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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 8 août 2013

Préparatifs

CHAPITRE 11ème : Au Pakistan
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Ils sont longs et périlleux. Les attentats de Londres à l’occasion de l’ouverture des Jeux Olympiques doivent frapper définitivement les esprits ! La couverture médiatique mondiale de l’événement doit être l’occasion de faire entrer l’humanité entière dans un niveau de terreur jusque-là jamais atteint.
C’est le vœu d’Oussama Ben Laden et de son second, Ayman al-Zawahiri.
Le tout, conformément aux écritures et prophéties coraniques.
 
En cela, ils persistent à suivre leur stratégie. Au demeurant très simple. Ali ibn Abi Talib fils d'Abû Tâlib, oncle du prophète Mahomet, qui la élevé et protégé comme son propre fils après la mort de son grand-père ‘Abd al-Mottalib à la fois le protégé, le cousin, le disciple et le gendre de Mahomet en épousant sa fille Fâtima, née de sa première épouse Khadija en 622, celui des Chiites, sera assassiné le 24 janvier 661 d’un coup d’épée empoisonnée par un kharidjites.
Ali doit revenir pour annoncer le règne d’Allah et imposer la Charia sur la planète entière.
 
Ce doit être l’apocalypse où les infidèles seront tous balayés, broyés, pulvérisés.
Et si l’on ne donne pas un coup de main au Divin, il se passera presque quatorze siècles depuis la disparition du dernier des prophètes, sans que les prophéties ne se réalisent.
Les attentats de New-York et Washington devaient déclencher ce conflit majeur entre les Nations.
Il aura manqué, en 2001, une munition de destruction massive pour que s’abatte sur l’humanité le « feu du soleil », qui se lèvera à l’ouest, rendant inhabitable la plupart des régions du monde.
 
Cette fois-ci, il la leur faut pour faire basculer le monde dans une ère de terreur absolue.
Ali, forcément arrivera après, pour sauver les croyants, une fois que tous les peuples de la terre s’en prendront avec une haine infinie à tous les musulmans. C’était écrit comme ça dans les sourates.
Oussama et Ayman sont ceux par qui le règne d’Allah doit venir. Ils en sont persuadés depuis si longtemps et leurs prières les confortent dans cette idée d’être eux-mêmes dans les desseins du Tout-puissant, d’être Ses « outils ».
Et gagner ainsi Son paradis promis aux martyrs de la foi.
Avec une munition, nucléaire, bactériologique ou même chimique, un jour de célébration de paix antique, ce sera alors un destin en bonne voie de s’accomplir.
 
Acheminer et actionner ses munitions, ça reste assez simple : ils l’avaient fait lors des premiers attentats contre les Twin le 26 février 1993.
Après en avoir discuté et débattu longuement entre deux prières, le stade à construire à Londres est une cible parfaite. Non seulement elle réunira la plupart si non tous les dirigeants politiques la planète entière en un seul lieu et au même moment, mais on peut aussi en espérer plus d’une centaine des familles royales et princières de cet occident ignare et prétentieux, tellement honni, le tout dans le même panier.
On peut surtout espérer que des milliards de téléspectateurs suivront l’événement en direct !
Une attaque aérienne avec une petite-bombe bricolée ferait l’affaire, d’autant mieux qu’il fera nuit et que l’endroit sera nécessairement très éclairé formant une cible « facile » !
Bien sûr, il faudra s’attendre à plusieurs rideaux de défenses anti-aériennes.
Mais un parachutiste ou un ULM passeront sans problème.
 
Pour être sûr, cet attentat devra être doublé par un second. Une munition à caractéristique militaire pourrait être acheminée discrètement par voie de mer jusqu’à l’embouchure de la Tamise, puis être convoyée au cœur de la City en camionnette par un autre commando jusqu’au pied de la Cathédrale Saint-Paul ou l’Abbaye de Westminster.
Là encore, il devra y avoir des barrages à traverser, mais ça reste raisonnablement réalisable.
D’autant que la munition « bricolée » pour le stade, si elle a une portée minimale pour une puissance limitée, la munition « militaire » peut exploser un peu n’importe où à proximité de Londres pour provoquer des dégâts beaucoup plus importants jusqu’au cœur de la cité impériale du monde de la finance.
Et alors, le soleil se lèvera (un court instant) à l’ouest comme il est écrit dans les sourates.
 
Jamais deux sans quatre ?
Naturellement !
Les londoniens en état de guerre et d’affolement reflueront forcément en désordre vers les périphéries et dans leur « tube ».
Un gaz sarin ou de ricin, très facile à produire, 6.000 fois plus toxique que le cyanure et 12.000 fois plus que le venin du crotale, serait le bienvenu dans les tunnels pour faire refluer tout le monde en surface irradiée.
Enfin, dernier attentat, depuis le bateau remonté par la Tamise, un bacille létal quelconque dispersé dans l’atmosphère. Les vents dominants venant de l’ouest, ledit navire n’aura pas à remonter trop loin le long de la Tamise vers Londres pour faire un maximum de victimes et provoquer immense panique et désolation : toute la technologie occidentale qui provoque sa perte définitive.
 
Là, la curée sera à son summum !
Al-Qaïda pourra revendiquer la séquence par le canal habituel d'Al-Jazira quelques jours plus tard. Seulement si le « monde d’avant » fonctionne encore…
Et les peuples de la planète entière pourront constater l’impuissance totale des américains et de leurs alliés à mettre fin au djihad.
Au contraire, sera venu le temps de dicter la Charia au monde terrorisé, en commençant par celui des croyants.
 
Un comparse émet l’hypothèse d’une répression sanglante…
« Les fidèles se lèveront contre l’oppression. Beaucoup mourront en martyrs. Les infidèles se battront contre les croyants, mais aucun n’emploiera nos moyens : nous sommes insaisissables. Et même morts, la cause continuera contre la barbarie des croisés qui la nourrira toujours et encore par leurs violences aveugles ! »
Le couple infernal répression/contre-répression.
Le tout étant d’allumer la mèche qui déclenchera la mécanique, jusqu’à l’apocalypse désiré.
 
Reste à trouver les munitions. Le régime iranien fait bien tourner à cette époque-là des centrifugeuses dans ses laboratoires secrets.
Aux dires des « proches » travaillant dans ces laboratoires, le taux de concentration de matières fissibles n’est pas encore suffisant. Et la matière finale reste en trop petite quantité.
Parce que les usines d’enrichissement doivent faire face à des problèmes quotidiens de piratage et de sabotage. On a pu compter jusqu’à sept « programmes malveillants » au fil du temps.
STUXNET, découvert en juin 2010. Ce logiciel a détruit des milliers de centrifugeuses nucléaires, en Iran. Origine supposée : opération « Jeux olympiques », menée par les États-Unis et Israël, déjà soupçonneux.
DUQU, découvert en septembre 2011. Lié à Stuxnet, ce ver informatique a servi à espionner le programme nucléaire iranien. Origine supposée : États-Unis et Israël.
MAHDI, découvert en février 2012. Il est capable d'enregistrer les frappes sur un clavier et les photos et textes d'un ordinateur. Mahdi a été retrouvé en Iran, en Afghanistan et en Israël. Origine inconnue.
WIPER, découvert en avril 2012. C’est un virus qui fait disparaître les données des disques durs des ordinateurs infectés. Il a touché des compagnies pétrolières iraniennes.
Origine inconnue.
FLAME (celui qui aura aussi servi contre l’Élysée en 2012). Découvert en mai 2012. Un logiciel très sophistiqué qui aurait espionné depuis 2007 plusieurs pays, dont l'Iran, la Syrie, le Soudan, ou encore l'Arabie saoudite. Origine supposée : États-Unis et d'Israël.
GAUSS, découverte en juin 2012. Il est capable d'espionner les transactions financières et les messages électroniques. Un virus qui s'est répandu au Liban, en Israël et en Palestine. Origine inconnue.
SHAMOON, découvert en août 2012. Il a ciblé les ordinateurs des compagnies pétrolières saoudiennes Aramco et RasGas au Qatar. Origine revendiquée : un groupe de hackers appelé « Glaive tranchant de la justice », peut-être d'origine iranienne.
 
Quelle que soit l’époque, le nombre des machines iraniennes en fonction n’est jamais suffisant. Mais avec le temps de quelques années, on doit pouvoir acheminer soit les quelques kilos d’uranium assez enrichi pour, une fois assemblés, déclencher une réaction en chaîne de quelques kilotonnes, soit détourner des dizaines de pièces détachées de ces fameuses centrifugeuses.
Car on peut toujours tenter le travail d’enrichissement à l’abri des montagnes Afghanes et c’est d’ailleurs ce qui sera fait.
C’est pourquoi les « frères » ont aussi approché les militaires pakistanais, détenteurs d’une dizaine de munitions de qualité militaire.
Celles-là, au moins on sait qu’elles fonctionnent, le Pakistan ayant procédé à un essai de 40 KT le 28 mai 1998.
Reste à convaincre quelques « frères » de livrer d’une façon ou d’une autre une de leur bombe. Ce qui s’avérera impossible pour diverses raisons.
 
Quant au RS-O-Isopropyl méthylphosphonofluoridate (C4H10FO2P), le gaz sarin, il est aussi facile à fabriquer que lr ricin, avec quelques connaissances basiques en chimie et manipulations de laboratoire.
Il se compose de 34,29 % de carbone, dans des proportions telle que le produit final contienne 7,19 % d’hydrogène, 13,56 % de fluor, 22,84 %, d’oxygène et 22,11 % de phosphore, autrement dit un mélange de butane et de dioxyde de fluor phosphaté, qu’il est relativement facile d’assembler, à condition d’avoir un laboratoire hermétique suffisamment équipé.
Histoire de ne pas tuer les manipulateurs-préparateurs.
Dans un tunnel de métro, ça peut faire des dégâts au moins aussi important que lors de l’attentat de la secte Aum Shinrikyō à Tokyo le 20 mars 1995 qui causa 12 morts, plus de 5.500 blessés et une panique indescriptible.
Alors, après un double attentat atomique sur la capitale de l’empire britannique, l’effet est garanti !

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