspectives ne sont pas vraiment bonnes.

 

Cette année, je n’irai pas pleurer à Omaha-Beach (oui, parce que je pleure de toutes ces « présences » silencieuses, c’est comme ça !).

Michel Sardou (merci à lui) nous l’a chanté :

 

Si les Ricains n’étaient pas là

Vous seriez tous en Germanie

À parler de je ne sais quoi

À saluer je ne sais qui.

 

Bien sûr, les années ont passé

Les fusils ont changé de mains

Est-ce une raison pour oublier

Qu’un jour on en a eu besoin ?

 

Un gars venu de Géorgie

Qui se foutait pas mal de toi

Est venu mourir en Normandie,

Un matin où tu n’y étais pas.

 

Bien sûr, les années ont passé

On est devenus des copains

À l’amicale du fusillé

On dit qu’ils sont tombés pour rien.

 

Si les Ricains n’étaient pas là

Vous seriez tous en Germanie

À parler de je ne sais quoi

À saluer je ne sais qui.

 

Ne pas oublier non plus tous les alliés qui sont venus également mourir en Normandie et sur tous les fronts.

Ni les « forces de l’intérieur », les obscures qui ont participé à la lutte pour la libération de ce qui est encore, et pour toujours, mon pays d’origine.

Avec un très beau chant qui me fend tout autant le cœur :

 

Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?

Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?

Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme.

Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes.

 

Montez de la mine, descendez des collines, camarades !

Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades.

Ohé, les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite !

Ohé, saboteur, attention à ton fardeau : dynamite…

 

C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères.

La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère.

Il y a des pays où les gens au creux des lits font des rêves.

Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève…

 

Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe.

Ami, si tu tombes un ami sort de l'ombre à ta place.

Demain du sang noir séchera au grand soleil sur les routes.

Chantez, compagnons, dans la nuit la Liberté nous écoute…

 

Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu'on enchaîne ?

Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?

Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh…

 

Merci d’être passé, jeunes-gens…

 

I3

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