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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 11 août 2013

La « Cellule Megiddo »

CHAPITRE 17ème : La guerre de l’ombre
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Tous ces préparatifs clandestins ne laissent évidemment pas indifférents, ni les chancelleries, ni les états-majors, ni les autorités politiques.
Si sur le plan diplomatique, il n’est question que de ça sur le dossier iranien, via les organisations internationales, l’hypothèse d’une complicité active de Téhéran est évoquée à demi-mot dans les réunions : dire sans le dire.
Ce qui n’arrange pas la confiance nécessaire et réciproque d’un dialogue constructif…
Sur le dossier pakistanais, en revanche, Islamabad est nettement plus attentive aux pressions américaines.
Même après l’épisode du décès de Ben Laden : les activités anti-terroristes de l’armée régulière et les actions-terrain et de renseignement, au contraire, redoublent dans le nord du pays.
 
Le vol ou le détournement de munitions nucléaires est pris très au sérieux sur place.
Au fil du temps, les services britanniques, le MI5 du SIS qui mobilise aussi le MI6, redoutent aussi des attentats à la triple occasion du le mariage de S.A.R le prince William prévu le 29 avril, du Jubilé de leur souveraine prévu du 2 au 5 juin, avec une forte menace présumée irlandaise, et enfin la cérémonie d’ouverture des JO le 27 juillet, qui mettent tous les effectifs en effervescence.
Ne pas avoir vu venir les attentats du 7 juillet 2005, ni encore moins avoir pu les prévenir, est comme une grosse arrête restée en travers de la gorge de beaucoup d’officiels.
Alors la perspective d’un triple ou quadruple attentat à la munition « NBC » en fait frémir certains, même si beaucoup veulent en ignorer la pression et les détails.
 
Mais curieusement, pas tous. Si officiellement tous les services occidentaux, y compris et surtout « secrets », pourchassent les terroristes en vue de contrer leurs projets, si les drones américains persistent à tirer des suspects sous tous les cieux, si les Awacs sont mobilisés à surveiller les activités électroniques sur de vastes territoires, les satellites d’observation à scruter toutes traces d’activités suspectes en surface et la troupe mobilisée sur place pour chasser du terroriste, dans quelques cénacles, on se pose des questions.
L’affaire peut-elle prospérer jusqu’à aboutir ?
Poser la question, c’est aussi poser la question de savoir si elle doit ou non aboutir…
 
Pour Sir Oliver, patron occulte mais très officiel du SIS, il est bien entendu évident qu’aucun britannique ne doit devenir de la victime de plans diaboliques quelconques. C’est assez clair pour qu’il soit exclu de tout organisme visant des objectifs contraires.
Il les connaît pourtant presque tous, mais ne les inquiétera pas pour autant.
À aucun moment.
À Jérusalem, officiellement non plus. Mais est évoqué à plusieurs reprises le fait que rien ne pourrait empêcher les attentats en préparation, au point qu’il est envisagé des représailles de même nature sur les installations nucléaires iraniennes.
Programmées dès le surlendemain, à la sortie de Shabbat et aux premières lueurs, le dimanche 29 juillet.
Ce serait l’occasion pour renverser le régime du Président Mahmoud Ahmadinejad, l’ennemi juré de l’État hébreu !
 
Dès lors, faut-il ou non « laisser-faire » et se préparer seulement à une entrée dans un conflit violent ?
Voire favoriser une telle séquence, ou attendre une crise ultérieure ?
De nombreuses réunions secrètes ont lieu sur ce sujet dans différents cénacles, réunions ou dîner des « maîtres du monde », financiers, « politiques », industriels, notamment aux USA, mais également de m’autre côté de l’atlantique et du pacifique.
Majoritairement, le cabinet de l’État hébreu et le Mossad, sont pour une solution toute « britannique » : « wait and see ».
Mais se préparer à toute éventualité reste une évidence.
Des consignes sont logiquement données de « rechercher », partager des renseignements, mais rester à l’écart de toute action.
 
Idem entre Washington et Langley. Il y a les faucons et les colombes. Une intervention militaire en Iran ne serait pas pour déplaire aux « faucons », au contraire ! Ça réglerait tous les problèmes d’un seul trait, consoliderait les budgets-défense garnissant les carnets de commandes des lobbies industriels et réunirait le peuple américain autour de son président en difficulté dans les sondages et devant le Parlement.
Même si cela en provoquerait d’autres.
Avant ou après des attentats à Londres ?
Après ! C’est la ligne « diplomatique » des « colombes » qui emporte le bon sens : juillet/août, c’est la bonne époque d’un point de vue de politique intérieure, à l’avant-veille du scrutin de novembre 2012.
Avant, ce serait un acte d’agression qui ferait perdre sa réélection au président sortant, d’autant mieux que son concurrent, au début de l’année 2012 est un « va-t’en-guerre » dissimulé !
Lui couper l’herbe sous les pieds et lui laisser gérer le boxon ensuite, c’est plus facile.
Et rien n’empêche entre-temps de masser des moyens aux portes du Golfe persique, un, pour peser sur les négociations avec les iraniens, deux, pour intervenir en réplique plus rapidement que lors de l’invasion du Koweït qu’il a fallu libérer avec le sabre entre les dents et des mois de préparations logistique !
 
Mais, font remarquer les plus sages, « sera alors avec l’assentiment de l’opinion mondiale et un mandat de l’ONU dans une vaste coalition, en plus. »
Situation nettement plus confortable qui préserve le futur.
Et puis, notent sarcastiquement les « colombes », l’opération en Afghanistan ne s’améliore pas alors que d’importants moyens sont engagés… Dès lors, entre un peuple préparé à l’éventualité et une armée aguerrie dans le long conflit Iran-Irak de 1980 à 1988, les opérations seront encore bien plus difficiles.
Et pour quels objectifs politiques, s’il s’agit seulement de mettre au pouvoir une démocratie chancelante et fragile comme en Irak ou en Afghanistan ? Quel intérêt ?
 
Ce que n’entend pas un petit groupe d’officiers supérieurs menés par Benjamin Jackson, fort actifs dans les « salons-républicains » en marge des « tea-parties » qui battent le rappel des électeurs.
Des adeptes plus ou moins discrets de la secte des « saints des derniers jours ».
Eux visent les élections de novembre 2012 et ont l’ambition de « sortir le nègre » du fauteuil de Lincoln : Une aberration chromosomique et historique à leurs yeux.
Mais de façon démocratique, comme l’exigeaient les « pères fondateurs ». Quitte à donner un « coup de pouce » à Mitt Romney, issu lui-même de chez les mêmes Mormons.
Le colonel Jackson est un patriote sincère. En 1991, alors qu'il est affecté sous les ordres du général Paetrus qui est alors commandant de bataillon, patron la 101ème division aéroportée durant « l'Opération liberté irakienne » et l'offensive sur Bagdad au printemps 2003, il exécute la mission d'occupation et de pacification du nord de l'Irak jusqu'en février 2004 avec ses équipes.
Tous les deux sont chargés de créer et d'organiser les Forces armées irakiennes entre 2004 et 2005, puis partent diriger l’United States Army Combined Arms Center à Fort Leavenworth.
 
L’équipe devient « le » théoricien de référence des nouvelles méthodes anti-insurrectionnelles de l'US Army, où Peatrus rentre aux États-Unis pour réécrire le manuel de contre-insurrection de l'armée américaine avec une poignée de ses officiers.
Bush, le nomme le 5 janvier 2007, pour succéder au général George Casey comme commandant de la coalition militaire en Irak.
Fonctions assumées du 10 février 2007 au 16 septembre 2008 avec succès, puisque les pertes militaires alliées ainsi que la violence sur le terrain diminuent sensiblement à cette époque.
Peatrus est nommé le 23 avril 2008 à la tête de l’United States Central Command, le commandement central qui supervise les opérations en Irak et en Afghanistan.
Le 23 juin 2010, le même est nommé par le président Barack Obama chef des troupes de l'OTAN et commandant de la Force internationale d'assistance et de sécurité (ISAF) en Afghanistan, remplaçant le général Stanley McChrystal relevé de ses fonctions.
Pour calmer les ambitions de Peatrus qui soutient ouvertement la candidature du républicain Mitt Romney le mormon, le 28 avril 2011, le président Obama annonce sa prochaine nomination à la tête de la CIA à la place de Leon Panetta, pressenti pour devenir secrétaire à la Défense.
Le 30 juin, il est confirmé à son futur poste à l'unanimité des membres du Sénat et prend ses fonctions le 6 septembre 2011 en emmenant dans ses bagages son équipe et notamment le colonel Jackson.
Le rôle du général Peatrus en Irak lui a valu d'être classé au 33ème rang de la liste des 100 personnalités les plus influentes dans le monde, en 2007, liste établie par le magazine Time, au point que beaucoup de républicain voient en lui le futur successeur du président en place, si par hasard Mitt Romney échouait dans la course à la présidentielle de 2012 : Barack Obama ne pouvait pas refuser de le nommer au poste réclamé.
 
Le Colonel Jackson, de son côté et durant cette période, assure d’une part la liaison avec le candidat républicain et d’autre part réuni un réseau de soutien dit déjà « Cellule Megiddo ». Nom choisi en référence à la fois aux trois batailles de Megiddo (XVème siècle av. J.-C., entre les forces égyptiennes aux ordres du pharaon Thoutmôsis III et une coalition cananéenne – celle de 609 av. J.-C., où le roi Josias trouva la mort face aux troupes du pharaon Nékao II – et celle de 1918 – entre les Anglais du Commonwealth et l'Empire ottoman). Mais aussi au texte de l’apôtre Jean.
Celui de l'Apocalypse (16,16) : « Puis le sixième Ange versa sa fiole sur le grand fleuve d'Euphrate, et l'eau de ce [fleuve] tarit, afin que la voie des Rois de devers le soleil levant fût ouverte. Et je vis sortir de la gueule du dragon, et de la gueule de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits immondes, semblables à des grenouilles ; Car ce sont des esprits diaboliques, faisant des prodiges, et qui s'en vont vers les Rois de la terre et du monde universel, pour les assembler pour le combat de ce grand jour du Dieu tout-puissant. Voici, je viens comme le larron ; Bienheureux est celui qui veille, et qui garde ses vêtements, afin de ne marcher point nu, et qu'on ne voie point sa honte. Et il les assembla au lieu qui est appelé en Hébreu Armageddon. »
Armageddon : « Har-Megiddo », le mont Megiddo, le lieu où les rois de la terre se rassemblent pour faire la guerre !

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